Premierement , Je ne vois nul part dans la surate la reponse du prophete "je ne sais pas lire " ...Tu vas me dire que c est rapporté par Le Hadith , Alors il y a d'autre hadiths aussi authentiques qui te disent que la 1ere surate revelée au prophete n'est pas celle la Mais plutot surate Al muzamel .et dans ce cas cette histoire de je ne sais pas lire , n a aucun sens .
deuxiement , limiter le sens de "Iqra" à " Lire " vous met en contradiction avec votre propre histoire qui fait du prophete un etre illetré jusqu'a sa mort , par ce que il y a un autre verset qui dit :
وَإِذَا قَرَأْتَ الْقُرْآنَ جَعَلْنَا بَيْنَكَ وَبَيْنَ الَّذِينَ لاَ يُؤْمِنُونَ بِالآخِرَةِ حِجَابًا مَّسْتُورًا
Quand tu (récites ou lis : qu'est ce qu il faut comprendre ?) le Coran, Nous plaçons un rideau invisible entre toi et ceux qui ne croient pas à la vie future
Le meme verbe " Karaa" est utilisé dans ce verset , Alors qu est ce que l on fait ?
On lui donne le sens de "Lire " dans la 1ere surate (Iqra) pour coller a votre hadith , et on change de sens pour lui donner le sens de "Reciter" dans ce verset , Pour coller toujours a votre hadith ? ou on lui donne Le meme sens dans les 2 versets etant donné qu il s'agit du meme verbe ?
Oui je comprends ce que tu veux dire, le dernier verset que tu cites sous entend qu'il sait lire >>> on peut même le traduire comme lire, exact mais quoi qu'il en soit le récit coranique ne présente aucune contradiction entre lui même si on le lit entièrement et que dans les siècles qui ont suivis la révélation coranique, les scientifiques/architectes/egyptologues, etc se sont rendu compte après avoir découverts les traces de l'histoire et la science beaucoup d'éléments qui étaient déjà prédites dans le Coran, ce qui serait difficile pour un homme meme sachant lire et ecrire de révéler un tel récit...
On a étudié la manière dont le coran a été conservé au fil des siècles et la manière dont il a été rédigé, on a pu remarqué quelques différences entre le texte original pur et celui qui existe dans le monde entier, les petites différences de voyelles non significatives, c'est à dire, qui ne changent en aucun cas le sens de la phrase, exposé actuellement à l'institut du monde arabe.