@Ebion
Bonjour Ebion
Ceci ne répond pas à ma question puisque ça ne justifie pas pourquoi le test empirique aurait la préséance et comment il pourrait être lui-même justifié, particulièrement par rapport aux outils rationnels.
Ce que tu appelles principes régulateurs, qui incluent des présuppositions sur la réalité et les sens, ne clarifie pas du tout la façon dont ces principes justifient la préséance de l'empirisme. Cette notion de principes régulateurs semble plus concerner des présuppositions de base qui sont nécessaires à l'interaction avec le monde plutôt que des critères épistémologiques clairs pour privilégier l'empirisme sur d'autres moyens comme la rationalité pure. Je ne pense pas que notre désaccord soit à ce niveau-là, puisque, à voir ta définition, la primauté de l'expérimentation n'est pas un principe régulateur.
Je pense que c'est davantage du côté des énoncés a priori et a posteriori qu'il faudra chercher.
Dire que les énoncés a posteriori relèvent de "l'empirique au sens large" va te poser problème. Parce que dans ce sens large je peux simplement insérer une prémisse expérimentale du type : "il existe des choses" et induire un Dieu créateur.
C'est pour quoi le vrai nœud de l'histoire est d'éclaircir le sens de ce que tu appelles "physique" puisque c'est à ça que tu rattaches l'empirisme.
D'où ma précédente question à ce sujet.
Bonjour Ebion
Ceci ne répond pas à ma question puisque ça ne justifie pas pourquoi le test empirique aurait la préséance et comment il pourrait être lui-même justifié, particulièrement par rapport aux outils rationnels.
Ce que tu appelles principes régulateurs, qui incluent des présuppositions sur la réalité et les sens, ne clarifie pas du tout la façon dont ces principes justifient la préséance de l'empirisme. Cette notion de principes régulateurs semble plus concerner des présuppositions de base qui sont nécessaires à l'interaction avec le monde plutôt que des critères épistémologiques clairs pour privilégier l'empirisme sur d'autres moyens comme la rationalité pure. Je ne pense pas que notre désaccord soit à ce niveau-là, puisque, à voir ta définition, la primauté de l'expérimentation n'est pas un principe régulateur.
Je pense que c'est davantage du côté des énoncés a priori et a posteriori qu'il faudra chercher.
Dire que les énoncés a posteriori relèvent de "l'empirique au sens large" va te poser problème. Parce que dans ce sens large je peux simplement insérer une prémisse expérimentale du type : "il existe des choses" et induire un Dieu créateur.
C'est pour quoi le vrai nœud de l'histoire est d'éclaircir le sens de ce que tu appelles "physique" puisque c'est à ça que tu rattaches l'empirisme.
D'où ma précédente question à ce sujet.