Riba traduction

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Mais il son de la banche sunnite, ils on suivi la science du hadiths
Tu rigoles, ils sont aussi forts en science du hadith que toi. Quand on leur cite un hadith ils font des fatwas pour les contourner : comme vous, les coranistes...

Des arguments du genre "il faut tuer la soeur de celui qui tue ta soeur", comme l'argument "il faut suivre le Messager et non pas Muhammad (Paix sur lui)... Donc, en résumé ça volle aussi haut chez eux que chez vous.
 
Revenons au sujet:
L'article d'un "pro":


Définition du Riba (intérêt/usure)
Par Cheikh Mohamed Bechir OULD SASS

Dans la littérature francophone, la notion du ribâ est souvent ramenée à celle de « l’usure » qui est la traduction la plus fréquemment donnée à l’interdiction de l’intérêt usuraire. Cependant, cette traduction ne correspond pas exactement au sens plus large que les les ulémas et jurisconsultes musulmans [1] donnent au concept du ribâ dans son acception jurisprudentielle.

Du point de vue étymologique, le mot ribâ (nom arabe masculin) vient du verbe rabâ & arbâ qui signifie augmenter et faire accroître une chose à partir d’elle-même.

Il est intéressant de noter avant de donner une définition technique du ribâ que certains juristes estiment que toutes transactions interdites en islam fait partie du ribâ[2].

Du point de vue juridique, nous pouvons définir le ribâ comme étant tout avantage ou surplus qui sera perçu par l'un des contractants sans aucune contrepartie[3] acceptable et légitime du point de vue du droit musulman [4], dans le cadre d’un prêt (ribâ dit al-nasî’a) ou d’une vente à terme des monnaies (le ribâ dit al-nass’a) ou d’un troc déséquilibré des produits alimentaires de même nature (riba dit al-fadl)[5].

Bien qu’il existe plusieurs définitions et plusieurs formes du ribâ, il n’en demeure pas moins qu’une des plus répandues soit celle qui est relative au prêt avec intérêt, ce que les juristes musulmans appellent : al-nasî’a. Selon l’orientaliste français Jaques Austruy, l’interdiction du ribâ semble être l’une des conséquences de l’égalitarisme recherché dans la loi musulmane. Car d’après lui, cette interdiction, tout comme la prohibition canonique chrétienne, est fondée sur la double affirmation que le temps appartient à Dieu seul et ne peut être vendu, et que l’argent, en lui même, n’est pas productif[6]. Du point de vue historique, les nombreuses philosophies anciennes ont souvent remis en cause l’usure et la logique de valorisation du capital au détriment du travail. Ainsi, les célèbres philosophes Platon et Aristote ont critiqué sévèrement l’usure en résumant leur pensée dans l’expression « un écu n’engendre pas »[7].

Il convient de rappeler que les trois religions monothéistes à savoir le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam, ont condamné l’usure et le taux d’intérêt.

La pratique de l’intérêt usuraire furent l’objet d’interdictions dans Évangiles du christianisme et dans la Bible hébraïque aussi quoique dans le judaïsme l’interdiction de l’usure est plus restreinte voire sélective selon l’expression d’André Martene qui souligne que « les juifs dans leur interdiction de l’usure furent plus sélectifs que les musulmans : le Tabrit (un mot hébreux désignant la pratique de l’usure) était interdit entre juifs mais pas entre juifs et non juifs ». L’ancien testament permet, en effet, aux créanciers juifs de pratiquer un taux usuraire lorsqu’il s’agit d’un prêt accordé aux étrangers de la communauté juive[8].

Il s’avère donc que l’originalité de la législation islamique en matière du ribâ réside essentiellement dans la globalité du principe d’interdiction et la sérieuse tentative de mettre en place des dispositifs alternatifs au crédit classique.

En islam, l’universalité du principe d’interdiction du ribâ n’est guère remise en cause et cela depuis l’émergence de la première expérience relative à la mudhâraba traditionnelle jusqu'à l’aboutissement à la dernière version de finance islamique qui s’incarne dans des banques «participatives» opérant sans ribâ aussi bien avec les collaborateurs musulmans que les non musulmans, substituant ainsi la pratique de l’usure par une certaine philosophie de solidarité entre les acteurs économiques.

Cet attachement aux sources vient du fait que la légitimité d’un principe n’est acceptable que si elle repose sur une des sources fondamentales de la Sharî‘a en effet, le Coran constitue avec la tradition du Propète (sunna), le consensus des ulémas (ijmâ‘) et le raisonnement par analogique (qiyâs), les quatre sources du droit musulman. Ainsi nous avons jugé nécessaire de présenter dans les paragraphes qui suivent une approche synthétique du ribâ dans le Coran.
Cette approche nous permettra, d’une part, de mieux comprendre les fondements (socioculturels) de l’interdiction du ribâ en islam et, d’autre part assimiler les règles juridiques afférentes à sa prohibition.


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Notes :

[1] Le mot ulémas (Alem : au singulier) désigne les jurisconsultes musulmans à qui revient le droit d’interpréter les textes coraniques. Parmi ces ulémas nous avons rencontré Cheik Ben Beyya vice-président du conseil européen pour la Fatwa ainsi que Cheikh Ben Mohammedy qui nous a confié que la raison pour laquelle le ribâ est interdit réside dans le fait qu’une telle pratique représente une véritable infraction aux devoirs de solidarité entre les humains et même une violation de la nature des choses dans la mesure où il s’agit d’une opération financière comportant non seulement la restitution de la chose prêtée mais encore un accroissement « capitaliste » injustifiable ».

[2] On attribue cet avis à ‘Umar b. al-Khattâb et ‘Aisha. En se basant sur le verset coranique : « Dieu a rendu licite le commerce et illicite le ribâ » 2/275, Ibn al-‘Arabî semble aussi défendre cette position.

[3] Voir par exemple "Radd oul mouhtâr" – Volume 5 / Page 294, "Al Fiqh oul islâmî" – Volume 4 / Pages 668 et 669, "Kitâb oul fiqh 'alal madhâhib al arba'ah" – Volume 2 / Page 209

[4] C'est cela qui différencie le ribâ de la vente d'un bien ou d'un service. Dans les deux derniers cas, en effet, la contrepartie perçue est considérée comme acceptable dans le droit musulman ('iwadh bi mi'yâr char'iyyin), étant donné qu'il vise à compenser quelque chose de légitime, comme :
- la perte de valeur liée à l'usage d'un bien (dans le cas de la location d'un bien),
- l'effort fourni pour la réalisation d'un objet (dans le cas de la vente d'un bien produit par le vendeur),
- le travail accompli pour l'obtention d'un bien matériel et le risque engagé dans sa prise en charge (dans le cas de la vente d'une marchandise achetée à autrui)

[5] Nous nous sommes inspirées dans cette définition de la célèbre œuvre d’Averroès in « Commencements du chercheur (bidayyat al-mujtahid), tome 2, édition la librairie moderne. Beyrouth-Liban, 2002, p.106. Averroès fut un grand savant et philosophe de l’Espagne musulmane et il est connu dans le monde musulman sous le non de BEN RUSHD

[6] Jaques AUSTRUY « l’islam face au développement économique», collection économie et humanisme, les éditions ouvrières. Paris 2006, p.52.

[7] Aristote (382-322 av J. C ), dans "l'Ethique à Nicomaque", remarque que l’argent est un moyen pour faciliter l’échange et qu’une monnaie ne doit pas enfanter une autre, si non l’argent devient lui-même productif et se trouve détourné de ses finalités originales en tant que moyen de payement et outil de mesure. (cité par Bohm Bawerk dans « l’histoire critique des théorie de l’intérêt » traduit par Bernard J. , tomme 1 Edition Ciard et Brière.

On attribue également à Aristote la citation suivante : ce qu’on déteste avec le plus de raison, c’ est la pratique du prêt à intérêt, parce que le gain qu’on en retire provient de la monnaie elle-même et ne répond pas à la fin qui à présidé à sa création. Cf. H., Denis. « Histoire de la pensée économique, 5ème édition (Presse Universitaire de France, 1977), 49.

[8] « Tu n’exigeras de ton frère aucun intérêt, ni pour l’argent, ni pour vivre, ni pour aucune chose qui se prête à intérêt, pour l’étranger tu pratiqueras l’usure ; mais envers ton frère, pas d’usure, pour que Dieu ton Elohim, te bénisse de tout envoi de tes mains sur la terre, là où tu viens, pour en hériter). (Deutéronome, XXIII : 19-21).

Si ton frère devient pauvre et que sa main s’affaiblit prés de toi, tu le soutiendras, afin qu’il vive prés de toi, ne tire de lui aucun intérêt, ni profit, crains ton dieu et que ton frère vive avec toi. Tu ne lui prêteras point ton argent à intérêt et tu ne lui donneras pas tes vivres pour en tirer profit. Lévitique, XXV 35-37, cité dans le dictionnaire de théologie, Paris 1947, colonne 2325.

On note donc selon Henri Guiton, que pour les juifs ; prendre des intérêts sur un capital prêté aux étrangers n’est pas considérés comme faute (Cf. H. Guitton, « Économie politique », Dalloz, 1976, p.292.
 
Et pourquoi tu le prends ce hadith là dans ce cas ?!

Question : comment il priait Omar ?
Salamun aleykum ya akhi al karim. Tu te fatigues pour rien, leur intention n'est pas de débattre mais de verser leurs venins et se retirer. Tu crois qu'ils cherchent à creuser ? Ils ne remettent pas au tiroir que la totalité des ahadith, ils ne nient pas seulement tous les ouvrages anciens, ils ne renient pas seulement l'ensemble des pratiques millénaires qui ne divisent nullement la totalité du monde musulman, ..., ils n'essayent pas uniquement d'imposer une lecture spécieuse et insensée du Coran (ou d'une quelconque version en français de vulgarisation), ..., ils rejettent purement et simplement toute démarche historique, documentée, vérifiable ou logique nécessitant DEMONSTRATION. Comment veut-on débattre avec de pareilles personnes qui nient absolument tout document historique, tout dictionnaire, toute source historique, toute pratique bien rodée ? Qu'Allah te garde.
 
@Cause01. La plus grande marque que votre démarche "coraniste" (je ne vous reconnais nullement ce titre puisque vous n'obéissez pas à celui qui l'a apporté comme cela est commandé dedans) est un égarement de plus, c'est que vous prétendez crument "le Coran nous suffit (nous n'avons pas besoin de la compréhension du Prophète)" : et vous ne parvenez pas à vous unir sur une seule pratique en partant de la salat, en passant par les ablutions, la zakat, le Hajj, le siyam, en continuant sur les interdits comme le riba, ..., cela suffit à démontrer que votre cheminement est un égarement qui divise et n'unit pas.

« Cramponnez-vous ensemble à la corde d'Allah et ne vous divisez pas » (al Imran, 103)

Vous reprochiez à notre communauté de se diviser sur des points secondaires, et voilà que vous ne parvenez pas à vous unir sur des points fondamentaux millénaires qui ne nous ont jamais divisés. Subhanallah. Et quand on vous rappelle qu'on sera jugé, "Ne semez pas la corruption sur la terre", ils disent : "Au contraire nous ne sommes que des réformateurs". Non ce sont bien des semeurs de désordre, mais ils ne le sentent point."
 
Salamun aleykum ya akhi al karim. Tu te fatigues pour rien, leur intention n'est pas de débattre mais de verser leurs venins et se retirer. Tu crois qu'ils cherchent à creuser ? Ils ne remettent pas au tiroir que la totalité des ahadith, ils ne nient pas seulement tous les ouvrages anciens, ils ne renient pas seulement l'ensemble des pratiques millénaires qui ne divisent nullement la totalité du monde musulman, ..., ils n'essayent pas uniquement d'imposer une lecture spécieuse et insensée du Coran (ou d'une quelconque version en français de vulgarisation), ..., ils rejettent purement et simplement toute démarche historique, documentée, vérifiable ou logique nécessitant DEMONSTRATION. Comment veut-on débattre avec de pareilles personnes qui nient absolument tout document historique, tout dictionnaire, toute source historique, toute pratique bien rodée ? Qu'Allah te garde.

Tu as tout à fait raison.. baarakallahu fik !
Amiin.
 
Salamun aleykum ya akhi al karim. Tu te fatigues pour rien, leur intention n'est pas de débattre mais de verser leurs venins et se retirer. Tu crois qu'ils cherchent à creuser ? Ils ne remettent pas au tiroir que la totalité des ahadith, ils ne nient pas seulement tous les ouvrages anciens, ils ne renient pas seulement l'ensemble des pratiques millénaires qui ne divisent nullement la totalité du monde musulman, ..., ils n'essayent pas uniquement d'imposer une lecture spécieuse et insensée du Coran (ou d'une quelconque version en français de vulgarisation), ..., ils rejettent purement et simplement toute démarche historique, documentée, vérifiable ou logique nécessitant DEMONSTRATION. Comment veut-on débattre avec de pareilles personnes qui nient absolument tout document historique, tout dictionnaire, toute source historique, toute pratique bien rodée ? Qu'Allah te garde.
Salam
Tu juge des gens qui croient en ALLAH,cherchent à comprendre SA révélation car dans cette révélation il y a des incitations à la reflection personnel,pas a la reflection d'une élite maitre à pensé.
Tu viens maintenant avec un argument vraiment fragile:l'aspect historique de l'histoire de l'islam....le nombre de mensonges Et de propos orienté par les volontés politiques de cette époque ne te font pas peur.tu oses pensé que l'histoire que vous avez mentionné dans les livres sont pures....on sait tous très bien que c'est faux,pour l'histoire de l'islam et pour l'histoire tout cours.

Tu a parlé aussi de l'union des musulmans.....j'espère que tu rigolait...?l'union fait la force mon frère,tu a l'impression que les musulmans sont en force dans le monde actuel..?

Je trouve vraiment insultant le fait de prendre ceux qui ont une démarche sincère de compréhension du coran,avec l'espoir de plaire à ALLAH pour des egarés juste parce qu'ils ne suivent pas votre manière de pensé et d'approcher l'islam.

il y a des point clairs de contradictions(ne me fait pas te les sortir ,tu sais bien que je dis la vérité),entre certaines pratique institué par les hadiths,et les paroles d'ALLAH dans le coran.
 
La riba est haram le bute du super n'est pas de savoir si elle est haram ou non, mais de savoir ce qu'est la riba ...
Salam @insouciants ,j'avais vu une vidéo d'un gars qui disat que si nous sommes 100 sur une île et qu'on prêtait à intérêt à chacun une somme, il y aurait forcément une injustice parce que il a mathématiquement une impossibilité que tous le mondes rembourse avec les intérêt prévu.(aldo sterone)
C'est peut être ce quALLAH veut nous faire évité....
 
@islamgwada, fais voir un peu ces contradictions...
J'ai pas vu d'incitations à la réflexion personnelle sur le Halal/Haram mais simplement sur la création et les signes d'Allah Ta'âla.
Le Halal / Haram s'apprend chez "l'élite".

Tu peux répondre à une question : il est où Allah 'azza wa jal ?
 
@islamgwada, fais voir un peu ces contradictions...
J'ai pas vu d'incitations à la réflexion personnelle sur le Halal/Haram mais simplement sur la création et les signes d'Allah Ta'âla.
Le Halal / Haram s'apprend chez "l'élite".

Tu peux répondre à une question : il est où Allah 'azza wa jal ?
Salamun aleykum. Ils prennent, astaghfirullah, le Coran comme une boite à enigme. Après, ils disent "il est très clair, pas besoin de votre Prophète pour le comprendre". Ils "méditent" sur le sens de la salat, de la zakat ou le siyam sur lequel nous sommes commandés : comme si, hacha lillahi, Allah Azza wa Jal, allait nous commander des choses que nous serions incapables de comprendre correctement et de façon claire. Ainsi, ils sont dans la confusion profonde : ils reffusent d'obéir au Messager (Paix sur lui) et disant qu'ils obéissent au MESSAGE, ensuite ils disent que le Coran est clair et tombent sur des divergences sur des points aussi radicaux.

Prenons l'exemple du riba :

« Ceux qui mangent [pratiquent] du riba ne se tiennent (au jour du Jugement dernier) que comme se tient celui que le toucher de satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent : "Le commerce est tout à fait comme le riba" alors qu'ALLAH a rendu licite le commerce, et illicite le riba. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue une exhortation de son SEIGNEUR, peut conserver ce qu'il a acquis auparavant et son affaire dépend d'ALLAH. Mais quiconque récidive. Alors les voilà, les gens du Feu. Ils y demeureront éternellement. » (al Baqara, 275)

Comment Allah menacerait de l'enfer éternel celui qui pratique du riba, dirait que le Coran est clair, et ce mot ne serait pas clair ? Alors pourquoi ce fil ? C'est pas comme si nous discutions du nombre des gens de la caverne subhanallah !
 
Le crédit c'est pas interdit en islam, c'est l'intérêt, certains confonde.
Et le taux d'intérêt à 0% @breakbeat ? Ce qui est prohibé c'est le surplus sur l'argent prêté avec un taux fixe ou variable imposé par le créditeur sur la somme prêtée, et non sur les éventuels bénéfices d'un investissement : le commerce est permis, la vente de l'argent contre plus d'argent est haram.

La seule dérogation envisageable, comme pour tout haram en islam, est la situation de darurah, la contrainte à y recourir. Wallahu a'lam.
 
Et le taux d'intérêt à 0% @breakbeat ? Ce qui est prohibé c'est le surplus sur l'argent prêté avec un taux fixe ou variable imposé par le créditeur sur la somme prêtée, et non sur les éventuels bénéfices d'un investissement : le commerce est permis, la vente de l'argent contre plus d'argent est haram.

La seule dérogation envisageable, comme pour tout haram en islam, est la situation de darurah, la contrainte à y recourir. Wallahu a'lam.

Aucun verset interdit le crédit par contre des versets interdise l'intérêt.
 
Si je suis bien @Dawuud ne paye pas la zakat (c'est Allah qui la lui paye estaghfirullah) et il fait des crédits à intérêts. Logique quoi..

Non en effet je ne paie pas la zakat, je me contente de sadaq lorsque l'occasion se présente et que mes poches le permettent, j'ai pour principe de ne jamais repousser celui ou celle qui demande (107:7) et m'impose le bon bon comportement autant qu'il m'est possible (2:177)

pour ce qui est des crédits, j'en ai contracté un seul dans ma vie, sur une durée de un an, depuis j'ai juré qu'on ne m'y reprendrais plus, que celui qui n'a jamais fauté me jette la première pierre...
 
@Dawuud, quelles questions ?

celles-ci :

@Dawuud, et si il avait pas gagné deux cent euros mais plutôt il avait perdu une bonne partie du capital ?
Comment ça va se passer ?

j'ai répondu :

C'est le Coran qui nous donne la réponse :

"Si votre débiteur est dans la gêne, accordez-lui un délai jusqu’à ce qu’il soit en mesure de se libérer de sa dette. Si vous pouviez savoir pourtant quel mérite vous auriez en lui consentant une remise gracieuse, totale ou partielle !" (2:280)

tu as dit :

@mitouns, je sais pas qui c'est mais donner un sens à (riba) autre que celui connu de toute Oumma durant quatorze siècles ne peut pas venir de quelqu'un qui a toute sa raison. Ou alors c'est la Oumma qui était complètement à côté...

j'ai répondu :

frère si tu suit la majorité des gens sur terre.... tu connais la suite non ?

la "normalité" est définit par la masse, par définition la "norme" n'est donc pas constante, mais évolutive, là où vont les intérêts du plus grand nombre, or pourquoi Allah aurait-Il envoyer Ses Enseignements et Ses Messagers à de multiples reprises si ce n'est pour corriger les déviances de la masse et rétablir une norme/règle (Sunna) moralement bonne ?

les hommes ont une prédisposition à l’égarement, dixit l'état actuel du monde, à chaque Envoyés une tentative de correction de trajectoire, puis à nouveau l’égarement progressif, car les hommes préfèrent suivre leurs passions

tu as dit :

@Dawuud, j'ai pas dit la majorité.. je parle de toute la Oumma. Et on plus on parle du sens d'un mot dans la langue arabe.

j'ai répondu :

oui, et qu'est-ce que la 'Umma si ce n'est la majorité des "croyants" ? deux fois oui, j'ai répondu à toutes tes questions versets à l'appui où est le problème ?
 
@islamgwada, fais voir un peu ces contradictions...
J'ai pas vu d'incitations à la réflexion personnelle sur le Halal/Haram mais simplement sur la création et les signes d'Allah Ta'âla.
Le Halal / Haram s'apprend chez "l'élite".

Tu peux répondre à une question : il est où Allah 'azza wa jal ?
ALLAH est Plus près que ta veine jugulaire...
Pour les contradictions je vois que tu es de mauvaises foi donc je vais t'en filer une: la lapidation pour adultère ,et une autre,meurtre pour apostasié....file moi les versets qui soutiennent ces deux législation stp.
Donc lorsque tu lis dans le coran que tel peuple à vécu tel châtiment ,tu ne raisonne pas sur le pourquoi et le comment.
À partir des conclusions tu peux te faire une idée de comment te comporter afin de ne pas tomber dans le même piège que ceux cité dans l'exemple coranique.ce n'est plus une question binaire halal/haram,c'est un état d'esprit qui t'habite et tu es guidé naturellement.
et quand une chose est interdite dans le coran,elle l'ai clairement.pas besoin d'un cheick ou uléma pour voir interdit la ou c'est écrit interdit.je sais lire.
 
Salam @islamgwada. Le verset de la lapidation a été transmis oralement, sans être repris dans le Mushaf. Umar ibn al Khattab a précisé que ce verset existait, mais n'était pas récité simplement. Il n'a donc pas été mis par écrit lors de la compilation du Coran.

Pour les apostats le verset est celui-ci :

« La rétribution de ceux qui font la guerre contre Dieu et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment. » (al Maida, 33)

Wallahu a'lam.
 
@mitouns


Et puis le fait de vendre un enseignement religieux implique forcement que cet enseignement soit foireux, car un vrai moumin ne fait pas ça, donc je pense que dans le terme "riba" il y a la combinaison de deux choses: enseignement caduc/faux + rémunération.


Et la punition du feu me semble justifiée dans ce cas, par contre pour le prêt à intérêt non. L'intérêt est une manière de rémunérer le fait que l'on renonce à utiliser son argent tout de suite et assure aussi une mini sécurité contre le non-remboursement. L'enfer pour ça me parait vraiment excessif, même si on peut rendre esclave quelqu'un par une dette comme c'est e cas aujourd'hui.


Mais tu as raison c'est à creuser plus sérieusement, le seul verset sur lequel je me questionnais c'était S3V130 et la traduction de "multiples".


En tout cas, je suis toujours fasciné par le nombre d’âneries que j'ai gobé en quelques années...

Salam,


Je t'avoue être dans la confusion pour cette histoire d'enseignement devant être non renumerer...


Par exemple:


وَمَا أَسْأَلُكُمْ عَلَيْهِ مِنْ أَجْرٍ ۖ إِنْ أَجْرِيَ إِلَّا عَلَىٰ رَبِّ الْعَالَمِينَ


Wama asalukum AAalayhi min ajrin in ajriya illa AAala rabbi alAAalameena


Et je ne vous demande pas de salaire pour cela; mon salaire n'incombe qu'au Seigneur de l'univers.




Muslim Pro - Extrait du Coran: Ash-Shu'araa (26:109) -



Ajra évoque l'idée de recevoir quelque chose en retour. Un salaire, une récompense, un gage...


Dans le Verset ici on est dans un contexte ou Noé est occuper à prêché à des gens pour les encourager à le suivre... Et il dit qu'il n'attend aucun retour de leur part... Son salaire à lui ne dépend que du seigneur des alAAalameena. .. On est dans une affaire de Savoir ici et non d'argent.


Je ne crois pas que le verset va dans le sens : je ne veux pas être payer de votre part... Mais plutôt je ne vous demande rien de votre "science" en retour, mon "salaire" ( la science acquise en récompense de celui qui fais l'effort pour l'acquérir ) ne revient qu'a celui qui enseignes aux savants ( qui tirent leur enseignements de la création, celle qui amènent des preuves, pas de leur imagination sans fondement ).

Après bien sure tu peux prêché bénévolement. Mais est ce que Dieu iraient blâmer ceux qui font de la recherche du savoir et de sa diffusion un boulot à temps plein et sont renumerer pour cela ? Faut bien que ces gens se nourrissent et nourrissent leur familles aussi.

Si tu créer un centre à accès libre de documentation, de prêches, enseignement gratuit... Va bien falloir financer tout ça... La location de l'emplacement, le chauffage, électricité... Plus le temps investis pour tenir cette endroit, pour y enseigner... Faudra bien que les fonds soit débloquer de quelque part. Et même si c'est l'état qui subventionne, ça reste le peuple qui paye via ses taxes etc...

Je pense que si l'on restreint toute forme d'enseignement et de transmission et le réduisant à du bénévolat pure et simple, les moyens de transmission seront fortement réduit.

On va pas arriver à grand chose avec des prêches sur des places marchés ou dans un parc publique... Y'a des moyens qui doivent être mise en Place et ça coûte ces moyens.

Même des professeurs pour le cycle en dessous de 18ans contribuent aussi à leur manière à la bonne compréhension des parole de Dieu... Ils enseignent lecture, développent l'esprit, les outils intellectuel... Ça se développe pas en une heure, c'est un travail à temps plein, faut bien payer ces gens...

C'est pour ça je suis pas convaincu que le terme riba ai un rapport avec l'interdiction de toute somme d'argent exiger en échange du savoir. Ça me paraît peu réaliste...
 
Salam @islamgwada. Le verset de la lapidation a été transmis oralement, sans être repris dans le Mushaf. Umar ibn al Khattab a précisé que ce verset existait, mais n'était pas récité simplement. Il n'a donc pas été mis par écrit lors de la compilation du Coran.

Pour les apostats le verset est celui-ci :

« La rétribution de ceux qui font la guerre contre Dieu et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment. » (al Maida, 33)

Wallahu a'lam.
Salam
Le verset ne parle pas des apostats,un apostat est quelqu'un qui est musulman par exemple,puis qui renie sa religion.dans le verset que tu m'a quoté,il s'agit de ceux qui font la guerre contre ALLAH et son messager ect...
Cela dit j'ai un Ptit verset pour toi,c'est le 2/256 :nul contrainte en religion!car le bon chemin s'est distingué de l'égarement....
Concernant ton argument sur la lapidation,il est possible qu'Umar ai menti.la seule vérité garanti que tu as est le coran,pas les propos d'untel ou untel.et la prise de risque me paraît énorme car lapidation=mort...
 
ALLAH est Plus près que ta veine jugulaire...
Pour les contradictions je vois que tu es de mauvaises foi donc je vais t'en filer une: la lapidation pour adultère ,et une autre,meurtre pour apostasié....file moi les versets qui soutiennent ces deux législation stp.
Donc lorsque tu lis dans le coran que tel peuple à vécu tel châtiment ,tu ne raisonne pas sur le pourquoi et le comment.
À partir des conclusions tu peux te faire une idée de comment te comporter afin de ne pas tomber dans le même piège que ceux cité dans l'exemple coranique.ce n'est plus une question binaire halal/haram,c'est un état d'esprit qui t'habite et tu es guidé naturellement.
et quand une chose est interdite dans le coran,elle l'ai clairement.pas besoin d'un cheick ou uléma pour voir interdit la ou c'est écrit interdit.je sais lire.

Je vois toujours pas de réponse à la question : Où est Allah Ta'âla ?!

Pour la lapidation et l'apost c'est pas mon problème c'est le tien !! Je prétends pas que la religion se limite au Coran seul !
Omar qu'Allah l'agrée avait même dit qu'il craignait qu'un jour les gens diront : "la lapidation n'existe pas ! Car on la trouve pas dans le Coran... " et voilà qu'il avait raison.. Mais le pire dans tous ça c'est de dire qu'il était coraniste lui aussi... C'est la meilleure celle là !
Pour l'apostat y a un Hadith !
 
@mitouns, je sais pas qui c'est mais donner un sens à (riba) autre que celui connu de toute Oumma durant quatorze siècles ne peut pas venir de quelqu'un qui a toute sa raison. Ou alors c'est la Oumma qui était complètement à côté...
Ça fais pourtant bien 14 siècles que la majorité pensent qu'une salat consiste à posée le front au sol sur un tapis et pourtant à la lumière du Coran sans y annexer d'autre sources qui influent sur le sens des versets ben ça colle pas.
 
Salam
Le verset ne parle pas des apostats,un apostat est quelqu'un qui est musulman par exemple,puis qui renie sa religion.dans le verset que tu m'a quoté,il s'agit de ceux qui font la guerre contre ALLAH et son messager ect...
Cela dit j'ai un Ptit verset pour toi,c'est le 2/256 :nul contrainte en religion!car le bon chemin s'est distingué de l'égarement....
Concernant ton argument sur la lapidation,il est possible qu'Umar ai menti.la seule vérité garanti que tu as est le coran,pas les propos d'untel ou untel.et la prise de risque me paraît énorme car lapidation=mort...
Toutes les exécutions d'apostâts commandées par le Messager (Paix sur lui) étaient des personnes déclarant la guerre, ou poussant à la guerre contre les musulmans. Si tu as lu les ouvrages d'histoire, tu auras remarqué cela. Tu peux chercher un seul contre-exemple, tu verras de quoi il s'agit...Les juristes ont donc fondé cette règle sur ces exécutions.

Salam
...
Concernant ton argument sur la lapidation,il est possible qu'Umar ai menti.la seule vérité garanti que tu as est le coran,pas les propos d'untel ou untel.et la prise de risque me paraît énorme car lapidation=mort...
Impossible, car cela reviendrait à dire que tous les sahabas présents lors de son sermon aient collaboré pour cela, que pas un seul n'ait corrigé celui-ci par la suite, même après son décès... Or, on sait que pour plusieurs points, on l'a corrigé lors de ses sermons.

En outre, les chiites qui déstestaient Umar jusque dans leurs tripes n'auraient pas manqué de dénoncer cela sans hésiter, comme ils l'ont fait pour des réformes de celui-ci. Salam.
 
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