[Source : site de LCN]
C'est demain que doit s'amorcer le procès d'une journaliste accusée d'avoir porté un pantalon en public au Soudan. Elle risque 40 coups de fouet si elle est reconnue coupable.
La journaliste Loubna Ahmed al-Hussein n'entend pas se laisser intimider, affirmant être prête à recevoir 40 000 coups de fouet, si elle perd sa cause.
Arrêtée le 3 juillet dans un restaurant de Khartoum en même temps que 12 autres femmes pour «tenue indécente», Mme al-Hussein aurait pu faire jouer l'immunité dont elle bénéficiait en tant qu'employée des Nations Unies. Elle a au contraire présenté sa démission pour que son procès suive son cours.
Elle entend démontrer que l'article du code pénal sous lequel elle est accusée est contraire à la Constitution et à la charia, la loi islamique en vigueur dans le nord du Soudan depuis 1983.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2009/08/20090803-080119.html
C'est demain que doit s'amorcer le procès d'une journaliste accusée d'avoir porté un pantalon en public au Soudan. Elle risque 40 coups de fouet si elle est reconnue coupable.
La journaliste Loubna Ahmed al-Hussein n'entend pas se laisser intimider, affirmant être prête à recevoir 40 000 coups de fouet, si elle perd sa cause.
Arrêtée le 3 juillet dans un restaurant de Khartoum en même temps que 12 autres femmes pour «tenue indécente», Mme al-Hussein aurait pu faire jouer l'immunité dont elle bénéficiait en tant qu'employée des Nations Unies. Elle a au contraire présenté sa démission pour que son procès suive son cours.
Elle entend démontrer que l'article du code pénal sous lequel elle est accusée est contraire à la Constitution et à la charia, la loi islamique en vigueur dans le nord du Soudan depuis 1983.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2009/08/20090803-080119.html