Le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a appelé le gouvernement à rompre tout contact avec l'Autorité palestinienne car elle a l'intention de recourir à la violence à l'occasion de la proclamation attendue de l'Etat palestinien en septembre.
Lors d'une conférence de presse dimanche 7 août 2011, le ministre des Affaires étrangères et leader du parti Israël Beitenou Avigdor Lieberman a annoncé qu'il demanderait au gouvernement de rompre tous les liens avec l'Autorité palestinienne, y compris la coopération sur la sécurité.
Il a également indiqué qu'il était clair qu'avec la reconnaissance attendue d'un Etat palestinien en septembre par l'ONU, l'AP a prévu « les pires violences et la plus grande effusion de sang que nous ayons jamais vus ».
Il a qualifié de ridicules les affirmations de l'AP selon lesquelles les Palestiniens n'étaient intéressés que par des protestations non violentes. Il a précisé que s'ils prévoient de marcher par milliers vers les checkpoints et tentent de passer au travers, il est évident qu'il y aura des violences.
Selon lui, couper les liens avec l'AP est nécessaire pour faire passer le message qu'ils ne peuvent travailler contre Israël à l'international sans en subir les conséquences. « Ils doivent comprendre qu'il y a un prix », a-t-il affirmé.
Le porte-parole dIsraël Beitenou, en voyage daffaires, a précisé de son côté qu « il est impossible de sattendre à ce que lEtat dIsraël transfère de largent au Hamas et ainsi finance des activités terroristes contre les citoyens israéliens ».
« Ceux qui ont déclaré que Ben Laden est un combattant pour la liberté des musulmans, comme la déclaré le Premier ministre du Hamas, Ismail Haniyeh, et ceux qui refusent de permettre à la Croix-Rouge de visiter Guilad Shalit, ne peuvent pas être des partenaires pour les négociations, directement ou indirectement », a-t-il dit.
La cessation de contact avec lAutorité palestinienne inclurait toutes les initiatives interministérielles et la coopération sécuritaire, en plus du transfert des recettes fiscales.
Le Quartet (les États-Unis, la Russie, lUnion européenne et les Nations Unies) a de son côté averti que le Hamas doit reconnaître le droit à Israël dexister, renoncer à la violence et adhérer aux accords souscrits antérieurement.
Le Hamas se refuse à le faire et a indiqué qu'il continuera de refuser, même après avoir été réadmis au côté de l'Autorité palestinienne.
Guyssen
Lors d'une conférence de presse dimanche 7 août 2011, le ministre des Affaires étrangères et leader du parti Israël Beitenou Avigdor Lieberman a annoncé qu'il demanderait au gouvernement de rompre tous les liens avec l'Autorité palestinienne, y compris la coopération sur la sécurité.
Il a également indiqué qu'il était clair qu'avec la reconnaissance attendue d'un Etat palestinien en septembre par l'ONU, l'AP a prévu « les pires violences et la plus grande effusion de sang que nous ayons jamais vus ».
Il a qualifié de ridicules les affirmations de l'AP selon lesquelles les Palestiniens n'étaient intéressés que par des protestations non violentes. Il a précisé que s'ils prévoient de marcher par milliers vers les checkpoints et tentent de passer au travers, il est évident qu'il y aura des violences.
Selon lui, couper les liens avec l'AP est nécessaire pour faire passer le message qu'ils ne peuvent travailler contre Israël à l'international sans en subir les conséquences. « Ils doivent comprendre qu'il y a un prix », a-t-il affirmé.
Le porte-parole dIsraël Beitenou, en voyage daffaires, a précisé de son côté qu « il est impossible de sattendre à ce que lEtat dIsraël transfère de largent au Hamas et ainsi finance des activités terroristes contre les citoyens israéliens ».
« Ceux qui ont déclaré que Ben Laden est un combattant pour la liberté des musulmans, comme la déclaré le Premier ministre du Hamas, Ismail Haniyeh, et ceux qui refusent de permettre à la Croix-Rouge de visiter Guilad Shalit, ne peuvent pas être des partenaires pour les négociations, directement ou indirectement », a-t-il dit.
La cessation de contact avec lAutorité palestinienne inclurait toutes les initiatives interministérielles et la coopération sécuritaire, en plus du transfert des recettes fiscales.
Le Quartet (les États-Unis, la Russie, lUnion européenne et les Nations Unies) a de son côté averti que le Hamas doit reconnaître le droit à Israël dexister, renoncer à la violence et adhérer aux accords souscrits antérieurement.
Le Hamas se refuse à le faire et a indiqué qu'il continuera de refuser, même après avoir été réadmis au côté de l'Autorité palestinienne.
Guyssen