Salam,
Cette histoire est une fiction, toute ressemblance y serait fortuite.
Nous étions en vacances dans une station balnéaire au Maroc, moi et un pote. Nous sirotions, un oasis en jouant aux cartes, profitant des rayons matinaux du soleil. Un début de journée paisible et agréable en somme.
Au bord de la piscine, des touristes enfin du monde. Mais quimporte moi et mon ami, nous nous concentrions à savoir qui saurait tricher aux cartes, à linsu de son adversaire.
Toujours concentrés dans notre partie, nous fumes interrompus par deux silhouettes en paréo et lunettes de soleil.
Lune delle prenant la parole :
« Salam hier à 3 heures du matin, on vous a entendu hurler sur un fond de musique rap. Votre chambre nous étant mitoyenne ». Regardant mon pote avec gène et baissant le regard, car ce quelle prétendait était avéré. Mon pote répondant avec gène « oui en fait on a des insomnies et la musique ça aide .pour sendormir, mais nous nous excusons pour la gêné occasionnée, et cela ne se reproduira plus » lui dit il avec un sourire. Elle-même ne restant pas indifférente au charme de mon ami.
Elle lui répondit « ce nest pas grave lincident est oublié, alors moi cest Loubna et mon amie cest Halima, nous venons tous de Paris exactement ». Mon ami rétorquant « Ca tombe bien, nous aussi ». Pour ma part restant totalement indifférent à cette nouvelle compagnie dont mon ami semblait se languir, je voulais terminer ma partie de cartes et sortir visiter la ville .et le laisser avec ses amies cadres sil le souhaitait.
Dun seul coup le plan tomba à leau ou la piscine devrai je dire, quand la Loubna avec son ballon sous le bras dit à mon ami « ça vous intéresse les garçons une partie de volley dans la piscine, le filet a été mis en place ce serait intéressant que lon puisse y faire un deux contre deux et on est deux, vous etes deux hi hi ». Je regarde mon pote avec gène en hochant la tête, pensant quil alla trouver un motif pour nous dispenser de cette séance de sport aquatique, dont je navais nul besoin .
A mon grand désarroi il répondit « ok les filles », « moi je vais jouer avec Loubna , et toi tu joueras avec Halima ». Je me dit ok, la partie ne sera pas longue, et quensuite je le laisserai seul avec elles pour vaquer à mes taches. Je ne voulais pas le contrarier.
Nous jouions (surtout mon pote), la fin de partie retentissait quand Loubna dit « aller on fini sur la revanche »
A ce moment, le drame : japerçu pendant que les trois autres étaient concentrés sur la partie, un éléphant sur deux jambes sorti de nulle part avec son sourire narquois, en maillot une pièce et bonnet de bain prendre sa vitesse afin deffectuer son plongeon dans la piscine.
Je constatais que le maître nageur dans sa cabine et qui était au téléphone avait jeté le combiné pour en sortir et hurler en vain « non Madame , non !!!!!!! », les touristes étant au bord de la piscine prenant la fuite, en emmenant femme, enfants, mots croisés .
Je savais quun drame était inéluctable et que pour sauver ma vie je devais magripper sur le rebord de la piscine et attendre la fin du tsunami.
Cette histoire est une fiction, toute ressemblance y serait fortuite.
Nous étions en vacances dans une station balnéaire au Maroc, moi et un pote. Nous sirotions, un oasis en jouant aux cartes, profitant des rayons matinaux du soleil. Un début de journée paisible et agréable en somme.
Au bord de la piscine, des touristes enfin du monde. Mais quimporte moi et mon ami, nous nous concentrions à savoir qui saurait tricher aux cartes, à linsu de son adversaire.
Toujours concentrés dans notre partie, nous fumes interrompus par deux silhouettes en paréo et lunettes de soleil.
Lune delle prenant la parole :
« Salam hier à 3 heures du matin, on vous a entendu hurler sur un fond de musique rap. Votre chambre nous étant mitoyenne ». Regardant mon pote avec gène et baissant le regard, car ce quelle prétendait était avéré. Mon pote répondant avec gène « oui en fait on a des insomnies et la musique ça aide .pour sendormir, mais nous nous excusons pour la gêné occasionnée, et cela ne se reproduira plus » lui dit il avec un sourire. Elle-même ne restant pas indifférente au charme de mon ami.
Elle lui répondit « ce nest pas grave lincident est oublié, alors moi cest Loubna et mon amie cest Halima, nous venons tous de Paris exactement ». Mon ami rétorquant « Ca tombe bien, nous aussi ». Pour ma part restant totalement indifférent à cette nouvelle compagnie dont mon ami semblait se languir, je voulais terminer ma partie de cartes et sortir visiter la ville .et le laisser avec ses amies cadres sil le souhaitait.
Dun seul coup le plan tomba à leau ou la piscine devrai je dire, quand la Loubna avec son ballon sous le bras dit à mon ami « ça vous intéresse les garçons une partie de volley dans la piscine, le filet a été mis en place ce serait intéressant que lon puisse y faire un deux contre deux et on est deux, vous etes deux hi hi ». Je regarde mon pote avec gène en hochant la tête, pensant quil alla trouver un motif pour nous dispenser de cette séance de sport aquatique, dont je navais nul besoin .
A mon grand désarroi il répondit « ok les filles », « moi je vais jouer avec Loubna , et toi tu joueras avec Halima ». Je me dit ok, la partie ne sera pas longue, et quensuite je le laisserai seul avec elles pour vaquer à mes taches. Je ne voulais pas le contrarier.
Nous jouions (surtout mon pote), la fin de partie retentissait quand Loubna dit « aller on fini sur la revanche »
A ce moment, le drame : japerçu pendant que les trois autres étaient concentrés sur la partie, un éléphant sur deux jambes sorti de nulle part avec son sourire narquois, en maillot une pièce et bonnet de bain prendre sa vitesse afin deffectuer son plongeon dans la piscine.
Je constatais que le maître nageur dans sa cabine et qui était au téléphone avait jeté le combiné pour en sortir et hurler en vain « non Madame , non !!!!!!! », les touristes étant au bord de la piscine prenant la fuite, en emmenant femme, enfants, mots croisés .
Je savais quun drame était inéluctable et que pour sauver ma vie je devais magripper sur le rebord de la piscine et attendre la fin du tsunami.