Pourquoi, ô Seigneur, lui ai je proposé de la déposer

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mouais .. ok pour la 3ème partie (bien écrite d'ailleurs)

mais je ne vois pas où est le "potentiel destructeur" de cette nana insignifiante ya_zine ..

la prochaine fois que tu la prends en voiture, ne réfléchis pas : dépose la chez red, je suis sûre qu'il saura quoi en faire

:D
Une fille devrait pouvoir percevoir ce "potentiel destructeur"
ça à l'air d'une vraie chipie qui n'obtenant pas ce qu'elle veut pourrait me pourrir la vie, et casser ma réputation au sein de la boite.

Il y a eu un nouvel épisode ce midi. Je le poste dès que je l'ai mis en écrit.
 
Une fille devrait pouvoir percevoir ce "potentiel destructeur"
ça à l'air d'une vraie chipie qui n'obtenant pas ce qu'elle veut pourrait me pourrir la vie, et casser ma réputation au sein de la boite.

Il y a eu un nouvel épisode ce midi. Je le poste dès que je l'ai mis en écrit.


Ouh là là là, j'aimerai trop savoir.
 
Une fille devrait pouvoir percevoir ce "potentiel destructeur"
ça à l'air d'une vraie chipie qui n'obtenant pas ce qu'elle veut pourrait me pourrir la vie, et casser ma réputation au sein de la boite.

Il y a eu un nouvel épisode ce midi. Je le poste dès que je l'ai mis en écrit.
ok c'est acté
je ne suis pas une vraie fille

:D
 
Oyé Oyé gentes damoiselles et damoiseaux, laissez moi vous conter la suite de mon histoire.

4ème partie:

Ce midi, après une dure matinée de labeur, je décide d'aller me chercher un encas à la boulangerie du coin.
Dehors les nuages lâchent leurs crachins depuis maintenant quelques heures, il me faut donc toutes les peines du monde pour me décider.
Je rassemble tout le courage présent dans les alentours et je fonce.

Une fois sur place pas vraiment le choix, toujours le même sandwich, thon mayo pour les intimes, que j'accompagne un petit breuvage américain bien connu à base de coca.

De retour de ma péripétie, je décide de rejoindre la cafétéria.
Certains de mes collègues sont déjà présents et je décide de prendre place avec eux.

Une fois mon casse-croûte engloutit j'ai à peine eu le temps de dire "elhamdoulah" que je vois au loin une silhouette qui ne m'est pas inconnue... C'est elle, la friponne.
Elle fait mine de ne pas me voir et va s'installer à une table un peu plus loin, mais de manière à ce que le contact visuel ne soit pas rompu.
Cachée derrière les personnes qui lui font face, elle creuse sa tranchée et attends que les hostilités soit lancées... la mégère.

Elle ne m'accordera que 10 minutes de répits avant de rejoindre le front.

A. : "Tu as pu penser au documents que je t'ai demandé de m'apporter"
Y : "Non pas trop, mais je suis sur que si tu cherches bien tu les trouveras"
A. "C'est déjà fait mais rien trouvé."
Y : "Te casses pas la tête une fois que je les aurait je les filerais à Jacques (le DRH)"
A. : "Et pourquoi tu veux pas me les donner à moi (avec une mine déconfite) "

Et c'est le moment que trouve un collègue pour balancer son poison, quel blaireau celui là...
"Ben t'es aveugle ou quoi A. ? S'il ne veut pas te les donner à toi, c'est parce que tu l'intimides".
Une bonne poilade pour tout le monde, sauf pour une personne.... moi.

Pour me calmer je me prends un café et lis le journal dans un coin.
Après ma séance d'information (ou de désinformations plutôt) je remonte à mon poste....
Mais c'est pas possible elle me cherche vraiment celle là! Je la trouve une fois de plus devant moi, là attendre je ne sais quoi, comme un roumaine installé un feu tricolore et un essuie vitre à la main.

Elle me parle... "On peut se parler s'il te plait"

PS : On requiert ma personne au travail, je terminerais plus tard ...
 
la suite la suite!!!!!! je viens de lire les 112 posts, et bien c'est une sacrée chipie celle là, mais va falloir être plus malin qu'elle je pense en l'attaquant de manière cérébrale. Pour ça, il va falloir s'armer de patience et de sang froid...
 
la suite la suite!!!!!! je viens de lire les 112 posts, et bien c'est une sacrée chipie celle là, mais va falloir être plus malin qu'elle je pense en l'attaquant de manière cérébrale. Pour ça, il va falloir s'armer de patience et de sang froid...

Salut pisome :)

Oui tu as raison, va falloir la jouer fine avec elle.

PS : j'ai posté la suite juste au dessus :)
 
1ère partie:

1) Le contexte :
Dernièrement une fournée de nouveaux arrivants a débarqué au travail. Parmi ces nouveaux visages il y en avait un en particulier, qui n'est pas passé inaperçu dans nos rangs.
C'était une jeune et belle assistante RH, pimpante à souhait. De vous à moi ce n'était pas une houri loin de là, mais comme aurait dit mon petit frère : "elle a pas une tête de vendeur de na3na3, donc ça passe"

2) l'histoire:
Je travail dans la même boîte depuis plusieurs années. Au fil de ces années j'ai pu tisser une relation avec chacun des mes collaborateurs, cela va du directeur à la simple technicienne de surface.
Le jour de leurs arrivées, ils ont eu droit au procédural tour des locaux et présentations à chaque tour de table, guidé par le DRH (pseudo "ami", entre supporter de l'OM on se comprend et se sert les coudes).

Une fois les nouveaux arrivants présentés ce fut à nous de nous atteler à ce fatiguant exercice. Quand je termine mon DRH ne trouva rien d'autre à dire, pour me titiller comme à son habitude, que : "En plus notre charmant jeune homme est célibataire".
Et moi de lui répondre : "Oui je suis le meilleur parti possible, charmant, célibataire, intelligent, mais tu pourrais pas recruter plus de filles de temps en temps, ça pourrait aider". C'est ce moment que choisie la jeune demoiselle pour me dire : "Et moi je compte pour du beurre".
Ceci entraina une bonne tranche de rigolade et chacun retourna à son dur labeur.

Mes collègues me charrièrent, j'en pris pour mon grade, mais cela nous procura une bonne fin de journée.

Notre bâtiment, récemment construit n'est toujours pas desservi par les transports en commun.
L'arrêt le plus proche se trouve à une bonne quinzaine de minutes à pieds.

Il y a quelques jours, le soir en partant, j'ai croisé la nouvelle assistante RH, que je nommerais A., qui marchait d'un pas léger en direction de l'arrêt de bus.
Ma bonté légendaire, additionné aux températures polaires qui gagnaient notre atmosphère, m'empêcha d'appuyer sur le champignon et de la laisser à son destin quotidien. Je m'arrêtais donc à son niveau et lui proposa de la déposer.
Ce cours parcours, 2 ou 3 minutes, nous permis de faire de simples présentations d'usage, rien de très attrayant.


Le lendemain en sortant je la retrouve sur mon chemin, coïncidence ?

Je pige pas, c'est quoi le problème la ?
 
3ème partie:

3) Une heure après je reçois un mail du DRH qui me convoque dans son bureau! Quel choc! Comment ne pas trouver un lien entre cette citation à comparaitre et mon refus de "coopérer" avec A.
Forcément il y a un lien.
Je me dirige donc, une fois terminé ma tache courante, vers le bureau du DRH, confiant et sur de moi.
A l'intérieur, je ne le trouve pas lui… mais je la trouve elle. Rien qu'à voir sa trombine je n'ai qu'une envie c'est de faire demi-tour.
Je m'assois donc en essayant de garder mon sang-froid, ce qui n'est pas facile compte tenu de l'historique de la matinée.

Et là comme si de rien n'était, avec un calme olympien elle me régurgite une vague histoire de documents manquants dans mon dossier.
Sans perdre mon flegme je lui demande de me montrer le dossier et effectivement certains documents étaient aux abonnés absents.
Je me retourne vers elle et la regarde dans les yeux, à ce moment fini le gentil Yacine, j'ai aiguisé mon regard, froncer les sourcils, et me suis mis en mode "c'est quoi ton problème maintenant?!". Rien à faire, la chipie n'a pas bougé d'un cil. J'étais en face d'une statue et je ne trouvais pas la faille dans la cuirasse qu'elle avait dressée. J'en étais sur ce n'était que partie remise, la bougresse n'allait pas me lâcher.

Et à ce moment que je me suis rendu compte du potentiel destructeur de cette affaire. J'étais à sa merci, cette gamine m'avait piégé et ce n'était que le début.
Je me ressaisi, il n'est pas question que cette mégère pourrisse ce que j'ai construit au fil des ans. Elle pouvait s'asseoir sur ces pseudos "documents manquants". Elle venait de "lâcher les chevaux" sans s'en rendre compte...

c'est quoi la morale de l'histoire ?
sauter tout ce qui bouge sous peine d'avoir des problèmes administratif avec le RH ?
que la chastesté ne paie pas ?
de ne jamais prendre qlqun en voiture ?
de ne pas lacher des blagues pourries entre collègues ?
que la Audi A5 est un piège à ***** ?
 
c'est quoi la morale de l'histoire ?
sauter tout ce qui bouge sous peine d'avoir des problèmes administratif avec le RH ?
que la chastesté ne paie pas ?
de ne jamais prendre qlqun en voiture ?
de ne pas lacher des blagues pourries entre collègues ?
que la Audi A5 est un piège à ***** ?


Je veux pas répondre à sa place, ca alimenterait encore l'idée que moi et yaZ ne faisons qu'un. Mais croire qu'il y a une morale à chaque histoire relève d'une naïveté qui confine à la maladie mentale.
Ce qui lui arrive est une anecdote et non une épopée fantastique à laquelle découlerait une quelconque morale.
Mais en tous cas tu prouves une chose , c'est que tu as lu son histoire avec attention ;)
 
1ère partie:

1) Le contexte :
Dernièrement une fournée de nouveaux arrivants a débarqué au travail. Parmi ces nouveaux visages il y en avait un en particulier, qui n'est pas passé inaperçu dans nos rangs.
C'était une jeune et belle assistante RH, pimpante à souhait. De vous à moi ce n'était pas une houri loin de là, mais comme aurait dit mon petit frère : "elle a pas une tête de vendeur de na3na3, donc ça passe"

2) l'histoire:
Je travail dans la même boîte depuis plusieurs années. Au fil de ces années j'ai pu tisser une relation avec chacun des mes collaborateurs, cela va du directeur à la simple technicienne de surface.
Le jour de leurs arrivées, ils ont eu droit au procédural tour des locaux et présentations à chaque tour de table, guidé par le DRH (pseudo "ami", entre supporter de l'OM on se comprend et se sert les coudes).

Une fois les nouveaux arrivants présentés ce fut à nous de nous atteler à ce fatiguant exercice. Quand je termine mon DRH ne trouva rien d'autre à dire, pour me titiller comme à son habitude, que : "En plus notre charmant jeune homme est célibataire".
Et moi de lui répondre : "Oui je suis le meilleur parti possible, charmant, célibataire, intelligent, mais tu pourrais pas recruter plus de filles de temps en temps, ça pourrait aider". C'est ce moment que choisie la jeune demoiselle pour me dire : "Et moi je compte pour du beurre".
Ceci entraina une bonne tranche de rigolade et chacun retourna à son dur labeur.

Mes collègues me charrièrent, j'en pris pour mon grade, mais cela nous procura une bonne fin de journée.

Notre bâtiment, récemment construit n'est toujours pas desservi par les transports en commun.
L'arrêt le plus proche se trouve à une bonne quinzaine de minutes à pieds.

Il y a quelques jours, le soir en partant, j'ai croisé la nouvelle assistante RH, que je nommerais A., qui marchait d'un pas léger en direction de l'arrêt de bus.
Ma bonté légendaire, additionné aux températures polaires qui gagnaient notre atmosphère, m'empêcha d'appuyer sur le champignon et de la laisser à son destin quotidien. Je m'arrêtais donc à son niveau et lui proposa de la déposer.
Ce cours parcours, 2 ou 3 minutes, nous permis de faire de simples présentations d'usage, rien de très attrayant.


Le lendemain en sortant je la retrouve sur mon chemin, coïncidence ?

C'est pas ici que tu vas te faire repérer par un éditeur !!! mais y a du potentiel ;)
 
Je veux pas répondre à sa place, ca alimenterait encore l'idée que moi et yaZ ne faisons qu'un. Mais croire qu'il y a une morale à chaque histoire relève d'une naïveté qui confine à la maladie mentale.
Ce qui lui arrive est une anecdote et non une épopée fantastique à laquelle découlerait une quelconque morale.
Mais en tous cas tu prouves une chose , c'est que tu as lu son histoire avec attention ;)

maintenant que tu as établis le diganostik Dr. Dar, j'attend le remède ...

et faire de son histoire, une trilogie à la seigneur des anneaux ... t'âppelles ça comment ? avoir le hoquet ?
 
maintenant que tu as établis le diganostik Dr. Dar, j'attend le remède ...

et faire de son histoire, une trilogie à la seigneur des anneaux ... t'âppelles ça comment ? avoir le hoquet ?

Y a que toi qui voit une trilogie. Moi je vois une anecdote narrer d'une certaine façon et poster en plusieurs partie.
 
c'est quoi la morale de l'histoire ?
sauter tout ce qui bouge sous peine d'avoir des problèmes administratif avec le RH ?
que la chastesté ne paie pas ?
de ne jamais prendre qlqun en voiture ?
de ne pas lacher des blagues pourries entre collègues ?
que la Audi A5 est un piège à ***** ?

Je vais répondre à chacune de tes questions le plus posément possible :

sauter tout ce qui bouge sous peine d'avoir des problèmes administratif avec le RH ? =>non
que la chastesté ne paie pas ? =>non
de ne jamais prendre qlqun en voiture ? =>non
de ne pas lacher des blagues pourries entre collègues ? =>non
que la Audi A5 est un piège à ***** ? =>non

Moralité, il n'y aucune moralité à cette histoire, ce n'est que la modeste narration d'une situation vécue. Il n'y a pas la moindre recherche de "tirage de leçon"

Si tu cherches à te faire des noeuds dans le cerveau pour si peu, je te dirais passe ton tour
 
5ème partie :

"On peut se parler s'il te plait"... Ces mots résonnèrent dans ma tête l'espace d'un instant qui me parut durer une éternité.
Mon cœur commença à battre du tonnerre de dieu, mes mains devinrent moites, l'humidité de ma bouche s'évapora en un instant et mes genoux s'entrechoquèrent.

Et c'est d'une voix retombait à l'âge de la puberté, cette période ingrate de la vie où notre voix devient un improbable mélange de son aigu et de bruit roque, que je réponds : "Euuh oui bien sûr"

Il fallait que je fasse vite et que j'écourte au maximum cette entrevue, je ne tenais pas à être épier par une oreille baladeuse.

A. : "Je me trompe peut être mais j'ai l'impression que tu deviens de plus en plus distant avec moi"
Y. : "Non non pas du tout, je suis juste un peu pris par le boulot. J'y pense peut être un peu trop"

Une forme de dédain pris forme dans ces yeux. J'eu l'impression qu'il se matérialisait et que je pourrais presque le toucher.

A. : "Ecoute parle moi franchement, n'insultes pas mon intelligence. Je sais très bien que tu m'évites car tu n'as pas voulu que l'on se voit en dehors du boulot. C'est ton choix et je le respecte mais j'aimerais que tu m'expliques pourquoi? Tu dois surement te faire des idées sur mes intentions réelles"
Y. : "Ecoute je n'ai absolument rien contre toi, c'est juste qu'en ce moment je n'ai pas la tête à ça, mais sache que je t'apprécie et que je n'ai rien contre toi" (hypocrisie quand tu nous tiens)
A. : "Ok cool alors, j'espère que l'on pourra se le prendre ce petit verre alors, en toute amitié"

A ce moment apparut au bout du couloir une horde salvatrice de personnes.... ma porte de sortie.
Il fallait à tout prix que je saute dans ce wagon.

Elle me regardait dans les yeux en attendant une réponse de ma part, moi, complètement obnubilé par mon plan d'évasion, je la regardais aussi en essayant de gagner du temps.

Je pris donc la perche qui m'était tendu pour me faufiler entre les mails du filet, et je lui répondu, tout en lui envoyant un sourire fourbe: "on en reparlera"
Je reçu pour réponse un grand sourire qui faisait apparaitre ces dents couleur blanc nacré. Est ce qu'elle y croyait toujours, ce que sa joie apparente laissé croire, ou est ce qu'elle avait pu déceler en moi mon sarcasme?

A cet instant, peut importait. Je me retrouvais à nouveau seul et c'était bien là le plus important.
 
Affalé dans mon siège, tel un caïd aigri et blasé, je m'attachais à remplir ce dont je suis payé pour. Du coin de l'œil je me rendis compte que je venais de recevoir un nouveau mail d'une comptable de l'étage du dessous. Apparemment rien de très passionnant, surement encore un problème informatique à régler... Il s'avéra que non, mon contentement du moment me trompa.

J’ouvre le mail et que lis-je ?!
"Salut Y. comment vas-tu par cette belle journée d’hiver"
Belle journée d’hiver… cette contradiction me donnait un mauvais pressentiment.
"Alors comme ça monsieur dragouille les petites nouvelles ? Petit coquin ;). N’essaye pas de démentir A. nous a tout raconté lol"

A ce moment j’ai du perdre 5 ans d’espérance de vie et 5 dixième à chaque œil !!
Mais dans quelle situation je m’étais embarqué…
 
1ère partie:

1) Le contexte :
Dernièrement une fournée de nouveaux arrivants a débarqué au travail. Parmi ces nouveaux visages il y en avait un en particulier, qui n'est pas passé inaperçu dans nos rangs.
C'était une jeune et belle assistante RH, pimpante à souhait. De vous à moi ce n'était pas une houri loin de là, mais comme aurait dit mon petit frère : "elle a pas une tête de vendeur de na3na3, donc ça passe"

2) l'histoire:
Je travail dans la même boîte depuis plusieurs années. Au fil de ces années j'ai pu tisser une relation avec chacun des mes collaborateurs, cela va du directeur à la simple technicienne de surface.
Le jour de leurs arrivées, ils ont eu droit au procédural tour des locaux et présentations à chaque tour de table, guidé par le DRH (pseudo "ami", entre supporter de l'OM on se comprend et se sert les coudes).

Une fois les nouveaux arrivants présentés ce fut à nous de nous atteler à ce fatiguant exercice. Quand je termine mon DRH ne trouva rien d'autre à dire, pour me titiller comme à son habitude, que : "En plus notre charmant jeune homme est célibataire".
Et moi de lui répondre : "Oui je suis le meilleur parti possible, charmant, célibataire, intelligent, mais tu pourrais pas recruter plus de filles de temps en temps, ça pourrait aider". C'est ce moment que choisie la jeune demoiselle pour me dire : "Et moi je compte pour du beurre".
Ceci entraina une bonne tranche de rigolade et chacun retourna à son dur labeur.

Mes collègues me charrièrent, j'en pris pour mon grade, mais cela nous procura une bonne fin de journée.

Notre bâtiment, récemment construit n'est toujours pas desservi par les transports en commun.
L'arrêt le plus proche se trouve à une bonne quinzaine de minutes à pieds.

Il y a quelques jours, le soir en partant, j'ai croisé la nouvelle assistante RH, que je nommerais A., qui marchait d'un pas léger en direction de l'arrêt de bus.
Ma bonté légendaire, additionné aux températures polaires qui gagnaient notre atmosphère, m'empêcha d'appuyer sur le champignon et de la laisser à son destin quotidien. Je m'arrêtais donc à son niveau et lui proposa de la déposer.
Ce cours parcours, 2 ou 3 minutes, nous permis de faire de simples présentations d'usage, rien de très attrayant.


Le lendemain en sortant je la retrouve sur mon chemin, coïncidence ?

Encore un peu elle fait du charme à ton chef et t'es foutu :rolleyes:
va falloir embrayer sérieusement (heureusement t'as une Audi A5 ca aide)


PS: pourquoi y'a toujours un/une jaloux dans des post à succès? :rolleyes:
 
Affalé dans mon siège, tel un caïd aigri et blasé, je m'attachais à remplir ce dont je suis payé pour. Du coin de l'œil je me rendis compte que je venais de recevoir un nouveau mail d'une comptable de l'étage du dessous. Apparemment rien de très passionnant, surement encore un problème informatique à régler... Il s'avéra que non, mon contentement du moment me trompa.

J’ouvre le mail et que lis-je ?!
"Salut Y. comment vas-tu par cette belle journée d’hiver"
Belle journée d’hiver… cette contradiction me donnait un mauvais pressentiment.
"Alors comme ça monsieur dragouille les petites nouvelles ? Petit coquin ;). N’essaye pas de démentir A. nous a tout raconté lol"

A ce moment j’ai du perdre 5 ans d’espérance de vie et 5 dixième à chaque œil !!
Mais dans quelle situation je m’étais embarqué…


Ptdr .... comment ca fout la rage ! Elle a cash raconté : Yacine c mon homme hahaha
 
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