l'Algérie n'a pas envoyé son armée dans le Sahara, contrairement aux russes dans le Donbass.
Nouveau désaveu pour la Russie à l'ONU
- Initiateur de la discussion Mojod
- Date de début
Idriss Aberkane : « Julian Assange l’a affirmé clairement : la guerre d’Afghanistan est le plus grand braquage d’argent public de toute l’histoire de l’Humanité, en sus de toutes les victimes innocentes qu’elle a faites également, y compris dans les rangs de l’armée française. Edward Snowden l’a également confirmé : avoir dépensé vingt années de guerre et deux mille milliards de dollars juste pour remplacer les Taliban par les Taliban, sans parler de l’explosion du commerce de l’héroïne durant cette période, c’est un crime d’une ampleur absolument indescriptible, et n’eût été l’attention mondiale sur le Covid-19, il aurait mené à des décennies d’enquête et de condamnation. Au lieu de cela, circulez, il n’y a rien à voir… Eh bien pas si vite, nous publions cette vidéo pour rappeler quelle escroquerie mâtinée d’abomination aura été cette guerre en Asie centrale. »
Je n'ai pas besoin de te convaincre
Les faits parlent d'eux même, les russes cassent tout ce qu'ils veulent.
Tu es toi même un partisan de la destruction de cibles civiles au nom de la guerre.
On fera ensemble le bilan humain à la fin de cette guerre dont tes réactions te font le complice.
Et je te suggère de revoir ton unique argument "le Donbass 2014, blabla" qui est en lui même la plainte des russes de voir les ukrainiens essayer de récupérer ce qui leur a été volé par l'usage de la force.
A vouloir victimiser les agresseurs en permanence, on se croirait presque dans un tribunal occidental décadent sur les valeurs de justice.
La ménagère d'un certain âge sait que la vie des civils se joue à peu de choses, nourriture, froid, blessure, eau.
La ménagère d'un certain âge, ukrainienne ou russe, sait qu'elle va devoir vivre avec la perte de son fils, de son mari, etc...
Toi non visiblement.
Je te renvoie à tes sarcasmes qui n'ont ni intelligence ni compassion et qui se limitent à tenter d'exister à travers des punchlines maladroits dont tout le monde aura oublié l'existence demain.
On joue pas à Call of Duty
On parle de vrai gens dont la vie est ruinée pour un mec devenu mégalo qui pense que 17 millions de km2 c'est pas assez ( alors qu'il ne sait déjà pas les développer).
Les faits rapportés par le très réaliste Général Harald Kujat sont assommants et édifiants très révélateur : la guerre en cours a été le fait de l’OTAN, ou plutôt les USA.
Ukraine: Un ex-général de l'OTAN prend la parole -- Sott.net
Entretien avec Harald Kujat (1), ex général allemand de l'OTAN, réalisé par Thomas Kaiser et publié dans le Zeitgeschehen (2) en janvier 2023. A lire absolument : beaucoup d'informations auxquelles nous n'accédons jamais. Extraits : « C'est...
Il y a maintenant des doutes quant à savoir si les États-Unis et l’OTAN étaient disposés à négocier sérieusement sur ces questions avant l’attaque russe contre l’Ukraine ????
Heu non y a plus aucun doute… Hollande, Merkel et Porochenko avant eux l’ont clairement dit !
Dans ces pays comme en Russie la vie normale c'est de se laisser mener comme un mouton dans le troupeau. Avec un berger (dictateur) et des chiens (policiers) pour ramener les récalcitrants dans le troupeau.
Ceux qui se satisfont de cette vie ont intégré les principes de la servitude volontaire, comme décrite par La Boétie.
C'est l'obéissance contrôlée des moutons qui fonde le pouvoir du dictateur.
J’ai l’impression que tu parles de la démocratie d’aujourd’hui
Blague à part les démocraties d’aujourd’hui, tant que tu marches droit , tu te rends compte de rien non plus 
. Quand le rouleau compresseur se mets en marche , démocratie ou pas on finit en miettes…. 
oui la guerre c'est pas bien ... bla bla bla ...
concernant Call of duty , va dire ça au cocaïnomane ...
Pour résumer, on voit bien que l'ONU n'a pas les moyens de renverser notablement le cours des choses faces "aux plus forts".
On le voit avec l'Ukraine ou l'ONU est paralysé par la Russie partie prenante, on le voit avec Israël et son parapluie américain bloquant toutes les résolutions du conseil de sécurité pouvant un tant soi peu bousculer son protégé, on le voit dès qu'un des membres permanent du conseil de sécurité est indexé, bref, un "désaveu" de l'assemblée générale (càd une condamnation à la majorité simple?) n'a aucun impact sur "un gros" quand ce gros a une idée en tête et s'y tient.
On le voit avec l'Ukraine ou l'ONU est paralysé par la Russie partie prenante, on le voit avec Israël et son parapluie américain bloquant toutes les résolutions du conseil de sécurité pouvant un tant soi peu bousculer son protégé, on le voit dès qu'un des membres permanent du conseil de sécurité est indexé, bref, un "désaveu" de l'assemblée générale (càd une condamnation à la majorité simple?) n'a aucun impact sur "un gros" quand ce gros a une idée en tête et s'y tient.
Oui enfin nos démocraties sont certes imparfaites, mais Macron ne va pas liquider ses opposants, faut pas déconner.J’ai l’impression que tu parles de la démocratie d’aujourd’hui
A partir du moment où la Russie est soutenue en sous marin par la Chine, je ne vois de toute façon pas ce qui pourrait infléchir la donne, ONU ou pas ONUPour résumer, on voit bien que l'ONU n'a pas les moyens de renverser notablement le cours des choses faces "aux plus forts".
On le voit avec l'Ukraine ou l'ONU est paralysé par la Russie partie prenante, on le voit avec Israël et son parapluie américain bloquant toutes les résolutions du conseil de sécurité pouvant un tant soi peu bousculer son protégé, on le voit dès qu'un des membres permanent du conseil de sécurité est indexé, bref, un "désaveu" de l'assemblée générale (càd une condamnation à la majorité simple?) n'a aucun impact sur "un gros" quand ce gros a une idée en tête et s'y tient.
Qu'est-ce que ça changerait au niveau de l'ONU si la Chine condamnait la Russie?
Surtout que c'est complexe, ce n'est pas un soutien en tant que tel, mais un refus d'une claire condamnation, pour ne pas trop donner d'avantages aux USA qui a aussi la Chine dans son viseur.
Probablement rien, mais le fait que la Chine soutienne implicitement cette guerre d'agression en fournissant du matériel à la Russie ne peut que légitimer le camp russe.
Qui dominera l'Eurasie dominera le monde... Une alliance Russie/Chine, dont bcp rêvent ici, rebatterai les cartes de la géopolitique mondiale.
Que la Chine fournisse du matériel à la Russie, ça reste à prouver. Pour ce qui concerne les armes, on n'a que les affirmations américaines. Pour d'autres choses, c'est selon les intérêts, je suppose.
"Implicitement", il faut nuancer. Nombreux sont ceux qui refusent d'être embrigadés dans des sanctions qui les couleraient pendant que ceux qui énoncent ces sanctions transigent quand ça les arrange et se scandalisent quand d'autres font de même.
L'Europe soutient-elle "implicitement" la politique de colonisation d'Israël?
Difficile d'imaginer une vraie alliance Russie/Chine. Ce sont les USA qui rapprochent conjoncturellement la Chine de la Russie à vouloir poursuivre la Chine de leur vindicte parce Qu'ils se sentent économiquement menacés par elle.
Mais Chine et Russie ont certains points assez importants de désaccords.
En parlant des sanctions idiotes de nos chers zélus, voilà comment la Russie les détourne :
Début février 2022, l’embargo de l’Union européenne sur les produits pétroliers russes a pris effet.
Le Kremlin semble de son côté adopter une politique de renforcement de ses partenariats énergétiques, africains notamment. L’Afrique du Nord serait actuellement l’une des destinations privilégiées des expéditions pétrolières de la Russie. Des données du transport maritime russe, divulguées lundi 27 février 2023 par le fournisseur Kpler, révèlent que d’importants volumes d’hydrocarbures russes ont été acheminés ces dernières semaines vers des pays maghrébins comme le Maroc et la Tunisie.
Au cours du mois de janvier 2023, ce serait environ 2 millions de barils de diesel russe qui ont été expédiés vers le Maroc. C’est plus du double de la quantité de ce combustible, importé par le Maroc en 2021 (600 000 barils). La situation serait similaire en Tunisie. Sur la même période, le pays se serait fait livrer près de 2,8 millions de barils de brut russe. Un chiffre qui d’après les analystes pourrait dépasser la barre des 3 millions de barils au terme du mois de février. Ceci, alors même que la Tunisie importait déjà de Russie, des quantités non négligeables de pétrole.
De ce fait ce nouveau développement suscite des interrogations notamment sur l’efficacité des sanctions à l’encontre du secteur de l’énergie russe, mais également liées à l’utilisation effective par ces pays de telles quantités de produits pétroliers. Il semblerait selon des économistes que cette hausse des importations des produits se justifie par le besoin, toujours croissant, de couvrir la demande énergétique en Tunisie et au Maroc.
Toutefois d’après Viktor Katona, analyste pétrolier en chef chez Kpler, cité par l’agence Ecofin tel n’est pas le cas. Car, souligne-t-il, on ne constate pas d’augmentation significative des capacités de raffinage de ces pays. « Croyez-moi, nous n’assistons pas à une renaissance du raffinage maghrébin », a-t-il déclaré. Si ces pays du Maghreb ne consomment pas eux-mêmes les quantités de pétrole importé de Russie, l’analyste pense que cette augmentation s’expliquerait par la réexportation vers d’autres destinations, dont l’Europe. De fait, une part non négligeable d’hydrocarbures russes serait réacheminée vers le marché européen en la mélangeant à des cargaisons provenant d’autres fournisseurs. Ce qui rendrait par ailleurs leur traçabilité plus difficile.
Début février 2022, l’embargo de l’Union européenne sur les produits pétroliers russes a pris effet.
Le Kremlin semble de son côté adopter une politique de renforcement de ses partenariats énergétiques, africains notamment. L’Afrique du Nord serait actuellement l’une des destinations privilégiées des expéditions pétrolières de la Russie. Des données du transport maritime russe, divulguées lundi 27 février 2023 par le fournisseur Kpler, révèlent que d’importants volumes d’hydrocarbures russes ont été acheminés ces dernières semaines vers des pays maghrébins comme le Maroc et la Tunisie.
Au cours du mois de janvier 2023, ce serait environ 2 millions de barils de diesel russe qui ont été expédiés vers le Maroc. C’est plus du double de la quantité de ce combustible, importé par le Maroc en 2021 (600 000 barils). La situation serait similaire en Tunisie. Sur la même période, le pays se serait fait livrer près de 2,8 millions de barils de brut russe. Un chiffre qui d’après les analystes pourrait dépasser la barre des 3 millions de barils au terme du mois de février. Ceci, alors même que la Tunisie importait déjà de Russie, des quantités non négligeables de pétrole.
De ce fait ce nouveau développement suscite des interrogations notamment sur l’efficacité des sanctions à l’encontre du secteur de l’énergie russe, mais également liées à l’utilisation effective par ces pays de telles quantités de produits pétroliers. Il semblerait selon des économistes que cette hausse des importations des produits se justifie par le besoin, toujours croissant, de couvrir la demande énergétique en Tunisie et au Maroc.
Toutefois d’après Viktor Katona, analyste pétrolier en chef chez Kpler, cité par l’agence Ecofin tel n’est pas le cas. Car, souligne-t-il, on ne constate pas d’augmentation significative des capacités de raffinage de ces pays. « Croyez-moi, nous n’assistons pas à une renaissance du raffinage maghrébin », a-t-il déclaré. Si ces pays du Maghreb ne consomment pas eux-mêmes les quantités de pétrole importé de Russie, l’analyste pense que cette augmentation s’expliquerait par la réexportation vers d’autres destinations, dont l’Europe. De fait, une part non négligeable d’hydrocarbures russes serait réacheminée vers le marché européen en la mélangeant à des cargaisons provenant d’autres fournisseurs. Ce qui rendrait par ailleurs leur traçabilité plus difficile.
L'ennemi commun sont les USA, les désaccords peuvent être rangé pour plus tard. Si la Chine joue bien son jeu, elle dominera l'échiquier mondial d'ici 15 ans.Que la Chine fournisse du matériel à la Russie, ça reste à prouver. Pour ce qui concerne les armes, on n'a que les affirmations américaines. Pour d'autres choses, c'est selon les intérêts, je suppose.
"Implicitement", il faut nuancer. Nombreux sont ceux qui refusent d'être embrigadés dans des sanctions qui les couleraient pendant que ceux qui énoncent ces sanctions transigent quand ça les arrange et se scandalisent quand d'autres font de même.
L'Europe soutient-elle "implicitement" la politique de colonisation d'Israël?
Difficile d'imaginer une vraie alliance Russie/Chine. Ce sont les USA qui rapprochent conjoncturellement la Chine de la Russie à vouloir poursuivre la Chine de leur vindicte parce Qu'ils se sentent économiquement menacés par elle.
Mais Chine et Russie ont certains points assez importants de désaccords.
Quant à la Russie, elle est moribonde. Nous voyons la bête agonisante agresser son voisin pour tenter de sauver les apparences mais jamais la Russie ne dominera qui que ce soit sans l'accord des chinois.
Dans une démocratie personne ne mourra pour ses idées, ça c'est sûr... Même ceux "au pouvoir..."
Oui. Conjoncturel.
Possible.
Encore que dans une "guerre économique", les perspectives sont fortement fluctuantes.
Pas au mieux, mais vu ses potentialités en termes de ressources en matières premières, elle peut toujours retrouver de la vigueur.
Elle était moribonde au sortir de la guerre froide, puis elle a repris du poil de la bête. Il pourra en être de même au sortir de la crise actuelle.
Perso, je reste mesuré dans ce type de jugement.
Elle fait mieux que sauver les apparences. Empotée, maladroite, qui s'auto-surestime, plombée par d'énormes erreurs stratégiques (n'en déplaise au laudateur @Yancine
), mais malgré tout apte à plus ou moins tenir tête (faute d'être transcendante) dans ce qu'elle considère comme son pré-carré...Moi je préfère les guerres froides et les femmes chaudes, plutôt que l’inverse...
Il est faut de parler d’annexion de la Crimée :
La Crimée avait demandé et obtenu son rattachement à la Fédération de Russie en 1991 avant même la création de l’Ukraine et à été envahie et annexée par l’Ukraine par le force en 1995. Là on peut parler d’annexion.
Le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie que ne veut pas reconnaître l’Ukraine et l’Occident, est en fait le retour à l’indépendance de la Crimée, sa libération de l’annexion ukrainienne et son retour dans le giron de la fédération de Russie, fait pacifiquement et à plus de 97% de oui, par un peuple criméen en liesse, qui est russophone, russophile et en aucun cas ne se sent ukrainien en quoi que ce soit.
Le terme annexion russe et donc mensonger et une terme de propagande, il ne correspond en rien à la définition de l’annexion en droit international. C’est la même chose de l’emploi d’annexion pour les républiques du Donbass, dont le droit de s’autodéterminer et de se rattacher à la Fédération de Russie sont parfaitement reconnus en droit international, ce qui peut être fait évidemment même si l’Ukraine ne l’accepte pas.
La Russie n’a nullement usé de la force pour provoquer cette adhésion à la Fédération, non plus qu’à aucun moment elle n’a annexé ces Républiques qui se sont autoproclamer sans même que la Russie pour autant les reconnaissent, sinon 8 ans après.
Là encore aucune coercition ou contrainte n’a été employé et personne de bonne foi n’a pu remettre en cause la reconnaissance des observateurs que les référendums, au demeurant non nécessaires en droit international, auraient
abouti à des résultats truqués.
Si je comprends bien, la guerre atomique (ton fantasme) est froide?
Compter ceux qui ont voté pour la Russie, c'est plus vite fait.
Voilà une affirmation à réviser en mai.
L'avancée est figée.
tu as des documents russes qui le certifient ?
Des documents en francais me conviendraient
EXTRAIT
À partir de 1922, la Crimée devient un République socialiste soviétique autonome, intégrée à l’URSS. En 1944, Staline déporte les Tatars. En 1954, Nikita Khrouchtchev cède par décret la Crimée à la République socialiste soviétique d’Ukraine. Un fait majeur, ignoré des commentateurs occidentaux, pointé par Guy Mettan, est que les habitants de Crimée furent consultés dès janvier 1991 sur l’avenir de leur pays.« Si les correspondants occidentaux avaient bien fait leur travail, ils auraient pourtant pu souligner que ce référendum (de 2014) ne faisait que confirmer un précédent vote, celui que les nouvelles autorités ukrainiennes avaient organisé tout à fait légalement le 12 janvier 1991 : avec un taux de participation de 81,37%, 94,3% des votants s’étaient prononcés en faveur du rétablissement d’une république de Crimée indépendante et membre du nouveau traité de l’Union proposé par Gorbatchev. » Un résultat en tous points semblable à celui du 16 mars 2014.
Pour les documents officiels russes, une petite recherche via le site du Kremlin serait certainement fructive.