le Coran ne parle pas ni de mohamed, ni de ses compagnons !
d'ailleurs si c'était des bons ! ils ne seraient si ignorant du coran !
ce n'est pas qu'ils ne le comprennait pas , c'sst qu'ils ont tout fait pour que plus personne ne comprenne le coran et ne sache ou se trouve tout ce qui est cité dans le Coran !
et c'est eux qui se nomme les califes , c'est a dire les representant d'Allah ??
ou encore les imam , c'est a dire les guides?? au lieu de dire ou se trouve la vile de loth, le royaume de salomon l'arche de noé etc...ils te disent que c'est pas important pour les musulmans !
un truc simple , prouve la mecque d'arabie saoudite avant 600 et depuis Abraham !
Allah parle des omar, othman, paul, esdras et cie dans le Coran !
c'est le parfait exemple des kafirunes , c'est a dire les effaceurs !
demande leur des preuves et il disparaissent de ta vue comme par magie !
Nicky je vois que tu es plus proche de la vérité sur le contexte historique de l'Islam (et pas mal d'autres choses) et j'ai eu l'occasion de lire pas mal de débat sur bladi et je constate que tu es "déconnecté" comme moi (de la matrice, du systême mis en place pour que l'on reste esclave, que se soit dans le domaine religieux, politiques,etc.). Toujours se remettre en question c'est la clé pour trouver la vérité, faut pas juste suivre le troupeau de mouton pour connaitre le monothéisme.
Allah nous parle des Signes dans le Coran, mais il faut percevoir les VRAIS signes
A bon entendeur salut
Cette expression qui date du XVIIe siècle est en général une menace, un avertissement plus ou moins voilé.
Qu'est-ce que ce mot 'entendeur' ?
Celui qui mange n'est-il pas un mangeur, celui qui marche un marcheur et celui qui râle un râleur ? Eh bien un 'entendeur', mot qui n'est plus maintenant employé que dans cette expression, c'est quelqu'un qui entend.
Mais ici, le verbe 'entendre' doit être compris comme il était aussi employé autrefois pour signifier 'comprendre', comme dans les anciennes locutions "entendre à demi-mot" ou "entendre la plaisanterie".
Quant au 'salut', il ne s'agit pas du tout d'une salutation, mais du fait d'échapper à un danger ou à une souffrance.
Autrement dit, "celui qui a bien compris trouvera son salut".
Cette expression pourrait être une allusion à la parole de l'Évangile "Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende" (Matthieu, XIII).