Les médias

ETATS-UNIS : UNE JOURNALISTE DÉMISSIONNE APRÈS AVOIR ÉTÉ FORCÉE À ÉCRIRE UN FAUX ARTICLE SUR KAMALA HARRIS​


Elle n'en pouvait plus. Ce 27 avril, une journaliste a annoncé sur les réseaux sociaux avoir démissionné du tabloïd américain New York Post. En cause, les pressions qu'elle recevait pour écrire un article mensonger sur Kamala Harris.

Laura Italiano a en effet raconté sur Twitter qu'elle avait été poussée par sa hiérarchie à écrire un article sur la vice-présidente américaine. Publié le 23 avril dernier, celui-ci assurait que le livre de la démocrate sorti en 2019 était offert aux jeunes enfants migrants qui faisaient leur entrée sur le territoire en guise de cadeau de bienvenue. Plusieurs médias ont ensuite mené l'enquête, prouvant que l'histoire était fausse.

En vérité, le livre avait été donné, comme des centaines d'autres, par des citoyens américains au centre d'accueil de migrants de Long Beach, en Californie. Un seul livre de Kamala Harris a donc été donné à un enfant, bien loin d'une vaste opération de propagande suggérée dans le premier article du New York Post. L'article original a d'ailleurs été modifié dans les jours qui ont suivi.

Alors que l'article était crédité avec son nom, Laura Italiano a expliqué que c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. «Ça a été un privilège de couvrir la ville de New York pour son tabloïd le plus vivant et le plus vivant, une rédaction pleine de journalistes et rédacteurs en chef que j'admire», conclut-elle. Contacté par le Guardian dans cette affaire, le média possédé par Rupert Murdoch n'a pas souhaité répondre.


 
Comment, en mars 2020, Le Parisien a essayé de faire passer les comploteurs pour des lanceurs d'alerte

Bill Gates, la CIA, Jacques Attali... ils avaient alerté sur une épidémie mondiale

Le risque d’une nouvelle pandémie a été évoqué à de nombreuses reprises depuis quinze ans. Et certaines projections ont de quoi inquiéter.​


Eux-mêmes se considèrent peut-être comme des « lanceurs d'alerte ». Bien avant que le nouveau coronavirus ne se propage partout à travers le monde, des personnalités et des services de renseignement avaient alerté sur l'impréparation des différents Etats face à une crise sanitaire mondiale. Ces propos, parfois alarmistes, qui ressortent des archives alors que les tous les pays du monde font face au Covid-19. Petit tour d'horizon de ces analyses du passé.

Bill Gates : « Nous ne sommes pas prêts »​

Nous sommes en avril 2015. L'épidémie Ebola vient de faire des ravages sur le continent africain (plus de 10 000 morts), mais le reste de la planète a été épargné. Bill Gates, fondateur de Microsoft et à la tête, avec son épouse Melinda, de la fondation philanthropique qui porte leur nom, fait part de ses craintes pour l'avenir.

« Si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu'une guerre », lâche-t-il en préambule de sa conférence Ted, dont le principe est de s'adresser debout face à un parterre d'invités.


Pour illustrer son propos, s'affichent derrière lui un champignon nucléaire puis un schéma d'un virus au microscope. « Nous avons investi beaucoup dans la dissuasion nucléaire, et très peu dans un système pour endiguer les épidémies. Nous ne sommes pas prêts pour la prochaine », poursuit-il, sur un ton alarmiste.

 
Comment, en mars 2020, Le Parisien a essayé de faire passer les comploteurs pour des lanceurs d'alerte

Bill Gates, la CIA, Jacques Attali... ils avaient alerté sur une épidémie mondiale

Le risque d’une nouvelle pandémie a été évoqué à de nombreuses reprises depuis quinze ans. Et certaines projections ont de quoi inquiéter.​


Eux-mêmes se considèrent peut-être comme des « lanceurs d'alerte ». Bien avant que le nouveau coronavirus ne se propage partout à travers le monde, des personnalités et des services de renseignement avaient alerté sur l'impréparation des différents Etats face à une crise sanitaire mondiale. Ces propos, parfois alarmistes, qui ressortent des archives alors que les tous les pays du monde font face au Covid-19. Petit tour d'horizon de ces analyses du passé.

Bill Gates : « Nous ne sommes pas prêts »​

Nous sommes en avril 2015. L'épidémie Ebola vient de faire des ravages sur le continent africain (plus de 10 000 morts), mais le reste de la planète a été épargné. Bill Gates, fondateur de Microsoft et à la tête, avec son épouse Melinda, de la fondation philanthropique qui porte leur nom, fait part de ses craintes pour l'avenir.

« Si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu'une guerre », lâche-t-il en préambule de sa conférence Ted, dont le principe est de s'adresser debout face à un parterre d'invités.


Pour illustrer son propos, s'affichent derrière lui un champignon nucléaire puis un schéma d'un virus au microscope. « Nous avons investi beaucoup dans la dissuasion nucléaire, et très peu dans un système pour endiguer les épidémies. Nous ne sommes pas prêts pour la prochaine », poursuit-il, sur un ton alarmiste.

Comme ce fut le cas des délits d inities du 11 septembre :
 
Comment, en mars 2020, Le Parisien a essayé de faire passer les comploteurs pour des lanceurs d'alerte

Bill Gates, la CIA, Jacques Attali... ils avaient alerté sur une épidémie mondiale

Le risque d’une nouvelle pandémie a été évoqué à de nombreuses reprises depuis quinze ans. Et certaines projections ont de quoi inquiéter.​


Eux-mêmes se considèrent peut-être comme des « lanceurs d'alerte ». Bien avant que le nouveau coronavirus ne se propage partout à travers le monde, des personnalités et des services de renseignement avaient alerté sur l'impréparation des différents Etats face à une crise sanitaire mondiale. Ces propos, parfois alarmistes, qui ressortent des archives alors que les tous les pays du monde font face au Covid-19. Petit tour d'horizon de ces analyses du passé.

Bill Gates : « Nous ne sommes pas prêts »​

Nous sommes en avril 2015. L'épidémie Ebola vient de faire des ravages sur le continent africain (plus de 10 000 morts), mais le reste de la planète a été épargné. Bill Gates, fondateur de Microsoft et à la tête, avec son épouse Melinda, de la fondation philanthropique qui porte leur nom, fait part de ses craintes pour l'avenir.

« Si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu'une guerre », lâche-t-il en préambule de sa conférence Ted, dont le principe est de s'adresser debout face à un parterre d'invités.


Pour illustrer son propos, s'affichent derrière lui un champignon nucléaire puis un schéma d'un virus au microscope. « Nous avons investi beaucoup dans la dissuasion nucléaire, et très peu dans un système pour endiguer les épidémies. Nous ne sommes pas prêts pour la prochaine », poursuit-il, sur un ton alarmiste.

Alors ça c’est la meilleure au top 50!
 

De la questure à l’Elysée, Pascal Praud invité et ménagé par le pouvoir​

L’animateur vedette de « L’Heure des pros », sur CNews, a récemment été reçu à Matignon et à l’Assemblée nationale, après un dîner élyséen en octobre 2020.

Avec Eric Zemmour, il est l’une des vedettes de CNews. Et depuis que la chaîne de Vincent Bolloré talonne – elle la dépasse désormais – BFM-TV, il est l’un de ses visages de cette télé d’info en continu que beaucoup appellent la « Foxnews à la française », au point d’occuper toutes les conversations et d’obséder jusqu’au sommet de l’Etat. Le 24 mars, Pascal Praud a ainsi passé plus de deux heures dans le bureau de la directrice de la communication de Jean Castex, Mayada Boulos. Et en octobre 2020 – dans une ambiance plus conviviale – il dînait à l’Elysée.

Pascal Praud a gagné son ticket d’entrée à Matignon le lundi 22 mars, en plaçant au menu de son « talk » à succès, « L’Heure des pros », la conférence de presse du premier ministre sur les nouvelles mesures de « confinement » dans seize départements français (un mot contredit selon lui quelques heures plus tard par Emmanuel Macron). « Ce texte restera dans l’anthologie des discours de premiers ministres, se lamente ce jour-là Pascal Praud sur son plateau. Les gens ne pigent rien. » Les responsables de ce texte inspiré par « l’administration » et la « gauche sanitaire », comme il dit ? Le directeur du cabinet de Jean Castex, Nicolas Revel, lâche-t-il à l’antenne, « quelqu’un qui ne sait pas ce qu’est un Français de tous les jours », et Mayada Boulos, « ancienne attachée de presse de Marisol Touraine, la pire ministre de la santé de la Ve [République] ». Ce matin-là il ajoute : « Le type qui a inventé une attestation pour sortir de chez lui il faut le pendre ! »

« C’est au second degré évidemment que je dis ça »
, précise ensuite le journaliste. Mais Mayada Boulos n’apprécie pas cette violence, même métaphorique. Un coup de fil agacé au directeur de l’information de CNews, Thomas Bauder, et la voilà en contact avec l’animateur de « L’Heure des pros », qu’elle convie à prendre un café à Matignon. Le premier ministre passe par le bureau de sa conseillère durant l’entretien et l’animateur tente sa chance : M. le premier ministre, une interview pour s’expliquer dans « L’Heure des pros », plutôt que « d’aller toujours sur France Inter » ? Refus de Jean Castex, qui contrairement à pas mal de membres du gouvernement, rechigne à se rendre sur la chaîne. N’empêche, le café à Matignon aura quand même duré deux heures…

Retrouvailles​

Pascal Praud ne s’est pas seulement rendu rue de Varenne. Jeudi 15 octobre, il a été discrètement reçu à l’Elysée. Très bien reçu, même – convié à dîner par un trio qui se côtoie régulièrement et forme comme un club informel : Bruno Roger-Petit (« BRP »), le conseiller « mémoire » du président, Jonathan Guémas, ancien collaborateur de Gérard Collomb devenu la plume du chef de l’Etat, et Florian Bachelier, premier questeur de l’Assemblée nationale et ancien socialiste, lui aussi, avant d’être élu avec la vague En marche ! député d’Ille-et-Vilaine en 2017. « Un dîner de presse, comme nous en organisons souvent », explique Clément Leonarduzzi, le directeur de la communication du président, également présent à la soirée élyséenne.

Le reste est réservé aux abonnés (je sais, c'est frustrant mais j'vais pas m'abonner non plus, faut pas déconner)

 

At Vatican conference, Chelsea Clinton calls for global crackdown on anti-vaccine social media posts

‘I personally very strongly believe there has to be more intensive and intentional and coordinated global regulation of the content on social media platforms.’

VATICAN CITY, May 7, 2021 (LifeSiteNews) — Chelsea Clinton has spoken out against freedom of vaccine-critical speech at a Vatican conference dedicated to dialogue.

Speaking during a pre-recorded online meeting, Clinton, 41, responded to a question about so-called “vaccine hesitancy” regarding COVID-19 vaccines by saying that there must be a global effort to crack down on vaccine-critical social media posts.

“I personally very strongly believe there has to be more intensive and intentional and coordinated global regulation of the content on social media platforms,” she said.

“We know that the most popular video across all of Latin America for the last few weeks that now has tens of millions of views is just an anti-vax, anti-science screed that YouTube has just refused to take down.”

Clinton added that anti-vaccine content created in the United States “flourishes” across the world by way of social media platforms. Her attempts to convince the managers of these sites to remove the material has not worked, she said.

“We know that — because I have tried — that appealing to the leadership of these companies to do the right thing has just not worked, and so we need regulation.”

Clinton is the Vice President of the Clinton Foundation and the daughter of former President Bill Clinton and former Secretary of State Hillary Clinton. Like her parents, she is an outspoken advocate for abortion.

She appeared alongside Dr. Paul Farmer of Harvard Medical School and Dr. Walter Ricciardi, the Italian president of the World Federation of Public Health Associations, at a pre-recorded online meeting forming part of the Fifth International Vatican “Unite to Prevent & Unite to Cure” conference. Their meeting was first aired today.

Clinton said that the Clinton Foundation has been doing what it can to convince the “vaccine hesitant” and the “vaccine refusers” to take doses of the COVID-19 vaccines. She believes it is important to differentiate between people who are “hesitant” and those in the “refusal group.” The “hesitant” have questions that she can answer, for instance regarding the speed at which the vaccines were developed, their ingredients, and “conspiracies about microchips.”

The people in the “refusal group,” “often young people, don’t think they need the experimental vaccine or would prefer to wait a few years before taking it, Clinton added. They also include people in communities who “have been maltreated” by the American “health system for generations.”

Clinton said that her foundation thinks about “how we talk to black Americans, indigenous Americans, Latinos who know that members of their community have often been mistreated or even manipulated or exploited by our health care system.”

In response, the Clinton Foundation passes on advice to people trusted by those communities to convince them to take the COVID-19 injections.

“We try at the Foundation to really help equip trusted messengers, whether in health care settings or not,” Clinton said. “We’ve done work with a number of different religious communities, including some of our Catholic partners to really help ensure that whoever is able to have the conversation is really able to pre-empt or to answer any questions people may have.”

The message Clinton wants to get out to refusers is that the vaccines and vaccinators are waiting for them whenever they are comfortable.

“And we’re going to keep reaching out and try to help you get comfortable,” she added.

“So we’re just doing everything and anything we can … and we’re increasingly thinking about how we can engage in this work globally, too, because unfortunately vaccine hesitancy and vaccine refusal are not uniquely American challenges.”

Clinton made it clear that her views about “regulation” of social media content were her own and not those of the Clinton Foundation.

 
^^ Traduction Deepl

Lors de la conférence du Vatican, Chelsea Clinton appelle à une répression mondiale des publications sur les réseaux sociaux anti-vaccin​

"Personnellement, je crois fermement qu'il doit y avoir une réglementation mondiale plus intensive, intentionnelle et coordonnée du contenu sur les plateformes de médias sociaux."

VATICAN CITY, 7 mai 2021 ( LifeSiteNews ) - Chelsea Clinton s'est prononcée contre la liberté de discours critique sur les vaccins lors d'une conférence du Vatican consacrée au dialogue.

S'exprimant lors d'une réunion en ligne préenregistrée, Clinton, 41 ans, a répondu à une question sur la soi-disant «hésitation aux vaccins» concernant les vaccins COVID-19 en disant qu'il doit y avoir un effort mondial pour sévir contre les publications critiques sur les réseaux sociaux.

«Personnellement, je crois fermement qu'il doit y avoir une réglementation mondiale plus intensive, intentionnelle et coordonnée du contenu sur les plateformes de médias sociaux», a-t-elle déclaré.

"Nous savons que la vidéo la plus populaire dans toute l'Amérique latine au cours des dernières semaines, qui compte désormais des dizaines de millions de vues, n'est qu'une chape anti-vax et anti-science que YouTube vient de refuser de supprimer."

Clinton a ajouté que le contenu anti-vaccin créé aux États-Unis «prospère» à travers le monde par le biais de plateformes de médias sociaux. Ses tentatives pour convaincre les gestionnaires de ces sites de supprimer le matériel n'ont pas fonctionné, a-t-elle déclaré.

«Nous savons que - parce que j'ai essayé - que faire appel aux dirigeants de ces entreprises pour qu'ils agissent correctement n'a tout simplement pas fonctionné, et nous avons donc besoin d'une réglementation.»

Clinton est le vice-président de la Fondation Clinton et la fille de l'ancien président Bill Clinton et de l'ancienne secrétaire d'État Hillary Clinton. Comme ses parents, elle est une ardente défenseure de l'avortement.

Elle est apparue aux côtés du Dr Paul Farmer de la Harvard Medical School et du Dr Walter Ricciardi, président italien de la Fédération mondiale des associations de santé publique, lors d'une réunion en ligne préenregistrée faisant partie du Cinquième Vatican international «Unir pour prévenir et s'unir pour Conférence Cure ”. Leur rencontre a été diffusée pour la première fois aujourd'hui.

Clinton a déclaré que la Fondation Clinton avait fait ce qu'elle pouvait pour convaincre les «hésitants aux vaccins» et les «refuseurs de vaccins» de prendre des doses de vaccins COVID-19. Elle pense qu'il est important de faire la différence entre les personnes «hésitantes» et celles du «groupe du refus». Les «hésitantes» ont des questions auxquelles elle peut répondre, par exemple concernant la vitesse à laquelle les vaccins ont été développés, leurs ingrédients et les «complots sur les micropuces».

Les gens du «groupe de refus», «souvent des jeunes, ne pensent pas avoir besoin du vaccin expérimental ou préféreraient attendre quelques années avant de le prendre, a ajouté Clinton. Ils incluent également les personnes des communautés qui «ont été maltraitées» par le «système de santé américain pendant des générations».

Clinton a déclaré que sa fondation réfléchissait à «la façon dont nous parlons aux Noirs américains, aux autochtones américains, aux latino-américains qui savent que les membres de leur communauté ont souvent été maltraités ou même manipulés ou exploités par notre système de santé».

En réponse, la Fondation Clinton transmet des conseils aux personnes auxquelles ces communautés font confiance pour les convaincre de prendre les injections de COVID-19.

«Nous essayons à la Fondation d'aider vraiment à équiper des messagers de confiance, que ce soit dans les établissements de soins de santé ou non», a déclaré Clinton. «Nous avons travaillé avec un certain nombre de communautés religieuses différentes, y compris certains de nos partenaires catholiques, pour vraiment aider à faire en sorte que quiconque est capable d'avoir la conversation soit vraiment capable de devancer ou de répondre à toutes les questions que les gens pourraient avoir.

Le message que Clinton veut faire passer aux refuseurs est que les vaccins et les vaccinateurs les attendent chaque fois qu'ils sont à l'aise.

«Et nous allons continuer à tendre la main et essayer de vous aider à vous sentir à l'aise», a-t-elle ajouté.

«Nous faisons donc tout et tout ce que nous pouvons… et nous réfléchissons de plus en plus à la manière dont nous pouvons nous engager dans ce travail à l'échelle mondiale également, car malheureusement, l'hésitation et le refus de se faire vacciner ne sont pas uniquement des défis américains.»

Clinton a clairement indiqué que ses opinions sur la «réglementation» du contenu des médias sociaux étaient les siennes et non celles de la Fondation Clinton.
 
Leur clips démoniaques pour vacciner gratuitement le tiers monde (avec les taxes des esclaves des pays dev) fait par les pires catins du showiz, les starlettes les plus pourries et meme le pape afin de pousser une quantité significatif d'etre humain à se faire injecter les substances inconnues et ainsi plus tard obliger le reste de la population récalcitrante à le faire à travers la norme puis la loi!
 

A mes amis journalistes​

  • 25 AVR. 2021
  • PAR DOMINIQUE VIDAL
  • BLOG : DOMINIQUE VIDAL
Depuis une semaine, des centaines de jeunes fascistes du mouvement Lehava accompagnés par des policiers « ratonnent » à Jérusalem-Est au cri de « Mort aux Arabes ! ». Dans la plus totale impunité sur place. Et dans le quasi silence des grands médias internationaux, y compris chez nous. J’ai honte. Comme Français. Comme journaliste. Et comme juif.

Je travaille comme journaliste et comme historien sur le conflit israélo-palestinien depuis plus d’un demi-siècle.

J’ai assisté, comme vous, à bien des événements horribles.

Mais je n’avais jamais vécu un pogrom à Jérusalem.

Et vous ? Aviez-vous déjà vu des centaines de judéo-nazis tolérés voire aidés par des centaines de policiers « ratonner » dans Jerusalem-Est au cri de « Mort aux Arabes » ? L’accord entre le Premier ministre et les kahanistes a ouvert les vannes...

Pogrom nocturne à Jérusalem, avril 2021


Pogrom nocturne à Jérusalem, avril 2021



Le regretté Zeev Sternhell avait donc - hélas - raison d’écrire, il y a trois ans, dans Le Monde : « Il pousse en Israël un racisme proche du nazisme à ses débuts. »

On savait Netanyahou prêt à déclencher une guerre avec l’Iran pour sauver son « trône » et empêcher un accord Washington-Téhéran. Visiblement, il rêve aussi d’une Troisième Intifada pour imposer le gouvernement d’urgence nationale qu’il n’arrive pas à mettre en place.

Et voici ma question : pourquoi les grands médias pour lesquels vous travaillez ne traitent-ils pas - ou si peu - ces événements gravissimes en termes de droits humains comme en raison des dangers qu’ils recèlent pour tout le Proche-Orient ?

Pourquoi tout se passe comme si le fait d’être israélien autorisait à perpétrer des crimes impunis et « oubliés » par les grands moyens d’information.

Moi, j’ai honte. Comme Français. Comme journaliste. Et comme juif.

Confraternellement,

Dominique Vidal.

PS: Faut-il le préciser ? Ce silence médiatique alimente l'antisémitisme. Le « lobby » serait assez puissant pour faire taire les rédactions. Et s'il s'agissait avant tout d'auto-censure ? Inacceptable : que pèse le « confort » des professionnels face au pogrom de Jérusalem ?

 
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