Tous les pays musulmans condamnent l'apostatie quand bien même certains autorisent la liberté de conscience.
A vous?
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Daucuns pensent, y compris parmi ceux censés être de
formation moderne, que la peine capitale pour apostasie (ridda), cest-à-dire, en fait, pour délit dopinion, est inscrite dans le Coran (sourate II : verset 217). ...
De quoi sagit-il ? Le terme ridda est un nom verbal qui dérive du verbe irtadda, qui signifie littéralement revenir en arrière, et, par extension, tourner casaque, ou trahir. Ce terme est inexistant dans le Coran.
Mais dans sept versets, les verbes radda (faire revenir, Coran II : 109, 217 ; III : 100, 149) et irtadda (revenir de soi-même, Coran II : 217 ; V : 54 ; XXXXVII : 25) interviennent pour désigner ceux qui, après avoir embrassé lislam, lont abandonné, soit sous une pression extérieure, soit deux-mêmes, pour revenir sur leur engagement et retourner à leur foi antérieure, cest-à-dire au statu quo ante. ...
... Il est évident que, dans le Coran, aucun châtiment terrestre nest envisagé contre ceux qui apostasient et changent de religion. Leur sort relève exclusivement de lau-delà. Rien qui puisse contredire larticle 18 de la Déclaration universelle des droits de lhomme sur la liberté religieuse. ...
Le verset 256 de la Sourate 2 : La vache (Al-Baqarah) est tres clair là dessus.
256. Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin sest distingué de légarement. Donc, quiconque mécroît au Rebelle tandis quil croit en Dieu saisit lanse la plus solide, qui ne peut se briser. Et Dieu est Audient et Omniscient.
A vous?
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Daucuns pensent, y compris parmi ceux censés être de
formation moderne, que la peine capitale pour apostasie (ridda), cest-à-dire, en fait, pour délit dopinion, est inscrite dans le Coran (sourate II : verset 217). ...
De quoi sagit-il ? Le terme ridda est un nom verbal qui dérive du verbe irtadda, qui signifie littéralement revenir en arrière, et, par extension, tourner casaque, ou trahir. Ce terme est inexistant dans le Coran.
Mais dans sept versets, les verbes radda (faire revenir, Coran II : 109, 217 ; III : 100, 149) et irtadda (revenir de soi-même, Coran II : 217 ; V : 54 ; XXXXVII : 25) interviennent pour désigner ceux qui, après avoir embrassé lislam, lont abandonné, soit sous une pression extérieure, soit deux-mêmes, pour revenir sur leur engagement et retourner à leur foi antérieure, cest-à-dire au statu quo ante. ...
... Il est évident que, dans le Coran, aucun châtiment terrestre nest envisagé contre ceux qui apostasient et changent de religion. Leur sort relève exclusivement de lau-delà. Rien qui puisse contredire larticle 18 de la Déclaration universelle des droits de lhomme sur la liberté religieuse. ...
Le verset 256 de la Sourate 2 : La vache (Al-Baqarah) est tres clair là dessus.
256. Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin sest distingué de légarement. Donc, quiconque mécroît au Rebelle tandis quil croit en Dieu saisit lanse la plus solide, qui ne peut se briser. Et Dieu est Audient et Omniscient.