People always leave

@TheNeuroGirl Ton histoire est intéressante.
Mais je t'avoue que je ne sais pas où tu veux en venir.
Et surtout, où tu veux qu'on te conseille...?

Ce jeune homme a l'air sympathique.
Vous avez fait un voyage professionnel.
Il a été protecteur avec toi, tout comme il l'a été avec d'autres.

Peut-être devrais-tu nous dire ce que tu penses... Ou nous orienter sur quelque chose.

Parce que là, ce n'est qu'une histoire, avec plein de détails... mais je n'y trouve rien à dire :rouge:
 
@TheNeuroGirl Ton histoire est intéressante.
Mais je t'avoue que je ne sais pas où tu veux en venir.
Et surtout, où tu veux qu'on te conseille...?

Ce jeune homme a l'air sympathique.
Vous avez fait un voyage professionnel.
Il a été protecteur avec toi, tout comme il l'a été avec d'autres.

Peut-être devrais-tu nous dire ce que tu penses... Ou nous orienter sur quelque chose.

Parce que là, ce n'est qu'une histoire, avec plein de détails... mais je n'y trouve rien à dire :rouge:

sois patiente, elle n'a pas fini de tout raconter

c comme pblv, yaura autant d'épisodes, donc prépare les pop corn :D
 
@="Sarah3131

Ce jeune homme a l'air sympathique.
Vous avez fait un voyage professionnel.
Il a été protecteur avec toi, tout comme il l'a été avec d'autres.

Puisqu'elle est pratiquante dieu l'a envoye comme un ange gardien
 
Je m'intéresse depuis quelques mois au soufisme, c'est le seul truc religieux que je lis actuellement (bon je lis actuellement un livre sur la pratique bouddhiste tibétaine mais c'est dans la même ambiance spirituelle abstraction faite des rituels) c'est pour cela on est un peu plus proches sur certains sujets ! :D
Iwa tbarka lah alik et si tu ouvre un topic sur cette relation
 
Tu as d’immenses qualités , tu es jeune et ta vie ne fais que commencer. Je vais te raconter la métaphore du BUS :

"Imaginez que votre vie est un bus. C'est vous qui tenez le volant dans vos mains. Les passagers, ce sont tous vos souvenirs, toute votre programmation, vos pensées, vos émotions, vos sensations physiques. Vous rappelez-vous du nom de votre institutrice durant la première année d'école ? Eh bien, Madame Campiche fait le voyage avec vous. Est-ce qu'elle vient souvent vous déranger ? Le plus souvent il s'agit d'un souvenir neutre et on peut dire qu'elle est assise quelque part au milieu du bus près d'une fenêtre, tranquille, regardant le paysage. A la différence du bus que nous prenons pour aller travailler dont le nombre de places est limité et dont les passagers montent et redescendent, celui de notre vie ne fait que s'allonger avec les années parce que les passagers qui sont montés ne redescendent jamais. En fait, ceux qui semblent être descendus ne sont jamais vraiment montés. Nous avons peut-être oublié le nom du camarade qui était notre voisin de pupitre dans la classe de Madame Campiche.
Mais il y a dans le bus un certain nombre de passagers qui ont une sale tête. Balafrés, menaçants, jouant avec un couteau à cran d'arrêt ou un coup de poing américain, ils boivent de la bière vautrés sur la banquette au fond du véhicule. Tant qu'ils y restent et ne se manifestent pas trop, nous pouvons nous sentir plus ou moins à l'aise si bien que nous sommes prêts à faire avec eux le compromis nécessaire pour qu'ils se tiennent tranquilles : renoncer à conduire le bus là où ils ne veulent pas aller. Ça ne pose pas trop de problèmes tant que la route est droite. Mais quand survient un carrefour, la question du choix de la direction se pose. Avec le temps, on finit par bien connaître les passagers menaçants et par savoir que, si on fait mine de s'engager dans telle ou telle direction, ils vont se précipiter dans le couloir et venir jusqu'à nous, tout près, nous menacer de leurs armes pour exiger que nous allions là où ils le veulent. Probablement que vous avez, comme moi, tout essayé : le plus logique est de tenter d'expulser les passagers du bus. Mais pour ça, il faut lâcher le volant. Là, notre vie n'avance plus. Et on finit toujours par constater qu'ils ont trouvé moyen de revenir par la porte de derrière quand on croyait s'en être débarrassé par devant. La seule manière d'être tranquille c'est finalement d'aller où ils veulent. Avec le temps, on peut les connaître si bien qu'on renonce même à actionner le clignoteur ou à toute autre velléité de s'écarter de la route tracée et on peut même finir par (presque) oublier la présence des importuns désormais calmés. Le prix à payer c'est que notre vie ne va plus dans la direction qui nous est chère. Est-ce que votre vie vous appartient ou est-ce que c'est celle de vos passagers, de la programmation dont votre passé vous a fait le dépositaire ? De quel métal les couteaux des passagers sont-ils faits ?
Salam @tizniti
ce qui compte néanmoins c est que tous les passagers de ton bus arrivent à destination et peu importe le chemin parcouru ! J adore cette métaphore qui en dis long sur notre itinéraire à tous ! Parfois on prend le bus et on monte et on descend parfois on est à l arrêt et on décide de le laisser passer on se disant je prendrais le suivant car celui ci est trop plein d emotions et ainsi va la vie !!!!
 
Salam @tizniti
ce qui compte néanmoins c est que tous les passagers de ton bus arrivent à destination et peu importe le chemin parcouru ! J adore cette métaphore qui en dis long sur notre itinéraire à tous ! Parfois on prend le bus et on monte et on descend parfois on est à l arrêt et on décide de le laisser passer on se disant je prendrais le suivant car celui ci est trop plein d emotions et ainsi va la vie !!!!
Merci ,
Comme la métaphore de la maison, du théatre et du ciel et la météo :

"Imaginez que vous êtes une maison. De la même manière que la maison offre de l'espace pour ses habitants, pour tous les meubles et les objets qu'elle contient, nous sommes un espace pour nos pensées, nos sensations physiques, nos émotions et nos expériences. Les gens dans la maison vont et viennent, ils peuvent même déménager et être remplacés par d'autres, le mobilier et les autres objets peuvent changer de place. Peu importe qui l'habite et comment elle est décorée, la maison reste la même. La maison ne se soucie pas de savoir qui sont ses habitants et comment ils mènent leur vie. Elle leur offre simplement l'espace nécessaire pour que leur vie puisse se dérouler.
De la même manière, un théâtre offre un espace où peuvent se dérouler des drames ou des comédies, où les acteurs peuvent s'entretuer ou se congratuler, les spectateurs rire ou pleurer sans que le théâtre lui-même en soit affecté. Et une cuisine n'est pas modifiée par la nature ou la qualité des plats qui y sont préparés.
Le rapport entre le ciel et la météo offre encore une possibilité de rendre présente la distinction entre contenant et contenu. Qu'il fasse beau, qu'il pleuve ou qu'il neige, le ciel est immuable."
 
Merci ,
Comme la métaphore de la maison, du théatre et du ciel et la météo :

"Imaginez que vous êtes une maison. De la même manière que la maison offre de l'espace pour ses habitants, pour tous les meubles et les objets qu'elle contient, nous sommes un espace pour nos pensées, nos sensations physiques, nos émotions et nos expériences. Les gens dans la maison vont et viennent, ils peuvent même déménager et être remplacés par d'autres, le mobilier et les autres objets peuvent changer de place. Peu importe qui l'habite et comment elle est décorée, la maison reste la même. La maison ne se soucie pas de savoir qui sont ses habitants et comment ils mènent leur vie. Elle leur offre simplement l'espace nécessaire pour que leur vie puisse se dérouler.
De la même manière, un théâtre offre un espace où peuvent se dérouler des drames ou des comédies, où les acteurs peuvent s'entretuer ou se congratuler, les spectateurs rire ou pleurer sans que le théâtre lui-même en soit affecté. Et une cuisine n'est pas modifiée par la nature ou la qualité des plats qui y sont préparés.
Le rapport entre le ciel et la météo offre encore une possibilité de rendre présente la distinction entre contenant et contenu. Qu'il fasse beau, qu'il pleuve ou qu'il neige, le ciel est immuable."
la météo de mon coeur est équivalente à celle du ciel !
quand j ai la tête dans les nuages c est que mes yeux ne perçoivent pas encore la lumière !
parfois je suis une tornade dans ce cas évitez de me rencontrer et souvent quand mon coeur est apaisé apparaît alors un joli arc en ciel !
fi amanillah
 
Hello everyone,

Me revoilà pour vous compter une nouvelle histoire en plusieurs parties. Per usual, vos avis, critiques constructives et conseils sont les bienvenus :)

Bisous de moi :rolleyes:

Partie 1

Comme à mon habitude, en arrivant au boulot, je revêtis mon plus beau masque. La nuit avait été difficile et, même si je n’étais pas matinale, je tenais à ce que mon professionnalisme et ma politesse soient irréprochables. Je m’efforçais donc de saluer tout le monde chaleureusement, jusqu’à ce que je tombe nez à nez avec un inconnu dans le bureau de mon chef.

J’étais débordée de boulot et j’avais complètement oublié qu’un stagiaire intégrait notre équipe. Celui-ci faisait partie d’un programme d’échange international. Il arrivait tout droit de la ville ocre : Marrakech !

Ne le connaissant pas, je lui tendis la main et me présentais avec un cordial « Hi ! I’m NeuroGirl, nice to meet you ! » avant de vaquer à mes occupations. D’après ce que j’avais compris, il avait un niveau moyen en français et en anglais mais s’en sortait plutôt bien avec les tâches qu’on lui avait confiées. Personnellement, je ne bossais pas avec et me contentais d’échanger des politesses ou des sourires lorsque je le croisais…

Le temps passait, il s’améliorait en français comme en anglais et s'intégrait de mieux en mieux à l’équipe. En ce qui me concernait, j’étais d’un naturel timide et n’osais pas aller vers lui. De plus, ne connaissant pas son caractère, je ne voulais pas qu’il s’imagine des avances alors que les choses étaient platoniques. Il était maghrébin, je l’étais à moitié et connaissais trop bien la façon de penser de certains hommes de chez nous. Je ne savais pas s’il faisait partie de ces « machos » ou s’il était différent. Le minimum syndical suffisait donc jusqu’au jour où il franchit la barrière virtuelle que je m’étais appliquée à construire entre nous!

Nous devions assister à un séminaire et, pour l’occasion, j’avais délaissé les sweats et jeans confortables du quotidien. Petite robe en mousseline bleu-marine, gilet bordeaux assorti au fini mat de mon rouge à lèvres et collants noirs opaques assortis à mon bracelet fétiche, mon trait d’eye-liner et mes converses noires. Non, je n’avais pas renoncé aux converses ! Elles étaient bien trop confortables et donnaient une allure rock-chic à ma tenue donc pas de fashion faux-pas, tout était sous contrôle.

A l’issue du séminaire, le stagiaire et moi descendions les escaliers à la même allure. Emprisonnée par ma timidité, je ne disais rien même si j’avais envie de détendre l’atmosphère. Je sentis son regard se poser sur moi. Je levais la tête et, à ma grande surprise, il me regardait intensément. J’étais quelque peu gênée et baissais immédiatement les yeux afin de me concentrer sur les marches que je descendais.

Au lieu de rester silencieux comme à son habitude, il entama la conversation en m’interrogeant sur mes origines. Il n’y avait pas d’exception à la règle. C’était la question à laquelle je ne dérogeais jamais lorsque je rencontrais des étrangers. Mon métissage interpellait toujours les gens et je consentis donc à dévoiler une partie de mon identité en disant que j’étais à 50% d’origine maghrébrine (détails que je conserverai afin de préserver mon anonymat) mais que mes notions d’arabe étaient très vagues compte tenu de mon vécu. C’est alors qu’il me répondit d’un ton monocorde « Aaah tu es française alors ?! ».

Certes j’étais née ici et j’aimais mon pays mais, pour la première fois, je me sentis offusquée par ce genre de réflexion. Comment avait-il osé ?! Etait-ce parce que je ne maîtrisais pas une langue aussi belle que l’arabe, qu’autrui s’octroyait le droit de me renier mes origines ?! J’étais piquée mais décidais de ne rien dire. Il n’était personne, je n’avais pas à me justifier et il ne me devait rien non plus. Et puis de toute manière, il s’en irait dans quelques mois alors je n’avais pas à me prendre la tête pour un base.

Il était l’heure du déjeuner et nos chemins se séparèrent.

Les jours défilèrent et je ne lui prêtais aucune attention jusqu’à ce fameux 8 mars.

A suivre...

Bonjour, Hello,

tu as un excellent orthographe, ton histoire manque de profondeur et elle est d'un banal, perso elle m'intrigue pas du tout et puis les converses:eek: pourquoi ? On s'en fiche,
c'est dommage pour ton orthographe...:(
 
Salam à tous,

Je vais essayer de faire simple en vous donnant une réponse globale.

Grosso modo, je raconte cette histoire parce que j’ai eu envie de partager cette aventure et c’est tout.

Pour ce qui est de l’attention portée aux détails, regardez les bouquins de grands auteurs tels qje Balzac ou Zola, vous verrez que c’est une façon de faire...
Certains récits sont remplis de détails, entre autre, pour permettre au lecteur de visualiser la scène. D’autres récits sont plus simples et ne comprennent que de la narration. L’auteur se fait plaisir en écrivant... S’il commence à se brimer pour suivre les consignes d’écriture d’un lecteur, il perd en nature et en substance. Le conformisme, c’est juste triste!

Je n’ai pas la prétention de dire que j’écris comme de tels auteurs, loin de moi une pareille idée mais je tiens à souligner qu’ils font partie de ceux qui m’ont inspirée et qui m’ont forgée...

Pour finir, je vais insister sur le fait que je n’oblige personne à me lire ni à subir la banalité de mes écrits. Si cela vous déplait, vous êtes libres de passer votre chemin. Du reste, j’ai entendu toutes vos critiques et sachez qu’il y a l’art et la manière de les faire. Certains ont été constructifs et je les en remercie du fond du coeur! D’autres ont eu recours à la bassesse en usant de propos mesquins et blessants et ils le savent. Je finirai donc en disant que Dieu est plus grand, Il sait ce qu’il y a dans les coeurs et Il nous rétribuera en fonction!

Qu’Il nous guide tous et que la paix soit sur vous.
 
,
Du reste, j’ai entendu toutes vos critiques et sachez qu’il y a l’art et la manière de les faire. Certains ont été constructifs et je les en remercie du fond du cœur! .
Comme celles faites par @misszara88 érudite de talent et femme de conviction dont les écrits témoignent d'une sagesse aiguisée et affûtée par la force de l'humilité , de la pondération et de l'estime de soi.;)
 
Comme celles faites par @misszara88 érudite de talent et femme de conviction dont les écrits témoignent d'une sagesse aiguisée et affûtée par la force de l'humilité , de la pondération et de l'estime de soi.;)

:D

Elle a parlé de Balzac, je l'aimais bien mais mon préféré de tous les temps, chez les français, reste Zola... justement, puisqu'elle parle de lui, Zola avait ce génie de décrire ce qu'elle décrit mais la manière avec laquelle les personnages sont décrits est très pertinente, seul Dickens (anglais) et Dostoïevski (russe) avaient le don de s'enfoncer aussi loin dans les sentiments, la psychologie des personnages, même les plus horribles, en gardant l'histoire pure, fluide et riche en détails de tous genres.

Pour elle, toute critique qui ne va pas dans son sens n'est pas une critique constructive, soit... elle connait ce sentiment donc j'espère qu'elle sache également que ces mêmes sentiments sont ressentis par ceux qui l'ont lue, un grand malaise car on ne voit plus son écriture, on voit juste ce malaise causé par ses descriptions, et d'elle-même et des autres personnages.
 
Bonjour, Hello,

tu as un excellent orthographe, ton histoire manque de profondeur et elle est d'un banal, perso elle m'intrigue pas du tout et puis les converses:eek: pourquoi ? On s'en fiche,
c'est dommage pour ton orthographe...:(

Tu es visiblement le coup de grâce après @elmakoudi et moi-même! :D

Exactement, c'est ce que je me suis dit car certains détails n'ont aucune valeur ajoutée surtout quand le texte est condensé, ça ressemble plus à une chronique d'un magazine de mode qu'à une tentative d'écriture. Pourtant, beaucoup d'auteurs s'inspirent de leur propre milieu pour écrire de bons livres, celui qui me vient en tête maintenant est l'américain John Grisham, il était avocat et ses romans sont quasiment toujours dans ce milieu, ça donne à ses romans une touche très réaliste et l'impression d'avoir fait des recherches poussées dans le domaine, ce n'est qu'après j'ai découvert qu'il était avocat.
 
Comme celles faites par @misszara88 érudite de talent et femme de conviction dont les écrits témoignent d'une sagesse aiguisée et affûtée par la force de l'humilité , de la pondération et de l'estime de soi.;)
En effet, ce n’est pas donné à tout le monde de réunir autant de qualités :)
J'ai oublié une autre qualité si tu me le permets et je sais que je sais que ton intelligence ne peut réfuter : La patience.
c' est cette aptitude à se maîtriser face à une attente, à rester calme dans une situation de tension ou face à des difficultés, ............................ou encore la qualité de persévérance.
Elle s'exerce de façon consciente par la pratique , l’acceptation et le travail constructif sur soi . Elle a comme préambule
Nos valeurs.
« les valeurs ont été définies comme des directions de vie verbalement construites, globales, désirées et librement choisies » (Dahl, Wilson, Luciano et Hayes, 2005). Elles ne correspondent pas à des objectifs à atteindre, même si parfois elles en englobent.

Je te souhaite tout le bonheur du monde.

 
Tu es visiblement le coup de grâce après @elmakoudi et moi-même! :D

Exactement, c'est ce que je me suis dit car certains détails n'ont aucune valeur ajoutée surtout quand le texte est condensé, ça ressemble plus à une chronique d'un magazine de mode qu'à une tentative d'écriture. Pourtant, beaucoup d'auteurs s'inspirent de leur propre milieu pour écrire de bons livres, celui qui me vient en tête maintenant est l'américain John Grisham, il était avocat et ses romans sont quasiment toujours dans ce milieu, ça donne à ses romans une touche très réaliste et l'impression d'avoir fait des recherches poussées dans le domaine, ce n'est qu'après j'ai découvert qu'il était avocat.

Ah ben vous pourriez peut-être me montrer comment améliorer les choses alors! Pourquoi ne pas partager l’une de vos productions? :)
 
Ah ben vous pourriez peut-être me montrer comment améliorer les choses alors! Pourquoi ne pas partager l’une de vos productions?

Je te renvois à ce que tu as écrit toi-même:

Je ferais une bien piètre écrivaine et je n'ai aucun mal à l'admettre, je n'ai pas la science infuse. Et puis, si j'avais eu de telles qualités, je ne perdrais pas mon temps à écrire sur un forum, je serais déjà en train de publier un bouquin
.

Tu viens de confirmer ce que j'avais dit de toi, il faudra donc avoir plus de visibilité sur ce que tu veux réellement car parler de "productions" est un bien grand mot que , personnellement, je ne pourrais jamais qualifier mes propres posts (je déchire tout ce que j'écris by the way, le jour où je ne déchirerai rien, je le partagerai d'une manière officielle; les pistes que j'ai actuellement sont écrites comme un plan brut et je les laisse au repos, j'y pense de temps à autre mais je ne vois pas faire le saut dans le court ni le moyen terme).

Ma démarche n'est finalement pas "contre toi" , elle est justement pour toi car j'ai très bien senti que tu veux passer à cette étape (continues dans le déni si tu veux) mais avec ton style actuel, tu n'auras absolument aucune chance et même si un miracle arrive, tu seras un nom parmi d'autres que personne ne va retenir. Pour écrire, il faut soit aller jusqu'au bout dans cet egocentrisme et bien l'explorer (ça donnera un autre genre mais beaucoup le font, ça risque d'être sans intérêt) , soit t'ouvrir un petit peu plus aux autres et si tu inclue quelqu'un dans une histoire, tu devrais également l'explorer au lieu de faire de lui une espèce de satellite tournant autour du splendide "soleil" que tu es.

Tu devras également savoir qu'il y a beaucoup de gens (y compris moi-même) qui meurent d'envie de lire quelque chose de beau et ils se fichent pas mal de la personne qui l'écrit car leur but est de lire, pas juger celui qui écrit... j'espère que tu comprends ce que je veux dire par là. ;)
 
Ah ben vous pourriez peut-être me montrer comment améliorer les choses alors! Pourquoi ne pas partager l’une de vos productions? :)
........ s’évaluer en observant son entourage ne serait pas aussi préjudiciable qu’on le prétend.
En effet ma chère , mais à une condition, précise Yves-Alexandre Thalmann, spécialiste de la psychologie expérimentale : celle de ne pas systématiquement se référer à des personnes mieux loties que soi... Ben oui, tant qu’à faire. Car, selon lui, s’il est certain que se soumettre en permanence à des comparaisons « défavorables » ou « ascendantes » contribue à assombrir l’humeur, procéder à des comparaisons « positives » favorise, au contraire, une réelle satisfaction, et donc une bien meilleure estime de soi.
Voilà qui donne davantage envie de se lancer sans fausse modestie, non ?
 
@misszara88, tu as le droit d'avoir ton avis. Mais pas celui de briser quelqu'un.


Rien n'est impossible sur terre. Son style peut s'améliorer. Elle peut vivre un évènement bon ou mauvais (chose que je ne souhaite pas) qui sera le moteur, la source de son inspiration. De son amélioration.


On a pas le droit de dire à quelqu'un qu'il ne réussira pas. Car tt est possible sur terre.

Si je me permets de réagir. C'est parce que durant ttes mes études on m'a dit que je ne réussirai pas. Que je n'avais pas ceci ou cela pour atteindre mes buts. Et j'ai pris pour comptant ce que ces personnes (attentionnés ou pas) m'ont dit. Et cela m'a bloqué durant des années dans mon élévation perso.


Personne n'a le droit de briser les aspirations ou rêves de quelqu'un que cela soit justifié ou non.


Elle aime écrire. Elle y prend du plaisir. Elle aspire peut être à publier. Et bien qu'elle continue. Si cela fait partie de son destin. Elle finira par réussir. Et si pas, elle passera par autre chose. Mais cela viendra d'elle et non de l'opinion des autres.



Voili voiloi
 
Salam à tous,

Je vais essayer de faire simple en vous donnant une réponse globale.

Grosso modo, je raconte cette histoire parce que j’ai eu envie de partager cette aventure et c’est tout.

Pour ce qui est de l’attention portée aux détails, regardez les bouquins de grands auteurs tels qje Balzac ou Zola, vous verrez que c’est une façon de faire...
Certains récits sont remplis de détails, entre autre, pour permettre au lecteur de visualiser la scène. D’autres récits sont plus simples et ne comprennent que de la narration. L’auteur se fait plaisir en écrivant... S’il commence à se brimer pour suivre les consignes d’écriture d’un lecteur, il perd en nature et en substance. Le conformisme, c’est juste triste!

Je n’ai pas la prétention de dire que j’écris comme de tels auteurs, loin de moi une pareille idée mais je tiens à souligner qu’ils font partie de ceux qui m’ont inspirée et qui m’ont forgée...

Pour finir, je vais insister sur le fait que je n’oblige personne à me lire ni à subir la banalité de mes écrits. Si cela vous déplait, vous êtes libres de passer votre chemin. Du reste, j’ai entendu toutes vos critiques et sachez qu’il y a l’art et la manière de les faire. Certains ont été constructifs et je les en remercie du fond du coeur! D’autres ont eu recours à la bassesse en usant de propos mesquins et blessants et ils le savent. Je finirai donc en disant que Dieu est plus grand, Il sait ce qu’il y a dans les coeurs et Il nous rétribuera en
Ah ben vous pourriez peut-être me montrer comment améliorer les choses alors! Pourquoi ne pas partager l’une de vos productions? :)
zola inspire toi de Zola Maupassant ils détails des choses des actes qui nous plonge dans le moment des détails comme ci nous y étions ils nous transporte à l intrigue, le détail subtil... tout est dans la subtilité quand tu parle du jeune homme il ne devrait y avoir que lui, pas les collègues qui se tire dans les pattes pour avoir l approbation du chef .... le stagiaire on ne sait pas à quoi il ressemble, ni ce que tu ressens quand il est là... juste que tu as mis une robe avec des converses et que tu as 25 ans .... et que tu fais plus jeune, c trop centré sur toi mais d une manière superficielle, je te conseille la parure, la chevelure et ensuite bel ami de Maupassant, mais bravo pour l orthographe je rêverai d avoir le tiens !
 
Je te renvois à ce que tu as écrit toi-même:



Tu viens de confirmer ce que j'avais dit de toi, il faudra donc avoir plus de visibilité sur ce que tu veux réellement car parler de "productions" est un bien grand mot que , personnellement, je ne pourrais jamais qualifier mes propres posts (je déchire tout ce que j'écris by the way, le jour où je ne déchirerai rien, je le partagerai d'une manière officielle; les pistes que j'ai actuellement sont écrites comme un plan brut et je les laisse au repos, j'y pense de temps à autre mais je ne vois pas faire le saut dans le court ni le moyen terme).

Ma démarche n'est finalement pas "contre toi" , elle est justement pour toi car j'ai très bien senti que tu veux passer à cette étape (continues dans le déni si tu veux) mais avec ton style actuel, tu n'auras absolument aucune chance et même si un miracle arrive, tu seras un nom parmi d'autres que personne ne va retenir. Pour écrire, il faut soit aller jusqu'au bout dans cet egocentrisme et bien l'explorer (ça donnera un autre genre mais beaucoup le font, ça risque d'être sans intérêt) , soit t'ouvrir un petit peu plus aux autres et si tu inclue quelqu'un dans une histoire, tu devrais également l'explorer au lieu de faire de lui une espèce de satellite tournant autour du splendide "soleil" que tu es.

Tu devras également savoir qu'il y a beaucoup de gens (y compris moi-même) qui meurent d'envie de lire quelque chose de beau et ils se fichent pas mal de la personne qui l'écrit car leur but est de lire, pas juger celui qui écrit... j'espère que tu comprends ce que je veux dire par là. ;)

Big LOl! Dès le début, tu m’as jugée sans connaître mes intentions! Je me suis limite demandé si tu savais lire tellement tu te plantais dans l’interprétation de mes propos! Et pourtant, j’ai pris le temps de répondre point par point lorsque tu critiquais ce que je disais du jeune homme en question...
Bref!
Je retiendrai juste que tu n’as pas eu le courage de montrer ce que tu écris et cela en dit bien long sur ta person’e! C’est tellement facile de critiquer et de se planquer derrière un écran lorsque l’on nous propose d’agir! Moi au moins, j’ai eu le courage de me mouiller...
Et puis tes critiques constructives, tu aurais pu les faire de manière douce ou, au minimum, neutre si elles étaient vraiment « pour moi », comme tu le prétends. Tu n’avais pas besoin d’employer des propos vindicatifs.
Bref, je terminerai en disant que , les chiens aboient et que la caravane passe!
 
zola inspire toi de Zola Maupassant ils détails des choses des actes qui nous plonge dans le moment des détails comme ci nous y étions ils nous transporte à l intrigue, le détail subtil... tout est dans la subtilité quand tu parle du jeune homme il ne devrait y avoir que lui, pas les collègues qui se tire dans les pattes pour avoir l approbation du chef .... le stagiaire on ne sait pas à quoi il ressemble, ni ce que tu ressens quand il est là... juste que tu as mis une robe avec des converses et que tu as 25 ans .... et que tu fais plus jeune, c trop centré sur toi mais d une manière superficielle, je te conseille la parure, la chevelure et ensuite bel ami de Maupassant, mais bravo pour l orthographe je rêverai d avoir le tiens !

Je te remercie d’avoir pris le temps de répondre!
Je faisais référence à « Au bonheur des dames », de Zola, quand j’ai mentionné tous ces détails superficiels. Si tu regardes le bouquin, il y a facilement 40 pages de description de tissu ou rideaux contre quelques lignes sur une histoire d’amour... La fin est la meilleure partie... C’est aussi ce que j’espérais vous montrer de moi dans l’une de mes dernières parties... C’est tout à fait vrai lorsque tu dis que je ne dévoile pas mes sentiments et que je ne mentionne pas non plus son physique etc. Mon intention était de me livrer progressivement et d’exposer des choses plus fragiles au fur et à mesure.C’était censé monter crescendo et donner quelque chose de pas mal au fur et à mesure des parties... Mais au final, j’en retiens que s’ouvrir sur le net, c’est stupide et ça peut faire énormément de mal! Donc merci à tous pour cette merveilleuse leçon de vie! Bref... Je jetterai un oeil aux oeuvres que tu mentionnes et j’y porterai toute mon attention aussitôt que j’en aurai le temps, merci pour ton effort de construire, c’est sincère!
 
@misszara88, tu as le droit d'avoir ton avis. Mais pas celui de briser quelqu'un.


Rien n'est impossible sur terre. Son style peut s'améliorer. Elle peut vivre un évènement bon ou mauvais (chose que je ne souhaite pas) qui sera le moteur, la source de son inspiration. De son amélioration.


On a pas le droit de dire à quelqu'un qu'il ne réussira pas. Car tt est possible sur terre.

Si je me permets de réagir. C'est parce que durant ttes mes études on m'a dit que je ne réussirai pas. Que je n'avais pas ceci ou cela pour atteindre mes buts. Et j'ai pris pour comptant ce que ces personnes (attentionnés ou pas) m'ont dit. Et cela m'a bloqué durant des années dans mon élévation perso.


Personne n'a le droit de briser les aspirations ou rêves de quelqu'un que cela soit justifié ou non.


Elle aime écrire. Elle y prend du plaisir. Elle aspire peut être à publier. Et bien qu'elle continue. Si cela fait partie de son destin. Elle finira par réussir. Et si pas, elle passera par autre chose. Mais cela viendra d'elle et non de l'opinion des autres.



Voili voiloi

Ce que tu as écrit est génial car il reflète exactement ce que je voulais lui dire.

Une parole que tu diras oralement ou par écrit par percuter différemment chez les autres, car le même mot peut signifier autre chose chez les autres... maintenant, si on utilise certains termes assez génériques, là les dégâts seront plus graves et c'est dans cette optique là que je lui ai dit avec ce style (pas elle), elle n'ira pas loin. Je n'ai pas brisé ses aspirations, j'ai critiqué ce que j'ai devant moi en donnant des pistes claires, elle a évoqué certains auteurs et j'ai répondu en les citant pour lui montrer la différence, pas pour la casser. Je ne lui ai pas dit que toi t'es une loser , pas du tout, elle a une belle carrière prometteuse, elle a des aspirations et ça la rend quelqu'un de remarquable car elle est passée par beaucoup d'épreuves difficiles pour arriver à l'état dans lequel elle est, elle n'a reçu aucun cadeau pour avancer, et justement, le seul cadeau qui lui a permis d'être là où elle est actuellement c'était des barrières placées plus haut qu'elle et elle doit s'élever pour les surmonter, chose qu'elle a fait.

Si tu as tout lu en entier, tu verras très bien que je n'ai pas parlé d'elle bien au contraire, c'est parce que je l'ai lue et le monde de l'écriture est vaste, il y a de la place pour tout le monde, donc aucun intérêt à casser qui que ce soit. Elle est en phase d'essai personnel, j'en suis sûre et certaine sinon elle n'aurait pas fait ces tentatives dans un forum.

D'ailleurs, si quelquu'n produit quelque chose destiné à être consommé par d'autres, qu'il s'attende aux critiques et qu'il s'attende à des commentaires qui l'invitent à se remettre en cause... le processus créatif n'est pas pour les douillettes, si on veut éviter les critiques, on ne produit rien et puis c'est tout. ;)
 
Je te remercie d’avoir pris le temps de répondre!
Je faisais référence à « Au bonheur des dames », de Zola, quand j’ai mentionné tous ces détails superficiels. Si tu regardes le bouquin, il y a facilement 40 pages de description de tissu ou rideaux contre quelques lignes sur une histoire d’amour... La fin est la meilleure partie... C’est aussi ce que j’espérais vous montrer de moi dans l’une de mes dernières parties... C’est tout à fait vrai lorsque tu dis que je ne dévoile pas mes sentiments et que je ne mentionne pas non plus son physique etc. Mon intention était de me livrer progressivement et d’exposer des choses plus fragiles au fur et à mesure.C’était censé monter crescendo et donner quelque chose de pas mal au fur et à mesure des parties... Mais au final, j’en retiens que s’ouvrir sur le net, c’est stupide et ça peut faire énormément de mal! Donc merci à tous pour cette merveilleuse leçon de vie! Bref... Je jetterai un oeil aux oeuvres que tu mentionnes et j’y porterai toute mon attention aussitôt que j’en aurai le temps, merci pour ton effort de construire, c’est sincère!
Tu sais le moteur c l envie ... et ne te ferme pas à la critique surtout sur le net il y a parfois des génies, la critique nous fait avancer...bonne continuation
 
Je propose à @TheNeuroGirl de rejoindre sans attendre un excellent atelier d’écriture pour bénéficier du savoir et des savoirs faire d’écriture de ses membres et de ses enseignants ainsi que de leur soutien et leur encouragements.
Une citation clé de Goethe sur l'engagement dans l'action dit :

" Tant que nous ne nous engageons pas, le doute règne, la possibilité de se rétracter demeure et l'inefficacité prévaut toujours. En ce qui concerne tous les actes d’initiatives et de créativité, il est une vérité élémentaire dont l'ignorance a des incidences innombrables et fait avorter des projets splendides. Dès le moment où on s'engage pleinement, la providence se met également en marche. Pour nous aider, se mettent en oeuvre toutes sortes de chose qui sinon n'auraient jamais eu lieu. Tout un enchaînement d’événements, de situation et de décision crée en notre faveur toutes sortes d'incidents imprévus, des rencontres et des aides matérielles que nous n'aurions jamais rêvé de rencontrer sur notre chemin. Tout ce que tu peux faire ou rêver de faire, tu peux l'entreprendre. L'audace renferme en soi génie, pouvoir et magie.
Débute maintenant."


Contre vents et marées , contre la bien-pensance, les convenances et les sentiers balisés.
 
zola inspire toi de Zola Maupassant ils détails des choses des actes qui nous plonge dans le moment des détails comme ci nous y étions ils nous transporte à l intrigue, le détail subtil... tout est dans la subtilité quand tu parle du jeune homme il ne devrait y avoir que lui, pas les collègues qui se tire dans les pattes pour avoir l approbation du chef .... le stagiaire on ne sait pas à quoi il ressemble, ni ce que tu ressens quand il est là... juste que tu as mis une robe avec des converses et que tu as 25 ans .... et que tu fais plus jeune, c trop centré sur toi mais d une manière superficielle, je te conseille la parure, la chevelure et ensuite bel ami de Maupassant, mais bravo pour l orthographe je rêverai d avoir le tiens !

Excellent, tu as su dire en quelques phrases tout ce qui gêne son processus créatif...

Ce processus te pousse à aller au delà du "box"... pour le moment, elle est en plein dedans. Devant une caméra, ça fera éventuellement un chouette concept de télé réalité vu l'environnement dans lequel elle travaille (même pas une série, ça manque cruellement de profondeur) car le visuel compense ce vide.... pas en écriture.
 
Ce que tu as écrit est génial car il reflète exactement ce que je voulais lui dire.

Une parole que tu diras oralement ou par écrit par percuter différemment chez les autres, car le même mot peut signifier autre chose chez les autres... maintenant, si on utilise certains termes assez génériques, là les dégâts seront plus graves et c'est dans cette optique là que je lui ai dit avec ce style (pas elle), elle n'ira pas loin. Je n'ai pas brisé ses aspirations, j'ai critiqué ce que j'ai devant moi en donnant des pistes claires, elle a évoqué certains auteurs et j'ai répondu en les citant pour lui montrer la différence, pas pour la casser. Je ne lui ai pas dit que toi t'es une loser , pas du tout, elle a une belle carrière prometteuse, elle a des aspirations et ça la rend quelqu'un de remarquable car elle est passée par beaucoup d'épreuves difficiles pour arriver à l'état dans lequel elle est, elle n'a reçu aucun cadeau pour avancer, et justement, le seul cadeau qui lui a permis d'être là où elle est actuellement c'était des barrières placées plus haut qu'elle et elle doit s'élever pour les surmonter, chose qu'elle a fait.

Si tu as tout lu en entier, tu verras très bien que je n'ai pas parlé d'elle bien au contraire, c'est parce que je l'ai lue et le monde de l'écriture est vaste, il y a de la place pour tout le monde, donc aucun intérêt à casser qui que ce soit. Elle est en phase d'essai personnel, j'en suis sûre et certaine sinon elle n'aurait pas fait ces tentatives dans un forum.

D'ailleurs, si quelquu'n produit quelque chose destiné à être consommé par d'autres, qu'il s'attende aux critiques et qu'il s'attende à des commentaires qui l'invitent à se remettre en cause... le processus créatif n'est pas pour les douillettes, si on veut éviter les critiques, on ne produit rien et puis c'est tout. ;)

Je n'ai pas lu tout vos échanges. Je suis tombé sur le dernier.

J'ai cru à un cassage! C'est pour cela que j'ai réagis.

Les critiques sont bonnes seulement si elles sont constructives!

Je suis en mode "anti briseur de rêve" :p d'où ma réaction vive ^^
 
Je propose à @TheNeuroGirl de rejoindre sans attendre un excellent atelier d’écriture pour bénéficier du savoir et des savoirs faire d’écriture de ses membres et de ses enseignants ainsi que de leur soutien et leur encouragements.
Une citation clé de Goethe sur l'engagement dans l'action dit :
" Tant que nous ne nous engageons pas, le doute règne, la possibilité de se rétracter demeure et l'inefficacité prévaut toujours. En ce qui concerne tous les actes d’initiatives et de créativité, il est une vérité élémentaire dont l'ignorance a des incidences innombrables et fait avorter des projets splendides. Dès le moment où on s'engage pleinement, la providence se met également en marche. Pour nous aider, se mettent en oeuvre toutes sortes de chose qui sinon n'auraient jamais eu lieu. Tout un enchaînement d’événements, de situation et de décision crée en notre faveur toutes sortes d'incidents imprévus, des rencontres et des aides matérielles que nous n'aurions jamais rêvé de rencontrer sur notre chemin. Tout ce que tu peux faire ou rêver de faire, tu peux l'entreprendre. L'audace renferme en soi génie, pouvoir et magie.
Débute maintenant."


Contre vents et marées , contre la bien-pensance, les convenances et les sentiers balisés.

Très bonne idée! Moi aussi j'y pense sérieusement mais je n'ose pas encore sauter le pas... ces ateliers peuvent enrichir son style et accorder plus de détails.

( pour mon cas, plutôt structurer le bordel dans ma tête)
 
Très bonne idée! Moi aussi j'y pense sérieusement mais je n'ose pas encore sauter le pas... ces ateliers peuvent enrichir son style et accorder plus de détails.

( pour mon cas, plutôt structurer le bordel dans ma tête)

Je te rappellerai un jour une discussion très ancienne qu'on a eu ensemble sur cette thématique.
Depuis, des choses et des choses se sont passées;)
 
Je n'ai pas lu tout vos échanges. Je suis tombé sur le dernier.

J'ai cru à un cassage! C'est pour cela que j'ai réagis.

Les critiques sont bonnes seulement si elles sont constructives!

Je suis en mode "anti briseur de rêve" :p d'où ma réaction vive ^^

Jamais je ne briserai le rêve de quelqu'un, c'est une chose que je ne ferai jamais car je sais ce que c'est.

Mais je suis brutalement franche et je dis exactement ce que je pense, pas dans le but de briser quelqu'un, dans le but de briser ce qu'elle fait actuellement, le "déconstruire" pour que l'autre puisse le reconstruire d'une manière plus belle qui me dépassera et m'épatera plus tard.

Le concept de "construction"/"destruction" m'a toujours fasciné, je ne vois pas en la destruction comme un moyen de casser quelqu'un, mais comme une transformation de ce qu'elle compte présenter de la même manière qu'on détruit les fruits d'un arbre pour en faire un jus très succulent ou une huile précieuse. C'est cela la destruction que j'aime faire. :)
 
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