continues à rêver toi et @
Tharbat d'un Maroc qui n'existe que dans vos têtes.
Tu oublies que rien pour la bière le Maroc compte 60000 points de ventes, est-ce que vous avez tant de mosquées? lis l'article en bas pour les détails. Tu parles des vrais musulmans, ils n'existent qu'en virtuel. 112000 criminels arrêté par la police marocaine pendant les premiers 3 mois de l'année, vas voir le comportement des marocains qui fréquentent les mosquées les vendredi? et combien sont ils, 20 % de la population? et vous parlez du pays musulman? donc parlez au nom de votre 20%, un chiffre que le mouvement amazigh atteint aujourd'hui au Maroc et dont la majorité est athée. Les extrémistes salafistes au Maroc et partout dans le monde arabo-musulman sont entrain de tuer votre islam, c'est le début de sa fin. Parles aussi de 110 millions d'euros/a. que votre gouvernement islamiste encaisse en taxe sur l'alcool pour financer vos projets islamistes.
Les musulmans lèvent le coude
Alors qui boit au Maroc? Théoriquement, selon la loi, ce sont les étrangers du Maroc qui doivent consommer les 265 hectolitres destinés au marché local. Combien sont-ils donc? Selon les dernières statistiques, les étrangers du Maroc sont au nombre de 51.000. Une simple opération arithmétique nous montre que chaque étranger consomme uniquement 2 litres de vin tous les jours. Ce qui est impossible. Alors où va le reste? Pour répondre à une telle question, rien de tel qu’un tour dans le centre ville de Casablanca, entre la rue Allal Ben Abdelllah, Rahal El Meskini, Lalla Yakout, la rue du Prince Moualy Abdellah, Mers Sultan, Ben Jdia et Derb Omar.
Les bars sordides sont encore nombreux et ils ne débondent pas. Les habitués y boivent des litres de bière et de mauvais vin chaque jour et chaque matin, les camions des Brasseries du Maroc viennent faire le plein. Pas un étranger dans ces bars. Ou alors un paumé qui tente de se faire payer un verre à l’œil. Et c’est dans une tournée comme celle-ci que l’on peut mesurer le taux d’alcoolémie des uns et des autres. Presque tous les buveurs sont déjà alcooliques.
La bière tient son rang
Et le delirium tremens leur donne rendez-vous à chaque réveil. Le tout mâtiné de violences, coups et blessures où les épaves humaines payent le prix de la Flag et de la Stork à outrance. D’ailleurs, des statistiques ont démontré que le Marocain boit beaucoup. Pas moins de 131 millions d’hectolitres sont consommés par les musulmans du Maroc. Ce qui revient à 4,3 litres par an pour chaque Marocain. Ce sont 400 millions de bouteilles de bières qui sont sifflées pour 38 millions de bouteilles de vin, 1,5 million de bouteilles de whisky, 1 million de bouteilles de vodka, 500.000 bouteilles de gin et 140.000 bouteilles de champagne. Ce sont les 20 à 30 ans qui consomment le plus. Chez les femmes, le champagne tient la vedette. Et chez les jeunes, la vodka reste indétrônable. Se payer une bouteille de champagne entre 350 et 1.500 dirhams, n’est pas donné à tous les amoureux de l’alcool.
Par contre, la bière est la bibine de monsieur tout le monde. Pas moins de 60.000 points de vente au Maroc pour la bière. Ce qui équivaut à 4 épiceries pour 1.000 personnes en milieu urbain. Et comme on pouvait s’y attendre, selon des statistiques issues d’une étude réalisée par une grande marque de bière, ce sont les Casablancais et les R’batis, d’une moyenne d’âge de 40 ans, qui sont en pole-position des buveurs au Maroc. Et sur ce marché, les Brasseries du Maroc règnent en maître absolu. Leurs gains nets varient entre 284 millions de dirhams (2003) et 225 millions de dirhams (2009). Avec une année record, 2007, pour un chiffre de 343 millions de dirhams. La société contrôle 90% du marché marocain. Mais la figure du vin au Maroc reste Ibrahim Zniber, qui contrôle pas moins de 85% du marché marocain à travers Diana Holding, qui emploie 6.500 employés entre ouvriers et ingénieurs, qui ont porté les chiffres de la société à 2,5 milliards de dirhams.
Officiel, officieux
Ceci pour l’alcool officiel. Mais il y a l’officieux. Les distilleries clandestines ont toujours leur place au sein du marché. Elles en constituent même un petit marché parallèle. Ceux qu’on appelle communément “guerraba” fabriquent du vin rouge, mais surtout de l’eau-de-vie (mahia) et autres boissons anisées. Début janvier 2010, à Ben M’Sick à Casablanca, pas moins de 580 litres d’alcool frelaté ont été saisis dans un dépôt qui fournissait, entre autres clients, la région d’Oued Zem où sept personnes ont trouvé la mort en décembre 2009 pour avoir bu de l’alcool frelaté.
D’autres cas atterrissent aux urgences dans d’autres grandes villes. Il s’agit surtout de SDF et autres alcooliques démunis qui écument le macadam des villes mélangeant alcool à brûler (90%) et eau du robinet.
On en rencontre dans toutes les ruelles du centre ville, vautrés dans leurs vomis. Le pire, c’est que parmi eux, de nombreux jeunes et gamins ont déjà pris le pli de l’alcool très bon marché (6 dirhams la bouteille).