Mais commettre des meurtres de sang froid sur des civils, y compris des bébés et des vieillards, c'est particulièrement inhumain...
Le faire hypocritement par le biais de dégâts collatéraux c'est pas diabolique? Tuer de sans froid des bébés et des vieillards sans se salir les mains en appuyant sur un bouton est-ce si différent?
Tu as un exemple concret?
Je regrette la mort de cette gauche universaliste,
Laquelle ? Celle qui c'est approprié la marche des Beur? Celle de SOS racisme : "touche pas à mon pote"..Celle de ni ***** ni soumises ?
Celle de la première guerre du Golfe qui nous accusait d'être les alliés objectif du FN ! Des fois je me dis heureusement que Jospin n' a pas été élu si non le Parti Sioniste nous aurait entraîné dans cette deuxième guerre du Golfe encore plus injustifié que la première .
Le clientélisme du PS qui avait un électorat captif et appliquait la politique du " ne pas faire de vagues " dans les quartiers
Je me souviens qu'à la mort du regretté Pierre Rabhi, ce dernier était accusé de racisme, homophobie, misogynie, etc... par des militants Verts/LFI pour la seule raison qu'il avait certains points de vue qui sortaient un peu des dogmes gauchistes.
Pierre Rabhi c'est mon quartier donc là je peux parler de ce que je connais d'expérience ! Catho tendance trad avec un zest anthropomorphisme pour mettre un peu d'exotisme . ben oui Rabhi était misogyne et homophobe comme les gens de sa génération ...Pas très carré dans son assos , pas très productif dans ses jardin malgré la cohorte de stagiaires travaillant bénévolement. J'ai pas mal d'anecdotes de proches qui ont eu à faire à son petit groupe .
Alors oui il était médiatique et médiatisé , l'écolo comme le systéme les aimes une touche d'exotisme mais qui ne fait pas de vague ...
La légende Quechua qui illustre les valeurs du Mouvement Colibri se déroule ainsi :
« Un jour, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux, terrifiés, atterrés, observaient, impuissants, le désastre. Seule le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! Et le colibri lui répondit : je le sais, mais, moi, je fais ma part. »
L’histoire ainsi racontée est incomplète, et sa fin mérite d’être dévoilée :
« Le tatou poursuivit : Colibri ! Sais-tu que plusieurs centaines d’hommes armés de lance-flammes sont en train d’allumer des feux partout à travers ce qu’il reste de forêt ? Ils ont aussi empoisonné l’eau que tu tiens dans ton bec. Mais le colibri, qui volait vers les flammes, était déjà loin. Soudain, un sanglier entreprit de charger les hommes. De ses défenses, il perçait les réservoirs d’essence et les jambes des pyromanes. Le tatou, découvrant la scène, effrayé, interpela le sanglier : Tu es fou ! Tu discrédites les efforts du colibri. À mettre les humains en colère, tu risques ta vie, et celle de tous les animaux de la forêt ! A quoi le sanglier répondit : Réveille-toi tatou, je fais le nécessaire. »
Lorsqu’on lui dit que ses efforts sont dérisoires, le colibri répond spontanément qu’il le sait. Ce satisfecit en forme d’impuissance indique bien que cela ne suffit pas. Depuis 50 ans, les rares victoires des écologistes sont temporaires ou symboliques. Tandis que la destruction de la vie sur Terre s’accélère, le temporaire et le symbolique sont dérisoires : positifs pour les consciences de ceux qui s’en félicitent, défaites en réalité.
Il y a 45 ans, en 1972, avait lieu la première Conférence des Nations-Unies sur l’environnement de Stockholm, organisée par René Dubos, un des pères de l’écologie française. Le mot d’ordre (de Jacques Ellul) devant guider l’action des écologistes, était le suivant : « Penser global, agir local. »
Un slogan qui constitue encore aujourd’hui une des devises de l’écologie palliative (vs radicale). Le penser et l’agir ont été évincés. Il n’y a jamais eu d’adéquation entre le « devenir le changement que tu veux voir dans le monde » (Gandhi) et les multiples destructions du monde naturel.
Ainsi, le mot d’ordre « penser global, agir local » a été adopté par les apôtres de la mondialisation triomphante. Ces quatre mots sont devenus le mantra du catéchisme libéral enseigné à HEC ou à l’ESSEC, et ce sont finalement Coca-Cola ou IBM qui les ont appliqués et leur ont donné leurs lettres de noblesses.
Avons-nous encore aujourd’hui 45 ans de Coca ou d’IBM devant nous ? Non, bien sûr… 10 années, tout au plus. Allez sur le site : [http://deepgreenresistance.fr]urlblank:http://deepgreenresistance.fr