L'islam et un futur glorieux

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un exemple de quoi ? des conquetes cruelles de l'islam ?
quand les arabo-musulmans envahissent l'Algérie et le Maroc au début du 8eme siecle, ils envoient 100 000 femmes esclaves en Arabie (biensur, elles ont toute servie d'esclaves sexuelles). Cet esclavage a ensuite eu lieu en Espagne, puis en Afrique, pareil en Inde, etc... et ceci pendant des siècles.
Ton lien n'a aucun rapport.
Tu n'as aucune preuve des mensonges que tu profères.
A part diffamer sur l'islam tu sers a rien.tu es juste un sioniste déguisé en marocain.
 
Le Sahih Al Boukhari n’est pas une œuvre divine. C’est un travail humain de compilation, qu’en tant que musulman croyant, je refuse de sacraliser. Il y a parfois des contradictions entre le message coranique et le Sahih de Boukhari. ;)
le Calife Omar ibn Abd Al Aziz avait demandé de porter une attention particulière à la classification des traditions transmises par Aïcha.

Cette oeuvre marque la première tentative officielle d'assemblage des hadîths qui serait relativement comparable à l'assemblage du Coran sous le règne du calife Aboû Bakr. Elle fut précédée par une tentative du 2ème calife Omar Ibn al Khattab aussi avait envisagé de faire rédiger les traditions du Prophète, mais finalement, il revînt sur sa décision craignant que cela puisse être considéré comme une innovation.

NOTA : Les hadiths étaient transmis oralement et devaient le rester. C'est pour cette raison que Omar a pensé que les mettre par écrit aurait été une innovation. D'ailleurs, ceux qui les inscrivaient pour ne pas les oublier, montraient ainsi une mémoire faible et défaillante.

La période durant laquelle les traditions du Prophète, les données historiques s'y référant, furent réunies et compilées, peut être divisée en trois parties.

§ La 1ère comprend la période durant laquelle les traditions furent notées par les compagnons ayant directement accès à ces informations ou étant eux-mêmes témoins de ce qu'ils écrivaient. Cette période s'étend plus ou moins jusque la fin du premier siècle de l'Hégire

NOTA : Voir l'image ci-dessous, où l'on voit une seule personne présumée témoin oculaire, qui transmet à d'autres personnes et ainsi de suite.

§ La 2ème comprend la période pendant laquelle les gens se mirent à rédiger les traditions en se renseignant auprès de ces compagnons qui avaient été témoins et qui avaient eu directement ces informations. Elle s'étend jusqu'à 150 A.H.

§ Finalement la 3ème partie est la période où, la rédaction du hadîth qui existe aujourd'hui, fut entrepris. Cette période s'étend jusqu'aux premières décades du 4ème siècle.

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Faux.

Tous les péchés sont du domaine du pardonnable par Allah le Très-Haut, hormis l'associationnisme.
Pardonnable voulant dire "pas nécessairement pardonné"

Nuance de la plus haute importance.
Hadith qudsi :

Ô fils de Adam! Si tes péchés atteignes le niveau des cieux puis tu me demandes pardon je te pardonne et n'en tiens pas compte.
Ô fils de Adam! Certes si tu viens à moi avec l'équivalent de la terre remplie de péchés mais que tu me rencontres sans m'avoir rien associé alors je te rencontrerais avec autant de pardon ».
 
Il faut prouver que le hadith est sahih. Or, quand on parle de probabilité on est loin de la certitude. Par conséquent renier un hadith sahih ne fait pas sortir de l'Islam, car les hadiths ne sont pas le Coran qui lui est le fruit de la Révélation divine.

Salam,

Sans hadith, pas de savant, donc c'est normal que les savants soient unanimes pour dire que rejeter les hadith c'est sortir de l'islam, précisons qu'il s'agit de l'islam sunnite... donc ça va, rien de grave...
 
Hadith qudsi :

Ô fils de Adam! Si tes péchés atteignes le niveau des cieux puis tu me demandes pardon je te pardonne et n'en tiens pas compte.
Ô fils de Adam! Certes si tu viens à moi avec l'équivalent de la terre remplie de péchés mais que tu me rencontres sans m'avoir rien associé alors je te rencontrerais avec autant de pardon ».
Comment tu t'accroches aux hadiths uniquement quand ça t'arrange..😳😳😳

Opportunisme quand tu nous tiens 🙄

Ce hadith prouve juste que en dehors du shirk tout péché est pardonnable, et pas automatiquement pardonné.
 
@TIGELLIUS ,
À propos de certains intervenants :
Il nous faut comprenions que nous faisons face à des jeunes ne possédant aucune connaissance de leur propre religion, de leur propre histoire religieuse et donc à la merci de redoutables communicants.

L’islam de Damas et de Bagdad prône en fait – non pas le respect de la tradition prophétique, mais l’allégeance aveugle aux califes qui se sont succédés, et cela en toutes circonstances. Ils ont tronqué l’héritage de ce que les musulmans considèrent comme un prophète, assassiné ses descendants, modifié les pratiques religieuses en subventionnant des conteurs réputés être des menteurs (certains conteurs ont partagé plus de hadîths qu’il n’existe de versets dans le Coran, créant de facto des « Corans » alternatifs). Cette histoire sonne malheureusement comme bien d’autres, montées par des mouvances totalitaires ou fascistes : un pouvoir violent qui réécrit son propre passé afin de mieux asservir les populations et les rendre définitivement esclaves de mégalomanes barbares.
 
Quelques interrogations :

Pourquoi le terme « savant » n’est utilisé avec force et insistance qu’en islam ?
Pourquoi les uns disent, et que les autres répètent, « savant en islam », en faisant référence à tel ou tel « maître » ou charlatan ? Alors que, d’une part, dans les autres religions, on parle plus humblement de « théologiens », qu’ils soient « Rabbins » ou « Pères de l’Eglise », « Commentateurs » ou « Exégètes », et qui n’en sont pas moins érudits ; et que d’autre part, pour se couvrir du titre de « savant en islam », encore faut-il s’identifier à la science, ce qui n’est pas le cas en matière religieuse, et a fortiori pour ces nouveaux usurpateurs.
Rappel de taille :
La science, comme méthode et comme un ensemble de connaissances mises en rapport avec des faits, objets et phénomènes obéissant à des lois, et dont la causalité est vérifiée par des méthodes expérimentales, est une démarche qui, le moins que l’on puisse dire, est très éloignée des études religieuses. Les études religieuses portent sur des croyances, sur des textes révélés ou sur des traditions, sur le divin, sur l’invisible, sur les miracles. En somme, sur des phénomènes non scientifiques par essence, non confirmés par la science.
 
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