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Je parle de ta question en faite : entre payer plus cher et se faire espionné on choisis quoi ? alors maintenant pour demander le respect de nos vie privée va falloir payer plus cher ? c'est quoi c'est histoires !
Le fait que on paie moins cher parce que sa passe au USA ne justifie NULLEMENT le fait de violé nos vie privée !
Ah ben si, c’est justement ça l’histoire, et je dirais que s’imaginer qu’on peut tout obtenir et réclamer sans rien céder pour ça et dire en même que ça ne mérite qu’on y contribue rien et que ça ne vaut rien, je dirais que c’est à ça qu’il faut répondre « c’est quoi ces histoires ». Les gens qui le font croire, s’avèrent être des escrocs, qui savent que les gens aiment qu’on les prennent pour des idiots, si c’est pour entendre ce qu’ils ont envie d’entendre, surtout quand ils n’ont aucune envie d’entendre autre chose.
On a un nouveau problème avec les monopoles (en plus des problèmes qu’ils posaient déjà avant avec le manque de diversité qu’ils provoquent), et ces monopoles, dont principalement ceux de Google et Facebook savent comment tenir les gens et ne pas éveiller l’envie d’aller voir ailleurs : par la gratuité. C’est aussi elle qui met une pression énorme et absolument insurmontable pour la concurrence, qui n’a que très peu probabement les capitaux de départ nécessaires à surmonter cette pression de la gratuité obligatoire et à ses frais (parce que la soit‑disant gratuité, n’est qu’un cout qui est dissimulé de la vue des gens qui la réclame, la gratuité n’existant pas).
Il aurait été plus difficile pour PRISM, de devoir soudoyer des centaines ou des milliers de petites entreprises dans un même domaine, mais indépendantes les unes des autres . Ça leur a sûrement facilité la tâche de n’avoir à soudoyer qu’une petite poignée d’entreprises seulement, qui représentent 95% du trafique et des usages… Bingo pour eux! Ils ont décroché le gros lot en quelques coups.
Aussi longtemps que les gens préféreront un Facebook gratuit qui se finance en vendant des données sur leurs relations, leurs préférences et leurs habitudes, plutôt que de cotiser pour un abonnement à un site financé de la manière plus classique et plus saine, que seraient les cotisations des utilisateurs, le problème restera non‑résolu, et l’internaute pourra râler tout ce qu’il veut, rien n’y changera.
Et en lisant cet article de Wikipédia, j’ai constaté que une fois de plus, c’est un problème similaire qui se présente : « on » sacrifie tout pour la gratuité ou le moins cher. Faut assumer ses choix et ses priorités.
Malheureusement, la minorité qui voudrait autre chose, subit le courant imposé par la majorité qui est prête à tout sacrifier pour la gratuité (ou le moins cher possible, quand elle n’arrive pas à obtenir la gratuité).
Regarde la liste des participant à Prisme, et que constates‑tu ? Ce sont tous des monopoles ou quasi‑monopoles dans leurs domaines. Et ça renvoie à la question plus haut, de se demander pourquoi ses monopoles tiennent en place et pourquoi il n’existe aucune alternative de non‑monopole face à eux. Ces alternatives n’ont aucune chance d’exister, parce qu’elle n’ont pas les moyens de se financer à perte et à crédit perpétuellement.
C’est toujours le même problème : jusqu’ou va‑t‑on tout sacrifier pour se donner l’illusion qu’on peut tout avoir sans rien donner et qu’on peut se contenter de râler sans assumer aucune responsabilité ?
À mon avis, ces monopoles n’ont aucune crainte à avoir de ses fuites et que leurs noms aient été balancés, parce qu’ils savent comment ils tiennent les gens, et ils savent que ces gens ne sont pas prêt de changer leurs habitudes et leurs attentes pour passer à d’autres. Ils savnt qu’ils râleront, mais savent aussi qu’ils resteront.