tizniti
Soyons sérieux .
Le déni est le refus de prendre en charge certaines perceptions de la réalité : un fragment, éventuellement important, de la réalité, se voit totalement ignoré ; la personne qui dénie se comporte comme si cette réalité n'existait simplement pas, alors qu'elle la perçoit.
il semble que la communauté se soit repliée sur une « position par défaut » concernant l’extrémisme islamique violent. Les mêmes arguments réchauffés sont encore servis, ce qui démontre l’absence de volonté de reconnaître tant l’ampleur du problème que sa nature. La crainte de projeter une mauvaise image de la communauté ou de l’islam se traduit par un étrange silence sur les sujets qui reposent pourtant au cœur même du débat sur l’islamisme.
En gros, les arguments invoqués par la communauté musulmane consistent à blâmer des facteurs externes. En tête de liste se trouve la politique étrangère occidentale, particulièrement la question palestinienne, ainsi que l’invasion et l’occupation de l’Irak. Il y a ensuite des facteurs économiques et sociaux comme le manque d’éducation et le taux élevé de chômage dans la communauté musulmane – encore là attribués à des causes externes comme la discrimination raciale et religieuse.
En d’autres mots : ne nous blâmez pas, c’est entièrement la faute des autres. Nous sommes des victimes.
Un plus grand nombre de musulmans doivent réaliser que les terroristes islamiques ne sont pas seulement des individus dans l’erreur qui agissent seuls par caprice mais qu’il s’agit d’individus qui savent ce qu’ils font et qui agissent délibérément au nom de l’islam. Même si leur interprétation de l’islam est pervertie, ça demeure une interprétation de l’islam. Ce n’est pas suffisant de condamner leurs actions ou de les accuser de pervertir l’islam. Il faut faire quelque chose pour remédier à la situation.
il semble que la communauté se soit repliée sur une « position par défaut » concernant l’extrémisme islamique violent. Les mêmes arguments réchauffés sont encore servis, ce qui démontre l’absence de volonté de reconnaître tant l’ampleur du problème que sa nature. La crainte de projeter une mauvaise image de la communauté ou de l’islam se traduit par un étrange silence sur les sujets qui reposent pourtant au cœur même du débat sur l’islamisme.
En gros, les arguments invoqués par la communauté musulmane consistent à blâmer des facteurs externes. En tête de liste se trouve la politique étrangère occidentale, particulièrement la question palestinienne, ainsi que l’invasion et l’occupation de l’Irak. Il y a ensuite des facteurs économiques et sociaux comme le manque d’éducation et le taux élevé de chômage dans la communauté musulmane – encore là attribués à des causes externes comme la discrimination raciale et religieuse.
En d’autres mots : ne nous blâmez pas, c’est entièrement la faute des autres. Nous sommes des victimes.
Un plus grand nombre de musulmans doivent réaliser que les terroristes islamiques ne sont pas seulement des individus dans l’erreur qui agissent seuls par caprice mais qu’il s’agit d’individus qui savent ce qu’ils font et qui agissent délibérément au nom de l’islam. Même si leur interprétation de l’islam est pervertie, ça demeure une interprétation de l’islam. Ce n’est pas suffisant de condamner leurs actions ou de les accuser de pervertir l’islam. Il faut faire quelque chose pour remédier à la situation.