exact !
D'ailleurs hans filstersteinovik, dans ses "chroniques de la vie" ,édition de 1886, tome 4, a émis l'hypothèse que ce peuple est l'ancétre, des populations asiatiques et esquimaux ! par ses recherches il a mit en miettes l'hypothèse chinoise actuelle qui sous entend que leur peuple descend de l"homme de pékin" issu directement de l'homo erectus peuplant le nord de la chine il y a plus de 100000 ans !
le peuple kendaroche, comme tu l'as dit, était petit et trapu, et vivait sous terre, ainsi comme l'a démontré hans filstersteinovik : leurs incessants allers et retours de la surface de la terre à ses tréfonds, a provoqué une compression de leurs cellules impactant ainsi leur métabolisme, leur taille s'est réduite petit à petit pour se stabiliser à une taille entre le nanisme et une taille à peine moyenne, la différence de pression et d'attraction terrestre, leur a donner cet aspect trapu cachant une ossature robuste et des ligaments plus solides que le caoutchouc d'un pneu !
leur vie sous terre, a engendré un plissement des yeux et une contraction des paupières amenant un repli vertical de la peau, les yeux bridés leur étaient utiles, car bien que vivant comme tu dit dans des palaces finement ciselés, ils devaient affronter de minuscules insectes volants qui faisaient la taille d'un grain de sable et qui lorsque ils se déplaçaient par nuées dans les couloirs souterrains faisaient l'effet d'une violente tempête de sable, ainsi naturellement les kendaroche se sont adaptés physiquement a leur nouvel habitat.
Tu évoques également leur travail d'orfèvre, hans filstersteinovik a très judicieusement fait une corrélation entre l'extrême habileté de ce peuple, et l'habileté de celui qu'il considère comme son descendant : le peuple asiatique, il l'a démontré dans son chapitre " techniques et technologie kendaroche : la science débridée", avec si grande richesse et précision qu'il m'est impossible de vous résumer son travail, je vous conseille de vous procurer le livre, une petite anecdote cependant : hans filstersteinovik dans ce chapitre évoque la cuisine asiatique qui ne connait aucune limite et se nourrit de tout ce qui bouge sur terre, bien évidemment elle ne peut être l'héritage que d'un peuple vivant sous terre avec des conditions extrêmes : les kendaroches.
lorsque en -90000 un immense glissement de plaques tectonique, sema le chaos dans cette cité souterraine, les kendaroches sortairent comme des millions de rats par des trous, avec leur brusque fuite précipitée, un choc cellulaire se produisit, leur peau jaunie, et leur taille s'affina. et en à peine 3 heures ce que l'on appelle le continent asiatique fut peuplé de millions d'étres humains sortis de sous terre. la distance entre chaque trou étant parfois de milliers de kilomètres, les millions de réscapés essaimèrent partout, et partout sur ce continent, ils se dévéllopérent en tribus avec un savoir et une technologie commune : ceux des kendaroche.
merci à hans filstersteinovik, pour son fabuleux travail.