Sourate 53 : L'étoile
19. Que vous en semble [des divinités] Lat et Uzza,
20. ainsi que Manat, cette troisième autre ?
21. Sera-ce à vous le garçon et à Lui la fille ?
22. Que voilà donc un partage injuste !
Dieu marque sa préférence aux garçons sur les filles ?
Qu'en pensez vous ?
Salam Aleykoum
Déjà il est absolument interdit de spéculer sur Allah, et le Prophète.Ta question est déjà haram pour commencer.
Ensuite je vois pas le rapport entre l'extrait posté du Coran, et ta question pour commencer. Absolument aucun.
Et bien au contraire, il y a total égalité métaphysique en Islam comme le prouve ce verset:
«*Les musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes, obéissants et obéissantes, ceux et celles qui sont véridiques, patients et patientes, ceux et celles qui sont humbles, ceux et celles qui pratiquent la charité, ceux et celles qui jeûnent, ceux et celles qui gardent leur chasteté, ceux et celles qui invoquent souvent Dieu, pour tous ceux-là et celles-là, Dieu a préparé un pardon et une récompense énorme.*» (Coran 33:35)
Ensuite le Prophète précise:
Le Messager dAllah dit : « Soyez équitables dans la distribution de dons entre vos enfants. Si je devais avoir une préférence envers une partie dentre eux, ce serait envers les filles. »
Cité dans la revue Risâlat al-Thaqalayn, Qom, juillet 1999, No. 29, p. 219
Le Messager dAllah , cité par Huthayfah al-Yamânî, dit :
« Les meilleurs de vos enfants sont vos filles.»
Makârimal-Akhlâq, op. cit., 8e Partie, Chap. 6, p. 219.
Le Messager dAllah , cité par Ibn Abbas , dit : « Quiconque entre dans un marché, y achète un cadeau et lapporte à sa famille aura la récompense de quelquun qui apporterait une aumône à des nécessiteux. Quil commence par les filles avant les garçons (dans lachat et la distribution des cadeaux), car celui qui les réjouit aura agi comme sil venait à affranchir lun des fils dIsmâîl. Dautre part celui qui réjouit son fils, aurait agi comme sil avait pleuré par crainte dAllah, or quiconque pleure par crainte dAllah, Allah le fera entrer dans les Jardins du Délice ».
Makârim al-Akhlâq, op. cit., p. 221