Actualité de la libye

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
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J'ai déjà entendu cette histoire de monnaie de khadaf sur réseau voltaire en 2011.
L'histoire était bien différente: Strauss-Kahn voulais lancer une nouvelle monnaie gagé sur l'or (retour au gold exchange standard) pour se débarrasser de la prédominance du dollars avec le soutien de la Russie et la Chine et khadafi se serait porter volontaire pour testé ce dispositif avec une nouvelle monnaie de chez lui garantie sur son or.
MeysMeys explique du coup que c'est pour ça qu'on a eu l'affaire dsk puis l'intervention en Libye.

L'or de khadaf est au coeur de bien des supputations en tout cas.
Apparemment il y aurait des documents officiel; Khadafi avait bien financer la campagne de sarkozy au moins en partie?
 
Apparemment il y aurait des documents officiel; Khadafi avait bien financer la campagne de sarkozy au moins en partie?

Ouais apparemment mais ça je crois qu'il y a pas de doc officiels qui confirme ce financement mais que bon c'est une très très grosse présomption, un peu quand tu soupconne le chien du voisin du pallier d'avoir pissé dans le hall parce que c'est le seul clebs de l'immeuble.
 
@didadoune par contre je viens d'aller faire un tour sur le site du département d'Etat ricains et je trouve rien sur la Libye (à part une conf nul de kerry sur le prétendu 'avenir' de ce pays). Mais bon j'ai ptet zapper un endroit sur le site.
Si jamais quelqu'un arrive à trouver ces fameuses lettres qu'ils mettent le lien please.
 
@didadoune ouais là je viens de me renseigner sur la declasifications des doc considéré comme secret aux usa... Apparemment les doc sensible ne sont declassifiés que 25 ans après minimum...
 
DES MILITAIRES FRANÇAIS EN LIBYE

"Le Monde" révèle dans son édition d’aujourd’hui la présence de forces spéciales françaises et d’agents opérant en Libye. Le ministre de la Défense estime que le secret-défense est compromisLe ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a lancé hier une "enquête pour compromission" du secret-défense après la publication d’un article duMonde faisant état de la présence de forces spéciales françaises et d’agents secrets en Libye.

Selon le quotidien du soir, des forces spéciales sont présentes en Libye, où le service action de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) mène aussi "des opérations clandestines" contre des cadres de l’Etat islamique (EI).

Ainsi, une frappe menée en novembre contre l’Irakien Abou Nabil, considéré comme le plus haut responsable de l’EI en Libye, a "été initiée par Paris", assureLe Monde.

"La France est également présente dans le ciel libyen avec des outils conventionnels sur lesquels le ministère de la Défense ne communique pas", écrit encore le journal. Engagées depuis la mi-novembre 2015 par des avions de chasse et de reconnaissance, les opérations d’ISR (intelligence, surveillance, reconnaissance) continuent.

"C’est un instrument de souveraineté dans les mains du président, qui augmente sa marge de manoeuvre, argumente dans Le Monde un expert du secteur. Dans un monde de plus en plus transparent, il faut que l’Etat puisse faire des choses qui ne se sachent pas, non revendiquées."
"L’enquête devra établir si des éléments relevant du secret défense ont été révélés dans cet article", a déclaré un proche de Jean-Yves Le Drian, confirmant une information du Point.

Conformément au code pénal, elle sera menée par la Direction de la protection et de la sécurité de la Défense (DPSD), un organe du ministère. La violation du secret défense est passible de trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amendes, a-t-il précisé.

Sans se prononcer sur le contenu de l’article du Monde, l’entourage de Jean-Yves le Drian a estimé que "quand des opérations secrètes ont lieu, le but n’est pas qu’elles soient révélées pour la sécurité des hommes et des opérations."

Comme d’autres pays occidentaux, la France pourrait être amenée à intervenir en Libye, où l’EI profite du chaos politique pour monter en puissance. Mais, comme ses partenaires, elle ne compte pas le faire sans demande expresse du gouvernement d’union nationale, qui peine à se mettre en place.
Ce dossier a été abordé lors d’une rencontre entre le chef d’état-major des armées françaises, le général Pierre de Villiers, et son homologue américain, le général Joseph Dunford, le 22 janvier à Paris.

Charente Libre
 
En Libye, l’État islamique perd du terrain !

La Tunisie et l’Algérie craignent la fuite vers leurs frontières de groupes djihadistes désertant le théatre des opérations.
en Libye, les forces armées du gouvernement d’union, présidé par Fayez Al-Assad, et l’armée rivale, aux ordres de l’autre gouvernement, celui de l’Est, et fidèle au général Khalifa Haftar, se sont engagées dans un sprint afin d’être les premières à chasser l’État islamique de sa base opérationnelle de Syrte.
L’armée officielle a repris, mardi, le contrôle de la centrale thermique située à 23 km de Syrte et à 450 km de la capitale Tripoli. Elle a pénétré, dans l’après-midi, jusque dans la localité de Wadi Jaref, au sud-ouest du fief tenu par Daech, accueillie avec joie et soulagement par l’ensemble de la population.
Les combats ont repris dès hier matin et ont permis une nouvelle avancée importante avec de très faibles pertes humaines. De son côté, les forces armées du gouvernement rival, celui de Benghazi, basé dans l’est de la Libye, ont chassé les djihadistes de deux villages et se rapprochent également de Syrte.

Pris en étau, les djihadistes, dont la menace se faisait grandissante depuis quelques semaines, après leur implantation à Syrte depuis fin 2014, résistent très mal et abandonnent du terrain.
Il faut espérer que cette rivalité motivante, entre les deux gouvernements en présence, permette leur rapprochement, leur union, et non pas une nouvelle opposition, activée par leur succès respectifs, pour la conquête d’un pouvoir dont l’absence, jusqu’à ce jour, a placé la Libye au bord du chaos.

La Tunisie et l’Algérie se sont placées en alerte rouge car elles craignent la fuite vers leurs frontières de groupes djihadistes désertant le théatre des opérations. Mardi dans l’après-midi, un groupe de huit terroristes a été intercepté et abattu par l’ANP algérienne (Armée nationale populaire) près de Guelta Zarka, dans la wilaya de Sétif.

En Tunisie, c’est à Mnihla, dans le sud, que deux terroristes ont été abattus ces derniers jours, et les forces sécuritaires mènent une opération de ratissage afin de débusquer les autres membres du groupe.

http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez...-30381821&mc_cid=ccd1aa8b3e&mc_eid=fc20a6a4fe

mam
 
Il y à du gaz en mer méditerrané Libyenne à exploiter?

en égypte oui = mais pas le droit de les exploiter à cause d'Israël
http://tempsreel.nouvelobs.com/mond...i-redistribue-les-cartes-en-mediterranee.html

La Libye dispose également de réserves importantes de gaz naturel
(1 548 milliards de m³) qui sont jusqu'à présent peu exploitées : 28 milliards de m³ (2009) sont produits et la moitié est utilisée dans le pays, en particulier dans des centrales de production électrique. Une partie du gaz est exportée vers l'Italie par le gazoduc Greenstream
https://fr.wikipedia.org/wiki/Libye#Le_poids_du_p.C3.A9trole

mam
 
en égypte oui = mais pas le droit de les exploiter à cause d'Israël
http://tempsreel.nouvelobs.com/mond...i-redistribue-les-cartes-en-mediterranee.html

La Libye dispose également de réserves importantes de gaz naturel

(1 548 milliards de m³) qui sont jusqu'à présent peu exploitées : 28 milliards de m³ (2009) sont produits et la moitié est utilisée dans le pays, en particulier dans des centrales de production électrique. Une partie du gaz est exportée vers l'Italie par le gazoduc Greenstream
https://fr.wikipedia.org/wiki/Libye#Le_poids_du_p.C3.A9trole

mam

Merci mam, certains doivent les convoiter surtout avec ce qui s'y passe avec tous ces mercenaires.... Enfin pour exploiter ces ressources en mer il faut les capacités technologique et des personnes compétentes....
 
Merci mam, certains doivent les convoiter surtout avec ce qui s'y passe avec tous ces mercenaires.... Enfin pour exploiter ces ressources en mer il faut les capacités technologique et des personnes compétentes....

je pense que tout est prêt depuis longtemps
manque que le territoire

comme pour la bande de gaza

mam
 
Premières frappes américaines contre l'EI à Syrte

Le chef du gouvernement libyen d’union nationale Fayez al-Sarraj a annoncé lundi 1er août que les Etats unis avaient procédé à des frappes aériennes contre des positions du groupe Etat islamique dans son fief à Syrte. Des informations confirmées par le Pentagone dans la foulée en précisant que ces raids avaient été conduits à la demande du gouvernement libyen.
« Les premières frappes américaines contre des cibles précises de Daech ont eu lieu aujourd’hui » à la demande du gouvernement d’union nationale, « infligeant de lourdes pertes aux jihadistes à Syrte », située à 450 km à l’est de Tripoli, a indiqué Fayez al-Sarraj lors d’une allocution télévisée.
Daesh a ouvert un nouveau front en Libye en février 2016. Le groupe terroriste a profité du chaos qui régnait dans le pays pour étendre son emprise et contrôle depuis le mois de juin la ville de Syrte, cité natale de Mouammar Kadhafi.



mam
 
Premières frappes américaines contre l'EI à Syrte

Le chef du gouvernement libyen d’union nationale Fayez al-Sarraj a annoncé lundi 1er août que les Etats unis avaient procédé à des frappes aériennes contre des positions du groupe Etat islamique dans son fief à Syrte. Des informations confirmées par le Pentagone dans la foulée en précisant que ces raids avaient été conduits à la demande du gouvernement libyen.
« Les premières frappes américaines contre des cibles précises de Daech ont eu lieu aujourd’hui » à la demande du gouvernement d’union nationale, « infligeant de lourdes pertes aux jihadistes à Syrte », située à 450 km à l’est de Tripoli, a indiqué Fayez al-Sarraj lors d’une allocution télévisée.
Daesh a ouvert un nouveau front en Libye en février 2016. Le groupe terroriste a profité du chaos qui régnait dans le pays pour étendre son emprise et contrôle depuis le mois de juin la ville de Syrte, cité natale de Mouammar Kadhafi.



mam
http://www.cnn.com/2016/08/01/politics/us-libya-isis-airstrikes/
 
Libye: combats meurtriers à Syrte, un journaliste néerlandais tué

Un journaliste néerlandais a été tué dimanche en Libye en couvrant les combats entre les forces du gouvernement d'union nationale (GNA) et l'organisation jihadiste Etat islamique (EI) à Syrte, selon une source médicale.

Huit soldats des forces loyalistes et au moins 10 jihadistes ont été tués dans les affrontements qui ont éclaté dimanche dans ce bastion de l'EI que les troupes loyalistes tentent de reprendre depuis cinq mois.

Sources afp
 
Libye : L'armée dirigée par le général Khalifa Haftar a entrepris de «nettoyer» le sud du pays des groupes terroristes

L’armée libyenne dirigée par le général Khalifa Haftar a lancé depuis quelques jours une opération qui vise, selon l'armée, à «nettoyer le Sud libyen de toutes les milices et les groupes terroristes qui menacent la sécurité de la Libye et du Tchad», a déclaré Ahmed al-Mismari, porte-parole de l'armée libyenne.

Sécuriser le sud pour atteindre Tripoli. C'est la stratégie annoncée par le général Khalifa Haftar.

Après une série des frappes aériennes visant des bases militaires où des milices islamistes en tous genres se sont barricadées, y compris la milice de Misrata, l'armée a pris possession de plusieurs lieux stratégiques, à al-Jofra, Barak al-Chati, Sebha.

Des hommes de confiance, des généraux désignés par le général, sont maintenant chargés de tenir et d'administrer ces villes.

Selon un porte-parole de l'armée, cette « opération va s'étendre aux autres villes du Sud pour les nettoyer ».

Une rébellion tchadienne bombardée

Parallèlement, l’aviation du général Haftar a bombardé mercredi 28 décembre, pour la seconde fois ce mois-ci, les positions d'une rébellion tchadienne qui s'est installée dans cette zone au sud de la Libye.

Mahamat Mahdi Ali, qui dirige le Front pour l’alternance et la concorde au Tchad (le FACT) le confirme :
« Aujourd’hui, c’est clair : Haftar, par la voix de son porte-parole, a confirmé qu’ils nous bombardaient, et nous sommes une rébellion contre Idriss Déby. Ce qui fait qu’Haftar et Idriss Déby aujourd’hui mènent le même combat contre nous. Il est en train de rendre service à Idriss Déby, souligne-t-il. Nous ne sommes pas pour un camp contre un autre camp. »

Si Haftar est l’allié évident du Tchad, le FACT est accusé d'être l’allié des Misrati, ce qui justifie leur bombardement, du point de vue de l'armée libyenne.

Source: Rfi
 
Libye - CRI - Franck Pucciarelli - interview exceptionnelle de base 15 mars 2017 en 4 parties

Libye : Interview exceptionnelle de Franck Pucciarelli, coordinateur principal du C.R.I (Comité Révolutionnaire International) et Porte-parole du conseil suprême des tribus libyennes de la Jamahiriya.

Cette interview est indispensable pour enfin obtenir une vue d’ensemble fidèle à la réalité malheureusement cachée par les gouvernements occidentaux, les medias mainstream, l’OTAN et les différents services de l’ONU…

Les révélations de Franck Pucciarelli sur la situation en Libye et autour sont tout bonnement incroyables !!!

La Libye est l’objet d’un pillage cynique, machiavélique et diabolique depuis 2011 en particulier…avec le concours des Takfiristes dont les activités sont désormais et pourtant qualifiées par tous comme étant du terrorisme !!

Pour que cette situation cesse, il faut d’abord que les citoyens du monde prennent connaissances des faits soigneusement cachés par ceux qui devraient nous dire la vérité…nous voila obligé de faire ce travail à leur place…voir contre eux !!

http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/libye-cri-franck-pucciarelli-72773
 
je ne sais plus si on doit en rire ou en pleurer....certains doivent regretter l'ère Khadafi ou le pays était stable malgré la dictature...

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Le Premier ministre libyen Ali Zeidane a demandé mardi l'aide de la communauté internationale pour rétablir la sécurité dans son pays miné par l'instabilité politique et les manifestations dans le secteur pétrolier.

Le chef du gouvernement libyen s'est entretenu à Londres avec son homologue britannique David Cameron, qui avait été il y a deux ans l'un des artisans, avec Barack Obama et Nicolas Sarkozy, de la campagne militaire occidentale contre Mouammar Kadhafi, tué en octobre 2011 par les révolutionnaires.

L'émergence d'une démocratie stable en Libye est cependant encore lointaine en raison du nombre important de milices armées face auxquelles le gouvernement central reste souvent impuissant.

Depuis la fin juillet, la majorité des gisements et terminaux pétroliers du pays est bloquée par des grèves et des manifestations.

La production pétrolière est tombée à environ 250.000 barils par jour (bpj), à comparer avec une production de 1,6 million de bpj avant la guerre qui a mené à la chute de Mouammar Kadhafi.

"Si la communauté internationale n'aide pas à collecter les armes et les munitions, si nous n'obtenons pas d'aide à la formation de l'armée et de la police, les choses prendront beaucoup de temps", a dit Ali Zeidane lors d'une conférence sur l'investissement en Libye. "La situation ne va pas s'améliorer tant que nous n'obtiendrons pas une aide réelle et concrète."

Le Premier ministre libyen a souligné qu'il souhaitait résoudre ce conflit par le dialogue et non par la force.
"Nous allons travailler à résoudre ce problème", a-t-il dit. "Si le sang coule, les pertes seront encore plus élevées."

Tripoli a réussi à faire redémarrer lundi le grand gisement d'El Charara dans le sud-ouest du pays en négociant un accord avec un groupe armé. Grâce à cela, la production pétrolière devrait retrouver un niveau d'environ 400.000 à 450.000 barils par jour, a précisé le vice-ministre libyen du Pétrole Omar Chakmak en marge de la conférence.

Mais le gros de la production pétrolière dans l'Est est toujours paralysé et les compagnies occidentales, qui s'étaient bousculées pour obtenir les meilleurs contrats après la chute de Kadhafi, commencent à déchanter.

Le groupe américain ExxonMobil a annoncé mardi qu'il réduisait son personnel et ses activités en Libye en raison d'une instabilité croissante qui ne justifie plus selon lui une présence importante dans le pays.

D'autres compagnies ont suspendu leurs projets d'exploration pour des raisons de sécurité.
http://www.lorientlejour.com/articl...e-libyen-demande-une-aide-internationale.html

J'ai connu un Lybien qui est arrivé en France en 2012

Il a dit qu'il regrettait trop la lybie de khadafi

Ils payaient pas de loyer... Le permis c'était gratuit... Les jeunes aller dans de très bonne écoles.. Etc.

C'était un dictateurs mais il m'était trop bien son peuple apparemment

Juste il a dit que le pétrole ça nous a rendu feignant...
 
Dernière édition:
J'ai connu un Lybien qui est arrivé en France en 2012

Il a dit qu'il regrettait trop la lybie de khadafi

Ils payaient pas de loyer... Le permis c'était gratuit... Les jeunes aller dans de très bonne écoles.. Etc.

C'était un dictateurs mais il m'était trop bien son peuple apparemment

Juste il a dit que le pétrole ça nous a rendu feignant...

Exact la Lybie sous Khadafi n'avait rien à envier aux standards des pays se disant les plus développés, la qualité de vie des Lybiens était la meilleure d'Afrique et depassait de loin bon nombre de pays Européens...

L’éducation et la médecine étaient gratuites.

L’éducation et la formation médicale à l’étranger etait payés par le gouvernement.

La population ne payait pas l’électricité.

Il y avait des supermarchés pour les familles nombreuses avec des prix symboliques pour l’alimentation de base.

La vente des produits au-delà de leur date de consommation est punie de fortes amendes, parfois même de prison.

Beaucoup de pharmacies offraient des fournitures gratuites.

Les prêts d’achats d’une voiture ou d’un appartement était accordés sans intérêts.

Si quelqu’un voulait acheter une voiture, jusqu’à 50% du prix est réglé par l’État, 65% pour les miliciens de la garde.

L’essence était moins chère que l’eau. Un litre coûte 0,14 dollar.

Les bénéfices de la vente du pétrole étaient consacrés au bien-être de la population et à l’amélioration des conditions de vie.

Beaucoup d’argent a été dépensé pour irriguer le pays avec l’eau des aquifères souterrains.

Par son échelle, le système a été appelé “la huitième merveille du monde”.

Il fournit cinq millions de mètres-cube par jour à travers le désert et a considérablement augmenté le territoire irrigué. 4000 Kms de pipelines sont profondément enterrés pour les protéger de la chaleur.

Tout ce qui a été nécessaire au projet a été accompli par "la seule Libye.”
 
J'ai connu un Lybien qui est arrivé en France en 2012

Il a dit qu'il regrettait trop la lybie de khadafi

Ils payaient pas de loyer... Le permis c'était gratuit... Les jeunes aller dans de très bonne écoles.. Etc.

C'était un dictateurs mais il m'était trop bien son peuple apparemment

Juste il a dit que le pétrole ça nous a rendu feignant...

Il y a eu un reportage qui est passé sur France 24 je crois ou certains tenaient ce discours.
On leur a promis un rêve, ils ont eu le chaos.
Comme d'autres pays.
 
Il y a eu un reportage qui est passé sur France 24 je crois ou certains tenaient ce discours.
On leur a promis un rêve, ils ont eu le chaos.
Comme d'autres pays.

Exact. Mais le chaos somnolait deja dans leur societe, bien avant que Gaddafi ait ete assassine. Deja leur nom "Jamahiriya" au lieu de "Joumhouria" est un fort indice que la cohesion de la Libye etait tres precaire des le debut.
 
une collaboration gagnant - gagnant entre l'Occident et l'Afrique

MDRRRRRRRRRRR

tu sors d'ou toi?

"
je ne comprend pas pourquoi on est défaitiste et qu'on a aucune confiance en soit.
Ne pourrait t’ont pas traité d' égal à égal avec les US ?
"

MDRRRRRRRRR X 2


Merci pour ce moment d'humour
Il voulait dire
GAGNANT-gagnant
 
Mort de Kadhafi: des militants africains traînent Sarkozy devant la CPI

Une quinzaine d'associations africaines ont déposé une plainte à la Cour pénale internationale contre Nicolas Sarkozy, accusé d'être l'un des responsables de l'assassinat du colonel Kadhafi en 2011 en Libye.

Plusieurs mouvements et associations de la société civile africaine ont déposé une plainte à la Cour pénale internationale (CPI) à l'encontre de l'ancien Président français Nicolas Sarkozy. Ils accusent l'ex-locataire de l'Élysée d'avoir provoqué l'intervention en Libye qui a débouché en 2011 sur la chute et la mort du colonel Mouammar Kadhafi.

Le weekend dernier, des militants se sont réunis à Bamako pour former le Front panafricain de la société civile (Fispa) destiné à «défendre l'Afrique, la démocratie, la dignité et les droits de l'homme».

«Nous portons cette plainte contre Nicolas Sarkozy pour l'assassinat de Kadhafi parce que cela a des conséquences dramatiques et néfastes sur le continent et les populations africaines», a expliqué le membre guinéen du Fispa Elie Kamano, cité par RFI..........

https://fr.sputniknews.com/international/201710091033392679-kadhafi-sarkozy-justice/
 
Libye, sept ans de malheur à cause de l’Otan

Il y a sept ans, le 19 mars 2011, commençait la guerre contre la Libye, dirigée par les Etats-Unis d’abord par l’intermédiaire du Commandement Africa, puis par l’Otan sous commandement étasunien. En sept mois, étaient effectuées environ 10 000 missions d’attaque aérienne avec des dizaines de milliers de bombes et missiles.
À cette guerre participait l’Italie avec des chasseurs-bombardiers et des bases aériennes, déchirant le Traité d’amitié et de coopération entre les deux pays. Avant l’attaque aéronavale déjà, avaient été financés et armés en Libye des secteurs tribaux et groupes islamistes hostiles au gouvernement, et infiltrées des forces spéciales, notamment qataries. Ainsi était démoli cet Etat qui, sur la rive sud de la Méditerranée, enregistrait “de hauts niveaux de croissance économique et des indicateurs élevés de développement humain” (comme l’analysait en 2010 la Banque Mondiale elle-même). Environ deux millions d’immigrés, le plus souvent africains, y trouvaient du travail.
En même temps la Libye rendait possible avec ses fonds souverains la naissance d’organismes économiques indépendants dans l’Union africaine : le Fonds monétaire africain, la Banque centrale africaine, la Banque africaine d’investissement.

EU et France – comme le prouvent les emails de la secrétaire d’État Hillary Clinton – se mirent d’accord pour bloquer tout d’abord le plan de Kadhafi de créer une monnaie africaine, alternative au dollar et au franc CFA imposé par la France à 14 anciennes colonies africaines.

L’Etat démoli et Kadhafi assassiné, le butin à partager en Libye est énorme : les réserves pétrolières, les plus grandes d’Afrique, et de gaz naturel ; l’immense nappe phréatique nubienne d’eau fossile, or blanc en perspective plus précieux que l’or noir ; le territoire même de la Libye, de première importance géostratégique ; les fonds souverains, environ 150 milliards de dollars investis à l’étranger par l’Etat libyen, “gelés” en 2011 par mandat du Conseil de sécurité de l’ONU.

Des 16 milliards d’euros de fonds libyens, bloqués à la Euroclear Bank en Belgique, 10 ont déjà disparu sans aucune autorisation de prélèvement. La même grande rapine advient dans les autres banques européennes et étasuniennes.
En Libye les recettes fiscales de l’export énergétique, descendus de 47 milliards de dollars en 2010 à 14 en 2017, se trouvent partagés entre groupes de pouvoir et multinationales ; le dinar, qui auparavant valait 3 dollars, est aujourd’hui changé à un taux de 9 dinars par dollar, tandis que les biens de consommation courante doivent être importés en les payant en dollars, avec une inflation annuelle consécutive de 30%.

Le niveau de vie de la majorité de la population s’est effondré, par manque d’argent et de services essentiels. Il n’existe plus de sécurité ni de réel système judiciaire. La pire condition est celle des immigrés africains : sous la fausse accusation (alimentée par les médias occidentaux) d’être des “mercenaires de Kadhafi” ils ont été emprisonnés par les milices islamistes jusque dans des cages de zoo, torturés et assassinés.

La Libye est devenue la principale voie de transit, aux mains de trafiquants d’êtres humains, d’un chaotique flux migratoire vers l’Europe qui, lors de la traversée de la Méditerranée, provoque chaque année plus de victimes que les bombardements de l’OTAN de 2011.

Sont aussi persécutés les Libyens accusés d’avoir soutenu Kadhafi. Dans la ville de Tawergha, les milices islamistes de Misrata soutenues par l’Otan (celles qui ont assassiné Kadhafi) ont perpétré une véritable purification ethnique, en exterminant, torturant et violant. Les survivants, terrorisés, ont dû abandonner la ville. Aujourd’hui ils sont environ 40 000 à vivre dans des conditions inhumaines, ne pouvant pas retourner à Tawergha. Pourquoi gardent-ils le silence, ces représentants de la gauche qui il y a sept ans réclamaient à cor et à cri l’intervention italienne en Libye au nom des droits humains violés ?

Manlio Dinucci
 
LIBYE
La bataille pour Tripoli fait rage, le bilan



Les forces du maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de l’Est libyen, tentaient lundi de progresser vers le centre de Tripoli où le gouvernement du Premier ministre Fayez al Serraj, reconnu par la communauté internationale, a reçu le renfort de miliciens alliés venus de Misrata, une ville à l’est de la capitale.

L’Armée nationale libyenne (ANL) du maréchal Haftar, qui a pendant des années combattu avec l’appui de l’Egypte et des Emirats arabes unis les groupes islamistes dans l’est du pays, a progressé ces derniers mois vers le sud du pays et annoncé la semaine dernière son intention de prendre le contrôle de Tripoli.

A la suite de la chute de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye est divisée entre un gouvernement d’union nationale (GNA) reconnu par la communauté internationale, qui siège à Tripoli, et un gouvernement parallèle soutenu par Khalifa Haftar, qui dirige l’est du pays.

L’ANL a annoncé que 19 de ses combattants avaient été tués ces derniers jours dans les combats pour Tripoli.

Le ministère de la Santé du GNA a quant à lui avancé lundi un bilan d’au moins 25 morts et 80 blessés dans les combats de ces jours-ci dans le sud de Tripoli. Ce bilan concerne aussi bien les combattants que les civils – une famille entière ayant péri dans les violences, a précisé à Reuters le porte-parole du ministère.

Selon les Nations unies, les affrontements ont déplacé 2.800 personnes.

Dimanche, l’ANL a mené des frappes aériennes sur le sud de la capitale et tenté de progresser vers le centre à partir de l’ancien aéroport international, au sud de la ville. Les hommes d’Haftar étaient alors à une dizaine de kilomètres du centre de la capitale.

Lundi, l’aéroport de Mitiga, dans les faubourgs est de Tripoli, le seul encore en activité dans le secteur de la capitale, a été bombardé par un avion et le gouvernement Serraj a décidé de le fermer.

Le GNA a annoncé avoir reçu des renforts de Misrata, une ville côtière située à moins de 200 km à l’est de la capitale. L’opération “Volcan de la colère” a été lancée pour défendre la ville face à l’offensive d’Haftar.

L’Onu, qui a demandé une trêve pour évacuer les blessés, entend toujours organiser une conférence nationale de paix du 14 au 16 avril à Ghadamès, dans le sud-ouest du pays.

L’émissaire spécial de l’Onu Ghassan Salamé a rencontré lundi Serraj à Tripoli pour étudier les moyens de l’aider « dans cette situation critique et difficile », indique sur Twitter la mission de l’Onu en Libye.

Après l’ONU, les Etats-Unis et le G7, l’Union européenne a réclamé lundi un cessez-le-feu et un retour à la table des négociations.

La France a assuré lundi qu’elle n’était pas au courant des intentions du maréchal Haftar et qu’elle n’avait « aucun plan caché » à ce sujet, a déclaré une source diplomatique française en réaffirmant le soutien de Paris au gouvernement de Fayez al Serraj.

« L’urgence en Libye est de protéger la population civile, faire cesser le feu et remettre les acteurs libyens autour de la table », a dit cette source.

Signes des crispations, les zones d’ombres présumées entourant le rôle joué par la France ont fait l’objet samedi d’un entretien selon Paris – une convocation selon Tripoli – entre l’ambassadrice de France pour la Libye Béatrice le Fraper du Hellen et le Premier ministre Fayez el Serraj.

Desk.ma
 
PLUSIEURS PERTES DANS LES RANGS DES TROUPES DE KHALIFA HAFTAR Contre-offensive des forces d’al-Serraj à Tripoli
Les forces de Khalifa Haftar ont essuyé de lourdes pertes, avec au moins 15 soldats tués et des dizaines de blessés, selon des sources médicales.

Les forces dépendant du Gouvernement libyen d’union nationale (GNA), dirigé par Fayez al-Serraj, sont passées dans la nuit de samedi à dimanche à la contre-offensive qui a contraint les troupes de Khalifa Haftar de battre en retraite, selon les médias locaux. Appuyées par des milices, considérées par le controversé maréchal comme “terroristes”, les forces du GNA ont continué toute la journée d’hier leurs opérations, notamment dans le sud de la capitale libyenne, où Haftar a essuyé d’importantes pertes humaines. Des sources médicales affirment avoir reçu au moins 15 soldats de l’armée arabe libyenne (ANL de Haftar) à l’hôpital de Ghariane, que les troupes du maréchal avaient conquise samedi, avant d’être chassées par les raids aériens des avions de chasse dépêchés de l’École de l’aviation de Misrata.

L’aéroport de Tripoli, tombé lui aussi entre les mains des soldats du controversé maréchal, a été aussi repris en main, après l’intervention des Brigades révolutionnaires de Tripoli (BRB) de Haïthem al-Tajouri. Cette contre-offensive des forces du GNA a été annoncée par Fayez al-Serraj lors d’un discours télévisé dans la nuit de samedi à dimanche. En début d’après-midi, le porte-parole des forces du GNA, le colonel Mohamad Quanounou, a affirmé, lors d’un point de presse, que “cette opération vise à purger toutes les villes des forces illégitimes”, en référence à l’ANL. “Nous ne permettrons pas de militariser l'État”, a-t-il ajouté. Face à la violence des combats opposant les forces du GNA aux soldats de Khalifa Haftar, la mission de l’Onu en Libye a appelé à une trêve humanitaire afin de permettre l’évacuation des civils pris en étau dans plusieurs secteurs de la capitale. “Manul appelle toutes les parties armées se trouvant dans la région de Wadi Rabi, al-Kayekh, Gasr Ben Ghachir et Al-Aziziya (au sud de Tripoli) à respecter une trêve humanitaire de 16h00 à 18h00 (de 14h00 à 16h00 GMT) pour sécuriser l'évacuation des blessés et des civils par les équipes de secours et du Croissant rouge libyen”, a indiqué la mission de l'ONU en Libye (Manul) dans un bref communiqué, diffusé sur sa page facebook. De son côté, le commandement des États-Unis pour l’Afrique (Africom) a annoncé hier matin le retrait provisoire de ses militaires présents en Libye.

“En raison du regain des troubles en Libye, un contingent des forces américaines de soutien au Commandement des États-Unis pour l'Afrique (Africom) a temporairement déménagé du pays en réponse à la situation sécuritaire sur le terrain”, a indiqué l'Africom, basé à Stuttgart (Allemagne), dans un communiqué. Depuis l’annonce mercredi de cette opération par le commandement militaire de l’ANL, sur ordre de Khalifa Haftar, de nombreuses voix libyennes et à l’international ont dénoncé toute escalade militaire à la veille de la Conférence nationale, prévue à Ghadamès du 14 au 16 avril et que l’Onu a affirmé maintenir. Fort du soutien des Émirats arabes unis, de l’Arabie Saoudite et de l’Égypte, Khalifa Haftar cherche à s’imposer comme la seule alternative à une crise politique qui dure depuis la chute de l’ancien régime de Mouammar Kadhafi en 2011. Mais les Libyens rejettent toute militarisation du futur État, tout comme les parties impliquées dans le règlement de cette crise.


Lyès Menacer - Liberté
 
Libye : derrière la bataille de Tripoli, des influences étrangères ?

Alors que l'offensive du maréchal Haftar vers Tripoli se poursuit, plusieurs acteurs de la communauté internationale continuent à avancer leurs pions.

Le maréchal Khalifa Haftar pourra-t-il gagner la bataille de Tripoli ? Ou bien les brigades qui défendent la capitale libyenne sous la bannière du gouvernement d'«  union nationale » (GNA), seul reconnu par la communauté internationale et dirigé par Faïez Sarraj, résisteront-elles à l'offensive du chef rebelle ? Le porte-parole du GNA, le colonel Mohamad Gnounou, a annoncé une contre-offensive généralisée pour « purger toutes les villes libyennes des » forces illégitimes », celles d'Haftar. Nom de cette opération militaire :« Volcan de la colère ». Une surprise pour le maréchal qui comptait sur un Blitzkrieg avec ses troupes motorisées pour prendre en tenaille la capitale. En avertissant que les civils et les étrangers, à qui il demandait de rester chez eux, ne seraient pas menacés par ses hommes, il croyait que la bataille de Tripoli n'aurait en fin de compte pas lieu avec les forces du GNA, grâce à la dynamique de ses victoires et ses alliances, depuis qu'à partir de son fief de l'Est, il a conquis en janvier le Sud, avant de s'attaquer à l'Ouest, lieu du pouvoir central. Une ligne rouge qui a provoqué l'union des groupes armés de Tripoli et des milices de Misrata qui ont fait décoller des avions pour bombarder l'ennemi. Une spirale dangereuse qui a entraîné une réplique de l'Armée, autoproclamée, nationale de libération.

Personne ne semble pouvoir arrêter cette guerre civile qui, de fait, est devenue le reflet des antagonismes régionaux appuyés par les puissances occidentales. Du coup, la guerre en Libye entre les deux grandes factions ressemble à un champ de bataille où plusieurs pays extérieurs s'affrontent par Libyens interposés. Un enjeu qui dépasse les forces en présence. Chacune est appuyée par des pays européens différents, qui ne poursuivent pas le même objectif.

Quelles sont les forces en présence  ?

Une lutte d'influence entre la Turquie, le Qatar et l'Italie, qui a gardé des liens forts avec la Tripolitaine depuis la colonisation, et grâce au commerce du pétrole entre les compagnies nationales des deux pays. C'est vers ces trois nations que le chef du gouvernement Fayez el-Sarraj trouve des appuis, sans compter la Russie qui, après avoir invité le maréchal Haftar plusieurs fois à Moscou, semble s'être rapprochée du pouvoir central, seul habilité à vendre du pétrole à l'extérieur. Pour Istanbul, l'alliance avec le Qatar dans ce soutien commun repose sur l'antagonisme profond qui existe avec les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite et l'Égypte. Ce trio accuse la Turquie qui, pour dominer le monde sunnite, soutient les Frères musulmans, bêtes noires du président al-Sissi et des monarchies de la péninsule arabique. Seul le Qatar, mis sous embargo et menacé par Riyad et son allié des EAU, affiche une bienveillance envers cette puissante confrérie, doublée d'une proximité avec l'Iran, le rival perse et chiite à qui l'Arabie saoudite et les EAU livrent une bataille féroce au Yémen, par tribus là aussi interposées. Cet autre trio soutient en Libye le maréchal Haftar, au nom de la lutte contre les Frères musulmans et l'islamisme en général.

Le vieux chef rebelle de la Cinéraique qui entend contrôler Tripoli est vu comme l'homme fort du pays, capable d'éradiquer les groupes djihadistes encore présents. Sur le terrain, le maréchal est appuyé par les services secrets et l'aviation égyptiens, et émiratis, qui bombardent les bases d'Al-Qaïda. Il s'appuie aussi depuis plusieurs années sur la France, très proche de son parrain égyptien. Devenu ministre des Affaires étrangères d'Emmanuel Macron, Jean-Yves Le Drian affiche aujourd'hui la même proximité avec le président al-Sissi, premier acheteur d'armement français.

Un imbroglio d'acteurs internationaux

Un chassé-croisé géopolitique qui s'apparente à un imbroglio depuis la livraison au Qatar d'avions Rafale, dont disposent déjà les Émirats. Deux pays devenus ennemis et qui soutiennent chacun en Libye un adversaire, le Qatar étant aux côtés du gouvernement qui résiste aux assauts du maréchal Haftar, l'allié français depuis cinq ans. Soigné en France, grâce à ses deux visites à Paris pour une rencontre avec Fayez el-Sarraj sous l'égide d'Emmanuel Macron, dans la perspective d'élections qui sont restées lettre morte, l'officier est devenu incontournable à la table des négociations.....................................

https://www.lepoint.fr/afrique/liby...uences-etrangeres-09-04-2019-2306581_3826.php
 
Haftar ...Sissi et des dignitaires saoudiens et Emiratis !

 
Libye : les combats font rage dans la banlieue de Tripoli faisant des milliers de déplacés

 
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