tizniti
Soyons sérieux .
Vivre une existence, faites de conflits perpétuels semble à la portée de tout un chacun. Mais cultiver le sentiment de malheur seul, dans son for intérieur, constitue un autre niveau de difficulté, accessible seulement aux experts.
Mais accéder à cette expertise, en se donnant les moyens de faire de sa propre vie un enfer et de soi-même son pire ennemi demande un passion apprentissage comme exiger de la personne aimée qu'elle partage tous vos goûts).
Autre manière efficace de compliquer sa relation avec autrui : lui proposer le choix entre deux possibilités, et lui reprocher systématiquement son choix.
Voici trois exercices. Primo, demander deux services successifs à quelqu’un et se plaindre qu’il ne se consacre pas assez à l’un d’eux ; et s’il s’en offusque, se plaindre de ses sautes d’humeur.
Ou bien, dire ou faire quelque chose à quelqu’un qu’il peut ou non interpréter comme un trait d’humour ; et, selon son attitude, lui reprocher de ne pas prendre au sérieux un sujet important ou de manquer d’humour. Ou encore, accuser son partenaire, quoi qu’il fasse, de vous manipuler. « Il s’agit donc d’une tactique qui, outre qu’elle permet à son utilisateur de faire sans cesse la preuve de son bon droit et de sa normalité, présente l’avantage d’assurer au couple le malheur maximum ».
S’obstiner dans son chagrin après une rupture amoureuse, et ce, contre l’avis de tous ses proches et alors même que l’on savait la relation désastreuse. Puis se lancer dans une relation identique avec un partenaire similaire.
Autre type d’attitude pernicieuse : le refus de tous les compromis ( Je suis fiere), sous couvert de loyauté avec soi-même. S’attacher à un adage ( Je tien bon ...Mieux vaut tenir que courir ,...etc.) et en faire sa règle de vie, jusqu’à parvenir à la conviction qu’il n’existe qu’un seul point de vue : le sien propre. Préférer considérer le monde tel qu’il devrait être plutôt que tel qu’il est et rejeter systématiquement les conseils d’autrui, même contre son intérêt.
Également propre à faire notre malheur : persister dans une attitude absurde et sans fondement, envers et contre tout. S'arc-bouter sur la conservation forcenée d’ajustements et de solutions qui peuvent avoir été bonnes autrefois, mais en ignorant le fait que toutes les situations changent avec le temps. Double effet à cet aveuglement : il rend la situation de plus en plus désespérée, et conduit à s’enfoncer dans le malheur.
L’ego (la représentation que j’ai de moi-même) est la résultante de l’interprétation que je me suis faite de mes expériences, de mon savoir. Cela ne reflète donc en rien ma valeur réelle, mais juste ma perception.
Considérons maintenant que je fusionne avec cette pensée : « J’ai toujours raison , je suis la meilleure, ...) . Même si j’ai confiance en moi et que mon humeur est bonne, je ne sais pas me remettre en question. Les relations avec les autres peuvent être tendues et aboutissent au conflit car je ne les écoute jamais. Je me sens donc incompris(e) et je suis en colère contre les autres. Cela me stresse et je souffre également.
S'accrocher à l'idée qu'on a une meilleure éducation que les autres uniquement parcequ'on a faut des etudes, qu'on est plus intelligents que les autres, que c'est une chance pour une personne d'avoir le privilège de vous côtoyer.
Mais accéder à cette expertise, en se donnant les moyens de faire de sa propre vie un enfer et de soi-même son pire ennemi demande un passion apprentissage comme exiger de la personne aimée qu'elle partage tous vos goûts).
Autre manière efficace de compliquer sa relation avec autrui : lui proposer le choix entre deux possibilités, et lui reprocher systématiquement son choix.
Voici trois exercices. Primo, demander deux services successifs à quelqu’un et se plaindre qu’il ne se consacre pas assez à l’un d’eux ; et s’il s’en offusque, se plaindre de ses sautes d’humeur.
Ou bien, dire ou faire quelque chose à quelqu’un qu’il peut ou non interpréter comme un trait d’humour ; et, selon son attitude, lui reprocher de ne pas prendre au sérieux un sujet important ou de manquer d’humour. Ou encore, accuser son partenaire, quoi qu’il fasse, de vous manipuler. « Il s’agit donc d’une tactique qui, outre qu’elle permet à son utilisateur de faire sans cesse la preuve de son bon droit et de sa normalité, présente l’avantage d’assurer au couple le malheur maximum ».
S’obstiner dans son chagrin après une rupture amoureuse, et ce, contre l’avis de tous ses proches et alors même que l’on savait la relation désastreuse. Puis se lancer dans une relation identique avec un partenaire similaire.
Autre type d’attitude pernicieuse : le refus de tous les compromis ( Je suis fiere), sous couvert de loyauté avec soi-même. S’attacher à un adage ( Je tien bon ...Mieux vaut tenir que courir ,...etc.) et en faire sa règle de vie, jusqu’à parvenir à la conviction qu’il n’existe qu’un seul point de vue : le sien propre. Préférer considérer le monde tel qu’il devrait être plutôt que tel qu’il est et rejeter systématiquement les conseils d’autrui, même contre son intérêt.
Également propre à faire notre malheur : persister dans une attitude absurde et sans fondement, envers et contre tout. S'arc-bouter sur la conservation forcenée d’ajustements et de solutions qui peuvent avoir été bonnes autrefois, mais en ignorant le fait que toutes les situations changent avec le temps. Double effet à cet aveuglement : il rend la situation de plus en plus désespérée, et conduit à s’enfoncer dans le malheur.
Avoir une haute estime de soi ne rend pas forcément heureux.
Voici pourquoi : c'est plutôt le fait de fusionner rigidement avec des pensées concernant son ego hypertrophié qui entraîne la souffrance.L’ego (la représentation que j’ai de moi-même) est la résultante de l’interprétation que je me suis faite de mes expériences, de mon savoir. Cela ne reflète donc en rien ma valeur réelle, mais juste ma perception.
Considérons maintenant que je fusionne avec cette pensée : « J’ai toujours raison , je suis la meilleure, ...) . Même si j’ai confiance en moi et que mon humeur est bonne, je ne sais pas me remettre en question. Les relations avec les autres peuvent être tendues et aboutissent au conflit car je ne les écoute jamais. Je me sens donc incompris(e) et je suis en colère contre les autres. Cela me stresse et je souffre également.
S'accrocher à l'idée qu'on a une meilleure éducation que les autres uniquement parcequ'on a faut des etudes, qu'on est plus intelligents que les autres, que c'est une chance pour une personne d'avoir le privilège de vous côtoyer.