Ce livre est un miracle qui surpasse tout les autres ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion tajali
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Je vous renvoie à la réponse que je vous avais faite sur un topic différent, où il me semblait que je vous disais, en substance, que votre raisonnement ne tient pas parce que vous omettez de distinguer nature de Dieu et personne divine. ;)

La Nature de Dieu donc Sa Réalité sont Ses Attributs. Vous confondez Ses Attributs avec des personnes distinctes ayant chacune sa propre volonté. La Volonté est un Attribut de Dieu et quand on dit que soit faite la Volonté de Dieu concernant telle situation, on ne dit pas soit faite la volonté de Jésus ni celle de l'esprit, car en Dieu il ne peut y avoir qu'une seule et unique Volonté la Sienne.
 
Ce n'est pas une comparaison, juste une image pour tenter de vous faire comprendre pourquoi la Trinité ne contrevient pas à l'unicité divine.
Peuvent ils coexister 3 dieux ? La réponse est que non. De même ne peuvent pas coexister en Dieu 3 personnes distinctes ayant chacune sa propre volonté. Dieu n'est pas tripolaire.
 
le soleil (le Père) qui envoie un rayon de lumière (le Fils), qui génère de la chaleur (le Saint-Esprit)
Donc la chaleur est générée par la lumière et celle ci est issue par le soleil. Si la lumière génère la chaleur alors cette dernière ne peu pas être une personne distincte car sans lumière pas de chaleur. La chaleur dépend de la lumière et les deux dépendent du soleil.
Dans ce cas les deux sont soumise à une seule Volonté celle du soleil dans cet exemple.
 
Mais le rayon n'est pas le soleil, et la chaleur n'est ni le rayon ni le soleil. De même, le Fils n'est pas le Père, et le Saint Esprit n'est ni le Fils ni le Père.
Autre exemple : Le Feu. Par nature il est chaleur et lumière et si vous enlevez la lumière et la chaleur n'est plus un Feu. Or, la lumière et la chaleur sont les propriétés du Feu et donc les attributs du Feu.
 
très etrange que ce livre veritablement miraculeux n'a pas fait plus de bruit que cela jusqu'a present ...
Quand cela vient d'une mystique, voyante, visionnaire, laïque, membre du Tiers ordre catholique, tout cela ne joue pas en sa faveur, au même titre que l'évangile de Barnabé.

Maria Valtorta,
née à Caserte en Campanie le 14 mars 1897 et morte le 12 octobre 1961 à Viareggio en Toscane, est une visionnaire et mystique laïque italienne, membre du Tiers-ordre catholique des Servites de Marie et auteure d'écrits spirituels.
 
Si les Juifs rejettent depuis près de 2000 ans le Nouveau Testament, c'est qu'eux n'y voient pas la continuité et l'accomplissement que tu dis, mais une altération inacceptable de leur Bible.

D'ailleurs le mot « accomplir » est vague à dessein. Concrètement, les chrétiens, rapidement dominés par les convertis du paganisme, ont rejeté la plupart des mitsvot.
D'ailleurs la date du 25 décembre a été adoptée pour satisfaire ces nouveaux convertis qui auparavant fétaient la même date le culte de Mithra qui était une divinité originaire du monde iranien introduite dans l'Empire romain dans des conditions indéterminées, mais probablement depuis l'Anatolie où le dieu est vénéré dans plusieurs régions à l'époque hellénistique. Les premières traces de son culte à Rome et dans sa région datent de la fin du ier siècle
 
Ce qui est normal, puisque le Nouveau Testament, pour les chrétiens, est le sommet de la révélation divine.
Pourtant si on regarde les évangiles voire les épitres de Paul on observe pas mal de contradictions, d'ajouts et de suppressions, ce qui nous montre que ces écrits ne sont pas l'oeuvre de la révélation divine, car Dieu ne se contredit jamais.
 
Il n'y a donc pas de religion pour Adam, comme pour Noé, puisqu'ils ont vécu avant Abraham.
Alors s'il n'y avait pas eu de religion pour Adam et Noé ces deux là étaient mécréants ? Pas de rites ? Dans ce cas pourquoi Noé aurait construit une arche s'il n'était pas un croyant suivant la Volonté divine ?
 
Ben par exemple dans l'Amérique précolombienne, il y avait rien qui puisse rappeler le passage d'un « prophète » comme ça. Nulle part. Ces peuples avaient des croyances animistes ou polythéistes qui seraient perçues comme du shirk...
Il y a eu des peuples qui ont bien reçu un messager avec un message leur rappelant leur raison d'être en ce monde, mais soit l'ont accepté puis réjeté, soit ont dévié, soit ont carrement réfusé et c'est là que Dieu a sauver le peu des croyants et detruit entièrement ces peuples. (Voir le déluge universel, Sodome entre autre). D'autre part dans l'histoire de l'humanité il y a eu beaucoup d'immigrations.
 
Les ‘restrictions’ de Jacques à l’évangile de Paul

Luc précise toutefois que la décision de Jacques est assortie de restrictions fortes, appelées par la suite ‘décrets’ : s’abstenir
1/ des viandes sacrifiées aux idoles ;
2/ des chairs étouffées et du sang ;
3/ de la débauche.

Les interdits alimentaires énoncés feront ainsi entrer les nouveaux chrétiens venus du paganisme dans le régime de la sépa-ration des tables qui caractérise le monde juif. Paul fera-t-il respecter ces décrets dans la suite de ses voyages missionnaires ? Rien n’est moins sûr.

En effet, lorsque Paul se présente à Jérusalem à la fin de son troisième voyage, l’accueil que lui réservent Jacques et les anciens est glacial (Ac 21,20). Après avoir brièvement loué Dieu, ils portent contre lui l’accusation : ’Nous avons appris que tu enseignes à ceux qui viennent des païens l’apostasie de la loi de Moïse. Tu leur dis de ne pas se faire circoncire, et de ne pas suivre les coutumes.’

Proposant à Paul d’aller se purifier avec quatre hommes tenus par un vœu, ils lui rappellent les fameux décrets : ‘Quant aux païens qui ont embrassé la foi, nous leur avons mandé nos décisions : se garder des viandes immolées aux idoles, du sang et des viandes étouffées, et de la débauche’ (Ac 21,25).

Paul n’était donc pas au courant ? C’était pourtant lui qui était chargé de lire la lettre avec les décrets aux chrétiens d’Antioche (Ac 15, 31). Luc avertit ici en sous-main son lecteur. Il sait que les restrictions alimentaires ont été imposées par Jacques après l’assemblée de Jérusalem et le départ de Paul.

Nécessaire au dessein de Dieu et débouchant sur une prise de position décisive, la belle unité décrite au ch 15 n’a pas duré. Les Actes le confirment au ch 21 : lorsque Paul, entré dans le Temple pour sa purification, devra affronter la populace de Jérusalem mobilisée contre lui par des groupes juifs, aucune autorité parmi les chrétiens de Jérusalem n’interviendra pour le défendre, et c’est le tribun romain qui le sauvera de justesse en l’arrêtant (Ac 21, 27 à 40). Etrange façon de vivre la communion…
 
Tu es vraiment perdu.

c'est l'islam comme le christianisme originel qui a eté perdu

note comment du vivant de certain sahaba dont anas ibn malik le serviteur du prophete de l'islam
anas ibn malik quelque année aprés la mort du prophete pleuré car il ne reconnaissait plus l'islam
que dire de nos jours ....

et si paul a eté le fondateur du christianisme actuel
il en va de meme de l'islam et cela les musulmans eux meme le reconnaissent
et le fondateur du chiisme c le juif : abdullah ibn saba
le fondateur du sunisme c le juif : Kaab al-Ahbar qui enseigné la thora et le talmud a la mosqué :


 
Le témoignage de Paul dans sa lettre aux Galates

Une tout autre version du ‘concile’ de Jérusalem est donnée par Paul dans son épitre aux Galates. Quel est le contexte de cette dernière ? Paul a traversé la province d’Asie (la Turquie) et fondé plusieurs Eglises en pays Galate, royaume païen récemment intégré au monde romain et ne connaissant guère le judaïsme. Or à peine avait-il quitté les Galates pour se rendre en Grèce que des prédicateurs judéo-chrétiens sont venus sur ses pas et ont convaincu les Galates, inquiets et scrupuleux, de se faire circoncire et d’observer les préceptes de la Torah.

Sans doute ont-ils argumenté que Paul n’avait pas connu Jésus dans les jours de sa vie terrestre et que seuls les Onze pouvaient authentifier le véritable Evangile. Passionnée, excessive, la lettre aux Galates est une réponse violente de Paul. Il y défend l’authenticité de son apostolat, et plus encore, la vérité de l’Evangile du Christ (‘Ce n’est plus moi qui vit, c’est Christ qui vit en moi.’ Gal 2,20), vérité dont fait partie la liberté des chrétiens venus du paganisme vis-à-vis de la Loi de Moïse : ‘Il n’y a plus ni juif ni grec, ni homme libre ni esclave, ni homme ni femme, car tous vous ne faites qu’un dans le Christ Jésus (Gal 3,28).
 
Dans le récit de sa vocation, Paul affirme son indépendance

La défense de Paul commence par un récit de sa vocation, et ce récit diffère notablement de ceux qu’en fait Luc en Ac 9, 12 et 26. Selon Luc, la conversion et l’entrée de Paul dans l’Eglise étaient passés par une série de médiations : le parrainage d’Ananie, un baptême-illumination, une nourriture d’action de grâce (en fait les sacrements de l’initiation chrétienne).

Paul au contraire affirme avec force que sa vocation lui est venue de Dieu seul, qui l’a appelé de façon fulgurante comme les prophètes Isaïe et Jérémie : ‘Dieu m’a mis à part dès le sein maternel et m’a appelé par sa grâce. Il a daigné révéler en moi son Fils pour que je l’annonce aux païens’ (Gal 1,16).

Pour Paul, la révélation reçue a donc été un évènement tout intérieur, survenu sans intermédiaire humain. Après avoir affirmé qu’il est ‘apôtre non de la part des hommes, ni par l’intermédiaire d’un homme (Gal 1,1),’ il narre plus loin sur le ton de la provocation sa conduite après sa conversion : ‘Sans me réclamer d’autorité humaine, sans monter à Jérusalem trouver les apôtres mes prédécesseurs, je m’en allai en Arabie, puis je revins encore à Damas’ (Gal 1,17).

Autrement dit, il revendique son indépendance par rapport tant aux disciples de Jésus qu’aux responsables de Jérusalem issus de la famille de Jésus : Dieu choisit qui Il veut et se révèle à qui Il veut. Pourtant Paul a ressenti la nécessité d’aller rencontrer Pierre à Jérusalem (il lui a fallu tout de même du temps…) : ‘Trois ans plus tard, je suis monté à Jérusalem pour faire enquête auprès de Céphas, et je suis resté auprès de lui quinze jours. Je n’ai pas vu d’autre apôtre, mais seulement Jacques, le frère du Seigneur’ (Gal 1, 18-19). On ne saura jamais ce que se sont dit alors les deux grandes figures du premier christianisme, mais l’on retiendra que, sans que l’échange ait eu aucun caractère officiel, Paul a fini par réaliser qu’il ne pouvait rien fonder sans se rattacher à ceux qui avaient connu Jésus Christ selon la chair.
 
Pour Paul, la décision de Jérusalem a eu lieu beaucoup plus tard que dans le récit des Actes

Paul poursuit son récit comme suit : ‘Ensuite après 14 ans, je suis monté à Jérusalem avec Barnabé, en emmenant avec moi Tite. J’y suis monté après une révélation, et je leur exposai l’Evangile que je proclame parmi les païens. Je l’ai expliqué en privé aux notables (Gal 2,1-3)’.

Il s’agit bien de la rencontre officielle rapportée par Luc en Ac 15. Cependant il a fallu 14 ans et ‘une révélation’ pour que Paul se décide à retourner à Jérusalem. Pendant ces 14 ans, il a annoncé l’Evangile aux païens, il a fondé des Eglises en Galatie et en Grèce, et sans aucun doute il a baptisé de nombreux païens (cf 1 Co 1,14 : ‘Oui, j’ai aussi baptisé Crispos et Gatos’).

Simplement la chronologie des faits ne correspond pas à celle qu’établira Luc plus tard dans les Actes : dans ceux-ci, Paul et Barnabé montent à Jérusalem après un bref voyage missionnaire dans le sud de la Turquie (et non en Galatie), le second voyage par la Galatie et la Grèce n’intervenant qu’après la décision de Jérusalem, dûment officialisée par une lettre de mission. Inutile de tenter de réconcilier cet enchaînement avec les 17 ans que Paul déclare avoir consacrés à fonder des Eglises en Galatie et en Grèce : des générations d’exégètes s’y sont cassé les dents, et les deux récits sont incompatibles.

Comment comprendre cette différence ? Paul sait bien que sans consulter personne, il a dès le début baptisé des païens et fondé des églises. Pour lui, la Bonne Nouvelle était offerte par pure grâce aux païens moyennant la foi. Il n’est monté à Jérusalem que fort de tous ces nouveaux chrétiens qu’il avait fait venir du paganisme. Luc sait évidemment que c’est cela qu’a fait Paul, mais il ne veut pas d’un tel ‘désordre’. Il entrelace habilement les gestes de Pierre et de Paul pour établir que la décision d’annoncer l’Evangile aux païens sans passer par la case judaïsme a été d’abord prise en commun par Pierre et Jacques, puis mise en œuvre par Paul seulement après.
 
je compare le livre de vlatorta avec le manque de precision dans le coran
la video suivante donne quelque exemple du manque de precision et aproximation dans le coran
ce qui explique les nombreuse confusion et divergence entre interpretations

 
1 Jean 5:18
Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pèche point; mais celui qui est né de Dieu se garde lui-même, et le malin ne le touche pas.

Le malin touche tout le monde, croyants et non croyants et c'est pour cette raison que tout le monde péche.
c'est pourtant le péché c'est de volé l'information


3.21
L'Éternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit.
3.22
L'Éternel Dieu dit: Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement.


c'est le même arbre que le Coran.

la vie est un mélange de bien et de mal, même pour le corps

2.9
L'Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal.

manger des paroles

"l'un de nous," c'est à la fois un et plusieurs.
 
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