Pour ton instruction et ton information. Le Maroc a une ambassade en Palestine, elle est où celle de l'Algérie?
Nul n'est besoin de te prouver quoi que ce soit, les Palestiniens, eux, savent. Maintenant ce qui vous irrite c'est plus l'armement que Israël a fourni ou est susceptible de fournir encore au Maroc qui vous fait pondre un oeuf. Tabboun via Erdogan qui entre parenthèse vient de lui a poser un petit lapin à l'accueil, attend de la Turquie une médiation pour discuter avec Israël. Netanyaou à son tour lui a fait un vent. Tabboun en désarroi va partout pour demander protection : la Russie, la Chine.....quelle sera sa prochaine destination? Le Vénézuela?
Enfin lier la question palestinienne au Polisario en dit long sur votre ignorance ou votre mauvaise foi. Attaf n'est pas encore allé à Washington, vous me direz des nouvelles après
Qui préside le Comité Al-Qods mis en place par l'Organisation de la coopération islamique? Mohammed VI ou Tbibine?
Bon un peu de lecture et dis ce que tu veux après, on
S'EN COGNE!
La question israélo-palestinienne au cœur de la diplomatie marocaine
Quid de la question palestinienne pour le Maroc ? La position du royaume chérifien sur le conflit israélo-palestinien est régulièrement réitérée : Rabat a toujours soutenu la solution des deux États et l'établissement d'un État palestinien sur la base des frontières de 1967 avec Al-Qods-Est (Jérusalem-Est) comme capitale. C'est ainsi qu'il n'a de cesse de s'impliquer dans la quête d'un règlement pacifique de ce conflit notamment au regard de l'aide et de l'assistance qu'il prodigue à travers le Comité Al-Qods mis en place par l'Organisation de la coopération islamique (OCI) et présidé par le roi Mohammed VI. De même travers, l'Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif qui s'est dotée, cette année, d'un budget de près de 3,4 millions de dollars avec, parmi ses projets structurants, la réhabilitation d'hôpitaux, la fourniture d'équipements hospitaliers, l'acquisition d'ambulances, etc.
Illustration de la question palestinienne est « une des priorités de la politique étrangère marocaine » : en avril dernier, lors de l'incursion des forces d'occupation israélienne dans la mosquée Al Aqsa, Rabat n'a pas hésité à accuser Israël d'opérer « une agression flagrante » et « une provocation méthodique ». Il a par la suite appelé l'ONU et la communauté internationale à intervenir d'urgence. Une preuve qu'accords d'Abraham ou pas, entretenir des relations diplomatiques avec Israël n'empêche pas le Maroc de dire ses vérités quand il s'agit de la question palestinienne. Autre signe : en 2020, l'acceptation de l'invitation adressée par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou au roi Mohammed VI pour se rendre en Israël avait été mise sous condition de l'acceptation d'une rencontre avec le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. Une rencontre qui aurait visé le lancement des pourparlers entre les deux parties.
« La politique étrangère relève du domaine du roi », vient de sèchement rappeler le cabinet royal, réagissant à des propos pour le moins jugés « irresponsables » du PJD.
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