la verité

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pourquoi dis tu que les sunnites ne le suiveraient pas?

il est un compagnon valeureux au même titre que les autres compagnons, sans distinction.

il est une référence au même titre que les autres.


Mieux encore, les Sunnites le considèrent comme LE PLUS SAVANT des compagnons.


Les sunnites enseignent que Mou3awiyya a été un Injuste ( bâghî) et un égaré de guerroyer 'Ali, et qu'il l'a fait par pure désir de régner!

Il ne le suivent pas dans le sens de la succession legitime de Ali apres la mort du Prophète
 
Tu as raison, les MALAIK (faussement traduit par ange) ne peuvent pas desobeir a Dieu et n'ont donc pas de choix moral a faire.

Les Jinns sont des 'creatures', tout comme les hommes qui elles ont un choix morale a faire cnf sourate El Jinn.

A vous de tirer les conclusion que vous voulez.

ps: personne n'a essaye de repondre: qu'est ce que MALAIKA?
Que veux dire 'se prosterner' devant Adam?


Le soujoud ( prosernation) qui est décrit dans le Coran dans le verset en question n'est pas une prosternation d'adoration, mais une prosternation de "salutations "= soujoud tahiyya".


Il y a un verset aussi dans le Coran, qui dit que qu'il "ne faut prendre pour allié Iblis et "sa progéniture" . Or on sait que Les anges n'ont pas de sexe mâle/femelle et qu'ils ne s'accouplent pas. Donc encore une fois, IBlis et bien un djin, et non un ange.
 
Il ne le suivent pas dans le sens de la succession legitime de Ali apres la mort du Prophète

Oui, en effet. mais à ce sujet les deux camps mettent en avant des arguments qui pour les uns légitimeraient la succession de Abu Bakr, et pour les autres celle de 'Ali.


Pour les sunnites , ils mettent en avant le fait que Ali lui même a rendu allégeance à Abu Bakr, et aux autres califes avant lui. et que si cela était injuste Ali lui même n'aurait pas fermer les yeux sur une prétendue "injustice".Mieux encore ils s'aimaient entre eux et multipliaient les liens de mariage entre leurs enfants respectifs.

Par ailleurs sur le lit de sa mort le Messager, il a demandé paix et bénédictions sur lui à voir Abu Bakr pour le désigner comme successeur immédiat.


Si on se base sur le simple fait que Ali , que Allah l'agrée, fut né dans la ka3ba, pour dire qu'il méritait d'Etre le premier calife, n'oublions pas que Abu bakr est cité dans le Coran par exemple.


etc, etc.

pour les arguments des shiites, j'avoue en ignorer beaucoup.
 
Le meilleur des califes (pas en tant que personne mais en terme de fonction) ça reste quand même Omar ben Khattab (Das) c'est un fait.
L'islam a explosé durant son regne faut reflechir (adresser au chiites)
 
Par ailleurs sur le lit de sa mort le Messager, il a demandé paix et bénédictions sur lui à voir Abu Bakr pour le désigner comme successeur immédiat.

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la calamites du jeudi

« C'est un jour où le Prophète Mohammed (pslf) était alité, alors, au moment de faire l'appel à la prière du matin, Bilâl s'approcha du Prophète (pslf) et lui dit: Que Dieu soit satisfait de toi! Dois-je faire l'appel-Adhân ? - Le Prophète (pslf) lui en accorda la permission. Aicha dit à Bilâl : Dis à Abu Bakr d'aller à la Mosquée - Hafsah intervint aussi auprès de Bilâl : Dis à Omar d'aller à la Mosquée.

« A entendre les propos de l'une et de l'autre, à se rendre compte comment chacune d'elles s'évertuait à honorer son propre père au point de se disputer, le Messager de Dieu (pslf) leur dit: Abstenez-vous (de parler ainsi)! Vous êtes toutes deux semblables aux femmes amoureuses de Joseph - [Les propos du Saint Prophètes (pslf) sont aussi exprimés de la manière suivante: Ainsi vous êtes semblables aux femmes égyptiennes, c'est-à-dire Zulaijâ et ****œurs, chacune désirant Joseph pour elle-même, votre conduite (de Aicha et Hafsah) est la même, vous désirez prendre un avantage de cette affaire - [Note, page 56, de El Mensaje de Az¬Zaqalaïn].

« Après avoir entendu ce qu'avaient dit Aïcha et Hafsah, le Prophète (pslf) prit conscience qu'Abu Bakr et Omar avaient désobéi à ses ordres de se joindre à l'armée d'Usâmah, raison suffisante pour le Prophète (pslf), afin que ni l'un ni l'autre le devance, de prendre appui sur les épaules de Ali (s) et de Fadl Ibn AI-Abbas et de se diriger vers la Mosquée en portant avec peine les pieds au sol.

« Arrivé à la Mosquée, il mit Abu Bakr à son côté malgré qu'il eut déjà commencé à diriger la prière. Le Prophète (pslf) prit place dans le Mîrhrâb et recommença la prière dès son début. Après l'avoir terminée, il (pslf) s'en retourna à sa Demeure. Ici, il (pslf) réclama la présence de Abu Bakr, de Omar et d'un groupe parmi ceux qui étaient allés à la Mosquée, puis il (pslf) leur dit ceci: Ne vous avais¬je pas ordonné de prendre le départ avec l'armée de Usâmah? - Ils répondirent:

Oui! Ô Prophète de .11-Dieu ! Alors, il (pslf) leur dit: Pourquoi, dès lors, avez-vous désobéi?
- Abu Bakr: Je suis parti mais j'ai fait demi-tour pour te rendre visite encore une fois
- Omar: Ô Messager de Dieu ! Quant à moi, je ne suis pas parti pour ne pas avoir à demander aux voyageurs rencontrés des nouvelles te concernant.
- Aussi, le Messager de Dieu (pslf) dit par trois fois: Rejoignez d'urgence l'armée de Usâmah.

« A cet instant, la faiblesse du Prophète (pslf) s'intensifia au point qu'il (pslf) en perdit connaissance. Des gens présents s'élevèrent des soupirs de tristesse. Puis, le Messager de Dieu (pslf) revint à lui et les regarda, disant:
 
Apportez de l'encre et un parchemin afin que j'édicte quelque chose pour qu'après vous ne vous égariez pas.

- Encore une fois, il (pslf) perdit connaissance, et l'un de ceux qui étaient présents se leva pour chercher de l'encre et un parchemin lorsque Omar se manifesta par ces propos: Reviens! Cet homme (pour le Messager de Dieu) est délirant. L'homme en question fit demi-tour. Mais ceux qui se trouvaient rassemblés là s'attristèrent du fait d'avoir été négligents et se le reprochèrent l'un l'autre pour enfin dire plus tard:

En vérité nous sommes à Dieu et à Lui nous retournerons. Nous craignons de nous opposer au Messager de Dieu. [Voir: Kitab-ul Irshait, version anglaise, p. 129-131]

« D'évidence, le Prophète Mohammed (pslf) voulait marquer sur le papier la succession de Ali (s) au califat de manière à ce que personne ne puisse ni le nier ni le changer. Sa volonté étant de compléter ainsi les propos stipulant l'événement de Ghadir Khumm qui se sont transmis à partir de lui (pslf) de manière mutawâtir, et qui avaient rempli les cœurs et les oreilles. Aussi, au vu de l'histoire, certains présents, craignant cette confirmation écrite de la part du Prophète (pslf), tentèrent par tous les moyens d'empêcher la confirmation écrite du Droit de l'Imam Ali (s) au califat.

« Les chroniqueurs s'accordent à reconnaître que le Prophète (pslf) réclama de l'encre et un parchemin pour enregistrer par écrit ce qui « ne devait jamais les égarer après lui (pslf) ».

Malgré tout, une personne se leva pour aller chercher ce que le Prophète (pslf) réclamait mais Ibn Al-Khattab lui demanda de faire demi-tour. L'homme s'en retourna à sa place, Ibn Al-Khattab ajouta: A vrai dire, cet homme est délirant.

« Selon ce que rapporte Al-Bukhari dans la section Le livre de la maladie et de la médecine, il y est fait mention que certaines personnes, parmi lesquelles il y avait Omar Ibn Al-Khattab, s'étant rassemblées auprès du Messager de Dieu (pslf), celui-ci dit:

Venez! Je vais rédiger pour vous un document de telle manière que jamais après lui vous vous égarerez - alors Omar ajouta:

La douleur a épuisé le Prophète, et nous autres nous possédons le Coran. Le Livre de Dieu est suffisant. - La discorde s'installa parmi les présents au point de se disputer l'un l'autre ce qui amena le Prophète (pslf) à leur ordonner de quitter les lieux.
 
Oui, en effet. mais à ce sujet les deux camps mettent en avant des arguments qui pour les uns légitimeraient la succession de Abu Bakr, et pour les autres celle de 'Ali.


Pour les sunnites , ils mettent en avant le fait que Ali lui même a rendu allégeance à Abu Bakr, et aux autres califes avant lui. et que si cela était injuste Ali lui même n'aurait pas fermer les yeux sur une prétendue "injustice".Mieux encore ils s'aimaient entre eux et multipliaient les liens de mariage entre leurs enfants respectifs.

Si on se base sur le simple fait que Ali , que Allah l'agrée, fut né dans la ka3ba, pour dire qu'il méritait d'Etre le premier calife, n'oublions pas que Abu bakr est cité dans le Coran par exemple.


etc, etc.

pour les arguments des shiites, j'avoue en ignorer beaucoup.


Al Mouhhib Al Tabrî a rapporté dans "Dhakhâer Al 'Oqba", p.97, d'après Omar qui a dit : "J'ai entendu le Messager d'Allah (saw) dire à Ali (as) Ô Ali Le Jour de La Réssurection tu rentreras avec moi là où je rentrerai, main dans la main".

Le Messager d'Allah (sawa) a dit: «"Celui qui désire mener une vie comme la mienne et avoir une fin comme la mienne, et habiter le Paradis d'Allah planté par DIeu. Il doit suivre après moi Ali et ses partisans, se faire guider par ma progéniture qui a été créée de la même matière que la mienne. Dieu les a doté de ma pensée et de mon Savoir. Gare à ceux de ma communauté qui nient leurs qualités et leurs vertus, qui récusent de par eux mon lien. Dieu les prive de mon intercession» Moustadrak Al-Hakem: Volume 3 page 128

Ibn Al Hajar a rapporté dans son livre "Al Sawâ'iq Al Mouhriqa", p.108, que Ibn Asammân a rapporté dans son livre "Al Mouwâfaqa", d'après Ibn Abbas qui a dit : "Lorsque Abou Bakr et Ali sont venus pour visiter la tombe du Prophète (saw) 6 jours après sa mort, Ali a dit à Abou Bakr : Je t'en prie (de rentrer dans la pièce où se trouve la tombe honorée[du Prophète], Abou Bakr a alors dit : Je ne rentrerai pas avant une personne à propos de laquelle j'ai entendu le Prophète(saw) dire : Ali est à moi, ce que je suis à Dieu." Rapporté également par Al Mouhhib Al Tabarrî Al Shâfi'î dans "Dhakhâer Al 'Oqba", p.64 et dans "Al Riâdh Al Nadhra", vol.2, p.163.
 
O vous, les Gens de la Maison (Ahloul bayt) ! Allah veut seulement éloigner de vous la souillure, et vous purifier totalement.» (Sourate al-Ahzâb, 33 : 33)



Tafsir (exégèse du verset) :
Il est rapporté, dans "al-Dur al-Manthûr", d'al-Çiyûtî :

«Selon al-Tabarânî, citant Oumm Salma, le Messager d'Allah a dit à Fâtimah : "Amène-moi ton mari et tes deux fils." Lorsqu'elle l'eut fait, le Prophète les recouvrit d'un voile de Fadak puis, posant la main sur eux, il dit : "O Allah ! Ils sont la Famille de Muhammad ! Prie donc sur la Famille de Muhammad et bénis-la comme Tu l'as fait pour la Famille d'Ibrâhîm. Tu es en effet Digne de Louanges et de Gloire."»

Oumm Salma ajoute : «J'ai alors levé le voile pour entrer avec eux, mais le Prophète l'a retiré de ma main en me disant : '"Tu es bien, là où tu es."». Le hadith est rapporté par at-Tirmithî dans "Manâqib Ahl-ul-Bayt", tome III, p. 308, citant 'Umar ibn Abî Salma. Mais aussi 'Abdullâh ibn Ahmad ibn Hanbal, citant Umm Salma, ainsi que dans "Tafsîr al-Tha'labî". De même, Ibn Marduwayh et al-Khatîb, citant Abî Sa'îd al-Khidrî.

Le Messager d'Allah continua d'expliquer à la Oumma le sens de ce noble Verset et à le lui faire assimiler afin qu'elle marche à sa Lumière. Il dit notamment : «Ce Verset a été révélé à propos de cinq personnes : moi-même, 'Alî, Fâtimah, al-Hassan et al-Hussayn. O vous les Ahl-ul-Bayt ! Allah veut seulement éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement.» Rapporté par Ibn Jarîr, Ibn Abî Hâtam, al-Tabarânî, citant Abî Sa'îd al-Khidrî, mais aussi al-Tirmithî, Ibn al-Munthir, al-Hâkim, Ibn Marduwayh, al-Buhayqî.

De même, l'interprétation de ce Verset et la confirmation des noms qu'il désigne sont attribués à 'Ayechah : «Un jour, le Prophète est sorti, revêtu d'un drap à poils noirs. Lorsqu'al-Hassan est venu, il l'a placé sous le drap ; puis al-Hussayn est venu, et il l'a placé sous le drap ; ensuite Fâtimah est venue, et il l'a placée sous le drap ; enfin 'Alî est venu, et il l'a placé sous le drap. Puis il a dit : "O Ahl-ul-Bayt ! Allah veut éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement."».

Et ce n’est pas tout ! Le Messager de Dieu, sachant probablement que de nombreux individu chercheraient un jour à remettre en question l’identité réelle des Ahloul Bayt, il s'appliqua pendant plusieurs mois à s'arrêter, à l'aube, devant la porte de la maison de 'Alî et de Fâtimah pour les appeler à la Prière, en les désignant sous l'appellation de "Ahl-ul-Bayt", il voulait à l'évidence faire connaître l'identité de ces Ahl-ul-Bayt, expliquer la signification exacte du Verset d'al-Tat-hîr, attirer l'attention de la Oumma sur la place de choix qu'ils occupent, et lui signifier l'obligation de les aimer, de les soutenir et de leur obéir.

En effet, Abû-l-Hamrâ', cité par al-Tabarî, témoigne: «Pendant six mois, le Messager d'Allah s'arrêta au niveau de la porte de 'Alî et de Fâtimah, pour dire: "O Ahl-ul-Bayt ! Allah veut éloigner de vous la souillure et vous purifier totalement."» Ce Hadith est rapporté d'al-Tirmithî dans son "Sahîh", lequel cite Anas ibn Mâlik, mais aussi par al-Hâkim dans "Al-Mustadrak", tome III, p. 158, qui l'a qualifié de"sain" (Sahîh).

Voici encore un aperçu de sources qui confirment que le verset : «O vous, les Gens de la Maison ! Allah veut seulement éloigner de vous la souillure, et vous purifier totalement.» (Sourate al-Ahzâb, 33 : 33), concerne Muhammad, 'Alî, Fâtimah, al-Hassan, al-Hussayn.

- "Sahîh Muslim", Kitâb "Fadhâ'il al-Çihâbah", Bâb "Fadhâ'il Ahli Bayt al-Nabî", tome II p. 368, éd. 'Isâ al-Halabî, et tome XV, p. 194, éd. Egypte, explication d'al-Nawawî.
- "Sahîh al-Tirmithî" : tome V, p. 30, hadith 3258 ; tome V, p. 328, hadith 3875, éd. Dâr al-Fikr ; tome II, pp. 209, 308, 319, éd. Bûlâq ; tome XIII, p. 200.
- "Musnad Ahmad ibn Hanbal", tome I, p. 330, éd. al-Maymanah, Egypte ; tome V, p. 25, éd. Dâr al-Ma'ârif, Egypte, avec une chaîne (Sanad) saine (Sahîh).
- "Al-Mustadrak 'alâ al-Sahîhayn" d'al-Hâkim, tome III, pp. 133, 146, 147, 158, et tome II, p. 416.
 
C'est pas les chiites qui s'auto flagelle ?,

vu toute les preuves que je viens de te trouver il est normale que tu sois sur la defensive

une minorité font apparemment lors de la commemorations du martyr de Hussein des coups de fouet dans le dos

ce n'est pas une pratique reconu par les Ayatollah en generale
 
Bonsoir Lynes.

J'ai lu attentivement les références que tu as posté.

La plupart d'ailleurs sont des références de Ahlou a-sunna wal aljamâ3a. ( preuve que les Sunnites n'amoindrissent en rien la haute valeur de l'imâm 'Ali et de sa descendance! :), que Allâh les agrée tous).

Cependant, peut on par simple déduction personelle prétendre que le Messager voulait dans le parchemin demandé mentionner 'Ali comme successeur ? tu m'accordera qu'il s'agit d'une simple supposition .

En outre, De même que le Messager de Allâh est la meilleure des créatures et le meilleur des prophètes, et pourtant il fut le dernier des prophètes et non le premier ( le premier étant Adam), de même ce n'est pas parce que 'Ali fut le quatrième et dernier calife ( parmi les califes ar-rashidîn j'entends) qu'il serait moins valeureux! loin de nous cette dégoutante pensée grâce à Allâh.

L'important n'est nullement l'ordre de succession.


Enfin, comme je te l'ai fait remarquer, l'imâm 'Ali LUI MEME a rendu allégeance à Abu bakr , à 'Omar puis 'Othmân. Si cela avait été injuste pourquoi l'aurait il fait?
 
Le "Moustadrak Al-Hakem" n'est pas une souce sunnite ?

Le Messager d'Allah (sawa) a dit: «"Celui qui désire mener une vie comme la mienne et avoir une fin comme la mienne, et habiter le Paradis d'Allah planté par DIeu. Il doit suivre après moi Ali et ses partisans, se faire guider par ma progéniture qui a été créée de la même matière que la mienne. Dieu les a doté de ma pensée et de mon Savoir. Gare à ceux de ma communauté qui nient leurs qualités et leurs vertus, qui récusent de par eux mon lien. Dieu les prive de mon intercession» Moustadrak Al-Hakem: Volume 3 page 128


La succession de Ali a bien plus d'importance que tu ne le pense

Le dirigeant de la Oumma doit etre un homme capable de rendre de bon jugement autant d'un point e vue sociale religieux ou politique

Le verset de la purification que je t'ai cité nous montre que Muhammad Ali Fatima Hassan et Hussein ont ete purifié de toute souillure

Quel est le sens de cette action accompli par Notre Saint Prophète ?
 
La calamité du Jeudi n'est pas une supposition quant a son deroulement voici les sources sunnites

Obeydollah ibn 'Abdullah ibn 'Atabeh rapporte qu'Ibn Abbas a dit :"La journée du jeudi! et quel jeudi!"évoquant le jour de la mort du Prophète. Le plus grand malheur arriva aux musulmans, quand la dispute entre certains compagnons - dont Omar ibn al-Khattab qui voulait suggérer que l'Envoyé de Dieu était en train de divaguer - empêcha le Saint Prophète d'écrire son dernier testament.

Références : Tabaqât d'ibn Sa'd - tome 2, page 242. Musnad d'ibn Hanbal - tome 1, page 336. Sahih de Muslim - tome 2, page 95.

De nombreux traditionnistes et historiens sunnites ont rapporté cette paroles du deuxième calife : " L'Envoyé de Dieu divague."

Références : Muslim - Sahih, tome 3 chapître du testament, page 1259. Boukhari - Sahih tome 4 page 5.

"Que l'on m'amene de l'encre et une omoplate afin que je vous écrive ce par quoi vous ne serez jamais égarés après ma mort." Ahmad ibn Hanbal- Al Musnad, tome 1. page 344. Ibn Sa'ad - Tabbaqat tome 2, page 242. Boukhari - Sahih, tome 1, page 22. Tabari - Tarikh, tome 2 page 436.


Il choisit de désigner ALI la troisième année de sa mission prophétique, puisqu'il avait reçu l'ordre de prêcher d'abord aux membres de sa famille en premier :


Ce jour-là, le PROPHETE dit :

"O enfants de Abdul-Muttalib, j'en jure par Dieu, je ne connais aucun homme d'âge mûr parmi les arabes qui soit venu à son peuple avec quelque chose de meilleur que ce que je vous apporte. Je vous apporte le meilleur de ce monde et de l'Au-Delà. Dieu m'a ordonné de vous appeler à Lui. Qui donc parmi vous serait prêt à me soutenir dans cette mission et qui en contrepartie, deviendrait mon frère, mon légataire testamentaire, et mon lieutenant parmi vous ? "

Alirépondit : "Moi! O Prophète de Dieu, je serais ton soutien dans cette mission."
Le Prophète prit Ali par l'épaule et dit : " Celui-ci est certes mon frère, mon héritier, mon successeur parmi vous. Ecoutez-le et obéissez-lui."

References sunnites : ibn hanbal : Musnad tome 1, page 111 et 159. ibn al athir : kâmel tome 2, page 22. aboul-fidâ : târikh tome 1, page 119.


«Ibn 'Asâkir rapporte le témoignage suivant de Mohammad Fils de Sa'd Abî Waqqâç: «Lorsque j'ai demandé à mon père: "Est-ce que Abû Bakr (al-Çiddîq) fut le premier d'entre vous à embrasser la foi (musulmane)?». Il répondit: "Non, car il y avait plus de cinq personnes qui s'étaient converties avant lui, mais il était le meilleur d'entre nous en Islam"». Al-Tabarî

Ibn Kathîr dit: «Il est clair que la famille de Mohammad - sa femme Khadîjah, son esclave affranchi, Zayd et la femme de celui-ci, Om Aymân, 'Alî et Waraqah - crut en lui avant tous autres». Ibn Athîr, Ibn Khaldûn.

Salim Ibn Abî Ja'd, cité par Ibn Abî Chayhab et Ibn 'Asâkir, dit: «J'ai demandé à Mohammad Ibn Hanîfah: "Abû Bakr fut-il la première personne à embrasser l'Islam?". Il a répondu: "Non". ». "Al-'Aqd al-Farîd"; "Mujrûj al-Thahab"; "Kanz al-'Ummâ".

Ibn 'Abd al-Bar, un savant de l'Ecole Malikite, rapporte que lorsqu'on a demandé à Mohammad Ibn Ka'b al-Qartdhi, qui de 'Alî ou d'Abû Bakr fut le premier à embrasser l'Islam, il répondit que c'était certainement 'Alî, ajoutant que quelques autres compagnons éminents du Prophète - tels que Salmân al-Farçî, Abû Thar, al-Miqdâd, Khabab, Jâbir, Abû Sa'îd al-Khudri, Zayd Ibn Arqam - avaient eux aussi affirmé que 'Alî fut le premier parmi les hommes à embrasser l'Islam, et qu'ils l'exaltent et le préfèrent à tous les autres Musulmans. "Rawdhat al-Ahbâb"; "Ibn aakhaldûn"; "A'tham al-Kûfî".


Tous ca vient de TES livres

comment explique tu autant d'incoherence entre ce que tu preche et tes livres ?

encore une chose comment expliqu tu que Ton tachaoud se termine avec la Salam sur Muhammad et sa famille ?
 
La calamité du Jeudi n'est pas une supposition quant a son deroulement voici les sources sunnites

Obeydollah ibn 'Abdullah ibn 'Atabeh rapporte qu'Ibn Abbas a dit :"La journée du jeudi! et quel jeudi!"évoquant le jour de la mort du Prophète. Le plus grand malheur arriva aux musulmans, quand la dispute entre certains compagnons - dont Omar ibn al-Khattab qui voulait suggérer que l'Envoyé de Dieu était en train de divaguer - empêcha le Saint Prophète d'écrire son dernier testament.

Références : Tabaqât d'ibn Sa'd - tome 2, page 242. Musnad d'ibn Hanbal - tome 1, page 336. Sahih de Muslim - tome 2, page 95.

Peut etre me dira tu que l'on herite pas d'un Prophète d'ou inutilité de son testament mais d'autres Prophète avant lui n'ont il pas herité ?
 
bonjour Lynes.

J'espère que le débat pourra se poursuivre intelligemment et sans passion déplacée inchaallâh.


Plusieurs remarques:

1) Tout ce que tu postes n'est nullement ignoré par ceux qui ont un minimum de science et n'est nullement contesté!

2) Personne NE remet en cause les références SUNNITES que tu as citées! donc tu mets en avant un FAUT débat qui n'existe pas! et qu'est ce qui te fait dire qu'on ne les prends pas en considération?!

2) Il s'agit généralement de hadîths et paroles qui mentionnent soit : que Ali fut le premier à se convertir en tant qu' enfant , soit que 'Ali est le bien aimé du Messager...

Je précise juste que Abû bakr est le premier à s'etre convertir en tant qu'adulte, tout comme khadîja est la première à s'être convertie en tant que femme!...où est la pertinence de citer cela pour dire que c'est 'Ali qui devait être le successeur? )

De telles informations nous importent plus pour mieux connaitre l'histoire des hommes qui ont contribué solidement à propager la religion islamique!

3) oui dans le "tashahhoud" on cite la famille du Messager. Ils ont l'avantage incontesté de porter le sang de la meilleure des créatures dans leur veines. Est ce une preuve que c'est 'Ali qui devait succéder à Abû Bakr?
Encore une fois de même que le Messager est la meilleure des créatures et qu'il fut pourtant le dernier prophète, de même le fait que 'Ali ne soit pas le successeur immédiat du Messager, cela ne fait pas de lui un compagnon de moindre valeur que les autres!



Maintenant à moi:

1) pourquoi 'Ali n'a t il pas contesté le califat de Abu bakr, 'Omar et 'Othmân? pourquoi leur a -t -il LUI MEME prêter allégeance, si cela n'était pas légitime? ne vous vous trouvez pas plus royaliste que le roi?

2) Tu connais certainement le hadîth sahîh des dix compagnons à qui Allâh a promis le Paradis, le Messager à commencer par qui et dans quel ordre?...il a commencé par Abû bakr, puis 'Omar, puis 'Othmân PUIS 'Ali, etc.


Tu m'accorderas que c'est EXACTEMENT l'ordre du règne des quatres califes biens guidés que Allâh les agrées !
 
tu ne comprends pas tout ce que cela implique

Lors de l’agonie du Prophète , le Prophète a souhaité laissé une trace :

Il a voulu, à cet ultime instant, écrire son testament à ‘Ali (P) pour confirmer ses promesses verbales. Il dit : « Apportez-moi de quoi vous écrire quelque chose qui vous empêcherait de vous égarer à jamais. » Ils se sont disputés alors qu’il faut éviter de le faire devant le Prophète (p), ils ont dit : le Messager d’Allah délire (Rapporté en ces termes par Mohammad b. Ismâ’îl al-Bukhâri dans son Sahih P118 du vol.II, rapporté par Muslim et par Ibn Hanbal) (yahjur, en arabe) – que cela déplaise à Dieu.

Alors même que Allah dit dans le Saint Coran que le Prophète (P) ne délire jamais et que tout ce qu’il dit est fondé et doté de sens

Il a alors compris, suite à cette parole, qu’il ne resterait trace de cette écriture que la sédition. Il leur ordonna : « levez-vous ». On peut se demander si ces compagnons se rappelaient en ce moment-là ce verset du Saint Coran :

«Ô vous qui avez cru ! N’élevez pas vos voix au-dessus de la voix du Prophète, et ne haussez pas le ton en lui parlant, comme vous le haussez les uns avec les autres, sinon vos œuvres deviendraient vaines sans que vous vous en rendiez compte.» (Les Appartements, 49 : 2)


sa communauté le Prophète (P) a plusieurs fois recommandé de s’accrocher aux deux poids : le Livre de Dieu et la Sainte Descendance du Prophète (P). Rappelons à ce sujet le Hadithul thaqaleyni :
« Je vous lègue deux poids: le premier c’est le Livre de Dieu dans lequel sont votre Guidance et votre Lumière. Puisez dans ce Livre et accrochez-vous à ce Livre et à ma descendance (Ahloul-Bayt), ma descendance, ma descendance. ». D’après Sahih Muslim de Muslim, Tome II à la page 238.


Qui s'est disputé devant le Prophète ?

Dapres le Shahih de muslim il est clairement dit "sa descendance, sa descendance, sa descendance" Pourquoi ?
 
La maladie du Prophète (P) débuta dans le mois de çafar de l’an 12 après l’Hégire
Le lundi qui précéda sa mort, le Prophète fit installer un camp à Jorf à cinq kilomètres de Médine sur la route qui mène vers la Syrie. Il avait nommé à la tête de cette expédition un jeune homme âgé d’environ dix huit ans du nom de Oussama, fils de Zaid.

Zaid était un ancien esclave de Khadija (RA) qui l’avait donné au Prophète (P). Ce dernier l’avait affranchi par la suite et éduqué comme son fils. Il l’avait nommé pour commander l’expédition qui défendit le drapeau de l’Islam à Môu’tâh – derrière Ja’far Ibn Abi Taleb (RA) et devant Abdallah Ibn Rawahata. Al Harîth b. ‘Umar avait été envoyé par le Prophète auprès du Roi de Basra. Il fut intercepté par le chef des romains, Char’habil Ibn ‘Umar qui, après avoir lu la lettre du Prophète (p), le fit exécuter.
Le Prophète fit partir une armée de 3 000 personnes pour aller s’enquérir des raisons pour lesquelles son messager avait été tué. La délégation fut attaquée et en grande partie massacrée à son tour par l’ennemi, les chefs de guerre en premier; et les hypocrites médirent sur la décision du Prophète d’avoir choisi Zaid.
C’est le fils de ce valeureux chef de guerre que le Prophète (P) avait désigné pour «chercher le sang» de son père et de tous ceux qui furent martyrs de Môu’tâh, comme le disent les arabes. Certains compagnons refusèrent d’exécuter l’ordre du Prophète (P), contestant la désignation à la tête de l’expédition d’un ancien fils d’esclave, trop jeune et certainement inexpérimenté à leurs yeux pour les commander.
Le jeudi suivant le Prophète (P) se décida à parler à son peuple de façon définitive à propos de l’expédition de Oussama. En effet, les rumeurs de la contestation de son choix de Oussama et du refus de certains de partir à Jorf qui s’en est suivi, étaient parvenues au Prophète (P). Bien que très malade, il tenait à leur communiquer ce message car l’effet de surprise était capital pour la réussite de cette opération comme il l’avait déjà précédemment évoqué. Il se fit aider dans son déplacement par deux hommes : Abbas b. Abdel Muttaleb et l’Imam ‘Ali (P). Ce fut par ailleurs le même ‘Ali (P) et son cousin Fadhl Ibn Abbâs qui l’aidèrent encore à se déplacer lorsque, sur la demande de ses proches, ses femmes se mirent d’accord pour qu’il n’ait plus à se déplacer d’un appartement à l’autre vu l’état de sa santé. Ils l’emmenèrent alors de l’appartement de Maymounah, une mère des croyants, à l’appartement de Aïcha où il resta jusqu’à ce que son âme rejoignît le Tout-Puissant.
Ce jour-là donc, le Prophète (P) monta en chaire et prononça ce discours :

« Ô gens, j’ai appris ce que vous avez dit contre ma désignation de Oussama. Si vous avez récusé et injurié sa tutelle, vous l’avez fait auparavant en refusant la tutelle de son père. Et je jure par Dieu qu’il était digne d’être le chef comme son fils est digne de l’être. »

Il continua :

« Préparez promptement l’armée de Oussama. Qu’Allah maudisse ceux qui restent en arrière.»Il ne retenait que les membres de sa famille qui étaient restés autour de lui : les Ahlul Bayt. Ibn Khoutayba en témoigne dans son « Imamat wa Siassah ».

Malgré cela certains compagnons revinrent presque aussitôt partis, avertis qu’ils ont été que le Prophète (p) allait de moins en moins bien.
Le lundi du jour de sa mort, le Prophète (P) fit ses dernières recommandations aux femmes en leur rappelant ces versets du Coran :

« Ô femmes du Prophète, vous n’êtes pas comme de quelconques femmes. Si vous voulez vous comporter en piété, alors ne vous abaissez pas en parole, afin que ne vous convoite pas celui au cœur de qui est la maladie. Et tenez un langage décent.
Restez dans vos foyers; et ne vous exhibez pas à la manière des femmes d’avant l’Islam. Accomplissez la prière et acquittez l’aumône légale et obéissez à Allah et à son Messager.» (Les Coalisés, XXXIII-32 et 33)

Qui sont les hommes qui ont été envoyés en syrie ?
 
Au matin du lundi suivant vers midi, le Prophète de l’Islam (p) rejoignit son Grand Ami, le Seigneur des Mondes et Propriétaire des Ames.
La tristesse fut immense et la désolation terrible.
Dés que ‘Umar apprit la nouvelle il vint auprès du défunt, s’assura du décès du Prophète (p) puis se dirigea vers la cour pour crier :
« Le Prophète n’est pas mort, il est parti auprès de son Seigneur, comme l’avait fait avant lui Moûssâ, pour s’absenter pendant quarante jours. Il retournera parmi nous encore. » Brandissant son épée, il s’écria :
« Je couperai la tête de quiconque oserait dire que le Prophète est mort. »
C’est alors que Abu Bakr apparut, prit le temps d’écouter ‘Umar puis alla vérifier lui-même l’état du Prophète. Lorsqu’il ressortit de l’appartement, il interpella ‘Umar qui continuait à haranguer la foule. Celui-ci ne l’écouta pas. Il s’adressa alors directement à la foule :
« Avez-vous déjà oublié le verset coranique qui avait été révélé au Prophète après le jour d’Ohod ? Et ignorez-vous l’autre verset coranique révélé au Prophète :

«Tu vas sûrement mourir, (O Muhammad) et eux aussi vont mourir » (Les groupes, XXXIX – 30)

Et Abu Bakr de poursuivre :
« Que celui qui adore Muhammad sache que Muhammad est vraiment mort, mais que celui qui adore Dieu sache que Dieu est immortel : Il est vivant et ne meurt pas. »
Le premier verset dont parlait Abu Bakr était le suivant :

«Muhammad n’est qu’un Prophète; des Prophètes sont morts avant lui. Retourneriez-vous sur vos pas, s’il mourait ou s’il était tué ? » (La famille d’Imran, III – 144)

Pendant ce temps, l’Imam ‘Ali, s’occupait, à l’intérieur de la maison, à la préparation du lavage du corps du Prophète (p), en compagnie de Abbâs et de ses deux fils, Fadhl et Qutham, ainsi que d’Oussama et Saleh ou Charqân. Ils enveloppèrent le corps d’un tissu trouvé sur place pour ensuite laisser le soin à ‘Ali (P) de le laver.

‘Ali (P) s’acquitta de cette tâche et ils revêtirent le corps des vêtements dans lesquels il était mort avant de l’enrouler dans deux draps de tissu blanc. Au- dessus de tout cela fut posé un drap de tissu rayé du Yémen.
Puis vint le moment de la prière sur le corps. A la suite de l’Imam, les proches parents suivis par les Partisans et les Compagnons du Prophète (p) entrèrent tour à tour par groupes de dix personnes à la fois pour prier sur le corps.

Il ne restait plus que l’enterrement lorsqu’une discussion portant sur le lieu d’enterrement, s’engagea. ‘Ali (P) trancha la question en affirmant avoir entendu le Prophète lui-même dire que là où un Prophète meurt il doit être enterré.

Les deux fossoyeurs de Médine de l’époque, Abu Obaydah al-Jarrâh pour les Mecquois et Abu Talhah Zaid b. Sahel pour les Médinois, furent sollicités sur ordre de Abbas. Le premier étant absent, il appartint à Abu Talhah de creuser le tombeau du Prophète (P). L’enterrement eu lieu dans la nuit du mardi ou à l’aube du mercredi. L’Imam Ali (P) fut la dernière personne à quitter l’intérieur du tombeau qui fut ensuite, une fois la voûte (ou lahd) refermée, rempli d’une terre légèrement humidifiée.


Ou etais Abou Bakr et Omar pour faire le lavement sur notre Saint Prophète ?

N'est ce pas une priorité ?

Je vais repondre a ta question sur le calife
 
:)

tu réponds à mes questions par des questions...

j'avoue que la hadîth que tu rapportes sur les paroles de 'Omar que Allâh l'agrée, me dérange dans les termes de sa traduction. je souhaiterais si tu veux bien l'avoir dans sa vraie verssion en arabe.

je ferais des recherches sur ce point, car il ya quelque chose qui n'est pas tout à fait claire. car les sunnite sont les premiers à enseigner que tout ce que dit le Messager est vérité.

par ailleurs, tu parle de cet événement comme si le prophète savait décédé juste après.


OR il est connu que lorsque le Messager est décédé, omar n'éatit pâs présent, et que lorsqu'on lui a rapporté la nouvelle, il ne voulait pas y croire tellement il aimait le Messager.

je fais une recherche personnelle et on continuera inchaallâh.
 
Abû Bakr "Elu" à la Succession du Prophète

Les Ançâr ayant refusé de céder, la tension monta tellement qu'ils faillirent en venir aux coups(8) lorsqu'Abû Bakr intervint et leur demanda s'ils n'avaient pas entendu le Prophète dire que "personne d'autre qu'un Quraychite n'est apte à exercer l'autorité sur les Quraych".
Là, les Ançâr commencèrent à dire qu'ils préféreraient prêter allégeance à 'Alî,(9) le meilleur des Quraych. A ce moment critique 'Omar, perdant patience, s'écria: «Tends ta main, Ô Abû Bakr! Je te prêterai sûrement serment d'allégeance». Abû Bakr répondit: «Tu es plus ferme que moi», en le répétant. 'Omar, tenant alors la main d'Abû Bakr, dit(10): «Tu es plus convenable que moi, et tu as sûrement ma fermeté sans parler de tes autres mérites personnels. Je jure allégeance envers toi».

ou étais Ali ? entrain d'enterrer le Prophète

L'Attitude de 'Alî après l'Election d'Abû Bakr

Bien que le Califat fût effectivement détenu par Abû Bakr, il n'en restait pas moins un bon nombre de gens insatisfaits de cette élection. Ainsi, aucun Hâchimite n'avait été présent à Saqîah ni lors de la prestation du serment d'allégeance générale au Masjid.

Zobayr, Miqdâd, Salmân, Abû Thar al-Ghifârî, 'Ammâr Ibn Yâcir, Barra B. Azhab, Khâlid Ibn Sa'îd, Abû Ayyûb al-Ançârî, Khazimah B. Thâbit et bien d'autres, tout comme les Hâchimites, s'en tinrent à l'écart,(18) car étant d'avis que le droit à la succession du Prophète revenait exclusivement à 'Alî, ils ne voulurent pas rendre hommage à Abû Bakr.

'Alî était naturellement chagriné par le tournant qu'avaient pris les événements, mais il ne bougea pas. S'il avait eu recours aux armes pour s'opposer à ceux qui n'avaient jamais osé faire face aux héros des Infidèles, lesquels avaient été systématiquement vaincus par 'Alî, il les aurait certainement vaincus, comme en témoigne l'ensemble de sa vie de combattant mais une telle victoire aurait été obtenue au détriment de la Religion, laquelle n'aurait pas pu, dans ce stade précoce de sa vie, survivre à une guerre civile. C'est pourquoi il s'enferma, en s'armant de patience, chez lui, pour sauvegarder l'intérêt de l'Islam à l'établissement duquel il avait si longtemps contribué au risque de sa vie, et il concentra son attention sur la collection du Coran que d'aucuns pensent qu'il aurait écrit selon l'ordre de ses révélations.

Mohammad Ibn Sîrîn dit: «Si on pouvait tomber sur ce Livre-là, il aurait été très instructif». ("History of Califat", p. 188, tradu. ang. par M. Jarret d'al-Suyûtî, op. cit.)

Son silence est pour l'unité de la oumma

Qui est venu le chercher pour prendre le calif apres othman et pourquoi ?
 
'Alî Soumis à l'Humiliation

«Abû Bakr envoya 'Omar à la maison de Fâtimah où 'Alî et quelques-uns de ses amis s'étaient rassemblés, avec l'ordre de les obliger - par la force s'il le fallait - à venir lui prêter serment de fidélité. 'Omar allait mettre le feu à la maison lorsque Fâtimah lui demanda ce que cela signifiait. Il lui dit qu'il brûlerait certainement la maison s'ils n'acceptaient pas de faire ce que tout le monde avait fait».(20) ("History of Saracens", p. 83 de S. Ockley)

Connaissant le tempérament de 'Omar, les hommes sortirent de la maison. Il y avait là, 'Alî, 'Abbâs et Zubayr. S'adressant aux adversaires, 'Alî dit:

«Ô vous les Muhâjirîn! Vous avez revendiqué la succession du Prophète de Dieu en mettant en avant vos avantages sur les Ançâr, soit votre antériorité dans l'islam et votre lien de parenté avec le Messager de Dieu. Maintenant je mets en évidence les mêmes avantages que j'ai sur vous. Ne suis je pas le premier d avoir cru d la Mission du Prophète, et avant qu'aucun d'entre vous n'ait embrassé sa Religion? Ne suis je pas plus proche parent du Prophète que vous tous? Craignez Dieu si vous êtes de vrais Croyants, et n'arrachez pas l'autorité du Prophète de sa maison pour la faire vôtre».

Debout derrière la porte, Fâtimah s'adressa aux assaillants ainsi: «Ô gens! Vous avez laissé dernière vous et pour nous le corps du Prophète, et vous êtes partis pour extorquer le Califat à votre profit en abolissant nos droits». Puis elle éclata en sanglots et s'écria, plaintive: «Ô père! Ô Prophète de Dieu! Les ennuis s'abattent sur nous si vite après ta disparition, par la volonté du fils de Khattâb et du fils d'Abû Quhâfah! Comment ont-ils oublié si vite tes paroles de Ghadîr Khum et ton affirmation que 'Alî était à toi ce que fut Aaron à Mûsâ!».

Entendant les gémissements de Fâtimah, la plupart des gens du groupe de 'Omar ne purent retenir leurs larmes et rebroussèrent chemin. 'Alî fut cependant conduit chez Abû Bakr, où on lui demanda de prêter serment d'allégeance à ce dernier.

Il demanda: «Et si je ne lui rends pas hommage?» On lui répondit: «Par Allâh nous te tuerons si tu ne fais pas ce que les autres ont fait». Sur ce, 'Alî dit: «Comment! Allez-vous tuer un homme qui est serviteur du Seigneur et le frère du Prophète du Seigneur?». Entendant ces propos, 'Omar s'exclama: «Nous n'admettons pas que tu sois un frère du Prophète du Seigneur», et s'adressant à Abû Bakr qui avait gardé le silence jusqu'alors, il lui demanda de se prononcer sur son sort (de 'Alî). Mais Abû Bakr dit que tant que Fâtimah serait vivante, il ne contraindrait d'aucune manière son mari. 'Alî put ainsi repartir et il se dirigea directement à la tombe du Prophète où il s'écria: «Ô mon frère! Tes gens me traitent maintenant avec mépris et ont tendance à vouloir me tuer».

Fâtimah Réclame son Héritage

Fâtimah - la seule enfant survivante du Prophète, et sa fille très aimée - réclama son héritage de la propriété qui pouvait lui être lotie dans les terres de Médine et de Khaybar ainsi que de Fadak. Cette propriété faisant partie des terres acquises sans 1'usage de la force, son père (le Prophète) la lui avait donnée pour en vivre, et ce conformément aux commandements de Dieu (Sourate Banî Isrâ'îl, verset 26).

Mais Abû Bakr refusa d'admettre sa revendication, disant: «Mais le Prophète a dit: "Nous, le groupe des Prophètes, n'héritons pas ni ne laissons d'héritage; ce que nous laissons est pour l'aumône"».

Entendant cette affirmation attribuée au Prophète et contraire à la version du Coran, Fâtimah fut chagrinée et si mécontente d'Abû Bakr qu'elle ne lui adressera plus la parole le restant de sa vie. Et lorsqu'elle mourut, six mois après la disparition de son père, Abû Bakr ne fut pas autorisé, conformément à sa volonté, à assister à ses funérailles. Il est significatif de noter qu'Abû Bakr était le seul narrateur de l'affirmation attribuée ci-dessus au Prophète

«Abû Bakr était un homme de jugement et de sagesse dont la circonspection et l'adresse fleuraient parfois la ruse. Son dessein semble avoir été honnête et désintéressé, visant le bien de la cause, et guère son propre intérêt». (W. Irving)

«Abû No'aym, citant Abû Çâleh, écrit dans son "Holyah" que lorsque les gens du Yémen étaient venus écouter le Coran à l'époque d'Abû Bakr, ils se mirent à pleurer, et Abû Bakr dit: "Ainsi nous étions, mais par la suite nos curs se sont endurcis"». (M. Jarret, "History of Califat", op. cit.)



Les partisansde Ali ont toujours et sot toujours persecuté pour leur allegeance a Ali comme successeur

Et tous cela a commencé aprs la mort du Prophète

cela me fait penser a iblis qui sollicita la longévité jusqu'au jour de la résurrection pour égarer Adam et ses descendants.

Je t'avoue que c'est difficile 73 communauté qu'elle est la voie droite ......... Dieu seul le sait
 
Son silence est pour l'unité de la oumma
?

1) c'est qui a écrit ce récit?

2) je te fais juste remarquer au passage que si effectivement Ali, comme le prétend l'auteur de ce texte, n'avait pas remis en cause l'élection de abu bakr pour l'unité de la oumma, alors pourquoi ne s'est il pas manifesté après la mort de abu bakr, et ensuite après celle de 'omar, et ensuite après celle de 'othmân?...ça en fait trop.


la vérité est que les compagnons s'aimaient tous entre eux et de telles rivalités VILES ne leur effleuraient pas leur esprits pieux. n'oublions pas qu'ils sont les meilleurs croyants, lynes.
 
».

Malgré cela certains compagnons revinrent presque aussitôt partis, avertis qu’ils ont été que le Prophète (p) allait de moins en moins bien.

Qui sont les hommes qui ont été envoyés en syrie ?

tu n'a pas repondu a ma question

S'il sont revenu car le Prophète etait fortement malade pourquoi a sa mort il n'y etait pas pas puisqu'il etaient tellement pieux

Quand on est vraiment pieux on pense d'abord a la religion plutot qu'au pouvoir !!
 
tu n'a pas repondu a ma question

S'il sont revenu car le Prophète etait fortement malade pourquoi a sa mort il n'y etait pas pas puisqu'il etaient tellement pieux

Quand on est vraiment pieux on pense d'abord a la religion plutot qu'au pouvoir !!

-Soubhanallâh, que veux tu insinuer par là, que les compagnons du messager, qui étaient les plus fidèles , les plus dévoués, et à qui Allâh a promis le Paradis seraient des "arrivistes"?! Allâh aurait promis le Paradis des êtres viles comme vous voulez laisser croire! c'est graves Lynes de tels propos!

- Abû Bakr serait il un arriviste alors qu'il est cité dans le Coran?!

-'Omar serait il un arriviste alors que c'est le Messager, qui lui a fait un dou3a pour qu'il se convertisse tellement sa personnalité plaisait au Prophète, pour que l'Isâm soit "RENFORCE" ( telle est la parole du Messager ) par lui?!!!



S'ils sont revenus voir le Messager c'est leur amour pour lui qui les animaient, et leur peur qu'il meurt alors qu'ils seraient loin. Cela se conçoit parfaitement.

Ensuite conclure hâtivement que s'ils se sont précipité à mettre en place un calife, c'est qu'il seraient des gens qui "aimaient plus le pouvoir" est déplacé et même dégoutant.

Car au contraire les ennemis de l'Islâm n'attendaient qu'une chose c'est que le Messager décède pour affaiblir les musulmans et casser leur solidarité et semer le désordre et la fitna. Le fait qu'il aient élu un calife rapidement est un moyen de se prémunir de tels désordres dans la communauté, et de faire comprendre à ses ennemis que MEME après la mort du Messager, la communauté islamique est capable de s'organiser rapidement et de faire face aux dangers qui la guettait.

Par ailleurs le récit que tu rapporte se base sur quoi comme preuves pour prétendre de tels énormités???!tout y est subjectif et une série d'allégations. De plus il les rapporte avec tellement de prétendus détails ( même sur soit disant les psychologies des uns et des autres! )comme s'il était présent aux événements et comme s'il lisait dans leur pensées??!! c'est très romancé!


Je vais faire une recherche pour "au moins" tenter de trouver la version en arabe du hadîth que tu m'a rapporté , car je suis sur que la traduction est mal faite. 'Omar n'aurait jamis dit que le Messager " divaguait", car ce dernier est un terme péjoratif et rabaissant.


Déja à ce stade, je suis horrifiée de ce que les shiites croient aux sujet des compagnons. J'avoue que je ne savais pas qu'ils allaient aussi loin dans leur dénigrement...
 
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