Pourquoi, ô Seigneur, lui ai je proposé de la déposer

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Lol je vais essayer de pas te décevoir alors, ce serait dommage de passer à côté de ça
Après le scénario ne dépend pas que de moi.

J'ai hate de voir ca, je suis assez éxigeante niveau littérature bladinienne :cool:

C'est sur, ca dépend que de ta pot de colle de collégue .Au passage, une fille normale aurait laissé tomber l'affaire dès qu'elle aurait eu le vent. Donc deux solutions : soit elle est vraiment amoureuse de toi, ce que je pense pas. Soit tu l'as blessée dans ta fierté, d'ou cet acharnement qui finira par détruire l'un ou l'autre d'entre vous.

Sinon, ca s'est passé comment avec elle aujourdhui ? :D
 
6ème partie:

On dit que la nuit porte conseil, hors cette nuit Morphée devait être occupé à d'autres tâches.
Que faire pour que cesse ce mic mac débridé, pour que cette histoire sans queue ni tête prenne fin ?
C'est sur ces interrogations que je m'endormi...

Le lendemain matin au boulot, après mettre fait dépouiller de 30 cents pour mon jus de chaussettes favori, je décide d'aller parler à la comptable de la veille.
Heureusement pour moi, j'entretiens de bonnes relations avec elle.

J'ajuste ma chemise, recoiffe mes satanés mèches rebelles et je fonce...

Dans les couloirs je sers deux ou trois poignées de mains, croise un regroupement d'individus en train de débattre de politique. Apparemment un débat passionnant vu la fougue engagée par certains.

Mais mon attention était ailleurs...

J'aperçois enfin le bureau de celle qui devait devenir mon alliée.

Mes mots furent "Salut la miss". Engluée dans son boulot ce fût pour elle une corde à laquelle elle s'accrocha pour remonter à la surface.
"Salut ça va?"
"Oui merci, je peux te voir une minute en privé?"

Ne lui laissant pas le temps de répondre je me dirigea vers le bureau à bâbord.
Instinctivement elle me suivi sachant pertinemment qu'elle ne pourrait pas se défiler.

Après quelques échanges concernant son mail de la veille.
J’appris qu’A. , sachant que je m’entendais bien avec elle, lui aurait demandait certaines choses sur moi, en utilisant la subtilité d’un camionneur, ce qui aurait semé certaines suspicions.
D’inévitables déductions, à moitié avouées, seraient donc nées des ses questions.

Je pris donc congés de ma rapporteuse englué dans mes pensées, en la remerciant et en lui promettant pour la peine une tablette de chocolat.
Cette entrevue ne m’ayant pratiquement rien apporté, je lui prendrais pour la peine la plus calorique.

Retournant à mon poste, un clivage se créa dans mon esprit. Devrais-je forcer les choses ou attendre gentiment que le destin ne me dépêtre de ce sac de nœuds.

Les jours suivants seront, il n'y a pas de doutes, déterminants et je l'espère salvateurs...
 
6ème partie:

On dit que la nuit porte conseil, hors cette nuit Morphée devait être occupé à d'autres tâches.
Que faire pour que cesse ce mic mac débridé, pour que cette histoire sans queue ni tête prenne fin ?
C'est sur ces interrogations que je m'endormi...

Le lendemain matin au boulot, après mettre fait dépouiller de 30 cents pour mon jus de chaussettes favori, je décide d'aller parler à la comptable de la veille.
Heureusement pour moi, j'entretiens de bonnes relations avec elle.

J'ajuste ma chemise, recoiffe mes satanés mèches rebelles et je fonce...

Dans les couloirs je sers deux ou trois poignées de mains, croise un regroupement d'individus en train de débattre de politique. Apparemment un débat passionnant vu la fougue engagée par certains.

Mais mon attention était ailleurs...

J'aperçois enfin le bureau de celle qui devait devenir mon alliée.

Mes mots furent "Salut la miss". Engluée dans son boulot ce fût pour elle une corde à laquelle elle s'accrocha pour remonter à la surface.
"Salut ça va?"
"Oui merci, je peux te voir une minute en privé?"

Ne lui laissant pas le temps de répondre je me dirigea vers le bureau à bâbord.
Instinctivement elle me suivi sachant pertinemment qu'elle ne pourrait pas se défiler.

Après quelques échanges concernant son mail de la veille.
J’appris qu’A. , sachant que je m’entendais bien avec elle, lui aurait demandait certaines choses sur moi, en utilisant la subtilité d’un camionneur, ce qui aurait semé certaines suspicions.
D’inévitables déductions, à moitié avouées, seraient donc nées des ses questions.

Je pris donc congés de ma rapporteuse englué dans mes pensées, en la remerciant et en lui promettant pour la peine une tablette de chocolat.
Cette entrevue ne m’ayant pratiquement rien apporté, je lui prendrais pour la peine la plus calorique.

Retournant à mon poste, un clivage se créa dans mon esprit. Devrais-je forcer les choses ou attendre gentiment que le destin ne me dépêtre de ce sac de nœuds.

Les jours suivants seront, il n'y a pas de doutes, déterminants et je l'espère salvateurs...

mdr elle est pas mal celle-là :D
 
6ème partie:

On dit que la nuit porte conseil, hors cette nuit Morphée devait être occupé à d'autres tâches.
Que faire pour que cesse ce mic mac débridé, pour que cette histoire sans queue ni tête prenne fin ?
C'est sur ces interrogations que je m'endormi...

Le lendemain matin au boulot, après mettre fait dépouiller de 30 cents pour mon jus de chaussettes favori, je décide d'aller parler à la comptable de la veille.
Heureusement pour moi, j'entretiens de bonnes relations avec elle.

J'ajuste ma chemise, recoiffe mes satanés mèches rebelles et je fonce...

Dans les couloirs je sers deux ou trois poignées de mains, croise un regroupement d'individus en train de débattre de politique. Apparemment un débat passionnant vu la fougue engagée par certains.

Mais mon attention était ailleurs...

J'aperçois enfin le bureau de celle qui devait devenir mon alliée.

Mes mots furent "Salut la miss". Engluée dans son boulot ce fût pour elle une corde à laquelle elle s'accrocha pour remonter à la surface.
"Salut ça va?"
"Oui merci, je peux te voir une minute en privé?"

Ne lui laissant pas le temps de répondre je me dirigea vers le bureau à bâbord.
Instinctivement elle me suivi sachant pertinemment qu'elle ne pourrait pas se défiler.

Après quelques échanges concernant son mail de la veille.
J’appris qu’A. , sachant que je m’entendais bien avec elle, lui aurait demandait certaines choses sur moi, en utilisant la subtilité d’un camionneur, ce qui aurait semé certaines suspicions.
D’inévitables déductions, à moitié avouées, seraient donc nées des ses questions.

Je pris donc congés de ma rapporteuse englué dans mes pensées, en la remerciant et en lui promettant pour la peine une tablette de chocolat.
Cette entrevue ne m’ayant pratiquement rien apporté, je lui prendrais pour la peine la plus calorique.

Retournant à mon poste, un clivage se créa dans mon esprit. Devrais-je forcer les choses ou attendre gentiment que le destin ne me dépêtre de ce sac de nœuds.

Les jours suivants seront, il n'y a pas de doutes, déterminants et je l'espère salvateurs...

Oh non, moi qui m'attendait a un rebondissement. . . Du genre un meurtre, ou pire un licenciement en grande pompe a cause du bourrage de crâne du patron par la vicieuse machiavélique ! :D
 
C'est pas l'avis de tout le monde... entre ceux qui pensent que Red et moi on est la même personne et ceux qui nous prennent pour des mitos ...

Merci c'est appréciable et apprécié

Si ton histoire était fausse tes parties auraient été différentes tu aurais tout fait pour tenir le lecteur en haleine hors là tu n'as fait que relater des faits pas de cliffhanger lol
 
Si ton histoire était fausse tes parties auraient été différentes tu aurais tout fait pour tenir le lecteur en haleine hors là tu n'as fait que relater des faits pas de cliffhanger lol

Aujourd'hui j'ai essayé de faire l'alchimiste, en transformant du plomb (il ne s'est pas passé grand chose aujourd'hui) en or (essayé d'en tirer malgré tout un petit post sympa).

J'espère y être arrivé.
 
Bien sur que non, mais fais gaffe quand même, certains sont tellement manipulateurs et machiavéliques qu'ils pourraient faire n'importe quoi de leur victime . . .

*bruit de vent terrifiant digne d'un film d'horreur*


:rolleyes:


ouuuuuuuuuuuuu j'ai peuuuuuuuuuuuuuuur .......

*ampoule qui crépite et branches qui claquent contre la vitre*

Sinon ne t'inquiètes pas, je saurais gérer la manipulatrice
 
ouuuuuuuuuuuuu j'ai peuuuuuuuuuuuuuuur .......

*ampoule qui crépite et branches qui claquent contre la vitre*

Sinon ne t'inquiètes pas, je saurais gérer la manipulatrice

*bruit de talon caractéristique de vicieuse qui tient absolument a nous avoir, quitte a nous détruire. . . bouh ! *

J'espère, mais ce genre de personnes peut détruire ta réputation au boulot et bien t'enmerder auprès du big boss, donc soit ferme mais méchant ! :fou:
 
*bruit de talon caractéristique de vicieuse qui tient absolument a nous avoir, quitte a nous détruire. . . bouh ! *

J'espère, mais ce genre de personnes peut détruire ta réputation au boulot et bien t'enmerder auprès du big boss, donc soit ferme mais méchant ! :fou:

La réputation est sauve. La personne a qui j'ai parlé aujourd'hui est une vraie pipelette.
Elle va se charger de rétablir la vérité auprès des septiques.

*rires machiavéliques (figuig avait raison mouhahahah)*
 
La réputation est sauve. La personne a qui j'ai parlé aujourd'hui est une vraie pipelette.
Elle va se charger de rétablir la vérité auprès des septiques.

*rires machiavéliques (figuig avait raison mouhahahah)*

Bien joué, mais fais attention car le premier qui fléchira sa garde en premier sera celui qui tombera !

:rolleyes:
 
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