Lettre qui n'arrivera pas.

La douleur tout autant ...

Mais la douleur a besoin d'être extériorisée, évacuée, on a toujours besoin du regard de l'autre, d'être rassuré.

Mais quand on goûte au bonheur, on ne voit pas le reste, on s'y plonge en espérant y rester le plus longtemps possible. Il n'y a pas cette rage au ventre que l'on veut crier au monde: le monde n'est pas. Seul le bonheur compte.
 
Parce que le bonheur on ne l'écrit pas, on le vit.


Le malheur non plus, on le subit.

Et on ne prend un bout de papier (ou une nouvelle page word, blog ou autres) que pour le décrire.



Aji...Pourquoi tu as changé de symbole (t'es pas une fille...)?
 
Ouais commençons par la lettre de 1994

J'aime l'ordre :intello:

Un soleil qui se couche au loin. Un rideau sombre tombe sur le théâtre de la vie. Tout est nuit. Puis les questions reprennent leur cours. Puis les peurs s'emparent de l'âme. Et si tout s'écroulait un jour? On fuit, on oublie, mais ça vous poursuit. Vos pôles se détachent petit à petit, et vous assistez, impuissants, au drame qui se déroule. Si crier, hurler, pleurer ou parler servait à quelque chose. Maintenant c'est tellement complexe qu'il n'existe plus d'autre place pour vous que celui de spectateur à la scène qu'interprètent deux acteurs. On revient aux mélodrames, aux histoires oubliées des auteurs de tristesse. Aux cachoteries, aux rancoeurs, aux rages et amertumes rabachées. Le pire c'est que vous êtes obligés d'assister. Le meilleur c'est que ce sont les acteurs qui vous payent le ticket d'entrée! Alors profitez. Vous sortirez par l'une des portes un jour. Et toutes les portes s'appelles: Apprendre. Mais apprendre quoi? leur rôle ou de leur rôle? A vous de choisir. C'est si facile de crier, hurler et pleurer. C'est si dur de se calmer, de prendre sur soi et d'aimer. Est ce que le jour où la bénédiction de Dieu a uni les destins, ils ont songé une seule fois que la flamme pourrait vaciller?
S'aimer, s'unir dans la jeunesse insouciante. Et puis la sagesse s'installe, trimpabllant derrière elle ennui et fatigue, alimentées ces deux mégères, par la routine et la rudesse de la tâche.
Alors on dit que tout cela n'est qu'une grossière erreur.
 
Un soleil qui se couche au loin. Un rideau sombre tombe sur le théâtre de la vie. Tout est nuit. Puis les questions reprennent leur cours. Puis les peurs s'emparent de l'âme. Et si tout s'écroulait un jour? On fuit, on oublie, mais ça vous poursuit. Vos pôles se détachent petit à petit, et vous assistez, impuissants, au drame qui se déroule. Si crier, hurler, pleurer ou parler servait à quelque chose. Maintenant c'est tellement complexe qu'il n'existe plus d'autre place pour vous que celui de spectateur à la scène qu'interprètent deux acteurs. On revient aux mélodrames, aux histoires oubliées des auteurs de tristesse. Aux cachoteries, aux rancoeurs, aux rages et amertumes rabachées. Le pire c'est que vous êtes obligés d'assister. Le meilleur c'est que ce sont les acteurs qui vous payent le ticket d'entrée! Alors profitez. Vous sortirez par l'une des portes un jour. Et toutes les portes s'appelles: Apprendre. Mais apprendre quoi? leur rôle ou de leur rôle? A vous de choisir. C'est si facile de crier, hurler et pleurer. C'est si dur de se calmer, de prendre sur soi et d'aimer. Est ce que le jour où la bénédiction de Dieu a uni les destins, ils ont songé une seule fois que la flamme pourrait vaciller?
S'aimer, s'unir dans la jeunesse insouciante. Et puis la sagesse s'installe, trimpabllant derrière elle ennui et fatigue, alimentées ces deux mégères, par la routine et la rudesse de la tâche.
Alors on dit que tout cela n'est qu'une grossière erreur.


tu n'as aucune honte à avoir j'adore! c'est rythmé, bien construit, entrainant^^.
 
Mais la douleur a besoin d'être extériorisée, évacuée, on a toujours besoin du regard de l'autre, d'être rassuré.

Mais quand on goûte au bonheur, on ne voit pas le reste, on s'y plonge en espérant y rester le plus longtemps possible. Il n'y a pas cette rage au ventre que l'on veut crier au monde: le monde n'est pas. Seul le bonheur compte.

Cela dépend ...Certaines douleurs sont inavouables ...même à un bout de papier.

Je te rejoins tout de même, la douleur, comme dirait ce cher ami, reste le moteur le plus puissant de l'écriture....
 
Il me semble que ces lettres sont aussi à toi :

Drapées de nudité, deux chastes statues sur le nid des offrandes de l'amour, attendent passivement que leurs destinées brouillées se dénouent. Depuis leur alcôve de passion, elles regardent se muer les jours, tranquilles et nonchalants comme des nuages en vogue sur un océan d'indifférence.

ma i koun 3andki bass :langue:


khellitkoum mfelsfine, tseb7o 3la khir...
 
Un soleil qui se couche au loin. Un rideau sombre tombe sur le théâtre de la vie. Tout est nuit. Puis les questions reprennent leur cours. Puis les peurs s'emparent de l'âme. Et si tout s'écroulait un jour? On fuit, on oublie, mais ça vous poursuit. Vos pôles se détachent petit à petit, et vous assistez, impuissants, au drame qui se déroule. Si crier, hurler, pleurer ou parler servait à quelque chose. Maintenant c'est tellement complexe qu'il n'existe plus d'autre place pour vous que celui de spectateur à la scène qu'interprètent deux acteurs. On revient aux mélodrames, aux histoires oubliées des auteurs de tristesse. Aux cachoteries, aux rancoeurs, aux rages et amertumes rabachées. Le pire c'est que vous êtes obligés d'assister. Le meilleur c'est que ce sont les acteurs qui vous payent le ticket d'entrée! Alors profitez. Vous sortirez par l'une des portes un jour. Et toutes les portes s'appelles: Apprendre. Mais apprendre quoi? leur rôle ou de leur rôle? A vous de choisir. C'est si facile de crier, hurler et pleurer. C'est si dur de se calmer, de prendre sur soi et d'aimer. Est ce que le jour où la bénédiction de Dieu a uni les destins, ils ont songé une seule fois que la flamme pourrait vaciller?
S'aimer, s'unir dans la jeunesse insouciante. Et puis la sagesse s'installe, trimpabllant derrière elle ennui et fatigue, alimentées ces deux mégères, par la routine et la rudesse de la tâche.
Alors on dit que tout cela n'est qu'une grossière erreur.

Les œuvres typiquement ado' sont universels! :D
 
hooo c est marrant , moi j ai retrouvé y a pas longtemps mon cahier de correspondance rouge et celui de poesie qui date du CP

ils sont soignesement gardés secret lol
 
A ma gauche deux hommes plaisantent, ils parlent de filles de voyages de leur travail,
Je les ai écoutés bavarder j'aurais bien voulus intervenir, un peu plus tard je les verrais s'éloigner ils ne m'on même pas remarqué ...
Je reprends mon occupation scruter les gens, je m'imagine comme un arbre regardant les gens avancer changer VIVRE et moi je reste la je change pas. Quand j'étais plus jeune je pensais que quand je serais plus vieux j'aurai une vie des plus trépidantes mais nan, je ne devais pas être agé de plus de 5 ans.

Il fait de plus en plus froid les passages sont moins fréquents il commence a faire vraiment froid et mes muscles fessiers commence à se raidir je ne tiendrais plus longtemps faut que je rentre vaut mieux être seul au chaud que seul dans le froid nan ?

Je prends le métro aux halles et je rentre chez moi une vague discussion avec ma sœur et hop au lit.

J'ai déconner de rentrer je me sens encore plus seul ici, j'aurai du rester là-bas j'allume la télé et je zappe machinalement avant de tomber sur Jean-Luc Delarue posant des question a une mère seule battue qui a élever un enfant trisomique toute en étant sourde et aveugle, je regarde et je me dis qu'en fin de compte j'ai eu de la chance je ne suis ni trisomique (enfin je pense pas) ni battue ni sourd ni aveugle Bon ça seul je le suis tellement que j'ai écrit un truc la dessus un jour, je consulte mon répondeur rien mes sms Rien ma boite émail RIEN je vais porter plainte contre X pour abandon si ça continu nan pas contre X contre toutes les personne présente dans mon répertoire comme ça ils seront jugés et punnis.

Je m'endors petit à petit sur un fond de rediffusion de Derrick la tête pleine de solitude peut être que demain matin je me réveillerai avec mes parents au petit déj.et je passerai le soirée Nan la je rêve vraiment.

Bonne nuit.
 
A ma gauche deux hommes plaisantent, ils parlent de filles de voyages de leur travail,
Je les ai écoutés bavarder j'aurais bien voulus intervenir, un peu plus tard je les verrais s'éloigner ils ne m'on même pas remarqué ...
Je reprends mon occupation scruter les gens, je m'imagine comme un arbre regardant les gens avancer changer VIVRE et moi je reste la je change pas. Quand j'étais plus jeune je pensais que quand je serais plus vieux j'aurai une vie des plus trépidantes mais nan, je ne devais pas être agé de plus de 5 ans.

Il fait de plus en plus froid les passages sont moins fréquents il commence a faire vraiment froid et mes muscles fessiers commence à se raidir je ne tiendrais plus longtemps faut que je rentre vaut mieux être seul au chaud que seul dans le froid nan ?

Je prends le métro aux halles et je rentre chez moi une vague discussion avec ma sœur et hop au lit.

J'ai déconner de rentrer je me sens encore plus seul ici, j'aurai du rester là-bas j'allume la télé et je zappe machinalement avant de tomber sur Jean-Luc Delarue posant des question a une mère seule battue qui a élever un enfant trisomique toute en étant sourde et aveugle, je regarde et je me dis qu'en fin de compte j'ai eu de la chance je ne suis ni trisomique (enfin je pense pas) ni battue ni sourd ni aveugle Bon ça seul je le suis tellement que j'ai écrit un truc la dessus un jour, je consulte mon répondeur rien mes sms Rien ma boite émail RIEN je vais porter plainte contre X pour abandon si ça continu nan pas contre X contre toutes les personne présente dans mon répertoire comme ça ils seront jugés et punnis.

Je m'endors petit à petit sur un fond de rediffusion de Derrick la tête pleine de solitude peut être que demain matin je me réveillerai avec mes parents au petit déj.et je passerai le soirée Nan la je rêve vraiment.

Bonne nuit.

Comme disait MissZara, les oeuvres adolescentes sont universelles :D

J'ai aussi un écrit sur la solitude.
 
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