Venu prendre possession de son terrain de près de 500 m2 acquis à Fès il y a 35 ans, un Marocain résidant à l'étranger (MRE) du nom de Benaïssa Friekh a eu le choc de sa vie lorsqu'il a constaté qu'un individu véreux y avait bâti un immeuble. Le jour même, il succombe à un dème pulmonaire aigu, alors que son état de santé navait jamais soulevé auparavant la moindre inquiétude. Retour sur une histoire d'escroquerie qui, hélas, n'est pas un cas unique.
Benaïssa Friekh avait deux rêves. Un: prendre dans quatre mois - après 42 années de bons et loyaux services en France à Perpignan- , une retraite tranquille. Deux: finir ses jours au milieu des siens au Maroc, sa terre natale.
Malheureusement, la malhonnêteté de certains individus laura poussé précipitamment à accomplir ce second rêve, sans pouvoir réaliser le premier.
En effet, arrivé à Fès le 11 décembre courant pour y entamer les démarches de construction dun terrain de 488 m2 quil avait acquis avec son épouse en 1976 pour leurs vieux jours, il eut le choc de sa vie en constatant quune tierce personne y avait édifié un immeuble de deux étages (quatorze appartements et six magasins) au stade de finition.
Cette visite a eu lieu le 13 décembre 2011 en matinée. Le jour même à 22 heures, détruit par le fait davoir vu son proche rêve de retraite paisible senvoler, il meurt dun dème pulmonaire aigu, alors que son état de santé navait jamais soulevé la moindre inquiétude.
Dès lors, une fois lenterrement passé, toute la famille sest mobilisée pour retrouver le vendeur du terrain. Celui-ci les a accompagnés trois jours plus tard à lendroit où se situe ledit terrain. Devant une multitude de personnes présentes ce jour-là, le vendeur a confirmé le droit exclusif de propriété du couple, en sadressant ainsi à lentrepreneur du chantier
http://www.aufaitmaroc.com/actualites/maroc/2011/12/25/le-choc-fatal-dun-mre
Benaïssa Friekh avait deux rêves. Un: prendre dans quatre mois - après 42 années de bons et loyaux services en France à Perpignan- , une retraite tranquille. Deux: finir ses jours au milieu des siens au Maroc, sa terre natale.
Malheureusement, la malhonnêteté de certains individus laura poussé précipitamment à accomplir ce second rêve, sans pouvoir réaliser le premier.
En effet, arrivé à Fès le 11 décembre courant pour y entamer les démarches de construction dun terrain de 488 m2 quil avait acquis avec son épouse en 1976 pour leurs vieux jours, il eut le choc de sa vie en constatant quune tierce personne y avait édifié un immeuble de deux étages (quatorze appartements et six magasins) au stade de finition.
Cette visite a eu lieu le 13 décembre 2011 en matinée. Le jour même à 22 heures, détruit par le fait davoir vu son proche rêve de retraite paisible senvoler, il meurt dun dème pulmonaire aigu, alors que son état de santé navait jamais soulevé la moindre inquiétude.
Dès lors, une fois lenterrement passé, toute la famille sest mobilisée pour retrouver le vendeur du terrain. Celui-ci les a accompagnés trois jours plus tard à lendroit où se situe ledit terrain. Devant une multitude de personnes présentes ce jour-là, le vendeur a confirmé le droit exclusif de propriété du couple, en sadressant ainsi à lentrepreneur du chantier
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