People always leave

Waouh!! C’est joliment dit :p Est-ce le fruit de ta production ou tiré d’ailleurs? :p

nan c est un tiré du poeme "née un soir d 'octobre" qui fait parti de .. "L'écorce de ton être " de et par Dimitri Poliakov ..un poète russe en pleine révolution qui était complémentent allumé du cerveau ..
. c est une ode pour une fille qui voulait faire croire qu elle avait qu un seul neurone mais qui pourtant avait la place dans son âme pour 10 coeurs
c est un poème pour femme seule mais heureusement car potentiellement pleine d amour à chaque fois qu elles respirent et qu elles croisent un regard ..
tu veux que je te fasse partagé ? ..
un peu de romantisme de poésie ;. de rêve
pour t accrocher un peu plus à la vie ..
prend ma main
 
Dernière édition:
oh elle s'est barré c est nul .. je lui ai fais peur : (
c est ta faute Mil en barre !!
hey mil .. t a deja testé la barre de Mil chocolaté au ptit dej ?

Salam!

Je suis relax, enfin je n'ai pas écrit mon message en étant nerveux... ^^
Je paraissais comme ça dans mon message??

evidemment ..on aurait dit un ptit u sauvage incapable de controler ses pulsion
. c est ta faute si elle est partis .. spece de troglodyte !!! t a bien choisi ton avatar
le roi de la jungle .. ou la moral du gorille c est kifkif bourricot !
 
Dernière édition:
mais je vais t avouer que les poetes .. sont pire .. .car non seulement ils contrôlent leurs pulsions
mais en plus ils les manipulent .. se trompe soi même .. sans même s'en rendre compte
et finissent par détruire tout ce qu'ils aiment
être poète .. c est en réalité une malédiction ..
 
Dernière édition:
en ce qui me concerne mon Je est devenue une poétique infernal
un soir d été .. en Egypte
sous une tente
sur les bords du Nil
j avais trouvée enveloppé dans une feuille
les restes d"un prophète ...l'un de ses derniers murmures ..
ce jour là ce fut comme une révélation ..

ou plutôt ... une résurrection

 
Dernière édition:
J'ai écrit les parties 3 et 4, en vitesse. Je vous les poste mais sachez que je n'ai pas eu le temps de me relire et que de petites fautes m'ont, très probablement, échappé! Il faudra m'excuser xD Voilà... N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez :)

Partie 3
Le jour J était enfin arrivé. Coucher à 1h23 et lever à 5h30 précise. J’avais le don de toujours faire mes valises à la dernière minute et, bon Dieu, cela me coûtait de précieuses heures de sommeil ! Il me fallait boucler mes bagages rapidement avant de me préparer et de récupérer deux collègues pour nous rendre à l’aéroport.

Je sautais mon petit-déjeuner, tant pis, je me rattraperais plus tard. Je réveillais mon petit frère pour lui dire au revoir, et j’embrassais ma mère comme si c’était la dernière fois que je la voyais. Je tentais d’étouffer l’émotion, mais en vain. J’étais comme ça, minable pour dire au revoir et émotive malgré moi. J’avais traversé tellement d’épreuves que je connaissais la valeur de la vie. Je savais trop bien que tout pouvait s’arrêter en un claquement de doigt. Je décidais alors de refouler ma fierté au fond de moi en disant à ma mère de ne jamais oublier ô combien je l’aimais, avant de refermer la porte derrière moi.

J’avais rejoint mes collègues avec un petit quart d’heure de retard mais, fort heureusement, il n’y avait pas de circulation et nous arrivions à l’aéroport plus tôt que prévu. Tous les contrôles d’identité et de bagages s’étaient bien passés. Il n’y avait plus qu’à embarquer pour Marrakech.

Jusque-là, j’avais été seule ou en famille pour la plupart des voyages que j’avais effectués. J’avais encore du mal à réaliser que nous étions sur le point de partir, tous ensemble. Le petit marrakchi me tira de ma rêverie en me proposant de tirer ma valise à ma place. Il ne voyageait qu’avec un sac à dos alors que moi, j’avais la moitié de ma chambre dans mon bagage cabine. Et oui, une tenue pour toute circonstance était de mise : le shopping, le tourisme, l’entretien avec les chercheurs de l’université de Marrakech, les soirées ; sans compter les produits d’hygiène, etc. Je déclinais poliment son offre. Même si ma valise était un petit peu lourde, je préférais me débrouiller. Après tout, j’étais un petit bout de femme indépendante et il était hors de question que je me repose sur qui que ce soit, et encore moins sur un homme.

Peu après, je le vis faire la même proposition à l’une de mes collègues. Il était sans doute comme ça, gentil et généreux de nature. Je ne le connaissais pas assez pour en juger et puis, de toute manière, je ne connaissais pas ses intentions.

Au moment de prendre l’avion, je m’aperçus que toute l’équipe était dispatchée aux quatre coins du charter mais le hasard avait fait que le stagiaire se retrouve derrière moi. Le vol fût très animé par l’un des stewards qui tenu de promouvoir les produits de Ryanair, se prit pour un DJ. Compte tenu du concerto improvisé, je ne parvenais pas à m’endormir. L’heure du déjeuner était passée et je décidais de me commander un club sandwich, histoire de faire patienter mon ventre qui criait famine. Je me souvenais alors d’une conversation que j’avais entendue, au boulot. Le petit étudiant avait de petits moyens et c’était, d’ailleurs, notre chef qui prenait en charge son voyage, financièrement parlant. De ce fait, je lui proposais de lui commander quelque chose à manger mais il n’en voulût pas.

Par contre, il me demanda de l’eau à plusieurs reprises. J’étais embarrassée. Je n’avais qu’une petite bouteille. J’avais des soucis de santé et il était primordial pour moi d’être hydratée en permanence. De plus, j’étais un peu (beaucoup) maniaque. Partager le même goulot qu’un inconnu ne m’enchantait guère mais, l’eau était à la base de la vie et j’étais incapable d’en refuser à qui que ce soit. Je lui tendis alors ma bouteille et il commença à me parler de choses et d’autres. La conversation n’était pas très pratique puisqu’il était assis derrière moi. J’écourtais les choses afin de ne pas gêner nos voisins et de tenter de m’endormir une dernière fois.
 
Partie 4

A mon réveil, nous étions sur le point d’atterrir. Par la grâce de Dieu, tout s’était bien passé jusque-là. A ma grande surprise, en passant les contrôles et la douane, je fus pratiquement traitée comme une princesse, au contraire de mes collègues. Le douanier s’était comporté tel un vrai militaire en vérifiant leurs documents mais quand vint mon tour, il me fit un salam et m’interrogea brièvement sur mes origines. Il avait l’air fier de voir une « sœur » qui faisait un doctorat. Il me posa quelques questions sur mon domaine de prédilection puis me laissa partir en me souhaitant un agréable séjour. Pour la première fois de ma vie, j’avais eu droit à de la discrimination positive et c’était loin de me déplaire ! Si l’intégralité de mon séjour pouvait adopter cette tonalité, ce serait parfait !

En sortant de l’aéroport, une navette nous amena au riad où nous allions séjourner. Celui-ci jouxtait le souk et la grande place Jemaa El-Fna. Après avoir déposé nos bagages et mangé un morceau, c’est tout naturellement que nous commencions à arpenter les rues. Compte tenu des pavés, je croyais que les allées étaient piétonnes mais je m’étais fourvoyée. Les motocyclistes klaxonnaient et fonçaient, aussitôt, droit devant eux. Les piétons leur importaient peu. La loi était différente : les véhicules avaient, implicitement, la priorité. Je manquais de me faire reverser à plusieurs reprises. Je n’avais pas vraiment saisi qu’il fallait raser les murs et ce fut le petit marrakchi qui m’en fit prendre conscience.

A chaque fois qu’il me voyait marcher au milieu et qu’il entendait, au loin, un véhicule qui s’approchait, il me prenait par le bras et me tirer contre lui. J’étais loin d’être tactile et je fus quelque peu choquée de le voir franchir mon espace vital sans la moindre gêne. Mais, je compris bien vite que c’était dans sa nature puisque je le vis en faire de même avec quelques collègues lorsque cela était nécessaire. Il n’hésitait pas à s’arrêter pour recompter les membres du groupe et vérifier que personne ne s’était perdu. Il était comme ça. Il était protecteur !

En traversant le souk, je me fis aborder à plusieurs reprises. De jeunes vendeurs qui me voyaient passer au milieu d’une équipe de « blancs », me balançaient des « Hey ! Hello ! Are you moroccan ?! ». Une fois de plus, mon métissage intriguait les gens. Ils se demandaient, sûrement, quelle technique employer pour que je m’intéresse à leurs marchandises et c’était lassant. Les premières fois, je répondais « non » puis, à la longue, je cessais de répondre et baissais la tête en avançant. En voyant ce cinéma, le petit marrakchi finit par mettre sa main sur mon épaule et s’adresser à l’un des vendeurs en lui disant « La choukran khouya, rabbi hafdek ». En terre inconnue, j’étais contrainte de laisser ma fierté de côté pour me plier à ce jeu. Je fus touchée de le voir se manifester pour qu’on me laisse tranquille. Et, finalement, j’étais bien contente qu’il soit là puisque j’avais failli affronter pire en allant sur la place Jemaa El-Fna.
 
Partie 6

Le soleil était sur le point de se coucher et l’effervescence était à son comble. Les conteurs d’histoire, diseuses de bonne aventure, charmeurs de serpents, dresseurs de singes, musiciens et danseurs folkloriques étaient tous au rendez-vous. Je m’arrêtais pour prendre quelques photos et, au moment de reprendre mon chemin, je m’aperçus que mon groupe était loin devant. Le bruit environnant était assourdissant et en passant à côté de percussions, je ne m’entendais pratiquement plus penser. J’étais seule et me hâtais pour rejoindre mes collègues quand l’un des danseurs m’arrêta.

Il me mit son chapeau sur la tête, de force. Je l’enlevais pour le lui rendre en disant « la choukran », mais il insista. Je parlais très mal arabe, voire pas du tout, mais je compris qu’il voulait de l’argent. Or, je ne lui avais jamais demandé de mettre son chapeau sur la tête. Puis, il était hors de question que j’ouvre mon porte-monnaie sur cette place. Je voulais partir mais il refusait de récupérer son chapeau et insistait en me demandant de l’argent pour que « cela porte bonheur ». J’étais agacée et il semblait de plus en plus agressif. Je n’osais pas mettre le chapeau parterre de crainte de déchaîner sa colère et d’ameuter toute sa troupe. Je voyais mon groupe s’éloigner de plus en plus et commençais à me demander comment faire pour partir sans l’énerver. En me retournant, je vis le petit stagiaire se rapprochait. Il n’avait pas perçu toute la scène mais, en le voyant arriver, le danseur changea son attitude et récupéra son maudit chapeau.

Le stagiaire me demanda ce que l’autre me voulait mais je ne répondis pas. Ce petit épisode m’avait stressée et je sentais encore mon cœur bondir dans ma poitrine, sous l’effet du rush d’adrénaline. Il me demanda à nouveau ce qui s’était passé et je répondis brièvement que l’autre m’avait embêtée en me demandant de l’argent. J’avais besoin de me calmer et ne pipais mot mais j’étais contente de le savoir là.

A suivre :)

P.S. Je réponds aux commentaires que je n'ai pas encore vus, dans un petit moment ;)
 
nan c est un tiré du poeme "née un soir d 'octobre" qui fait parti de .. "L'écorce de ton être " de et par Dimitri Poliakov ..un poète russe en pleine révolution qui était complémentent allumé du cerveau ..
. c est une ode pour une fille qui voulait faire croire qu elle avait qu un seul neurone mais qui pourtant avait la place dans son âme pour 10 coeurs
c est un poème pour femme seule mais heureusement car potentiellement pleine d amour à chaque fois qu elles respirent et qu elles croisent un regard ..
tu veux que je te fasse partagé ? ..
un peu de romantisme de poésie ;. de rêve
pour t accrocher un peu plus à la vie ..
prend ma main

Franchement oui! Je suis curieuse de découvrir ça!
C’est le genre de mots que l’on aime lire et que l’on rêverait presque d’entendre mais dans un contexte spécifique et venant d’une personne sincère quoi :)
 
mais je vais t avouer que les poetes .. sont pire .. .car non seulement ils contrôlent leurs pulsions
mais en plus ils les manipulent .. se trompe soi même .. sans même s'en rendre compte
et finissent par détruire tout ce qu'ils aiment
être poète .. c est en réalité une malédiction ..

Tu lis beaucoup de poésie? Et depuis combien de temps? :p
Tu écris aussi ou pas du tout?
 
oh elle s'est barré c est nul .. je lui ai fais peur : (
c est ta faute Mil en barre !!
hey mil .. t a deja testé la barre de Mil chocolaté au ptit dej ?



evidemment ..on aurait dit un ptit u sauvage incapable de controler ses pulsion
. c est ta faute si elle est partis .. spece de troglodyte !!! t a bien choisi ton avatar
le roi de la jungle .. ou la moral du gorille c est kifkif bourricot !
Mais non je suis innocent :eek: je ne suis pas un troglodyte :claque:

(Bien joué les jeux de mots faudra je teste :D)

Then sorry young miss !
 
tu ecrivais juste pour te distraire et t amuser et nous on te prenait au sérieux
qui nous a dit que tout ce que tu ecris est réel ?
toujours des histoires des collègues , tu mange avec les collègues , tu passes le week end avec les collègues tu voyages avec eux , tu passes ta vie qu avec tes collegues !
c est de la légion étrangére ! lol

Blablabla To each his own...... She is having a good time so what :intello:

I have a lot of fun with my colleagues myself ... Make the work place fun.. That is also my motto lol

@TheNeuroGirl Have fun girl and live the life and don't you let anyone tell you otherwise..:cool:
 
Partie 3 de sûr! Et partie 4 en fonction de la fin de la troisième :p tout dépendra de la longueur et des évènements en cours mdrrr mais c’est fort probable ;)
Salam alaykoum tu va mieux depuis ton histoire je continue à faire des invocations pour toi j'ai pas lâcher en tout cas j'espère que tu va mieux:)
 
Partie 3
de récupérer deux collègues
pour nous rendre à l’aéroport.

J’avais rejoint mes collègues avec un petit quart d’heure de retard

Le petit marrakchi me tira de ma rêverie
Il ne voyageait qu’avec un sac à dos

Peu après, je le vis faire la même proposition à l’une de mes collègues. Il était sans doute comme ça, gentil et généreux de nature. Je ne le connaissais pas assez pour en juger et puis, de toute manière, je ne connaissais pas ses intentions.

mais le hasard avait fait que le stagiaire
se retrouve derrière moi. Le vol fût très animé par l’un des stewards se prit pour un DJ. Compte tenu du concerto improvisé, je ne parvenais pas à m’endormir.

Le petit étudiant avait de petits moyens et c’était, d’ailleurs, notre chef qui prenait en charge son voyage, financièrement parlant. De ce fait, je lui proposais de lui commander quelque chose à manger
, il me demanda de l’eau à plusieurs reprises. J’étais

Partager le même goulot qu’un inconnu ne m’enchantait guère
.
La vie nous met sans cesse à l’épreuve, à plus ou moins grande échelle, et notre vie de tous les jours est ponctuée de moments où on est obligés d’agir, où on veut montrer ce qu’on veut et ce à quoi on aspire.
Ne trouve tu pas que La sous-estimation est due à une faible estime de soi, à un manque de confianceet de sécurité.
 
La vie nous met sans cesse à l’épreuve, à plus ou moins grande échelle, et notre vie de tous les jours est ponctuée de moments où on est obligés d’agir, où on veut montrer ce qu’on veut et ce à quoi on aspire.
Ne trouve tu pas que La sous-estimation est due à une faible estime de soi, à un manque de confianceet de sécurité.

La sous-estimation de lui ou de moi? xD
Je ne suis pas sûre de te suivre xD
 
Blablabla To each his own...... She is having a good time so what :intello:

I have a lot of fun with my colleagues myself ... Make the work place fun.. That is also my motto lol

@TheNeuroGirl Have fun girl and live the life and don't you let anyone tell you otherwise..:cool:

Hahaha that’s the way to go :p
At first I didn’t really like my work environment but now, I’m trying to make the most of it as I go... It’s not always easy but that’s life anyways...

In which field do you work?
 
Salam alaykoum tu va mieux depuis ton histoire je continue à faire des invocations pour toi j'ai pas lâcher en tout cas j'espère que tu va mieux:)

Wkslm! Ça me touche énormément, merci du fond du coeur :)
Oui, Dieu merci, ça va mieux! Y’a forcément des moments un peu plus creux que d’autres mais faut s’accrocher et tenter d’avancer :)
J’espère aussi que tu vas mieux! Que Dieu te rende toutes tes pensées pour moi avec encore mieux que ce que tu as demandé!
 
Hahaha that’s the way to go :p
At first I didn’t really like my work environment but now, I’m trying to make the most of it as I go... It’s not always easy but that’s life anyways...

In which field do you work?


I work in the media field... but my true passion is gemology as I am also a gemologist..

We have got to make the most of our days at work.. especially if we spend 8 to 9 hours of our day in there..:)

Mondays are rough though ...:malade:

What is your line of work ?
 
Dernière édition:
What is your line of work ?
Mon job est intense...
..........Je suis étudiante en thèse donc oui, je suis contrainte à passer 80% de mon temps avec mes collègues, pour faire avancer la recherche...
Je suis jeune, et ce mode de vie est tout nouveau pour moi... Je n’ai plus autant de temps de vie qu’auparavant...
Are you satisfied,?:)
 
Lol pourquoi disent-ils ça?

Je suis quand même curieuse de savoir de qui tu parlais en termes de « sous-estimation » ^^
@elmakoudi , brillant intervenant ne peut vous répondre à cette question cruciale qu'une fois qu'il ait lu la quasi totalité des épisodes.;)
D'ailleurs, j'a entamé moi même, une relecture systématique des épisodes et je ne manquerai pas d'esquisser , à votre charmante personne; certaines de mes réflexions;)
 
@elmakoudi , brillant intervenant ne peut vous répondre à cette question cruciale qu'une fois qu'il ait lu la quasi totalité des épisodes.;)
D'ailleurs, j'a entamé moi même, une relecture systématique des épisodes et je ne manquerai pas d'esquisser , à votre charmante personne; certaines de mes réflexions;)

Hahaha
Vous me tordez de rire tous les deux :p
Oui oui, j’ai vraiment hâte de savoir ce que vous en pensez tous :)
Mais l’histoire se prolonge de jour en jour alors peut-être que vous pourriez me dire ce que vous en pensez en attendant que j’y mette un point final xD
 
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