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Chaque peuple ? Intéressant .
Pourrais-tu en cité un en dehors du proche et Moyen-Orient ?
«La plupart d'entre eux ne croient en Allah, qu'en lui donnant des associés.» (Yusuf, 106)Ces verset pourrai répondre a ta question
"Certes, Nous avons envoyé avant toi des Messagers. Il en est dont Nous t’avons raconté l’histoire ; et il en est dont Nous ne t’avons pas raconté l’histoire. Et il n’appartient pas à un Messager d’apporter un signe [ou verset] si ce n’est avec la permission de Dieu. Lorsque le commandement de Dieu viendra, tout sera décidé en toute justice ; et ceux qui profèrent des mensonges sont alors les perdants."
Sourate 40, 78
Nous avons envoyé dans chaque communauté un Messager, [pour leur dire] : "Adorez Dieu et écartez-vous du Tagut". Alors Dieu en guida certains, mais il y en eut qui ont été destinés a l’égarement. Parcourez donc la terre, et regardez quelle fut la fin de ceux qui traitaient [Nos messagers] de menteurs.
Sourate 16, 36
C'est moi qui ait posé la première question. Encore une fois tu portes très bien ton pseudo.Répond à ma question stp, ensuite tu auras ta réponse dans le Coran.
J'ai répondu moi-même pour gagner du temps... Tu as une étrange façon de débattre ob dirait qu'on joue un match de foot.C'est moi qui ait posé la première question. Encore une fois tu portes très bien ton pseudo.
Ces verset pourrai répondre a ta question
"Certes, Nous avons envoyé avant toi des Messagers. Il en est dont Nous t’avons raconté l’histoire ; et il en est dont Nous ne t’avons pas raconté l’histoire. Et il n’appartient pas à un Messager d’apporter un signe [ou verset] si ce n’est avec la permission de Dieu. Lorsque le commandement de Dieu viendra, tout sera décidé en toute justice ; et ceux qui profèrent des mensonges sont alors les perdants."
Sourate 40, 78
Nous avons envoyé dans chaque communauté un Messager, [pour leur dire] : "Adorez Dieu et écartez-vous du Tagut". Alors Dieu en guida certains, mais il y en eut qui ont été destinés a l’égarement. Parcourez donc la terre, et regardez quelle fut la fin de ceux qui traitaient [Nos messagers] de menteurs.
Sourate 16, 36
Tu parles seul là. Je t'ai expliqué que les Prophètes depuis l'apparition de l'écriture sont rares. Quel sens de parler de Chambala M'bada Bada que son peuple a renié et dont on n'aurait aucune trace écrite ?@jass15 tu trouves logiques que Dieu dans le Coran cite tout les prophètes déjà cité dans les livres antérieurs connus mais qu'il n'en cite pas un seul alors que Mohamed (sws) dernier des prophètes et messagers est censé s'adresser aux peuples du monde entier ?
N'aurait il pas été plus logique de «minimiser» les autres histoires prophétiques connus dans la Thora et Évangiles pour nous parler de ces inconnus en Amérique, Afrique, Chine,Inde, Australie et j'en passe ? Car oui , ça aurait été un vrai miracle que le Coran parle d'un personnage connu chez les amérindiens ou autres en affirmant que X était un prophète amérindien alors que l'Arabie n'avait aucun échange avec ce continent .
Nassakha signifie inscrire ce qui est le contraire d'abroger.Voici le verset en arabe
"مَا نَنسَخْ مِنْ آيَةٍ أَوْ نُنسِهَا نَأْتِ بِخَيْرٍ مِّنْهَا أَوْ مِثْلِهَا أَلَمْ تَعْلَمْ أَنَّ اللّهَ عَلَىَ كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ"
le mot نَسَخْ ( Nassakha) veut dire abroger
et sur wiki tu peut lire au sujet des Versets abrogé ( Mansukh) https://fr.wikipedia.org/wiki/Mansukh
j'ai trouvé ce livre : La Lapidation - Précepte Abrogé du Droit Musulman
http://www.orientica.com/La-lapidat...Diakho-Livre-Livres-Jurisprudence-p2924-.html
Résumé du livre :
Etude sur la lapidation dans la religion musulmane, principe emprunté à la loi juive qui fut à l'époque un moyen de normalisation sociale lié uniquement à une époque, un lieu et une évolution particulière. Cette pratique cessa après la révélation du verset 2 de la sourate an-Nûr qui l'abrogea définitivement.
La lapidation n'a été en Islam, pour ainsi dire, qu'un principe momentanément adopté par la nouvelle communauté musulmane et emprunté à la loi juive avant la révélation du verset 2 de la sourate an-Nûr qui l'abrogea définitivement.
Ce principe doit donc être regardé seulement comme ayant provisoirement été un moyen de normalisation sociale lié à une époque, un lieu et à une évolution particulière.
Les actes individuels, régionaux, tribaux, coutumiers ou ancestraux, doivent cesser d'être à la charge de la religion musulmane.
le verset en question :
Sourat 24 La lumière, verset 2
La fornicatrice et le fornicateur, donnez à chacun d'eux cent coups de fouet et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l'exécution de la Loi de DIEU si vous croyez vraiment à DIEU et au jour ultime.
Non la Torah a été donné à Moussa et elle fut un guide pour les fils d'Israël.La Tora est un loi destinée aux israélites. Chaque peuple a eu une loi et un code.
Malgré les explications je ne vois pas trop où tu veux en venir... Les hadiths vont dans le sens d'une interdiction de dessiner. Et les nombreux hadiths que j'ai cité sont tous faibles!? sur quelle base?N.B. : On recoupe les récits suivant les rapporteurs, ensuite on détermine les contextes des récits. Enfin, on confronte les variantes pour déterminer les transformations des récits. On a des ajouts (idraj) qui ressortent : "on leur dira de donner la vie", "on leur dira de donner autant d'âmes"... Un mudraj al matn se reconnaît également car il arrive en fin de récit sans être attribué au Messager. De sorte qu'il y a confusion avec le matn originel.
Non, il ne sont pas tous faibles. Mais il faut remonter au contexte des hadiths : asbab al wurud. Et déterminer la part des narration émanant du Prophète et les commentaires des rapporteurs.Malgré les explications je ne vois pas trop où tu veux en venir... Les hadiths vont dans le sens d'une interdiction de dessiner. Et les nombreux hadiths que j'ai cité sont tous faibles!? sur quelle base?
Non, il ne sont pas tous faibles. Mais il faut remonter au conrexte des hadiths : sabab al wurud.
Au regard de ce que tu rapportes, j'en déduit qu'il n'est pas autorisé de faire des dessins, des icônes, des représentations... on est d'accord?Non, il ne sont pas tous faibles. Mais il faut remonter au contexte des hadiths : asbab al wurud. Et déterminer la part des narration émanant du Prophète et les commentaires des rapporteurs.
Les fuqahas interdisent les représentations figurées sur base de ces ahadith. Mais les interdits concernent à la source l'ornement des lieux de prière ou les icones et idoles. C'est ainsi que Aicha avait des coussins avec des dessins de chevaux dans sa chambre et que le Messager n'interdisait pas cela. Si c'était interdit formellement cela aurait été condamné, non ?Au regard de ce que tu rapportes, j'en déduit qu'il n'est pas autorisé de faire des dessins, des icônes, des représentations... on est d'accord?
Nassakha signifie inscrire ce qui est le contraire d'abroger.
Et Aya ne signifie pas loi ni verset mais signe.
Tu pars de fausses idées vers une fausse doctrine.
Tu ne peux pas me convaincre avec si peu.
Pas un iota de la loi ne disparaîtra jusqu'à la fin du monde.
Mais il ne peut pas abolir un seul iota de la loi.
Non la Torah a été donné à Moussa et elle fut un guide pour les fils d'Israël.
Mais les commandements contenus dans la Torah sont d'ordre divin.
Ils se retrouvent donc automatiquement dans les commandements contenus dans le Coran.
Allah ne va pas donner des commandements différents selon les peuples.
C'est ça le principe du rappel.
Les loi de la Torah sont rappelés dans l’Évangile et encore rappelés dans le Coran.
La seule différence c'est quand Allah rajoute une loi.
Mais il ne peut pas abolir un seul iota de la loi.
Le mot nassakha signifie aussi abrogé ou enlever, http://www.almaany.com/ar/dict/ar-ar/نسخ/
et dans le context du verset il s'agis bien du sens abroger "مَا نَنسَخْ مِنْ آيَةٍ أَوْ نُنسِهَا نَأْتِ بِخَيْرٍ مِّنْهَا أَوْ مِثْلِهَا أَلَمْ تَعْلَمْ أَنَّ اللّهَ عَلَىَ كُلِّ شَيْءٍ قَدِيرٌ" Sinon pour toi c'est quoi l'interpretation exacte de ce verset ?
le mot آيَةٍ veut dire verset je n'ai pas dit le contraire, mes les versets du Coran contiennent aussi les lois et les commandements de Dieu.
La on est pas en train de discuter la punition, l'adulére et la fournication restera pour toujours un péché c'est une loi qui ne changera pas jusqu'au jour du jugement dernier, mais dans le Coran il n'ya aucune mention de la lapidation comme punition de l'adultere
Encore une fois tu traduis mal donc tu construis une fausse doctrine.Que pense tu de ce verset ?
"Et sur toi (Muhammad) Nous avons fait descendre le Livre avec la vérité, pour confirmer le Livre qui était là avant lui et pour prévaloir sur lui. Juge donc parmi eux d'après ce qu'Allah a fait descendre. Ne suis pas leurs passions, loin de la vérité qui t'est venue. A chacun de vous Nous avons assigné une législation et un plan à suivre. Si Allah avait voulu, certes Il aurait fait de vous tous une seule communauté. Mais Il veut vous éprouver en ce qu'Il vous donne. Concurrencez donc dans les bonnes cœvres. C'est vers Allah qu'est votre retour à tous; alors Il vous informera de ce en quoi vous divergiez." Coran 5:48
Tu persistes sur du faux.
Le verbe nassakha signifie inscrire, il y a d'autres utilisations dans le Coran qui confirme que nassakha signifie inscrire.
Le terme aya signifie clairement signe ce n'est même pas la peine de dialoguer sur ça.
Dans la sourate 17 Allah dit que le jour et la nuit sont des aya, ils ne sont pas des versets.
Il faut arrêter de se noyer dans du n'importe quoi.
C'est contradictoire si Allah disait abroger ou faire oublier.
Car abroger c'est aussi faire oublier.
La parole signifie inscrire ou faire oublier un signe.
Allah explique qu'un signe peut être inscrit donc mis en pratique, réalisé, ou être oublié mais quoi qu'il en soit Allah ne fait parvenir que des signes meilleurs ou équivalents.
Axiome : un mot a une seule définition originelle.tu as des connaissance en langue arabe ? as tu lu le lien que je t'ai donné? le mot Nassakha veut aussi dire abrogé, la langue arabe est une langue riche, et un mot peut avoir plusieurs signification selon le context de la phrase.
Le mot Aya peut aussi dire : leçons ou miracle
aucune loi ne disparais mais elle est remplacer par un commandement semblable ou une meilleur.
Encore une fois tu traduis mal donc tu construis une fausse doctrine.
"wa anzalna ilayka lkitaba bilhaqqui mousaddikan lima bayna yadayhi mina lkitabi wa mouhayminan 3alayhi..."
Allah n'a pas fait descendre le livre avec la vérité pour confirmer le livre d'avant.
Ce n'est pas ce qui a écrit noir sur blanc.
Il y a écrit qu'Allah installa sur lui le Livre avec la Vérité (un Livre qui contient en son sein la Vérité) et c'est cette Vérité qui confirme ce qu'il a déjà entre ses mains (pas les Livres d'avant mais une partie du Livre qu'il reçut) et c'est cette Vérité qui prévaut sur le Livre.
Voilà ce qui a été écrit noir sur blanc et voilà comment tu déformes tout par ignorance.
Le reste ne parle pas de jugement. Le reste fait référence à la différence de culture.
Allah n'a rendu aucune culture sainte, toute les cultures se valent tant qu'elles appliquent la justice divine qui est commune dans tous les Livres. C'est Allah qui a voulu faire des communautés et des cultures différentes, il ne nous demandent donc indirectement de ne pas s'imiter, une personne de France n'a pas à imiter la culture des gens du désert c'est ça le message.
Pas un seul iota de la loi ne disparaîtra.
La traduction que tu t'appropries devient tienne.Ce n'est pas ma traduction, c'est la traduction du Sahih international https://quran.com/5/48
et ca correspond a la version en arabe, aprés il peut y'avoir plusieurs interpretation,
Mais le verset ne parle pas de difference de culture, mais de difference de legislation et du plan a suivre pour chaque communautés
Peut tu me donnée la source de ton interpretation de preference emmenant d'un Tafsir reconnu
Axiome : un mot a une seule définition originelle.
Le Coran utilise les définitions originelles, il ne peut pas être ambigüe et utiliser plusieurs définitions pour un seul mot sinon ce serait incompréhensible et non explicite.
Donc ne me dit pas que nassakha signifie AUSSI abroger.
C'est une définition rajoutée culturellement, ce n'est pas la signification coranique du mot.
Va voir les autres utilisations du verbe nassakha dans le coran et tu verras qu'il suggère l'inscription.
Aya signifie signe, ne dit pas qu'il peut AUSSI signifier....Allah n'a pas descendu au prophète de la poésie.
Le jour et la nuit sont des signes (ayat) ce ne sont ni des leçons ni des miracles.
Par contre un signe peut parfois être vu comme une leçon et parfois être vu comme un miracle, mais ça reste un signe.
La traduction que tu t'appropries devient tienne.
Cela veut dire quoi moussaddiqan lima bayna yadayhi mina lkitabi?
C'est toi qui dit que ça parle de législation.
Donc donne un exemple de loi qui a disparu selon le Coran, j'attends.
1) Tu ne comprends rien à ce que je dis.Prend un dictionnaire Arab, et cherche la definition des deux mots ( Nassakha et Aya) et tu te rendra compte qu'ils ont plusieur sens , et tu comprendra par toi meme la richesse de la langue arabe. il ne s'agis pas de poésie mais de parabole. et ton interpretation literaliste du Coran t'égare, j'attend toujours la source de ton Tafsir.
Voici l'interpretation du verset en langue arabe : http://www.alukah.net/sharia/0/115933/
et voici un lien qui explique la notion de l'abrogation dans le coran avec des examples concrets
http://www.maison-islam.com/articles/?p=303
1) Tu ne comprends rien à ce que je dis.
Je sais que lorsque l'on ouvre le dictionnaire chaque mot ont plusieurs définitions.
Tout le monde le sait.
Moi ça me dérange et pas toi.
Dans la logique linguistique, un mot n'a qu'une seule définition, c'est ce que l'on appelle le langage.
En poésie un mot peut avoir plusieurs définitions, mais le messager n'était pas un poète.
La richesse de la langue arabe ça ne veut rien dire, c'est un argument fallacieux pour dissimuler les définitions originelles et nous empêcher de percer les secrets de la révélation.
Je ne te donnerais pas de tafsir venant de poète ce n'est pas mon domaine d'expertise la poésie coranique.
Si tu crois en la poésie coranique, très bien.
2) Cela signifie quoi :
moussadiqan
lima
bayna
yadayhi
mina
lkitab
Je veux ton interprétation.
Celles des autres je ne te la demande pas à toi.
Donc donne un exemple de loi qui a disparu selon le Coran, j'attends.
Ils sont cohérents avec les hadiths mais pas avec le Coran (cf: les statues du Roi Salomon)Les fuqahas interdisent les représentations figurées sur base de ces ahadith.
Dans le hadith que tu avais cité, il s'agissait de bâtisses décorées de fresques construites sur la tombe d'un "saint". L'interdiction concerne la vénération d'un saint à partir de cette construction. Rien à voir avec le fait de dessiner.Mais les interdits concernent à la source l'ornement des lieux de prière ou les icones et idoles.
Donc les fuqahas interdisent les représentations figurées alors que le Prophète ne l'interdit pas!C'est ainsi que Aicha avait des coussins avec des dessins de chevaux dans sa chambre et que le Messager n'interdisait pas cela. Si c'était interdit formellement cela aurait été condamné, non ?
1) Je ne vais pas prendre la science de la langue du coran à travers le dictionnaire (qui est l'avis d'un groupe de personne).Justement la definition original du mot Nasskh signifie : Abroger/Annuler, et la 2eme definition c'est copié, Tu sais lire et parler en Arabe?
تعريف النسخ]
للنسخ في اللغة معنيان هما:
النسخ بمعنى: "الرفع والإزالة" يقال: نسخت الشمس الظل إذا أزالته ورفعته.
النسخ بمعنى: "النقل" يقال: نسخت الكتاب إذا نقلت ما فيه. ومنه: المناسخة في المواريث.
النسخ بالمعنى الإصطلاحي:
"رفع الحكم الشرعي بدليل شرعي متأخر عنه"، أي: أن النسخ لا يقع إلا في الأحكام الشرعية ولا نسخ إلا بحكم شرعي.
Source https://ar.wikipedia.org/wiki/نسخ_(إسلام)
Pour ce qui est du mot Ayat, je suis d'accord que la 1 ere definion du mot آيَةٍ = signe et la 2eme definition = lesson
Il s'agis de parabole et non de poésie, si tu ne sais pas faire la difference, c'est ton probleme pas le mien.
Je n'ai pas la science pour me permettre d'interpreter, mais sinon j'ai des connaissance en langue arabe pour faire des traduction approximatives.
Pour ce qui est de l'interpretation ( Tafsir) il faut avoir la science du Fiqh et en histoire pour mettre les versets dans leur contexte , il faut aussi avoir une maitrise absolu de la langue arabe et ses subtilités.
Donc pour le Tafsir il vaut mieux se fié au Moufassirine reconnus, au lieu d'essayé d'interpréter des verset par sois meme.
Je vois que ton interpretation du verset est personnel, puisque tu ne m'a donné aucune source, Pense tu avoir les qualité et la science pour le faire, ou bien tu suis juste tes passions?
Y'a un example qui me viens a l'esprit: Quand Allah a ordonner au Prophete Abraham de Sacrifié son Fils Ismael, au moment ou il allais executer l'ordre Divin, Allah l'arreta et lui a ordonna de sacrifié le bouc a place de son fils. Donc Allah a abrogé le sacrifice Humain et l'a remplacer par un meilleur commandement ( Sacrifice animal)
1) Je ne vais pas prendre la science de la langue du coran à travers le dictionnaire (qui est l'avis d'un groupe de personne).
Il y a des versets qui utilisent le verbe nassakha pour signifier inscrire.
Relève les et étudie les, tu vas reculer dans tes prétentions, c'est sur...
Et ça rentre en contradiction avec ce que te dit le dictionnaire (l'avis d'un groupe de personne).
Voyons le dictionnaire ce n'est pas par ça qu'il faut comprendre le Coran.
Le dictionnaire dit juste ce qu'est devenu la langue arabe au fil du temps mais pas ce qu'est la langue du coran.
2) Aya n'a qu'une seule définition originelle.
Le reste ne m'intéresse pas.
Le verset en question ne parle pas de loi.
3) Je connais un moufassir reconnu, c'est Allah.
Les autres sont tous politisés.
4) Ta perdition (à des kilomètres de la droiture et de la vertu) te pousse à croire qu'Allah a ordonné à Abraham d'égorger son fils. (c'est comme ça que tu veux enseigner la vertu?)
Tu vois ce que t'amène ton aveuglement sur ce qu'un groupe de personne ne connaissant pas la science t'enseigne du coran?
Dhabaha ne signifie pas égorger ça signifie quelque chose comme sacrifier ou sanctifier.
Et sacrifier ne signifie pas donner la mort, si je dis que je sacrifie mon fils pour une cause c'est que je le garde près de moi et je lui enseigne qu'il doit m'aider pour la réalisation de la cause, je ne le laisse pas faire ce qu'il désire.
Je le focalise sur cette cause.
Voilà ce qu'Abraham a fait avec son fils et voilà pourquoi son fils lui dit en retour qu'il le trouvera parmi les endurants. C'est que ça fait appel à une longue tâche dans la durée.
Allah n'a jamais établi le meurtre des fils, ce sont les Juifs qui ont instauré ça pour expier leurs péchés.
Les Chrétiens y adhèrent (comme toi) en disant seulement qu'Allah a laissé mourir son fils, Jésus, pour expier les péchés de tous les hommes.
C'est clairement du satanisme.
1) Toi tu es méprisant envers moi tu crois que je ne peux pas comprendre mieux que les autres.Je suis d'accord que seul Allah connais le sens de Coran puisque ca vient de LUI,
Mais Quel arrogance de ta part de pretendre connaitre l'interpretations des versets mieux que les Mouffassirine, encore une fois tu n'a pas repondu a mes question
As tu une maitrise en theologie Islamique?
As tu des connaissance dans la science des Hadiths?
As tu une maitrise de la langue Arabe? de preference un diplome dans un cadre scholaire ou une ecole reconnu.
Quel sont tes competence et tes qualifications pour prétendre que ton interpretation est la seul vérité absolu? pense tu avoir une sorte de révélation ou etre une sorte de prophéte? Quel methodologie tu utilise pour interpreter et comprendre coran?
Ton interpretation des vesets du sacrifices d'Abraham sont mystique, et personnel donc pour moi pas a prendre au serieux sauf si tu me prouve que tu as des qualification et la science requise pour le tafsir.
Pour ce qui est de la sémantique apparemment tu donne le sens aux mots et aux versets comme ca t'arrange. c'est ton orgueil qui t'égare loin de la vérité.
Ce message ne s'adresse pas spécialement à vous "jass15". Mais je pense qui faut remettre le Coran à qui de droit, à savoir l'humanité. Dieu par Sa Miséricorde s'adresse à chacun d'entre nous. Et nous de demande à travers le Coran de méditer Ses signes, pas d’interpréter. N'importe quel croyant ou croyante ayant de "bonnes intentions" pour méditer le Coran sera bien guidé par Dieu. C'est Dieu qui établit les choses ainsi. Nous recommençons les mêmes erreurs que par le passé où un groupe d'individus s'accaparent du message de Dieu pour imposer leur vision du Dîn, les seuls à pouvoir comprendre, les seuls à pouvoir guider, les seuls à pouvoir diriger... des nouveaux clergés (pour ne pas dire de nouveaux dieux). Si le Coran est universel alors il s'adresse à tout le monde et tout le monde peut saisir le Message (et en tirer des leçons), sinon si c'est un livre purement religieux alors ce Livre pourra endosser son rôle encyclopédie académique (s'adressant qu'aux spécialistes).Je suis d'accord que seul Allah connais le sens de Coran puisque ca vient de LUI,
Mais Quel arrogance de ta part de pretendre connaitre l'interpretations des versets mieux que les Mouffassirine, encore une fois tu n'a pas repondu a mes question
As tu une maitrise en theologie Islamique?
As tu des connaissance dans la science des Hadiths?
As tu une maitrise de la langue Arabe? de preference un diplome dans un cadre scholaire ou une ecole reconnu.
Quel sont tes competence et tes qualifications pour prétendre que ton interpretation est la seul vérité absolu? pense tu avoir une sorte de révélation ou etre une sorte de prophéte? Quel methodologie tu utilise pour interpreter et comprendre coran?
Ton interpretation des vesets du sacrifices d'Abraham sont mystique, et personnel donc pour moi pas a prendre au serieux sauf si tu me prouve que tu as des qualification et la science requise pour le tafsir.
Pour ce qui est de la semantique apparemment tu donne le sens au mot et au verset comme ca t'arrange. c'est ton orgueil qui t'égare loin de la vérité.
C'est uçuli, le fait que le Messager a parlé du pire châtiment en parlant de ceux qui ont fait ces fresques a conduit des fuqaha à interdire les représentations figurées. La représentation de personnes mortes pour les implorer a été considéré par certains comme la raison de cette interdiction : essayer de recréer comme Allah...Ils sont cohérents avec les hadiths mais pas avec le Coran (cf: les statues du Roi Salomon)
Dans le hadith que tu avais cité, il s'agissait de bâtisses décorées de fresques construites sur la tombe d'un "saint". L'interdiction concerne la vénération d'un saint à partir de cette construction. Rien à voir avec le fait de dessiner.
Le Prophète a interdit les images dans la mosquée de Medine, commandé de détruire les idoles. Il a toléré les images de chevaux sur des coussins dans la chambre de Aicha où il priait parfois... Il y a eu des divergences chez les ulémas à ce sujet. Certains ont interdit toute figuration, certains juste de dessiner de l'ombre, certains les tolèrent sur des ustensiles, le rite hanafite tolère les figures sans tête ou sans corps car une telle chose ne représente pas un vivant... C'est la conséquence des différences de grilles de lectures.Donc les fuqahas interdisent les représentations figurées alors que le Prophète ne l'interdit pas!
C'est bien d'apporter des arguments mais qu'est ce qu'on fait alors? Avec cet exemple je voulais mettre en lumière la problématique des sciences des hadiths dans le discours du musulman attaché à la Sunnah (une sunnah qui se devait être limpide et accessible afin de pratiquer sans ambigüité notre religion). La sunah de notre jours est l'expression d'une tentative humaine à imiter (et non suivre) le Prophète. Cela pose de nombreux problèmes d'unité de la oumma et même d'universalité. Je ne suis pas convaincu que ce qu'on appelle sunnah aujourd'hui s'inspire du Coran...C'est uçuli, le fait que le Messager a parlé du pire châtiment en parlant de ceux qui ont fait ces frasques a conduit chez des fuqaha à interdire les représentations figurées.
Le Prophète a interdit les images dans la mosquée de Medine, commandé de détruire les idoles. Il a toléré les images de chevaux sur des coussins dans la chambre de Aicha où il priait parfois... Il y a eu des divergences chez les ulémas à ce sujet. Certains ont interdit toute figuration, certains juste de dessiner de l'ombre, certains les tolèrent sur des ustensiles, le rite hanafite tolère les figures sans tête ou sans corps car une telle chose ne représente pas un vivant... C'est la conséquence des différences de grilles de lectures.
Il faut distinguer sunnah de hadith. Concrètement le Messager n'était pas dérangé par les dessins de chevaux sur les coussins. D'autres parts il y a des signes implicites dans le Coran touchant l'idée d'imiter la création...C'est bien d'apporter des arguments mais qu'est ce qu'on fait alors? Avec cet exemple je voulais mettre en lumière la problématique des sciences des hadiths dans le discours du musulman attaché à la Sunnah (une sunnah qui se devait être limpide et accessible afin de pratiquer sans ambigüité notre religion). La sunah de notre jours est l'expression d'une tentative humaine à imiter (et non suivre) le Prophète. Cela pose de nombreux problèmes d'unité de la oumma et même d'universalité. Je ne suis pas convaincu que ce qu'on appelle sunnah aujourd'hui s'inspire du Coran...
1) Toi tu es méprisant envers moi tu crois que je ne peux pas comprendre mieux que les autres.
2) J'ai une argumentation logique.
Si tu en as une meilleure contredit moi mais ne te cache pas derrière les autres.
3) Chez moi c'est celui qui dit qu'Allah a ordonné à Abraham d'égorger son fils qui n'est pas sérieux.
4) Si ton argumentation est supérieure à la mienne je t'invite donc à me contredire.
C'est ça la science, c'est argumentation et contre argumentation.
Mais dire j'ai entendu qu'on m'a dit qu'il fallait penser ce n'est pas viril comme pensée.
Ce message ne s'adresse pas spécialement à vous "jass15". Mais je pense qui faut remettre le Coran à qui de droit, à savoir l'humanité. Dieu par Sa Miséricorde s'adresse à chacun d'entre nous. Et nous de demande à travers le Coran de méditer Ses signes, pas d’interpréter. N'importe quel croyant ou croyante ayant de "bonnes intentions" pour méditer le Coran sera bien guidé par Dieu. C'est Dieu qui établit les choses ainsi. Nous recommençons les mêmes erreurs que par le passé où un groupe d'individus s'accaparent du message de Dieu pour imposer leur vision du Dîn, les seuls à pouvoir comprendre, les seuls à pouvoir guider, les seuls à pouvoir diriger... des nouveaux clergés (pour ne pas dire de nouveaux dieux). Si le Coran est universel alors il s'adresse à tout le monde et tout le monde peut saisir le Message (et en tirer des leçons), sinon si c'est un livre purement religieux alors ce Livre pourra endosser son rôle encyclopédie académique (s'adressant qu'aux spécialistes).