Le sulfureux extrait de much loved, dernier film de nabil ayouch

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Scoco
  • Date de début Date de début
On parlait de Kesh mais si tu veux parler de la France c'est beaucoup plus ouvert "exotiquement" que ça la prostitution malheureusement et ne parlons pas du porno de la blonde on est passée à la brune orientale pour petit blanc ou gros noir à vomir n'est ce pas? j'aimerais que tout soit éradiqué d'ailleurs mais les Etats n'ont aucune volonté d'éradiquer tout ça, c'est du business et le business c'est de l'argent, faut bien s'engraisser sur le dos des femmes hein!

les blackettes et roumaines ont le monopole en france
elles sont connus que pour ça
 
justement tu parles du mien je m'arroge le droit de te renvoyer la pareille non?

évite les films salaces tu deviens tout bizarre...

bonne journée mon petit

Relis ma phrase, j'ai pas parlé de ton cu.l donc ne parle pas du mien. :D

Krkrkrkrkrkr! Bonne journée! :D
 
j'ai pas dis que c'était méchant...mais bon déjà commencer à parler de couleur de peau et faire une image avec un luc c'est pas très rigolo en fait...;)
Salam tu n'as jamais entendu cette expression mdr c'est une "image" rien de "méchant"

:cool:
 
ok j'ai mal lu quand tu as parlé de couleur de peau et faire une image avec un luc :cool:

bon tu n'as pas ri passons

moi oui :p car je l'ai souvent entendue cette expression
C'est une collègue blanche comme un luc de l’Alsace qui me l'a appris, elle nous a dit un jour " moi je suis blanche comme un luc d'origine" J'ai trouvé l'expression spéciale ! :D
 
Salam

c'est mon grand père qui le disait;aussi sur le ton de la plaisanterie :D


C'est une collègue blanche comme un luc de l’Alsace qui me l'a appris, elle nous a dit un jour " moi je suis blanche comme un luc d'origine" J'ai trouvé l'expression spéciale ! :D
 
L’association marocaine de défense du citoyen a déposé plainte contre Nabil Ayouch pour son film Much loved.

En réaction à la publication d’extraits du film Much loved du réalisateur Nabil Ayouch, l’association marocaine de défense du citoyen (AMDC) a déposé jeudi une plainte « à la fois contre Nabil Ayouch, Loubna Abidar [actrice principale du film] et tous ceux qui ont contribué au film » (sic). Le film, qui n’est pas encore sorti en salles, « nuit directement à Marrakech et à ses femmes et, plus généralement, au Maroc et à ses femmes aussi », assure son président Moustapha Hassnaoui, contacté par Telquel.ma. Le responsable associatif se dit persuadé « que le film sera condamné. La seule question qui se pose concerne la fermeté de la sanction ».

Incitation à la prostitution ?

Le responsable associatif, qui assure avoir visionné le film, ne nie pas « que la prostitution existe dans la réalité ». Il estime néanmoins que la réalité « est, parfois, pire que ce qui est présenté dans le film [qui] incite les jeunes filles et les enfants à gagner de l’argent en se prostituant ».

La dimension artistique du film semble échapper à Moustapha Hassnaoui, qui estime que Much Loved « n’est pas du cinéma et n’est pas représentatif de l’art ».

Un film sans financement public du Maroc

Pour l’avocat Youssef Chehbi, la plainte n’a aucune chance d’aboutir. « Pour déposer plainte, il faut que les intérêts de l’association aient été atteints. Le procureur a transmis le dossier pour enquête car c’est la procédure, mais j’espère qu’il le classera sans suite ». Une enquête a effectivement été ouverte à l’encontre du réalisateur et de l’actrice principale du film, Loubna Abidar. Il est a rappelé que la demande d’autorisation de diffuser le film au Maroc n’a pas encore été lancée.

Les articles du Code pénal sur lesquels l’association se fonde, les articles 483, 289, 490, 502 et 503-2, traitent de mœurs, de pédopornographie et de relations sexuelles hors mariage. Mais Moustapha Hassnaoui va plus loin en rappelant que Nabil Ayouch n’a pas obtenu de financement du royaume pour la production de son film : « Je me demande si ce ne sont pas les sionistes qui sont derrière tout ça pour semer la zizanie dans le pays ».

Telquel
 
L’association marocaine de défense du citoyen a déposé plainte contre Nabil Ayouch pour son film Much loved.

En réaction à la publication d’extraits du film Much loved du réalisateur Nabil Ayouch, l’association marocaine de défense du citoyen (AMDC) a déposé jeudi une plainte « à la fois contre Nabil Ayouch, Loubna Abidar [actrice principale du film] et tous ceux qui ont contribué au film » (sic). Le film, qui n’est pas encore sorti en salles, « nuit directement à Marrakech et à ses femmes et, plus généralement, au Maroc et à ses femmes aussi », assure son président Moustapha Hassnaoui, contacté par Telquel.ma. Le responsable associatif se dit persuadé « que le film sera condamné. La seule question qui se pose concerne la fermeté de la sanction ».

Incitation à la prostitution ?

Le responsable associatif, qui assure avoir visionné le film, ne nie pas « que la prostitution existe dans la réalité ». Il estime néanmoins que la réalité « est, parfois, pire que ce qui est présenté dans le film [qui] incite les jeunes filles et les enfants à gagner de l’argent en se prostituant ».

La dimension artistique du film semble échapper à Moustapha Hassnaoui, qui estime que Much Loved « n’est pas du cinéma et n’est pas représentatif de l’art ».

Un film sans financement public du Maroc

Pour l’avocat Youssef Chehbi, la plainte n’a aucune chance d’aboutir. « Pour déposer plainte, il faut que les intérêts de l’association aient été atteints. Le procureur a transmis le dossier pour enquête car c’est la procédure, mais j’espère qu’il le classera sans suite ». Une enquête a effectivement été ouverte à l’encontre du réalisateur et de l’actrice principale du film, Loubna Abidar. Il est a rappelé que la demande d’autorisation de diffuser le film au Maroc n’a pas encore été lancée.

Les articles du Code pénal sur lesquels l’association se fonde, les articles 483, 289, 490, 502 et 503-2, traitent de mœurs, de pédopornographie et de relations sexuelles hors mariage. Mais Moustapha Hassnaoui va plus loin en rappelant que Nabil Ayouch n’a pas obtenu de financement du royaume pour la production de son film : « Je me demande si ce ne sont pas les sionistes qui sont derrière tout ça pour semer la zizanie dans le pays ».

Telquel


Pour moi, c'est pas une lutte c'est la promotion de la prostitution. J'imagine que le spectateur lambda aura envie d'aller à Marrakech voir ça de ses propres yeux.

Cadre féerique, prostituées jolies et gentilles, pas coincées, pas trop prise de tête, bonne bouffe, bonne ambiance (d'après les extraits).

Apparemment Loubna n'est qu'une actrice, je pensais qu'elle faisait partie des vraies prostituées qui sont présentes dans le film.

J'irai pas le voir personnellement, d'après les extraits les dialogues en arabe sont trop vulgaires.
 
Tout à fait apparemment d'après vos commentaires sur ce film et sur FB c'est une très mauvaise façon d'aborder le problème du tourisme sexuel à Kesh et surtout de la pédophilie qui est le plus grave, faut pas rameuter les pervers dans tous les cas mais sévir! ça fait un peu pub' pour voyages low cost...

Pour moi, c'est pas une lutte c'est la promotion de la prostitution. J'imagine que le spectateur lambda aura envie d'aller à Marrakech voir ça de ses propres yeux.

Cadre féerique, prostituées jolies et gentilles, pas coincées, pas trop prise de tête, bonne bouffe, bonne ambiance (d'après les extraits).

Apparemment Loubna n'est qu'une actrice, je pensais qu'elle faisait partie des vraies prostituées qui sont présentes dans le film.

J'irai pas le voir personnellement, d'après les extraits les dialogues en arabe sont trop vulgaires.
 
marche da la chabiba isti9laliya et des scouts marocains .

A la fin des chants patriotiques ...

Mais ou sont les barbus , les taba3marant (anti langue arabe ) ou sont les feministes les associations à deux balles ....
 
Retour
Haut