yan101
Kitty RULES
Voici un extrait du site
Evolutionnisme - Darwinisme - Charles Darwin - Théories - Hominidés
La théorie
La terre a été peu à peu colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui de mutations en mutations ont évoluées vers des êtres plus complexes : les animaux (dont lhomme).
Lévolution se fait par sélection naturelle, ce sont les animaux les plus adaptés a leur milieu qui survivent. Ce sont donc eux qui auront le plus de chance de se reproduire, et donc de transmettre leurs gènes.
Un animal qui aurait une anomalie génétique, par exemple plus de poil que ses congénères, aura plus de chance de survie dans un environnement plus froid. Il pourra donc transmettre cette « anomalie positive » à toute sa descendance. Cette mutation se diffusera rapidement à toute les nouvelles générations de cette espèce.
Cette théorie est fausse parce que ce qu'elle explique ne concorde absolument pas avec l'arbre phylogénétique de la vie qui montre clairement que les plantes n'étaient pas les premiers habitants de la terre.
Et si on suit le règne des eucaryotes on constate qu'il y a eu une séparation plantes/animaux et donc il est impossible que les plantes aient engendré les animaux.
Biologie moléculaire de la cellule - Google Recherche de Livres
http://mediatheque.citedelamer.com/f...309_1_2138.jpg
Biologie - Google Recherche de Livres
Point de vue d'un évolutionniste
Le créationnisme fait peur. On l'accuse de tous les maux. Il menacerait autant la science que les sociétés démocratiques. D'où les réguliers appels à le combattre au nom de la rationalité et de la laïcité. N'est-il pas temps d'en finir une fois pour toutes avec cette doctrine religieuse d'un autre âge dissimulée sous des oripeaux scientifiques?
Pas sûr, affirme Thomas Lepeltier. Dans ce texte iconoclaste, où il discute de la possible scientificité du créationnisme, il avance que ceux qui veulent sa disparition sous prétexte que ce ne serait pas une théorie scientifique mais uniquement une doctrine religieuse font, sans s'en rendre compte, la promotion d'une société où toute contestation des théories scientifiques dominantes aurait disparu. Si c'est cela que veulent les adversaires du créationnisme, l'esprit critique qu'ils prétendent défendre risque de mal se porter. Dans le domaine de la réflexion comme en politique, si on est démocrate , ne faut-il pas toujours se féliciter de l'existence de contradicteurs, quand bien même on estime que ceux-ci ont tort ? Bref, vu la tournure simpliste des débats actuels sur le créationnisme, voici un ouvrage à lire d'urgence.
Thomas Lepeltier est historien et philosophe des sciences, journaliste et chargé de cours à l'Université d'Oxford. Il est l'auteur d'une histoire du créationnisme: Darwin hérétique. L'éternel retour du créationnisme (Le Seuil, 2007).
Je pense que c'est surtout un symptôme de la confusion mentale de notre époque plutôt qu'une cause, elle découle de l'incapacité qu'on les hommes en moyenne aujourd'hui à pénétrer le sens réel des textes sacrés des divers Traditions du monde (qui constituent une unité au moins dans leur fond intellectuel qui se reflète dans un langage symbolique commun). Elle sert dans l'esprit de ceux qui y croient à occulter toute dimension verticale, toute notion de transcendance ; c'est en quelque sorte, comme le disait Schuon, la compensation en surface plane pour les dimensions manquantes. Mais pour qui à correctement compris le théorie des état multiples de l'être, les théories modernes évolutionnistes deviennent par là même parfaitement inutiles. (cf René Guénon - Les états multiples de l'être)
«C'est une singulière illusion de, propre à l'« expérimentalisme » moderne, que de croire qu'une théorie peut être prouvée par des faits, alors que, en réalité, les même faits peuvent toujours s'expliquer également par plusieurs théories différentes, et que certains promoteurs de la méthode expérimentale, comme Claude Bernard, ont reconnu eux-mêmes qu'ils ne pouvaient les interpréter qu'à l'aide d'« idée préconçues », sans lesquelles ces faits demeureraient des faits « bruts », dépourvus de toute signification et de toute valeur scientifique.»
René Guénon - La Crise du monde moderne
Evolutionnisme - Darwinisme - Charles Darwin - Théories - Hominidés
La théorie
La terre a été peu à peu colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui de mutations en mutations ont évoluées vers des êtres plus complexes : les animaux (dont lhomme).
Lévolution se fait par sélection naturelle, ce sont les animaux les plus adaptés a leur milieu qui survivent. Ce sont donc eux qui auront le plus de chance de se reproduire, et donc de transmettre leurs gènes.
Un animal qui aurait une anomalie génétique, par exemple plus de poil que ses congénères, aura plus de chance de survie dans un environnement plus froid. Il pourra donc transmettre cette « anomalie positive » à toute sa descendance. Cette mutation se diffusera rapidement à toute les nouvelles générations de cette espèce.
Cette théorie est fausse parce que ce qu'elle explique ne concorde absolument pas avec l'arbre phylogénétique de la vie qui montre clairement que les plantes n'étaient pas les premiers habitants de la terre.
Et si on suit le règne des eucaryotes on constate qu'il y a eu une séparation plantes/animaux et donc il est impossible que les plantes aient engendré les animaux.
Biologie moléculaire de la cellule - Google Recherche de Livres
http://mediatheque.citedelamer.com/f...309_1_2138.jpg
Biologie - Google Recherche de Livres
Point de vue d'un évolutionniste
Le créationnisme fait peur. On l'accuse de tous les maux. Il menacerait autant la science que les sociétés démocratiques. D'où les réguliers appels à le combattre au nom de la rationalité et de la laïcité. N'est-il pas temps d'en finir une fois pour toutes avec cette doctrine religieuse d'un autre âge dissimulée sous des oripeaux scientifiques?
Pas sûr, affirme Thomas Lepeltier. Dans ce texte iconoclaste, où il discute de la possible scientificité du créationnisme, il avance que ceux qui veulent sa disparition sous prétexte que ce ne serait pas une théorie scientifique mais uniquement une doctrine religieuse font, sans s'en rendre compte, la promotion d'une société où toute contestation des théories scientifiques dominantes aurait disparu. Si c'est cela que veulent les adversaires du créationnisme, l'esprit critique qu'ils prétendent défendre risque de mal se porter. Dans le domaine de la réflexion comme en politique, si on est démocrate , ne faut-il pas toujours se féliciter de l'existence de contradicteurs, quand bien même on estime que ceux-ci ont tort ? Bref, vu la tournure simpliste des débats actuels sur le créationnisme, voici un ouvrage à lire d'urgence.
Thomas Lepeltier est historien et philosophe des sciences, journaliste et chargé de cours à l'Université d'Oxford. Il est l'auteur d'une histoire du créationnisme: Darwin hérétique. L'éternel retour du créationnisme (Le Seuil, 2007).
Je pense que c'est surtout un symptôme de la confusion mentale de notre époque plutôt qu'une cause, elle découle de l'incapacité qu'on les hommes en moyenne aujourd'hui à pénétrer le sens réel des textes sacrés des divers Traditions du monde (qui constituent une unité au moins dans leur fond intellectuel qui se reflète dans un langage symbolique commun). Elle sert dans l'esprit de ceux qui y croient à occulter toute dimension verticale, toute notion de transcendance ; c'est en quelque sorte, comme le disait Schuon, la compensation en surface plane pour les dimensions manquantes. Mais pour qui à correctement compris le théorie des état multiples de l'être, les théories modernes évolutionnistes deviennent par là même parfaitement inutiles. (cf René Guénon - Les états multiples de l'être)
«C'est une singulière illusion de, propre à l'« expérimentalisme » moderne, que de croire qu'une théorie peut être prouvée par des faits, alors que, en réalité, les même faits peuvent toujours s'expliquer également par plusieurs théories différentes, et que certains promoteurs de la méthode expérimentale, comme Claude Bernard, ont reconnu eux-mêmes qu'ils ne pouvaient les interpréter qu'à l'aide d'« idée préconçues », sans lesquelles ces faits demeureraient des faits « bruts », dépourvus de toute signification et de toute valeur scientifique.»
René Guénon - La Crise du monde moderne