Celui-ci est agressif au téléphone et nous demande un document écrit qui stipule que l'intéressée doit enlever son voile afin qu'il se rende chez son avocat.
Nous expliquons à Monsieur que c'est dans notre règlement de travail, que nous ne pouvons lui donner ce document que si elle accepte l'emploi et signe un contrat de travail.
De plus, il nous dit que nous « obligeons sa soeur » à déménager de chez lui il ajoute que ça fait longtemps qu'il cherche un studio pour sa soeur mais qu'il ne trouve pas étant donné qu'elle est au CPAS.
Nous reclarifions les choses avec Monsieur, nous lui expliquons que nous n'obligeons en rien Madame X à déménager !
Mais que nous estimons que dormir sur un canapé depuis 2 ans n'est pas l'idéal.
Que nous avons uniquement dit à Madame X que le fait de travailler, elle aura des fiches de salaires et que donc si elle désire avoir son propre logement, elle trouvera plus facilement.
Monsieur insiste pour avoir un document écrit « qu'on oblige sa soeur » à retirer son voile.
Il devient de plus en plus agressif et demande à l'assistante sociale si « elle serait d'accord que sa maman retire son voile pour travailler ».
Nous expliquons à Monsieur que la discussion est hors sujet.
Que nous avons uniquement proposé un emploi à sa soeur, que nous lui avons dit l'horaire et les conditions et que c'est donc à elle d'accepter ou de refuser l'emploi.
Nous attirons néanmoins son attention sur le fait que l'octroi du RIS est conditionné par le fait d'être disposé à travailler.
Que refuser un emploi entraine un éventuel risque de suppression du droit au RIS par le Bureau Permanent.
Monsieur tente de nous rappeler en fin de journée mais nous avions déjà quitté le CPAS.
Nous réceptionnons donc un message de l'accueil le 15/03/2018 stipulant qu'il a tenté de nous joindre.
La responsable du service social, Madame X, a pris contact avec Monsieur.
Celui-ci demande si sa soeur peut travailler avec un bonnet. Celle-ci lui explique que notre règlement de travail l'interdit.
Elle explique à Monsieur que parmi les membres du personnel, il y a plusieurs religions confondues et que personne ne peut porter de couvrechef au sein des bâtiments.
Monsieur déclare que sa soeur ne peut donc pas accepter l'emploi.
Nous expliquons à Monsieur que c'est dans notre règlement de travail, que nous ne pouvons lui donner ce document que si elle accepte l'emploi et signe un contrat de travail.
De plus, il nous dit que nous « obligeons sa soeur » à déménager de chez lui il ajoute que ça fait longtemps qu'il cherche un studio pour sa soeur mais qu'il ne trouve pas étant donné qu'elle est au CPAS.
Nous reclarifions les choses avec Monsieur, nous lui expliquons que nous n'obligeons en rien Madame X à déménager !
Mais que nous estimons que dormir sur un canapé depuis 2 ans n'est pas l'idéal.
Que nous avons uniquement dit à Madame X que le fait de travailler, elle aura des fiches de salaires et que donc si elle désire avoir son propre logement, elle trouvera plus facilement.
Monsieur insiste pour avoir un document écrit « qu'on oblige sa soeur » à retirer son voile.
Il devient de plus en plus agressif et demande à l'assistante sociale si « elle serait d'accord que sa maman retire son voile pour travailler ».
Nous expliquons à Monsieur que la discussion est hors sujet.
Que nous avons uniquement proposé un emploi à sa soeur, que nous lui avons dit l'horaire et les conditions et que c'est donc à elle d'accepter ou de refuser l'emploi.
Nous attirons néanmoins son attention sur le fait que l'octroi du RIS est conditionné par le fait d'être disposé à travailler.
Que refuser un emploi entraine un éventuel risque de suppression du droit au RIS par le Bureau Permanent.
Monsieur tente de nous rappeler en fin de journée mais nous avions déjà quitté le CPAS.
Nous réceptionnons donc un message de l'accueil le 15/03/2018 stipulant qu'il a tenté de nous joindre.
La responsable du service social, Madame X, a pris contact avec Monsieur.
Celui-ci demande si sa soeur peut travailler avec un bonnet. Celle-ci lui explique que notre règlement de travail l'interdit.
Elle explique à Monsieur que parmi les membres du personnel, il y a plusieurs religions confondues et que personne ne peut porter de couvrechef au sein des bâtiments.
Monsieur déclare que sa soeur ne peut donc pas accepter l'emploi.