Nous cherchons souvent à tout remettre en question et ce n'est pas une mauvaise chose, finalement ce qui EST ne peut être détruit par nos doutes, au contraire, ce qui EST ne peut qu'être, nos doutes ne peuvent que conforter la vérité puisque par définition la Vérité EST et ne peut être annihilée, je ne pense pas que l'Islam ai pu autant être dénaturée que nous le pensions, je pense simplement qu'il nous manque ici et là des précisions et des détails, des vérités plus ou moins cachées que seul l'étude et la réflexion pourront peu à peu dévoilé, et ce le rôle et le devoir de tout taleb de tenter de découvrir ces "secrets", pour ce qui est de la salat je pense que nous maitrisons sa manifestation extérieur, elle est telle qu'elle est pratiquée partout dans le monde, ce qui nous manque seulement c'est sa valeur spirituelle et ce qu'elle incarne vraiment, nous avons simplement perdu le lien de jonction entre l'esotèrique et l'exotèrique, entre l’intérieur et l'extérieur, nous avons diviser ce qu'Allah avait ordonner d'unir et nous avons finis par perdre l'essence de la salat avec le temps, seuls quelques confréries initiatiques ont su sauvegarder le dépot et le conserver jusqu'ici comme les confréries soufie d’Afghanistan ou du Pakistan par exemple
autre fait qui va dans le sens de ce que j'avance, en Turquie comme en Iran et en Afghanistan la salat y est désignée sous le nom de namaz lequel signifie en turc : "gestuelle de la prière" namāz en persan : "courber l'échine, montrer son respect à quelqu'un en courbant l'échine ou en s'agenouillant" ce terme commun est issu de l'avestique nemah, qui signifie "courber l'échine, révérence, respect." et du sanskrit namas (se courber, se soumettre).