Les hommes fiers

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion lakahina67
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Nous avons pu constater que la dépréciation de l’organe masculin dans sa signification succombe au refoulement sexuel progressif, et ne se manifeste souvent que sous forme d’un ravalement de l’homme en général. Ce processus conduit les femmes névrosées à éviter instinctivement les hommes dotés de qualités masculines et actives éminentes. Elle portent leur choix amoureux sur des hommes passifs et efféminés, occasion dans la vie commune de renouveler quotidiennement la preuve que leur propre activité est supérieure à celle de l’homme. A l’instar des homosexuelles manifestes, elles aiment à réduire à l’insignifiance les différences intellectuelles et corporelles entre homme et femme. Une de mes patientes avait demandé à sa mère, alors qu’elle avait six ans, de l’envoyer à l’école des garçons, et en vêtements masculins, car ainsi personne ne saurait qu’elle était une fille.

La tendance à humilier l’homme va généralement de pair avec une sensibilité marquée du complexe de castration dans toute situation propre à éveiller, même de loin, un sentiment d’infériorité. ces femmes évitent d’accepter l’aide de l’homme, et montrent le plus grand déplaisir à suivre ne serait-ce que l’exemple d’un homme. Une jeune femme trahit ses revendications viriles, malaisément refoulées, en dédaignant de mettre ses pas dans ceux de son mari, sur une route recouverte d’une épaisse couche de neige. Encore une caractéristique de cette patiente: dès l’enfance, elle avait témoigné de vifs désirs d’indépendance, et en grandissant elle envia l’activité professionnelle de deux femmes surtout: la caissière du bureau de son père et la femme qui balayait les rues de sa ville natale. Les raisons de ces choix sont clairs pour le psychanalyste. La caissière rassemble de l’argent et la balayeuse ramasse de la saleté, deux activités revêtant la même signification pour l’inconscient. l’abandon de la sexualité génitale en faveur de traits de caractère anaux est évident; mais nous reviendrons sur ce processus.


mdrrrrrr
tu veux dire que Kahina est BI?
Hummm c'est mon fantasme,une femme BI
 
de tout façon toi t'es borné tu changera jamais d'avis

je lache l'affaire aussi on tourne en rond

Te rends tu compte que tu l'es tout autant?
Lui n'est pas vraimen borné, il essaye d'expliquer mais toi tu tellement fermée que tu es completement incoherente et que tu ne t'en rends même pas compte.
 
Te rends tu compte que tu l'es tout autant?
Lui n'est pas vraimen borné, il essaye d'expliquer mais toi tu tellement fermée que tu es completement incoherente et que tu ne t'en rends même pas compte.

Mdrrrrrr
Laisse nous rigoler un peu,
c'est rare de tomber sur une tete à klak sur bladi,
d habitude que des rebeues qui ont un caractere fort
 
Le cas de Kahina est un cas d'ecole
Si on essaye de grater un peu,
la fille a quitté l'ecole tot(maximum a fait le college)
elle n'a jamais fait de philosophie,vu l'etat de son esprit critique!!!!
Peut etre,elle a fait apres un CAP Broderie,tricotage ou un truc bidon juste pour le fun
C'est un cas d'ecole pourquoi?
Elle rejette tout ce qui est maghrebins:car elle a vecu des choses atroces chez elle,elle n'etait jamais aimée par son entourage
Donc,elle voulait qu'on paye pour sa famille

On a pas tous les elements pour decider mais ca se pourrait !
De toute facon m'en fous elle m'a mis en rogne et en attendant d'aller voir un petit film ce soir
on peut faire un peu de psychologie de seconde main pour cerner la bete
 
Te rends tu compte que tu l'es tout autant?
Lui n'est pas vraimen borné, il essaye d'expliquer mais toi tu tellement fermée que tu es completement incoherente et que tu ne t'en rends même pas compte.

relis bien le poste mise a part quelque vanne

le discution sur les raisons psychologiques des uns par rapport au autre est trés interessante

cela ne changera certainement pas nos points de vue car nos intérets sont totalement différents les uns avec les autres mais c'est loin d'etre une discution que tu qualifies de borné
 
Le comportement typique de bien des enfants déjà de saisir l’ampleur du refus de s’entendre rappeler leur féminité. Il n’est pas exceptionnel que de petites filles renoncent aux connaissances déjà acquises sur la procréation et la naissance, en faveur de la fable de la cigogne. Le rôle que la nature leur a attribué est par trop contraire à leurs vœux, et la fable de la cigogne a l’avantage de faire naître les enfants sans accorder à l’homme un rôle actif privilégié.

Le degré extrême de sensibilité au complexe de castration est atteint dans les cas, plus rares, de dépression psychique chez la femme. Ici le sentiment d’infortune lié à l’appartenance sexuelle reste totalement exemple de refoulement; ces sujets n’arrivent même pas à l’élaborer sous une forme atténuée ; une patiente que j’eus l’occasion d’observer se plaignait de l’inutilité radicale de son existence, du fait d’être née fille. Pour elle, la supériorité masculine en tous points allait de soi, ce qui la rendait d’autant plus pénible. La patiente excluait toute compétition avec l’homme, mais rejetait également toute réalisation féminine. En particulier, elle refusait le rôle féminin dans la vie érotique, tout autant que celui de l’homme. ainsi, consciemment, tout élément érotique lui était totalement étranger, et elle disait même ne pouvoir imaginer le plaisir érotique.

La résistance contre la fonction sexuelle féminine revêtait chez cette malade des formes caricaturales. Elles reportait son aversion sur tout ce qui, en ce monde, rappelle ne fût-ce que de loin la reproduction, la naissance, etc. Elle haïssait les fleurs, les arbres verts ; les fruits ne lui inspiraient que dégoût. Elle commit à plusieurs reprises un lapsus à la lecture : pour le mot " fécond ", elle lut " affreux ". de la nature, elle n’admettait que l’hiver en haute montagne ; là il n’y avait rien qui vînt lui rappeler les êtres vivants et leur reproduction, rien que rocs, neige et glace. Il est encore typique de cette patiente qu’elle estimait la femme comme parfaitement accessoire dans le mariage. Un mot de cette malade montre à quel point cette opinion dérive du complexe de castration. Elle jugeait que l’anneau, qui à ses yeux était un symbole génital féminin haïssable, ne convenait pas comme symbole du mariage ; en lieu et place elle proposait un clou. Cette surestimation de la virilité se déduit aisément de l’envie du pénis de la fillette, qui à l’âge adulte se manifestait étonnamment à découvert.

L’impossibilité d’admettre le manque de l’organe viril s’exprime chez d’assez nombreuses femmes par une crainte névrotique de voir des blessures. Celles-ci éveillent une fois de plus dans leur inconscient l’idée de la " blessure " subie dans l’enfance. Tantôt c’est un sentiment indéniable d’angoisse, tantôt ce spectacle ou sa simple évocation suscite une " sensation douloureuse du bas du corps ". la patiente déjà citée pour son vaginisme particulier et complexe fut amenée par ses associations, au début de sa psychanalyse, et avant qu’il ait été question le moins du monde de complexe de castration, à sa crainte des blessures. Elle dit pouvoir regarder sans effort celles qui sont étendues et irrégulières. Par contre ce qui lui était absolument intolérable chez elle ou chez autrui, c’était une coupure, même petite mais quelque peu béantes, lorsque au fond de l’incision apparaissait la couleur rosée de la chair. Elle éprouvait alors une violente angoisse et une douleur intense dans la région génitale, " comme si on lui coupait quelque chose ".
 
On a pas tous les elements pour decider mais ca se pourrait !
De toute facon m'en fous elle m'a mis en rogne et en attendant d'aller voir un petit film ce soir
on peut faire un peu de psychologie de seconde main pour cerner la bete

elle n'a surtout aucune personnalité. Elle va sur les autres forums piquer les avatars et les pseudos. Quand on aime les queues non circoncisées des antillais, on assume et on se fait passer pour quelqu'un d'autre
 
Le comportement typique de bien des enfants déjà de saisir l’ampleur du refus de s’entendre rappeler leur féminité. Il n’est pas exceptionnel que de petites filles renoncent aux connaissances déjà acquises sur la procréation et la naissance, en faveur de la fable de la cigogne. Le rôle que la nature leur a attribué est par trop contraire à leurs vœux, et la fable de la cigogne a l’avantage de faire naître les enfants sans accorder à l’homme un rôle actif privilégié.

Le degré extrême de sensibilité au complexe de castration est atteint dans les cas, plus rares, de dépression psychique chez la femme. Ici le sentiment d’infortune lié à l’appartenance sexuelle reste totalement exemple de refoulement; ces sujets n’arrivent même pas à l’élaborer sous une forme atténuée ; une patiente que j’eus l’occasion d’observer se plaignait de l’inutilité radicale de son existence, du fait d’être née fille. Pour elle, la supériorité masculine en tous points allait de soi, ce qui la rendait d’autant plus pénible. La patiente excluait toute compétition avec l’homme, mais rejetait également toute réalisation féminine. En particulier, elle refusait le rôle féminin dans la vie érotique, tout autant que celui de l’homme. ainsi, consciemment, tout élément érotique lui était totalement étranger, et elle disait même ne pouvoir imaginer le plaisir érotique.

La résistance contre la fonction sexuelle féminine revêtait chez cette malade des formes caricaturales. Elles reportait son aversion sur tout ce qui, en ce monde, rappelle ne fût-ce que de loin la reproduction, la naissance, etc. Elle haïssait les fleurs, les arbres verts ; les fruits ne lui inspiraient que dégoût. Elle commit à plusieurs reprises un lapsus à la lecture : pour le mot " fécond ", elle lut " affreux ". de la nature, elle n’admettait que l’hiver en haute montagne ; là il n’y avait rien qui vînt lui rappeler les êtres vivants et leur reproduction, rien que rocs, neige et glace. Il est encore typique de cette patiente qu’elle estimait la femme comme parfaitement accessoire dans le mariage. Un mot de cette malade montre à quel point cette opinion dérive du complexe de castration. Elle jugeait que l’anneau, qui à ses yeux était un symbole génital féminin haïssable, ne convenait pas comme symbole du mariage ; en lieu et place elle proposait un clou. Cette surestimation de la virilité se déduit aisément de l’envie du pénis de la fillette, qui à l’âge adulte se manifestait étonnamment à découvert.

L’impossibilité d’admettre le manque de l’organe viril s’exprime chez d’assez nombreuses femmes par une crainte névrotique de voir des blessures. Celles-ci éveillent une fois de plus dans leur inconscient l’idée de la " blessure " subie dans l’enfance. Tantôt c’est un sentiment indéniable d’angoisse, tantôt ce spectacle ou sa simple évocation suscite une " sensation douloureuse du bas du corps ". la patiente déjà citée pour son vaginisme particulier et complexe fut amenée par ses associations, au début de sa psychanalyse, et avant qu’il ait été question le moins du monde de complexe de castration, à sa crainte des blessures. Elle dit pouvoir regarder sans effort celles qui sont étendues et irrégulières. Par contre ce qui lui était absolument intolérable chez elle ou chez autrui, c’était une coupure, même petite mais quelque peu béantes, lorsque au fond de l’incision apparaissait la couleur rosée de la chair. Elle éprouvait alors une violente angoisse et une douleur intense dans la région génitale, " comme si on lui coupait quelque chose ".





Mdrrrrrrrr
wallah tu es jaloux toi,
ds mon intervention precedente j'ai soulevé sa vie d'enfance et toi zaama,t as joué la prudence,lis cette phrase que tu viens de citer et relis mes interventions:"""""de plus dans leur inconscient l’idée de la " blessure " subie dans l’enfance""""""""""

J'avoue que je suis fort(mdrrr attention ne m 'analyse pas,je sais que c'est du narcissisme)
 
elle n'a surtout aucune personnalité. Elle va sur les autres forums piquer les avatars et les pseudos. Quand on aime les queues non circoncisées des antillais, on assume et on se fait passer pour quelqu'un d'autre
Nous en sommes totalement conscient mais si ca permet de revisiter quelques cours de psychologie en attendant d'aller faire des activites plus constructives pourquoi pas ?
Elle ca l'arrange , elle aime qu'on lui crache dessus...
elle savoure meme....
 
ah bon je suis comme ça et pourtant je ne suis pas black , j'en connais pas mal de black et je peux te dire que c'est tout sauf des hommes




Tkiete Avi, t'as pas de couronne parce que t'es pas un roi, tu t'es trompé, tu n'as pas la noblesse que le roi devrait avoir, sorry. C 'est toi qui a créé la race humaine pour dire que les noirs ne sont pas des hommes? Et a ton age ca fait plutot pitié de vouloir croire ca pour se rassurer. Tu ne dois pas voler bien haut....
 
Aie aie tu commences a t'interesser a Kahina !
La pitie peut engeandrer la tendresse fais gaffe :D

Mdrrrrrrrr
Moi je vais changer de camps,je defends Kahina,ma belle
wallah je vais te massacrer,toute intervention deplacée contre elle ,c'est comme tu m as blessé
Donc un peu de respect,et laisse ma copine tranquille
J'aime les BI moi
 
Mdrrrrrrrr
wallah tu es jaloux toi,
ds mon intervention precedente j'ai soulevé sa vie d'enfance et toi zaama,t as joué la prudence,lis cette phrase que tu viens de citer et relis mes interventions:"""""de plus dans leur inconscient l’idée de la " blessure " subie dans l’enfance""""""""""

J'avoue que je suis fort(mdrrr attention ne m 'analyse pas,je sais que c'est du narcissisme)
elle m'a cherche
Je suis cruel et vindicatif yak ?
Non au contraire ma foi je lui rends service, je lui donne des elements pour se soigner !
Merci ki ?
Merci ikaz bien sur :)
Le narcissisme c'est une qualite partagee :D
 
Moi je paris qu'on a faire à un black (ou autre troll) qui galère un jour ferié et qui est venu passer son temps sur un forum marocain... :langue:

Et vous vous tombez tous dans le panneau... :rolleyes:

ex:Le mec kiffe les rebeuses, mais il sait que c'est chaud ce metissage...
 
Les phénomènes psychologiques que nous attribuons au complexe dit de castration de la femme sont si nombreux et divers qu’il n’est pas possible d’en rendre un compte exhaustif dans un exposé, si détaillé soit-il. Ces questions se compliquent encore par leurs multiples relations avec des processus biologiques et physiologiques. Aussi l’analyse qui suit ne prétend-elle pas éclairer sous toutes ses faces le problème de la castration féminine, mais elle se limitera à une évaluation purement psychologique d’un vaste matériel clinique.
 
Bien des êtres féminins, enfants ou adultes, souffrent par moments ou en permanence du fait d’être nés filles. En outre, la psychanalyse nous apprend qu’un grand nombre de femmes ont refoulé le désir d’être homme; nous rencontrons ce désir dans toutes les productions de l’inconscient, en particulier dans les rêves et les symptômes névrotiques. La fréquence extrême de ces observations suggère que cette orientation du désir est courante, et commune à toutes les femmes. Si nous adoptons ce point de vue, nous voici obligés de soumette à un examen approfondi et sans préjugés les faits que nous dotons d’une portée aussi générale.

Fréquemment, les femmes sont parfaitement conscientes de ce que beaucoup de phénomènes de leur vie mentale naissent d’une intense aversion pour la condition féminine; mais les motifs d’une telle aversion restent parfaitement obscurs pour un bon nombre d’entre elles. Certains arguments sont indéfiniment repris pour expliquer cette attitude: la fille serait dès l’enfance défavorisée par rapport au garçon, car on accorde à celui-ci une plus grande liberté, plus tard, l’homme fait choix d’une profession à son gré et peut élargir le champ de ses activités, étant soumis à beaucoup moins de restrictions, dans sa vie sexuelle en particulier. Cependant, la psychanalyse nous montre que des arguments conscients de cette sorte ne possèdent qu’une valeur relative; ils naissent d’une rationalisation, processus qui cherche à voiler les motivations plus profondes. L’observation directe des fillettes dès les premières années de la vie met hors de doute, qu’à une certaine étape de leur développement elles se sentent lésées par comparaison avec l’autre sexe, en raison de l’infériorité de leurs organes génitaux externes. Les données émanant d’analyse d’adultes concordent pleinement avec cette observation; elles nous montrent qu’un grand nombre de femmes n’a pas surmonté ce désavantage, ou, en termes psychanalytiques, n’a pas pleinement réussi à le refouler et à le sublimer durablement. Les représentations qui s’y rattachent exercent souvent une poussée vigoureuse, qui s’y rattachent exercent souvent une poussée vigoureuse, qui répond à la force de leur investissement libidinal, contre les obstacles leur barrant l’accès à la conscience. C’est une efflorescence de symptômes névrotiques, d’images oniriques, etc., qui témoignera de la lutte du matériel refoulé avec la censure.

L’expérience des effets si sévères et durables sur la vie mentale de la femme de la non-possession d’un organe masculin nous autoriserait à en désigner tous les dérivés pulsionnels du nom collectif de " complexe génital ". cependant, nous préférons une expression empruntée à la psychologie des névrosés masculins, et parlons à juste titre du " complexe de castration " chez la femme.
 
Moi je paris qu'on a faire à un black qui galère un jour ferié et qui est venu passer son temps sur un forum marocain... :langue:

Et vous vous tombez tous dans le panneau... :rolle yes:

Le mec kiffe les rebeuses, mais il sait que c'est chaud ce metissage...

Ben non c'est pas chaud, si c'est la cas t'inquiète qu'il trouvera, il aura juste à ouvrir un Skyblog "blackcherchebeurettequikiffeblack" et il va trouver direct :D
 
elle m'a cherche
Je suis cruel et vindicatif yak ?
Non au contraire ma foi je lui rends service, je lui donne des elements pour se soigner !
Merci ki ?
Merci ikaz bien sur :)
Le narcissisme c'est une qualite partagee :D

Mdrrrr je sais que c'est une qualité!!!!
Et alors,elle aime les blacks et letrange,ça prouve que c'est une fille geniale,moi je la kiffe
Et en plus si je me base sur tes analyse:elle est BI et au lit adore d'etre insultée,eh ben ,c'est le pied
Donc mon petit ikaz,c'est mon dernier avertissement,laisse ma couuupinette trankilos
 
Moi je paris qu'on a faire à un black (ou autre troll) qui galère un jour ferié et qui est venu passer son temps sur un forum marocain...

Et vous vous tombez tous dans le panneau..

ex:Le mec kiffe les rebeuses, mais il sait que c'est chaud ce metissage...
Belle hypothese !
Mais moi je m'en fous carrement de cette histoire de black avec beurette
quand je m'y interesserai je visiterai un site porno.
Mais qqn sur ce forum a fais preuves de racisme et ca je ne le supporte pas :D
De toute facon ca fait longtemps que je n'ai pas ecrit en francais !
Denigrer les imbeciles sur ce forum ca fait passer le temps (pas tres constructif je dois l'avouer mais bon indulgence indulgence mdr)
Se moquer des imbeciles est un plaisir de fin gourmet :)
 
wallah kahina tu fais trop rire.
Tu viens insulter les mecs beurs car t'es avec un gambien. Et alors, très franchement qu'est ce qu on en a à branler de ta vie sérieux ? Marie toi avec, faites des gosses et tant mieux. Tu kiffes les blacks ? C'est cool pour toi, tu crois vraiment qu'on va chialer pour ca. Nous les maghrébins on se met avec des maghrebines comme nous qui ont nos mentalités, nos valeurs et nos cultures. Et on sera heureux avec surtout lorsqu'on donnera naissance à des enfants maghrébins comme leur parents. Et les filles comme toi on calculera pas car on sera trop occupé par notre vie et notre bonheur.



Mais vis ta vie toi et laisse les autres vivre la leur! Il est ou ton probleme? T'as un balai en trop quelque part?
 
Ben non c'est pas chaud, si c'est la cas t'inquiète qu'il trouvera, il aura juste à ouvrir un Skyblog "blackcherchebeurettequikiffeblack" et il va trouver direct :D

Aprés chacun sa vie... Je vois pas de quel droit on devrai se porter justicier de notre communauté... On a pas le monopole de la supériorité même loin de là...

Du métissage y'aura encore plus les années qui viennent... Faut pas se leurrer...

Et je suis loin d'etre contre... C'est la religion qui compte... Le reste, c'est de la connerie... Etant donné que depuis la nuit des temps on se melange!
 
La haute estime en laquelle l’enfant tient son propre corps est étroitement liée à son narcissisme. Primitivement, la fille n’a aucun sentiment d’infériorité touchant son corps, et peut donc ne pas réaliser immédiatement qu’il présente un manque comparé à celui du garçon. Incapable de reconnaître un désavantage dans sa personne, elle forgera la théorie que nous avons souvent rencontrée: " J’avais autrefois un organe comme les garçon, mais on me l’a pris. " la fillette s’efforce donc de faire du manque douloureusement ressenti une perte secondaire, et qui résulterait d’une castration.

Cette idée touche de près à une autre que nous traiterons en détail. Le sexe féminin est considéré comme une blessure, et à ce titre il porte la marque de la castration.

Nous relevons aussi des fantasmes et des symptômes névrotiques, parfois des impulsions et des actes, qui dénotent une tendance hostile à l’homme. chez bien des femmes, l’idée d’un préjudice subi engendre le désir de se venger de l’homme, plus favorisé. Ces impulsions ont pour but une castration active, visant l’homme.

Ainsi trouvons-nous chez la femme non seulement la tendance à vivre un manque primaire, douloureusement perçu comme un dépouillement, mais il s’y ajoute des fantasmes de mutilation actifs et passifs, tous comme dans le complexe de castration masculin. Tels sont les faits qui nous autorisent à user du même terme pour les deux sexes.
 
Nous considérons comme normal que, chez la femme, la libido demeure plus narcissique que chez l’homme. cela ne veut pas dire que la libido féminine ne subisse pas d’importantes modifications jusqu’à l’âge de la maturité.

L’identification à sa mère permet de remplacer dans un premier temps l’originelle "envie du pénis " de la fille par l’envie qu’elle porte à sa mère d’avoir des enfants. Ces impulsions hostiles requièrent une sublimation, tout comme les aspirations libidinales orientées vers le père. Une période de latence va s’instaurer comme chez le garçon ; et de même, la puberté ranimera les désirs pour le détacher de la personne du père, et la libido ainsi libérer se porter sur un nouvel objet. Si le développement suit un cours favorable, la libido féminine adoptera une attitude d’attente à l’égard de l’homme ; ses expressions seront réglées par certaines inhibitions (sentiments de pudeur). La femme adulte normale se réconcilie avec son rôle sexuel, avec celui de l’homme, et surtout avec les données de la génitalité dans les deux sexes; elle souhaite la satisfaction dans une situation passive, et réclame un enfant. Son complexe de castration n’engendre donc aucune perturbation.

Cependant, l’observation quotidienne nous montre que bien souvent cet aboutissement normal du développement n’est pas atteint. Ce fait ne nous étonne guère, car la vie de la femme comporte bien des occasions compliquant le dépassement du complexe de castration. Nous songeons aux aspects qui lui rappellent constamment sa " castration ". l’idée primitive de " blessure " est ravivée par l’impression due à la première menstruation et à sa répétition, puis une nouvelle fois par la défloration ; ces deux processus liés à une perte de sang sont aussi ressentis comme une blessure. Il n’est même pas nécessaire qu’ils aient été vécus; la seule perspective d’un tel avenir suffit. Les théories sexuelles infantiles typiques nous permettent de comprendre que l’accouchement soit conçu sur le même modèle par l’imagination d’une enfant ; il suffit de rappeler par exemple la " théorie de la césarienne ", représentant l’accouchement comme une opération sanglante.

Dans ces conditions, nous devons nous attendre à trouver chez toute femme quelque trace au moins du complexe de castration. Les différences individuelles ne sont qu’une question de degré. Chez les femmes normales, on trouve occasionnellement des rêves à tendances masculines. Depuis ces très discrètes expressions du complexe de castration, des formes de passage conduisent progressivement aux manifestations sévères et complexes, de nature franchement pathologique, qui nous intéressent plus particulièrement. La situation est alors comparable à celle qu’on observe chez l’homme.
 
Freud, dans " Le tabou de la virginité ", oppose l’issue normale du complexe de castration, conforme à l’impératif de la civilisation, à son mode de résolution " archaïque ". Chez de nombreux peuples primitifs, l’usage interdit à l’homme la défloration de sa femme. Elle doit être pratiquée par un prêtre, comme un acte sacré, ou s’effectuer en dehors du mariage. Selon la remarquable analyse de Freud, cette curieuse prescription s’explique par les risques psychologiques d’une réaction ambivalente de la femme à l ‘égard de l’homme qui l’a déflorée. La vie commune avec la femme qu’il a déflorée lui-même pourrait comporter une menace pour l’homme.

L’expérience analytique nous montre que les manifestations d’une inhibition du développement psychosexuel sont proches du comportement des peuples primitifs. Dans notre civilisation actuelle nous rencontrons des femmes qui réagissent à la défloration d’une manière qui est pour le moins proche de cette forme " archaïque ". je connais quelques cas ou des femmes, après la défloration, eurent une explosion affective et frappèrent ou cherchèrent à étrangler leur mari. L’une de mes patientes s’endormit aux côtés de son mari après leur premier rapport sexuel. Au sortir du sommeil, elle se livra sur lui à des voies de fait, et ne retrouva que graduellement ses esprits.
 
La haute estime en laquelle l’enfant tient son propre corps est étroitement liée à son narcissisme. Primitivement, la fille n’a aucun sentiment d’infériorité touchant son corps, et peut donc ne pas réaliser immédiatement qu’il présente un manque comparé à celui du garçon. Incapable de reconnaître un désavantage dans sa personne, elle forgera la théorie que nous avons souvent rencontrée: " J’avais autrefois un organe comme les garçon, mais on me l’a pris. " la fillette s’efforce donc de faire du manque douloureusement ressenti une perte secondaire, et qui résulterait d’une castration.

Cette idée touche de près à une autre que nous traiterons en détail. Le sexe féminin est considéré comme une blessure, et à ce titre il porte la marque de la castration.

Nous relevons aussi des fantasmes et des symptômes névrotiques, parfois des impulsions et des actes, qui dénotent une tendance hostile à l’homme. chez bien des femmes, l’idée d’un préjudice subi engendre le désir de se venger de l’homme, plus favorisé. Ces impulsions ont pour but une castration active, visant l’homme.

Ainsi trouvons-nous chez la femme non seulement la tendance à vivre un manque primaire, douloureusement perçu comme un dépouillement, mais il s’y ajoute des fantasmes de mutilation actifs et passifs, tous comme dans le complexe de castration masculin. Tels sont les faits qui nous autorisent à user du même terme pour les deux sexes.








Wawwwwww là,tu me choques!!!
Kahina,va rejeter son black et comme elle n'aime pas les rebeus,il lui reste qu'une seule solution:elle va devenir HOMO(jespere qu'elle va pas lire cette analyse)

Je comprends maintenant pourquoi elle veut nous taxer de racistes et d homophobes!!!!!!
 
Wawwwwww là,tu me choques!!!
Kahina,va rejeter son black et comme elle n'aime pas les rebeus,il lui reste qu'une seule solution:elle va devenir HOMO(jespere qu'elle va pas lire cette analyse)

Je comprends maintenant pourquoi elle veut nous taxer de racistes et d homophobes!!!!!!

Bon ca me fait peur cette analyse mais bon j'aime la recherche de la verite (un vrai philosophe ce ikaz ! ) on va fouiller encore plus dans les trefonds de l'ame :D
 
On ne peut se méprendre sur la signification d’un tel comportement : la femme se venge de l’atteinte portée à son intégrité corporelle. La psychanalyse nous permet de distinguer un élément historique dans la motivation de ces pulsions vengeresses. Les représailles se rapportent, pour leur cause récente, à la défloration ; car cette expérience apporte à la femme une image incontestable de l’activité de l’homme, et met fin à toutes ses tentatives d’annuler les différences fonctionnelles entre la sexualité masculine et féminine. Cependant, l’analyse profonde révèle l’intrication étroite des fantasmes de revanche avec tous les événements antérieurs- qu’ils soient imaginaires ou réels- qui ont pu agir comme une castration. La vengeance renvoie en dernier ressort à l’injustice subie de la part du père. L’inconscient de la fille devenue adulte prend tardivement sa revanche du père qui a omis de lui accorder un pénis ; pourtant ces représailles ne s’appliquent pas à la personne du père, mais à l’homme qui, en raison d’un transfert de la libido, tient le rôle de celui-ci. La revanche adéquate au tort subi – la castration – ne peut être que la castration. Il est vrai qu’elle peut être symboliquement remplacée par d’autres manifestations agressives ; parmi elles, la strangulation est une action substitutive typique. Le contraste entre ces cas et l’issue " normale " frappe immédiatement. L’attitude normale d’amour à l’égard de l’autre sexe est indissolublement liée, tant chez la femme que chez l’homme, à l’aspiration consciente à la satisfaction génitale partagée avec l’objet d’amour; dans les cas précédents, au lieu d’une attitude d’amour à but génital, nous trouvons une attitude sadique hostile possessive, émanant de motivations anales. La tendance du sujet à l’appropriation par la violence se dévoile par toutes sortes d’autres manifestations psychiques associées. Les fantasmes de vol s’accompagnent de la représentation de prendre à son compte le pénis volé et d’en faire son membre. Nous y reviendrons.
 
La haute estime en laquelle l’enfant tient son propre corps est étroitement liée à son narcissisme. Primitivement, la fille n’a aucun sentiment d’infériorité touchant son corps, et peut donc ne pas réaliser immédiatement qu’il présente un manque comparé à celui du garçon. Incapable de reconnaître un désavantage dans sa personne, elle forgera la théorie que nous avons souvent rencontrée: " J’avais autrefois un organe comme les garçon, mais on me l’a pris. " la fillette s’efforce donc de faire du manque douloureusement ressenti une perte secondaire, et qui résulterait d’une castration.

Cette idée touche de près à une autre que nous traiterons en détail. Le sexe féminin est considéré comme une blessure, et à ce titre il porte la marque de la castration.

Nous relevons aussi des fantasmes et des symptômes névrotiques, parfois des impulsions et des actes, qui dénotent une tendance hostile à l’homme. chez bien des femmes, l’idée d’un préjudice subi engendre le désir de se venger de l’homme, plus favorisé. Ces impulsions ont pour but une castration active, visant l’homme.

Ainsi trouvons-nous chez la femme non seulement la tendance à vivre un manque primaire, douloureusement perçu comme un dépouillement, mais il s’y ajoute des fantasmes de mutilation actifs et passifs, tous comme dans le complexe de castration masculin. Tels sont les faits qui nous autorisent à user du même terme pour les deux sexes.

Tu n'as que 25 ans, c'est normal que tu cris encore a presque toutes les idioties qu'on t'apprend a l'ecole. 'Nous relevons aussi des fantasmes et des symptômes névrotiques'...Tiens, je crois qu'on parle de toi la.
 
Bon ca me fait peur cette analyse mais bon j'aime la recherche de la verite (un vrai philosophe ce ikaz ! ) on va fouiller encore plus dans les trefonds de l'ame :D

Mdrrrr
N'oublie pas,qu'elle a le niveau college,doucement Stp
Moi aussi je dois partir,elle n'est plus là,domage,j'ai tjs kiffé les tetes à klak
 
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