mais tu n as rien démontré bien au contraire tu montre à tout les bladinautes
ton incapacités flagrantes à demontrer mathématiquement que mon raisonnement
est faux
la crise de subprimes (organisé par goldman and sachs) n est que la preuve
que le systeme bancaire dont tu fais le chantre n est qu une bande de *******
car ils pretaient de l argent à des ménages dont ils connaisaient l insolvabilité
mais leur appat du gaine n a pas empeché de jeter à la rue des familles entières
ce qui prouvent leur inhumanité!
et voila que maintenant tu viens avec les petrodollars
bientot il va nous sortir que la crise c est à cause des emirs du golfe
l endettement du tiers-monde n est pas la conséquence du recyclage des petro-dollars mais c est plutot la nouvelle politique banque mondiale ( dirigé par mac namara ) au début des années 70 et malheureuseument ces pays dirigés par des
dictateurs sans scrupules ont mordu à l hamecon.
mais cela est autre débat qui montre vraiment que ce systeme bancaire capitaliste
est pire qu une calamité!
mais n oublie pas aussi les eurodollars!
de plus les milliards de dollars ne sont pas des clichés !ils sont bien réels.
cela dit tes arguments ne résiste pas à l analyse de faits réels mais malgré
cela tu t obstines dans tes erreurs....
sinon je pense qu on arrive à la fin du match et que le KO est proche.
allez salut mon pote
tu m as pas convaincu et j t ai pas convaincu!
alors contentons nous d appliquer la parole d allah de facon litterale
on sera sur de tomber dans aucun piege....
wa salam.
Reprends tes esprits, fiston, souffle un coup et arrête de te croire sur un ring de boxe. On sent ostensiblement que l'extase que te donne ton illusion de savoir, te remplit de testostérone, mais fais l'effort quand même d'en revenir au débat de fond.
En fait ton intervention m'a fait sourire à plusieurs endroits... la manière dont tu confonds allègrement le système bancaire international, la stratégie de crédits, le taux d'intérêt,..., est assez révélatrice de la volonté de fond qui t'anime, celle de dénoncer en fait le grand vilain méchant capitalisme. Alors que le sujet du post - je te rafraîchis les neurones possiblement embrumés en cette heure - traitait de l'intérêt et de l'usure. Non du capitalisme.
C'est sans doute par incapacité à répondre sur le fond de la différentiation entre les deux que tu préfères t'égarer dans une argumentation qui fait une soupe de tout: crédits, attitudes mercantiles, banque centrale, dérégulation,..., tout cela pour en arriver - on voit clair dans ton jeu - à une condamnation sans équivoque de ce système que, dans ta maturité intellectuelle, tu définis comme "système de *******" .
Néanmoins, tu ne trompes personne en t'égarant comme tu le fais. Que le système bancaire ne soit pas parfait, qu'il nécessite une régulation plus intense et plus d'éthique, c'est une évidence dont personne ne t'avait attendu pour se rendre compte. Simplement, fiston, ce n'est pas de cela que l'on parle ici: on parle d'intérêt. Sur tous les dérèglements financiers de ces 30 dernières années, tu noies le poisson en voulant confusément faire passer l'intérêt pour responsable, ce qui est un non-sens. Je te l'ai démontré pour la crise de la dette des PVD: elle était bien liée à un excès de capitaux issus largement des revenus du pétrole (et relax, ce n'est pas une attaque contre les pays producteurs, fiston, mais contre les banques ), qu'il fallait recycler et par rapport auxquels le financement du développement semblait un secteur prometteur. Oui, il va de soi aussi que la Banque Mondiale a conduit des stratégies favorisant cet octroi inconsidéré. La question n'est pas là: elle est dans la reconnaissance du fait que les banques et la BM ont été aveugles au risque réel de crédit que représentait cette activité. La Banque a sous-estimé de manière évidente les risques comme l’atteste son Rapport annuel sur le développement dans le monde 1981 : “ Ces tendances indiquent qu’il sera plus difficile pour les pays en voie de développement de gérer leur dette, mais elles n’annoncent pas de problème généralisé, ce que confirment les projections de balance des paiements établies pour les années 1980 en fonction des scénarios probables (C’est nous qui soulignons, N.D.R.)”. .
Bel exemple d'aveuglement aux conséquences dramatiques. Les prêts ont continué à pleuvoir alors qu'ils auraient du faire l'objet d'une révision drastique.
Durant plusieurs années, la Banque a continué à s’accrocher à l’illusion d’un problème passager de liquidités pour expliquer la crise de la dette au lieu de reconnaître que les débiteurs étaient insolvables : ils n’avaient pas seulement un problème de liquidités, ils vivaient une crise authentique, structurelle et durable.
(suite....)