Les hommes fiers

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion lakahina67
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Des désirs de virilité aussi archaïques ne se font jour qu’occasionnellement. Par contre, un très grand nombre de femmes semblent incapables de parvenir à une pleine adaptation psychique au rôle sexuel qui leur échoit. Une troisième possibilité s’offre : l’homosexualité, du fait des dispositions bisexuelles qui sont communes à tous. Les femmes de ce type adopteront le rôle masculin dans les relations érotiques avec d’autres femmes. Elles aiment à faire état de leur virilité dans leur tenue vestimentaire, leur coiffure, leur façon de se présenter, etc.

Ces cas s’apparentent à ceux chez qui l’homosexualité ne parvient pas jusqu’à la conscience; le désir refoulé d’être un homme se rencontre ici sous une forme sublimée. Les intérêts masculin sont préférés et soulignés sur le plan intellectuel, professionnel ou autre. cependant, ces femmes ne renient pas consciemment leur féminité, elles ont au contraire l’habitude de proclamer que leurs intérêt ainsi cultivés n’ont rien de typiquement masculin, mais sont tout aussi bien féminins. Selon elles, l’appartenance d’un individu à l’un ou l’autre sexe n’a rien à faire avec ses capacités, dans le domaine de l’activité mentale. Ce type de femme est bien représenté dans le mouvement féministe actuel.

Si je n’ai fait que mentionner ces groupes, ce n’est pas que je fasse peu de cas de leur importance pratique. Mais ces deux types de femmes sont bien connus, ils ont fait l’objet d’études psychanalytiques assez nombreuses pour que je puisse me dispenser de m’étendre sur ce sujet, m’intéresser aux transformations névrotiques du complexe de castration, et en donner une description exacte, pour certains une description princeps, afin de les comprendre dans une optique psychanalytique.
 
Tu n'as que 25 ans, c'est normal que tu cris encore a presque toutes les idioties qu'on t'apprend a l'ecole. 'Nous relevons aussi des fantasmes et des symptômes névrotiques'...Tiens, je crois qu'on parle de toi la.

Tu viens de t'inscrire et Kahina vient de quitter le forum
C'est le hasard des choses ou le meme pseudo?
Donc comme elle a dit une fourmiste ce pseudo ne doit etre qu'un garçon
Suspense!!!!!
 
Tu n'as que 25 ans, c'est normal que tu cris encore a presque toutes les idioties qu'on t'apprend a l'ecole. 'Nous relevons aussi des fantasmes et des symptômes névrotiques'...Tiens, je crois qu'on parle de toi la.

De koi tu parles ????
Je ne fais que citer une source que j'ai donne qqs pages avant !
Je n'ai pas donne mon avis la dessus !
Par contre tu reagis stupidement en t'en prenant a ma personne et ca je ne peux le permettre petite sotte
Je ne sais meme pas pour quelle raison tu reagis comme ca
Vas y dis nous ce qui te derange dans ce que j'ai cite ????
 
Les transformations névrotiques dues au complexe de castration chez la femme peuvent se diviser en deux groupes. Pour l’un, les phénomènes reposent sur l’aspiration intense, émotionnellement chargée mais inconsciente, à s’arroger le rôle masculin, soit sur le fantasme de possession d’un organe viril; pour l’autre, les manifestations expriment un refus inconscient du rôle féminin, et des souhaits refoulés de tirer vengeance de l’homme, plus favorisé. Il n’existe pas de délimitation nette entre ces deux groupes. Leurs expressions ne s’ excluent pas chez un même individu ; elles sont complémentaires. Cependant, la prédominance de telle ou telle attitude se traduit souvent clairement, ce qui nous permet de distinguer, selon que l’une prime sur l’autre, le type de l’accomplissement du désir, et le type de la vengeance.

Nous savons qu’en dehors de l’issue normale du complexe de castration chez la femme, il existe deux formes anormales de réaction consciente : le type homosexuel et la type archaïque (de vengeance). Qu’il nous suffise de rappeler les liens entre perversion et névrose que Freud a rendus clairs et familiers, et nous pourrons envisager nos deux types névrotiques sous l’angle de leur psychogenèse. Ils représentent le " négatif " des types homosexuel et sadique, établis plus haut ; car ils recèlent les mêmes tendances et les mêmes motifs, mais sous une forme refoulée.

En raison de leur multiplicité. Les phénomènes psychiques qui découlent des désirs inconscients de virilité somatique ou de vengeance prêtent peu à une vue d’ensemble. de plus, les symptômes névrotiques ne sont pas les seules expressions d’origine inconsciente qui nous occupent ici ; la diversité des formes d’apparition des mêmes tendances refoulées dans les rêves nous le montre. Ainsi que je l’ai dit précédemment, cette étude ne prétend pas rendre un compte exhaustif des manifestations du complexe de castration refoulé. Son but est de discerner dans cette variété certaines formes fréquentes ou instructives, et plus particulièrement celles qui n’ont été jusqu’ici l’objet de recherches.
 
Le renversement des données de la féminité en leur contraire se réalise dans les symptômes ou les rêves des névrosées ; c’est l’accomplissement de désir le plus parachevé au sens du complexe féminin de castration. Dans ce cas les fantasmes inconscients de la femme affirment : " je suis l’heureux possesseur d’un organe viril et j’exerce la fonction masculine. " Van Ophuijsen en donne un excellent exemple dans son article sur le " complexe de virilité " chez la femme. Il s’agit d’un fantasme conscient remontant à la jeunesse d’une de ses patientes, qui à première vue ne nous donne qu’un aperçu de ses désirs homosexuels masculins actifs encore non refoulés; mais en même temps ce fantasme montre clairement ce qui fonde les symptômes névrotiques par quoi ces tendances s’expriment après avoir succombé au refoulement. A cette époque, la patiente avait l’habitude de se placer le soir entre la lampe et la paroi, et de tenir ses doigts devant la partie inférieure de son corps, de façon telle que l’ombre portée évoquait la forme d’un pénis. Ce qu’elle faisait ainsi ressemble beaucoup au jeu de la fillette de deux ans avec le cigare.
 
Aprés chacun sa vie... Je vois pas de quel droit on devrai se porter justicier de notre communauté... On a pas le monopole de la supériorité même loin de là...

Du métissage y'aura encore plus les années qui viennent... Faut pas se leurrer...

Et je suis loin d'etre contre... C'est la religion qui compte... Le reste, c'est de la connerie... Etant donné que depuis la nuit des temps on se melange!

J'ai très bien compris que tu était concerné dans un autre cas de figure ;)
 
J’ajouterai à cet exemple instructif le rêve d’une jeune mariée névrosée; disons d’emblée pour bien comprendre le cas qu’elle était fille unique. Ses parents avaient ardemment désiré un fils, et par conséquent cultivèrent le narcissisme et encore bien plus les désirs de virilité de leur fille. Selon de leurs expressions, il fallait absolument qu’elle devienne un " homme célèbre ". dans ses rêveries juvéniles, elle se voyait en " Napoléon féminin ". Elle s’engageait dans une glorieuse carrière d’officier femme, s’élevant aux plus hautes positions et ayant à ses pieds tous les pays d’Europe. après qu’elle se fut ainsi montrée supérieure à tous les hommes de la création, un seul d’entre eux surgissait enfin, capable de surpasser non seulement tous les hommes, mais encore elle-même ; elle se soumettait à lui. L’entrée dans la vie conjugale sur un plan de réalité se heurta à une extrême résistance de la patiente à assumer le rôle féminin. Je citerai plus loin les symptômes en question, me contentant de présenter ici l’un des rêves de la malade.

" mon mari saisit une femme, soulève ses vêtements, découvre une sorte de poche et en retire une seringue à morphine. Elle lui fait une injection à l’aide de cette seringue, et on l’emporte dans un état de faiblesse pitoyable. "

la femme du rêve, qui correspond à la patiente elle-même, enlève à l’homme le rôle actif. Elle y parvient grâce à un pénis caché (la seringue), qui lui permet de pratiquer sur lui un coït. L’état de faiblesse de l’homme indique qu’il a été victime de sa violence.

Tirer la seringue d’une poche rappelle à la malade la miction masculine, qui lui semblait enviable dans son enfance. Mais on peut y voir une signification de plus. Lors d’une séance de l’Association psychanalytique de Berlin, Boehm à attiré l’attention sur une théorie sexuelle infantile courante: le pénis primitivement attribué aux deux sexes est supposé caché dans une fente, de laquelle il pourrait surgir temporairement.

Une autre patiente, dont la névrose exprimait le désaccord permanent entre masculinité et féminité sous les formes les plus diverses, me décrivit une sensation, qui ne tendait à rien moins qu’à créer l’illusion d’un organe viril. Au cours de l’excitation sexuelle, elle avait souvent l’impression que quelque chose sur son corps s’enflait jusqu’à des proportions énormes.

Chez d’autres patientes, les symptômes ne représentent pas leurs désirs de virilité comme comblés, mais révèlent cette attente dans un avenir proche ou lointain. Alors que dans les cas que nous venons de décrire, l’inconscient exprime l’idée: " je suis un homme ", il conçoit ici le désir selon la formule : " je recevrai un jour le ’’cadeau’’ ; j’y tiens absolument. "

Abordons maintenant un fantasme conscient, datant de l’adolescence d’une névrosée, et tout à fait typique du contenu inconscient de bien des symptômes névrotiques. Lorsque la sœur aînée de la patiente eut ses premières règles, la cadette remarqua que sa mère et sa sœur s’entretenaient en secret. Une pensée la traversa comme un éclair : " je suis sûre que cette fois ma sœur reçoit un pénis ", ce qui signifiait qu’elle-même en recevrait aussi un en temps voulu. Ce renversement de la situation réelle est hautement caractéristique : en lieu et place de la " castration " renouvelée, signification que prennent les premières règles, on trouve l’obtention de cette partie du corps si désirée.

Une névrosée, chez qui la psychanalyse mit en lumière un degré exceptionnellement prononcé de narcissisme, opposa un jour la plus vive résistance au traitement, et me manifesta de nombreux signes d’humeur, qui se rapportaient en fait à son père décédé. Elle quitta mon cabinet en proie à un transfert violemment négatif. Quand elle arriva dans la rue, elle se surprit à se dire impulsivement : " je refuse catégoriquement de guérir tant que je n’aurai pas reçu un pénis. " c’est donc de moi, dont elle faisait un substitut paternel, qu’elle attendait ce cadeau. Elle y subordonnait l’effet du traitement.
 
J’ajouterai à cet exemple instructif le rêve d’une jeune mariée névrosée; disons d’emblée pour bien comprendre le cas qu’elle était fille unique. Ses parents avaient ardemment désiré un fils, et par conséquent cultivèrent le narcissisme et encore bien plus les désirs de virilité de leur fille. Selon de leurs expressions, il fallait absolument qu’elle devienne un " homme célèbre ". dans ses rêveries juvéniles, elle se voyait en " Napoléon féminin ". Elle s’engageait dans une glorieuse carrière d’officier femme, s’élevant aux plus hautes positions et ayant à ses pieds tous les pays d’Europe. après qu’elle se fut ainsi montrée supérieure à tous les hommes de la création, un seul d’entre eux surgissait enfin, capable de surpasser non seulement tous les hommes, mais encore elle-même ; elle se soumettait à lui. L’entrée dans la vie conjugale sur un plan de réalité se heurta à une extrême résistance de la patiente à assumer le rôle féminin. Je citerai plus loin les symptômes en question, me contentant de présenter ici l’un des rêves de la malade.

" mon mari saisit une femme, soulève ses vêtements, découvre une sorte de poche et en retire une seringue à morphine. Elle lui fait une injection à l’aide de cette seringue, et on l’emporte dans un état de faiblesse pitoyable. "

la femme du rêve, qui correspond à la patiente elle-même, enlève à l’homme le rôle actif. Elle y parvient grâce à un pénis caché (la seringue), qui lui permet de pratiquer sur lui un coït. L’état de faiblesse de l’homme indique qu’il a été victime de sa violence.

Tirer la seringue d’une poche rappelle à la malade la miction masculine, qui lui semblait enviable dans son enfance. Mais on peut y voir une signification de plus. Lors d’une séance de l’Association psychanalytique de Berlin, Boehm à attiré l’attention sur une théorie sexuelle infantile courante: le pénis primitivement attribué aux deux sexes est supposé caché dans une fente, de laquelle il pourrait surgir temporairement.

Une autre patiente, dont la névrose exprimait le désaccord permanent entre masculinité et féminité sous les formes les plus diverses, me décrivit une sensation, qui ne tendait à rien moins qu’à créer l’illusion d’un organe viril. Au cours de l’excitation sexuelle, elle avait souvent l’impression que quelque chose sur son corps s’enflait jusqu’à des proportions énormes.

Chez d’autres patientes, les symptômes ne représentent pas leurs désirs de virilité comme comblés, mais révèlent cette attente dans un avenir proche ou lointain. Alors que dans les cas que nous venons de décrire, l’inconscient exprime l’idée: " je suis un homme ", il conçoit ici le désir selon la formule : " je recevrai un jour le ’’cadeau’’ ; j’y tiens absolument. "

Abordons maintenant un fantasme conscient, datant de l’adolescence d’une névrosée, et tout à fait typique du contenu inconscient de bien des symptômes névrotiques. Lorsque la sœur aînée de la patiente eut ses premières règles, la cadette remarqua que sa mère et sa sœur s’entretenaient en secret. Une pensée la traversa comme un éclair : " je suis sûre que cette fois ma sœur reçoit un pénis ", ce qui signifiait qu’elle-même en recevrait aussi un en temps voulu. Ce renversement de la situation réelle est hautement caractéristique : en lieu et place de la " castration " renouvelée, signification que prennent les premières règles, on trouve l’obtention de cette partie du corps si désirée.

Une névrosée, chez qui la psychanalyse mit en lumière un degré exceptionnellement prononcé de narcissisme, opposa un jour la plus vive résistance au traitement, et me manifesta de nombreux signes d’humeur, qui se rapportaient en fait à son père décédé. Elle quitta mon cabinet en proie à un transfert violemment négatif. Quand elle arriva dans la rue, elle se surprit à se dire impulsivement : " je refuse catégoriquement de guérir tant que je n’aurai pas reçu un pénis. " c’est donc de moi, dont elle faisait un substitut paternel, qu’elle attendait ce cadeau. Elle y subordonnait l’effet du traitement.





"""""""Chez d’autres patientes, les symptômes ne représentent pas leurs désirs de virilité comme comblés, mais révèlent cette attente dans un avenir proche ou lointain. Alors que dans les cas que nous venons de décrire, l’inconscient exprime l’idée: " je suis un homme ", il conçoit ici le désir selon la formule : " je recevrai un jour le ’’cadeau’’ ; j’y tiens absolument. """"""""""""""""""""""""""""""""""

En un mot,tu veux dire que Kahina est un cas clinique et frustrée?
 
Lu 52609 fois :D
Ben oui c'est connu surtout quand c'est toi qui espère secrètement le convertir

mais vous vous pensez qu'on choisi notre homme la couleur de peau d'ou il vient

autant faire des mariages arrangé et mettre le sentiment amoureux a la trappe dans ses cas la

c'est rebbi c'est le mektoub qui choisi

vous avez encore tout faux

vous jouez les durs mais la seule chose qui vous interesse c'est vous défoulez sur les bon musulman en vous prenant pour des juges et vous causez bcp de tort qu'un jour ou l'autre dieu vous le rendra


la roue elle tourne
 
mais vous vous pensez qu'on choisi notre homme la couleur de peau d'ou il vient

autant faire des mariages arrangé et mettre le sentiment amoureux a la trappe dans ses cas la

c'est rebbi c'est le mektoub qui choisi

vous avez encore tout faux

vous jouez les durs mais la seule chose qui vous interesse c'est vous défoulez sur les bon musulman en vous prenant pour des juges et vous causez bcp de tort qu'un jour ou l'autre dieu vous le rendra


la roue elle tourne

mdddddddddddddrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
 
derniere choses.
Pourquoi les beurs n'en ont rien à foutre du racisme des noirs ? Tout simplement parce que leurs femmes nous intéressent absolument pas et on se voit pas faire nos vies avec.

Juste pour te rassurer, l'inverse est vrai je t'assure. Les hommes arabes ne font pas partie du paysage visuel amoureux des femmes noires.Alors la, pas du tout.
 
De koi tu parles ????
Je ne fais que citer une source que j'ai donne qqs pages avant !
Je n'ai pas donne mon avis la dessus !
Par contre tu reagis stupidement en t'en prenant a ma personne et ca je ne peux le permettre petite sotte
Je ne sais meme pas pour quelle raison tu reagis comme ca
Vas y dis nous ce qui te derange dans ce que j'ai cite ????

C'est qui la petite sotte? C'est plutot toi l'ane, tu cite des passages comme un idiot sans savoir de quoi ca parle?
Demeuré va!
 
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