Salam,
Nous sommes si ma mémoire ne me fait pas défaut, une soirée d’hiver en début 2009. C’est un samedi soir, après mon retour d’une après midi balade dans la capitale. Je devais voir un ami, mais celui-ci étant souffrant, me charge de lui amener un palliatif à ses maux de ventre. Je vais lui dire, que je ne sais pas si je vais trouver à cette heure tardive une pharmacie d’ouverte, mais que j’allais essayer au centre commercial Carrefour se situant à quelques kilomètres de chez moi.
Je devais d’ailleurs m’y rendre pour quelques courses qui me fallait. Mais la demande de mon ami avait accentué ma motivation pour m’y rendre.
J’arrive donc dans ce centre commercial, et me dirige directement vers la pharmacie. La chance sera ouverte, et puis je repars avec le traitement pour mon malade. Enfin bref.
Le Carrefour de cette galerie étant encore ouvert, l’aubaine se présentait à moi d’acheter ce qui me manquait. Je me dirige donc vers le rayon laitier ce il qu'il me fallait c'était des yaourts et du lait.
Et à ce moment que vois je ?
Je vois une magnifique Maghrébine penchée en train de choisir des Kiri (une pensée cynique aurait traversé le chacal qui sommeille en chaque homme, mais pas moi). Sa beauté m’a fracassé la rétine. Les reflets anémiques des malheureux néons de cette grande surface froide et déserte retrouvaient soudainement leurs éclats au contact de la chevelure de cette magnifique créature. Elle avait rendu insidieusement, le rayon crémerie en rayon de la nymphe Magrébine, je sentis le sirocco véhiculé par cette rose des sables me traverser et traverser le rayon crémerie.
Son regard se leva et se posa laconiquement sur moi dans ce rayon vide. Ensuite elle continua sa prospection de Kiri.
Son regard de miel m’a pour la première fois de la vie fait hésiter entre du lait écrémé ou du lait demi écrémé. Entre des yaourts premiers prix, et des Yoplait.
La suite plus tard.
Nous sommes si ma mémoire ne me fait pas défaut, une soirée d’hiver en début 2009. C’est un samedi soir, après mon retour d’une après midi balade dans la capitale. Je devais voir un ami, mais celui-ci étant souffrant, me charge de lui amener un palliatif à ses maux de ventre. Je vais lui dire, que je ne sais pas si je vais trouver à cette heure tardive une pharmacie d’ouverte, mais que j’allais essayer au centre commercial Carrefour se situant à quelques kilomètres de chez moi.
Je devais d’ailleurs m’y rendre pour quelques courses qui me fallait. Mais la demande de mon ami avait accentué ma motivation pour m’y rendre.
J’arrive donc dans ce centre commercial, et me dirige directement vers la pharmacie. La chance sera ouverte, et puis je repars avec le traitement pour mon malade. Enfin bref.
Le Carrefour de cette galerie étant encore ouvert, l’aubaine se présentait à moi d’acheter ce qui me manquait. Je me dirige donc vers le rayon laitier ce il qu'il me fallait c'était des yaourts et du lait.
Et à ce moment que vois je ?
Je vois une magnifique Maghrébine penchée en train de choisir des Kiri (une pensée cynique aurait traversé le chacal qui sommeille en chaque homme, mais pas moi). Sa beauté m’a fracassé la rétine. Les reflets anémiques des malheureux néons de cette grande surface froide et déserte retrouvaient soudainement leurs éclats au contact de la chevelure de cette magnifique créature. Elle avait rendu insidieusement, le rayon crémerie en rayon de la nymphe Magrébine, je sentis le sirocco véhiculé par cette rose des sables me traverser et traverser le rayon crémerie.
Son regard se leva et se posa laconiquement sur moi dans ce rayon vide. Ensuite elle continua sa prospection de Kiri.
Son regard de miel m’a pour la première fois de la vie fait hésiter entre du lait écrémé ou du lait demi écrémé. Entre des yaourts premiers prix, et des Yoplait.
La suite plus tard.