Actualité des Force de L'ordre en France ...

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Un policier, en 2020, a près de quatre fois moins de risques de mourir au travail qu’il y a 30 ans, et deux fois moins qu’il y a 20 ans.
Pourtant c'est les pire chouineurs de france
Quant ils denoncent les violences on a l'impression qu'ils parlent des etats unis et des cartels de drogue latinos mdrrr
 
Olivier Faure veut un "droit de regard" des policiers sur les décisions de justice
Le premier secrétaire du PS estime que la police doit pouvoir "suivre, continuer à donner son avis", sur les peines prononcées par les magistrats.

 

Danièle Obono


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"Une société dans laquelle la police devient une puissance autonome au lieu d’être au service des citoyens, dictant à l’exécutif la politique pénale, au parlement le contenu des lois, et revendiquant une impunité pour elle-même. Quel est le nom de ce régime ?"
 
« La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc constituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée »

droit de l'homme .jpg
 
Thomas Legrand en remet une couche , lui le hollandiste béa qui ne manquait pas une occase de baché JLM le voilà qui fait son éloge !!!

extrait: Une journée d’affaissement démocratique à cause de tous les élus qui sont allé (et sont resté) avec leurs écharpes tricolores, écouter sans broncher des responsables syndicaux policiers, demander en chœurs des peines minimales automatiques pour tout agressions contre les forces de l’ordre. Le principe même de la peine automatique est tout simplement une négation de la justice et aucune démocratie au monde n’en produit.
[...]
Seuls JL.Mélenchon, Julien Bayou et Éric Dupont-Moretti, hier ont fait preuve d’assez de sang-froid, de profondeur historique et juridique pour oser s’inquiéter de ce qui se disait devant l’Assemblée nationale.
https://www.franceinter.fr/.../l-edito-politique-20-mai-2021

Et la conclusion de son edito : Des policiers qui n’ont pas les moyens d’arrêter les gros bonnets et qui donc s’usent à attraper des guetteurs de point de deal qu’ils retrouvent quelques temps après, en viennent à formuler des propositions d’arbitraire, de toujours plus de sévérité, ça a toujours existé. En revanche, que toute une génération de responsables politiques les écoutes sagement, l’air contrit (en fait la peur au ventre) ça c’est nouveau et dénote une baisse de niveau de conscience démocratique préoccupante. Aborder une présidentielle avec le trouillomètre dans le rouge ce n’est pas bon.
 
Olivier Faure veut un "droit de regard" des policiers sur les décisions de justice
Le premier secrétaire du PS estime que la police doit pouvoir "suivre, continuer à donner son avis", sur les peines prononcées par les magistrats.

Qu'est-ce qu'il ne faut pas dire comme bêtise electoraliste pour essayer de gagner 2 ou 3 voix...
😁😁
 
Olivier Faure veut un "droit de regard" des policiers sur les décisions de justice
Le premier secrétaire du PS estime que la police doit pouvoir "suivre, continuer à donner son avis", sur les peines prononcées par les magistrats.

NOUVEAU COURANT AU PS: LOS SECURITOS CRAIGNOS !!
"À propos d'Olivier Faure, premier secrétaire du PS, et de son ""droit de regard"" de la police sur l'exécution des peines, dont je vous parlais hier. Il a reculé , parlant "d'expression malheureuse". Dont acte ? A tout péché miséricorde. Sauf qu'on apprend ce matin dans "Le Monde""" qu'il ne s'agissait pas d'une improvisation faurienne dans la chaleur communicative d'une manifestation avec Zemmour et de Villiers. Si je comprends bien, le bureau politique du PS, au cours d'une visio préalable avec les syndicats de police, avait approuvé le principe du ""droit de regard"", notamment sous l'influence de David Habib, député des Pyrénées-Atlantiques, secrétaire national à la sécurité du PS, soutien de Manuel Valls, et injustement méconnu : j'apprends aussi à l'occasion qu'il est un des trois députés socialistes à avoir voté la confiance au gouvernement Philippe 2, et qu'il avait naguère été signataire d'une lettre demandant à Nicolas Sarkozy de ne pas reconnaître un État palestinien. À la faveur d'une ""expression malheureuse"", on en apprend, des choses !" (Daniel Schneidermann, Arrêt sur Images)
 
"... On ne souhaite pas être violent avec vous, d'accord ? On ne veut pas de problème avec vous, ok ? on n'est pas la police on est la gendarmerie..."

 
Gérald Darmanin multiplie les polémiques et crée le malaise au sein du gouvernement
Après avoir annoncé une plainte contre Audrey Pulvar, le ministre de l’intérieur a été contraint de reculer, mardi. L’initiative avait agacé ses collègues et provoqué l’émoi dans la majorité

Suite :
 
Une policière municipale vient d'être poignardé par un psychopathe au commissariat,..

c'est grave mais ses jours ne sont plus en danger, par un individu qui a subtilisé son arme, en espérant qu'il ne commete pas un carnage avant qu'il soit localisé, maîtrisé et interpellé
 
Lepen et ses sbires du FN n'ont pas encore percuté les réseaux sociaux pour nous informer de l'état régulière ou irrégulière sur le sol, la religions du suspect etc.. ou bien ils font très grande grasse matinée...

Ceci dit les fait divers impliquant d'ex militaires aguerris aux combats sont de plus en plus glaçant, l'allemand radicalisé d'extrême droite celui de Strasbourg dans les enquêtes qui se déguisait en refugié syrien dans l'audition lors de ses échanges ça parlait de " jour J"


 
Dernière édition:
Les gaz ça existent
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Trois policiers ont été mis en examen la semaine dernière, après la mort d'un homme à Drancy, en Seine-Saint-Denis en mai 2019 lors de son interpellation, a appris France Bleu Paris auprès du parquet de Bobigny et de l'avocat de la veuve de la victime.
Le 24 mai 2019, vers minuit et demi, une femme a appelé la police car son compagnon de 36 ans tentait de s'introduire dans son appartement alors que la justice le lui avait interdit, qu'il était sous contrôle judiciaire et qu'il devait être jugé quelques jours plus tard pour violences conjugales. Trois policiers de 24, 29, 42 ans se sont rendus sur place pour interpeller l'homme.
Celui-ci se débattant, l'un des fonctionnaires a réalisé une clé d'étranglement. Après cela, le pouls de l'interpellé était faible, il a perdu connaissance. Les pompiers appelés sur place n'ont pas réussi à le ranimer et ont déclaré sa mort à 2h30. Selon France Bleu Paris, l'autopsie pratiquée attribue sa mort à "une asphyxie mécanique par compression cervicale associée à un traumatisme crâno-facial". L'analyse toxicologique révèle aussi que "la somme des toxicités de l'alcool et de la cocaïne retrouvés dans le sang de l'homme a pu être à l'origine d'une intoxication aiguë".
 

« J’adore cogner du singe » : Les policiers de la CSI93 se trahissent dans un enregistrement​

« Moi le premier je reconnais, cogner du singe, j’adore ça. [...] Mais si on peut essayer de créer un temps mort entre chaque bavure, ce serait bien». Dans une enquête révélée par Libération, après avoir tabassé Mohamed S, les écoutes de quatre policiers de la CSI93 démontrent une nouvelle fois le caractère structurel de la violence et du racisme de la police.

 
La décision est tombée à l'avant-veille d'une grande journée de manifestations en France. Le Conseil d'Etat a infligé, jeudi 10 juin, un sévère désaveu au ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, en annulant plusieurs dispositions phares de son schéma du maintien de l'ordre.
Si l'usage des grenades de désencerclement et des lanceurs de balles de défense (LBD) n'est pas remis en cause et qu'il est toujours possible d'avoir recours à des services non spécialisés, comme la BAC ou la BRI, pour gagner en "mobilité", les mesures jugées "attentatoires aux libertés publiques" ou contraires à la liberté de la presse ont été censurées.
Alors que syndicats, associations, partis politiques et médias appellent à une marche "pour les libertés et contre les idées d'extrême droite" dans de nombreuses villes, samedi 12 juin, avec un départ à 14 heures pour le cortège parisien depuis la place de Clichy, franceinfo fait le point sur ce que les forces de l'ordre ne pourront plus faire lorsqu'elles encadrent des manifestations.

Les nasses proscrites jusqu'à nouvel ordre​

Dans le schéma national du maintien de l'ordre (SNMO) publié en septembre pour mettre fin aux polémiques à répétition concernant l'utilisation de la force par la police, en particulier lors des mobilisations des "gilets jaunes", la technique de la nasse, qui consiste à encercler des groupes de manifestants à des "fins de contrôle, d'interpellation ou de prévention d'une poursuite des troubles", était toujours autorisée.
Saisi par des associations et des syndicats, notamment de journalistes, le Conseil d'Etat a estimé que si cette technique "peut s'avérer nécessaire dans certaines circonstances", "elle est susceptible d'affecter significativement la liberté de manifester, d'en dissuader l'exercice et de porter atteinte à la liberté d'aller et venir".
Surtout, la plus haute juridiction administrative juge que le schéma du maintien de l'ordre ne précise pas suffisamment les cas où cette technique peut être employée. Il annule donc la mesure car "rien ne garantit que son utilisation soit adaptée, nécessaire et proportionnée aux circonstances". Samedi, les forces de l'ordre devront donc trouver des alternatives en cas de débordements.
Mais la Place Beauvau entend bien revoir sa copie pour que les forces de l'ordre puissent de nouveau y avoir recours plus tard. "Le Conseil d'Etat n'interdit pas cette technique mais demande à ce que les conditions d'emploi soient précisées, et le gouvernement va s'y employer", précise à franceinfo une source au ministère de l'Intérieur, ajoutant que "ces modifications auront lieu dans les prochaines semaines".
Selon Patrice Spinosi, avocat du Syndicat national des journalistes et de la Ligue des droits de l'homme, "cela va être compliqué" pour l'exécutif de réintroduire cette mesure. "Je ne suis pas sûr que cette décision du Conseil d'Etat soit si facilement susceptible d'être remise en cause par le gouvernement malgré ses efforts", a-t-il analysé sur franceinfo.
 

Les dispersions des journalistes interdites​

Si le schéma de maintien de l'ordre insistait sur la nécessité de reconnaître la "place particulière des journalistes au sein des manifestations" et qu'il pointait leur droit à "porter des équipements de protection", il subordonnait cette possibilité à leur "comportement exempt de toute infraction ou provocation".
Le Conseil d'Etat estime que "le ministre de l'Intérieur ne [dispose] pas, en sa qualité de chef de service, d'une compétence pour édicter de telles règles à l'égard des journalistes, non plus d'ailleurs qu'à l'égard de toute personne participant ou assistant à une manifestation". Fini donc la confiscation du matériel de protection des journalistes, comme cela a été fait à plusieurs reprises pendant les manifestations de "gilets jaunes".
L'instance considère également que les journalistes "n'ont pas à quitter les lieux lorsqu'un attroupement est dispersé" et qu'ils n'ont pas non plus "l'obligation d'obéir aux ordres de dispersion" des forces de l'ordre, comme le prévoyait le schéma du maintien de l'ordre. "Les journalistes doivent pouvoir continuer d'exercer librement leur mission d'information, même lors de la dispersion d'un attroupement", souligne le Conseil d'Etat.
"Ils ne peuvent donc être tenus de quitter les lieux, dès lors qu'ils se placent de telle sorte qu'ils ne puissent être confondus avec les manifestants ou faire obstacle à l'action des forces de l'ordre", poursuit-il. Un point qui a attiré l'attention du gouvernement. Samedi, les journalistes ne seront donc pas sommés de quitter les lieux en cas d'attroupement mais devront se démarquer des manifestants et ne pas s'interposer par exemple.

Les reporters pas obligés de s'accréditer​

Le Conseil d'Etat a enfin rejeté la nécessité pour les reporters de s'accréditer pour avoir accès au canal d'informations en temps réel mis en place lors de manifestations. Il ne ferme toutefois pas la porte au dispositif "réservé éventuellement aux journalistes titulaires de cartes de presse", "compte tenu des contraintes opérationnelles auxquelles sont soumises les forces de l'ordre à l'occasion des manifestations".
Le canal d'information dédié est bien ouvert à l'ensemble des journalistes, répond le ministère de l'Intérieur. "Un travail devra être engagé avec la profession pour définir les critères permettant de réserver à la profession ce canal d'information. Cela fera l'objet de travaux au sein du groupe de contact (...) mis en place dans le cadre de la mise en œuvre du rapport Delarue" sur les relations entre la presse et les forces de l'ordre, remis début mai.
 
La Plaine Saint-Denis : la police violente des familles lors d’une veillée funéraire
14 juin 2021 Par Pascale Pascariello

Réunis le 4 juin pour une veillée funéraire, plusieurs habitants de ce quartier de Saint-Denis, dont des enfants, ont été la cible de tirs de grenades lacrymogènes et de LBD par des policiers. Une femme enceinte a dû être hospitalisée. La préfecture de police de Paris refuse de répondre sur ces violences.
Le 4 juin, la veillée funéraire organisée par les habitants du quartier de La Plaine Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) en mémoire de Hicham∗, un jeune de 20 ans décédé le jour précédent, a tourné au cauchemar, à la suite de l’intervention de plusieurs patrouilles de police, faisant un usage massif et disproportionné de grenades lacrymogènes et de LBD.

https://www.mediapart.fr/journal/fr...rymogenes-sur-des-familles-lors-d-une-veillee
 
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