Blabla entre filles 2021

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La discussion n'est pas ouverte à d'autres réponses
Au sujet de Leila Slimani dont je ne suis pas une grande fan
Je me dois de partager son histoire - ça la rend plus sympathique à mes yeux - la formule est maladroite mais la flemme d'expliquer .....
Dans une interview accordée au Monde en mars 2018, la jeune femme estimait qu’elle devait beaucoup à son père, mort lorsqu’elle avait 22 ans, « dans des circonstances assez tragiques ». « Ce qui lui est arrivé nous a prouvé à ma mère, mes sœurs et moi qu’en réalité rien ne protège », affirmait Leïla Slimani auprès de nos confrères. Son père, Otmane, était banquier au Maroc. Après une ascension professionnelle remarquable, ce dernier s'est retrouvé empêtré dans un scandale de détournement de fonds. À partir de ce moment-là, son monde s'est écroulé. « Ça a été une longue descente aux enfers. Il n’a jamais voulu fuir le Maroc parce qu’il se savait innocent. Il a été incarcéré alors que j’avais 21 ans », explique l'écrivaine à nos confrères
Avec un mari enfermé, la mère de Leïla Slimani a dû s’occuper de tout à la maison. « Je lui voue une admiration extraordinaire », note l’auteure de Chanson Douce dans les colonnes du Monde, qui compare sa figure maternelle à « un superhéros ». Son père, lui, a passé quatre mois en prison. Il avait 61 ans. Une période d’éloignement, de cloisonnement qui a été très dure à vivre pour elle : « C’était très violent (…) Avec mes sœurs, on était d’un milieu bourgeois, très doux, on pensait que ce genre de choses n’arrivait qu’aux autres », explique-t-elle. À sa sortie de prison, les choses ne vont pas en s’améliorant puisque le père de Leïla Slimani décède... Des années après sa disparition, la justice a reconnu ses torts. « ll a été entièrement innocenté, à titre posthume », rappelle la lauréate du Prix Goncourt 2016. « C’était une erreur judiciaire, il avait servi de bouc émissaire », constate la jeune femme. Une « erreur judiciaire » qui a bouleversé la vie de cette famille. Nul doute qu'Othmane Slimani aurait été fier du chemin parcouru par sa fille, aujourd'hui âgée de 38 ans.

 
Au sujet de Leila Slimani dont je ne suis pas une grande fan
Je me dois de partager son histoire - ça la rend plus sympathique à mes yeux - la formule est maladroite mais la flemme d'expliquer .....
Dans une interview accordée au Monde en mars 2018, la jeune femme estimait qu’elle devait beaucoup à son père, mort lorsqu’elle avait 22 ans, « dans des circonstances assez tragiques ». « Ce qui lui est arrivé nous a prouvé à ma mère, mes sœurs et moi qu’en réalité rien ne protège », affirmait Leïla Slimani auprès de nos confrères. Son père, Otmane, était banquier au Maroc. Après une ascension professionnelle remarquable, ce dernier s'est retrouvé empêtré dans un scandale de détournement de fonds. À partir de ce moment-là, son monde s'est écroulé. « Ça a été une longue descente aux enfers. Il n’a jamais voulu fuir le Maroc parce qu’il se savait innocent. Il a été incarcéré alors que j’avais 21 ans », explique l'écrivaine à nos confrères
Avec un mari enfermé, la mère de Leïla Slimani a dû s’occuper de tout à la maison. « Je lui voue une admiration extraordinaire », note l’auteure de Chanson Douce dans les colonnes du Monde, qui compare sa figure maternelle à « un superhéros ». Son père, lui, a passé quatre mois en prison. Il avait 61 ans. Une période d’éloignement, de cloisonnement qui a été très dure à vivre pour elle : « C’était très violent (…) Avec mes sœurs, on était d’un milieu bourgeois, très doux, on pensait que ce genre de choses n’arrivait qu’aux autres », explique-t-elle. À sa sortie de prison, les choses ne vont pas en s’améliorant puisque le père de Leïla Slimani décède... Des années après sa disparition, la justice a reconnu ses torts. « ll a été entièrement innocenté, à titre posthume », rappelle la lauréate du Prix Goncourt 2016. « C’était une erreur judiciaire, il avait servi de bouc émissaire », constate la jeune femme. Une « erreur judiciaire » qui a bouleversé la vie de cette famille. Nul doute qu'Othmane Slimani aurait été fier du chemin parcouru par sa fille, aujourd'hui âgée de 38 ans.

quoi de plus triste que de perdre un parent, peu importe les circonstances d'ailleurs... t9ada la3mar
"rien ne nous protège" bah si... Allah et nous même, kane soviw rossna brossna, on s'en sort comme on peu el hamdolilah :)
c'était ma minute rabat joie

Lol

Mais sinon ça ne la rend pas plus amicale à mes yeux...ça ne change rien. Je ne minimise pas leur peine par contre là dessus on est tous humains
 
Au sujet de Leila Slimani dont je ne suis pas une grande fan
Je me dois de partager son histoire - ça la rend plus sympathique à mes yeux - la formule est maladroite mais la flemme d'expliquer .....
Dans une interview accordée au Monde en mars 2018, la jeune femme estimait qu’elle devait beaucoup à son père, mort lorsqu’elle avait 22 ans, « dans des circonstances assez tragiques ». « Ce qui lui est arrivé nous a prouvé à ma mère, mes sœurs et moi qu’en réalité rien ne protège », affirmait Leïla Slimani auprès de nos confrères. Son père, Otmane, était banquier au Maroc. Après une ascension professionnelle remarquable, ce dernier s'est retrouvé empêtré dans un scandale de détournement de fonds. À partir de ce moment-là, son monde s'est écroulé. « Ça a été une longue descente aux enfers. Il n’a jamais voulu fuir le Maroc parce qu’il se savait innocent. Il a été incarcéré alors que j’avais 21 ans », explique l'écrivaine à nos confrères
Avec un mari enfermé, la mère de Leïla Slimani a dû s’occuper de tout à la maison. « Je lui voue une admiration extraordinaire », note l’auteure de Chanson Douce dans les colonnes du Monde, qui compare sa figure maternelle à « un superhéros ». Son père, lui, a passé quatre mois en prison. Il avait 61 ans. Une période d’éloignement, de cloisonnement qui a été très dure à vivre pour elle : « C’était très violent (…) Avec mes sœurs, on était d’un milieu bourgeois, très doux, on pensait que ce genre de choses n’arrivait qu’aux autres », explique-t-elle. À sa sortie de prison, les choses ne vont pas en s’améliorant puisque le père de Leïla Slimani décède... Des années après sa disparition, la justice a reconnu ses torts. « ll a été entièrement innocenté, à titre posthume », rappelle la lauréate du Prix Goncourt 2016. « C’était une erreur judiciaire, il avait servi de bouc émissaire », constate la jeune femme. Une « erreur judiciaire » qui a bouleversé la vie de cette famille. Nul doute qu'Othmane Slimani aurait été fier du chemin parcouru par sa fille, aujourd'hui âgée de 38 ans.

En effet, ce que j'explique à beaucoup de monde.
On se plaint de nos pères, d'être éloignés, pas très impliqués...mais comme y a pas de sécurité sociale, les papas vivent dans l'anxiété de se faire virer etc...et ne se prennaient pas en main.
 
quoi de plus triste que de perdre un parent, peu importe les circonstances d'ailleurs... t9ada la3mar
"rien ne nous protège" bah si... Allah et nous même, kane soviw rossna brossna, on s'en sort comme on peu el hamdolilah :)
c'était ma minute rabat joie

Lol

Mais sinon ça ne la rend pas plus amicale à mes yeux...ça ne change rien. Je ne minimise pas leur peine par contre là dessus on est tous humains
@lacerise , je ne connais pas cette autrice , quels sont vos griefs à son encontre ?
 
quoi de plus triste que de perdre un parent, peu importe les circonstances d'ailleurs... t9ada la3mar
"rien ne nous protège" bah si... Allah et nous même, kane soviw rossna brossna, on s'en sort comme on peu el hamdolilah :)
c'était ma minute rabat joie

Lol

Mais sinon ça ne la rend pas plus amicale à mes yeux...ça ne change rien. Je ne minimise pas leur peine par contre là dessus on est tous humains
...je voulais pas m'étaler...quand on perd qqu'un dans ces circonstances...c'est comme si on le perdait 2 fois...comme si elle avait du vivre 2 deuils......je module mon jugement la concernant...je pense qu'on ne peut pas traverser ce type d'épreuve et n'avoir aucune séquelle.....ça ne veut pas dire...que tout d'un coup...je cautionne tout ce qu'elle dit....
 
...je voulais pas m'étaler...quand on perd qqu'un dans ces circonstances...c'est comme si on le perdait 2 fois...comme si elle avait du vivre 2 deuils......je module mon jugement la concernant...je pense qu'on ne peut pas traverser ce type d'épreuve et n'avoir aucune séquelle.....ça ne veut pas dire...que tout d'un coup...je cautionne tout ce qu'elle dit....
merci pour cette explication :cool: moi je ne le vois pas du tout comme ça.. une fois qu'on a perdu la personne c'est pour toujours. Maintenant qu'on rétablisse son honneur à titre posthume c'est extraordinaire pour eux qui sont encore là et qui le vivent, je pense que ça aide à faire le deuil définitivement... Allah o ahlem
 
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