Petite anecdote ... Bon, bien en dehors des tribunaux correctionnels qui sont devenus comme des allées de supermarchés pour les délinquants de quartiers majoritairement maghrébins.
Même les Marocains du Maroc, quand ils viennent ici, ils hallucinent du comportement de certains Maghrébins que les Français appellent pudiquement les wesh wesh ou les zyva pour ne pas sombrer dans le racisme anti maghrébin.
Fin des années 80, dans un quarter populaire français qq part dans l'est de la France. Six barres de batiments dont le plus ancien date de 1963. Pour cause, tous ces batiments ont été construits à la va vite par les Maghrébins eux mêmes avec qq Portugais et Italiens. La plus grande barre est la plus grande de la région. Ici, résident des Français pure souche, militaires détachés, des Polonais, des Turcs, des Maghrébins.
Le quartier est propre, il y a de la verdure, des espaces verts et des enclos avec des roses, des buissons, des infrastrructure datant des années 70. Deux barres sont occupées par des Maghrébins. Deux autres par des Turcs et deux par des Français et des Polonais en plus de qq italiens.
Ce n'est pas le seul quartier populaire de la ville. Il y en a d'autres dont la majorité travaille dans les usines de la régions. Les Maghrébins eux travaillent majoritairement dans le batiment, les travaux publics et tous les matins, les camionnettes défilaient pour déposer une main d'oeuvre pas cher.
10 ans passent. Les premières emeutent éclatent à Vaux en Velins. 10 ans passent encore, Strasbourg, ville dont les quartiers sont majoritairement habités par des Marocains de l'Oriental et qq Algériens, flambent à la St Sylvestre ouvrant désormais une tradition connue tous les Nouvel Ans, le cramage de voiture des riverains ou de véhicules volés en Allemagne. La mairie est pourtant tenue par une fidèle de Miterrand, Catherine Trautmann qui est partie jusqu'à organiser des concerts quasiment gratuits pour ces quartiers. En plein concert, cramage de voitures, voie de faits et abandon de l'idée.
Retour dans le petit quartier de 6 barres. A mesure que les années passent, le batiment occupé par des Français se vide. Ces derniers se portent propriétaires, louent en ville. Alors qu'en arrivant les batiments étaient restés quasiment à l'identique de ce qu'ils étaient à la fin des années 60, des écriteaux datant de la construction tronaient encore, au bout de deux ans, après l'arrivée des Maghrébins, ces mêmes écriteaux sont saccagés. Les boites aux lettres, systématiquement tagguées ou rayées et les bas de couloirs envahis par les odeurs nauséabondes des jeunes qui préfèrent y faire leur besoin pendant que d'autres grillent des joints à longueur de journée et tard le soir après des soirées om ils auront réservés une table avec J&B fièrement. Sans compter les incessants allers retours des mobilettes, des quad désormais, des deux roues conduites sans casques et des installations récréatives brulées systématiquement de même que l'école primaire pourtant en ZEP dont les vitres sont cassées tous les ans.
Après 20 ans, plus un Français sur les photos de classe. Que des Arabes et des Turcs avec qq gitans que l'on essaye de sédentariser.
Ca, c'est la triste réalité de bcp de quartiers en France. Quartiers dotés d'associations qui sont svt gérées par des cas sociaux repris de justice qui n'ont aucune fibre sociale et qui cherchent avant tout l'appat du gain.
Mais tout ça n'est pas culturel voyons. C'est le résultat de la crise sociale que travers la France. Une crise bizarrement digérée par les Maghrébins dont certains font leur beurs en crachant sur la France dans des clips de rap avec deux samples et des nique les Gaulois par ci par là.
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