schevchenko78
una famiglia per la vita
Il est impossible que le Coran soit une œuvre humaine
L'astronomie moderne, la physique nucléaire, la biologie et l'anatomie n'existaient pas à l'époque où, il y a plus de 1 300 ans de cela, furent révélés les versets coraniques relatifs au cosmos. Et pourtant, lorsqu'il y est question des cieux, de la terre, des étoiles, des planètes, de la création de l'embryon et de la formation de l'homme, ces versets sont en accord avec les sciences les plus récentes.
Venu, en tout premier lieu, transmettre un dogme, une éthique et une loi, le Coran n'a pas traité de ces sujets dans tous leurs détails et avec toute la clarté d'un ouvrage scientifique spécialisé. Sinon, il aurait heurté les Arabes qui n'entendaient rien à ce genre de propos. Il a donc eu recours à un style allusif, sous forme d'aperçus rapides que les sciences et les découvertes à venir se chargeraient d'expliciter, plusieurs centaines d'années plus tard. Ainsi, de génération en génération, les humains y verraient des signes miraculeux prouvant que le Coran a réellement été révélé par le Dieu de Vérité.
« Nous leur manifesterons bientôt nos Signes,
dans l'univers et en eux-mêmes,
jusqu'à ce qu'ils voient clairement
que ceci est la Vérité.
Ne te suffit-il pas que ton Seigneur
soit témoin de toute chose ? » (Coran : 41, 53)
Il n'a donc pas suffi aux infidèles que Dieu fût témoin de la véracité de son Livre. Il a dû, comme Il le déclare Lui-même, leur montrer d'autres signes révélateurs.
De jour en jour et toujours plus, le Coran continue de nous dévoiler ces signes.
Il affirme très clairement que la terre est ronde, utilisant entre autres le mot "enrouler" pour décrire la nuit et le jour comme deux demi-sphères glissant autour du globe :
« Il enroule la nuit sur le jour
et Il enroule le jour sur la nuit. » (Coran : 39, 5)
Le Coran décrit plus précisément la terre comme étant de forme ovale :
« Il a ensuite étendu [dahâ] la Terre. » (Coran : 79, 30)
Le verbe dahâ est le seul mot du dictionnaire signifiant qu'une chose est à la fois plate et arrondie. Or l'on sait très bien que la terre est apparemment plate, mais qu'elle est ronde en réalité. Elle a plus exactement la forme d'un œuf.
Nous lisons ensuite une claire allusion au fait que les montagnes flottent dans les airs et donc qu'il en est de même pour la terre, celle-ci ne formant qu'un tout avec ses montagnes :
« Tu verras les montagnes,
que tu croyais immobiles,
passer comme des nuages.
C'est une œuvre de Dieu :
Il a bien fait toute chose. » (Coran : 27, 88)
Les montagnes paraissent fixes et immobiles. En fait, elles flottent dans les airs comme les nuages. Cette comparaison fait d'ailleurs allusion à une autre réalité : de même que les nuages se composent de gouttelettes, la matière est constituée de minuscules parcelles, à savoir les atomes.
Le Coran parle en outre de la succession dans le temps du jour et de la nuit, du début à la fin de la Création :
« Le soleil ne peut rattraper la lune,
ni la lune devancer le jour. » (Coran : 36, 40)
La rotondité de la terre est à nouveau indiquée ici, puisque le jour et la nuit ont commencé ensemble, comme deux demi-sphères, dès l'instant où Dieu créa l'univers.
Lorsque surviendra le Dernier Jour, la terre sera plongée dans le jour et la nuit confondus, comme au commencement des temps :
« Quand la terre revêt sa parure et s'embellit,
ses habitants s'imaginent posséder un pouvoir sur elle.
Notre Ordre vient alors, de nuit ou de jour ;
Nous en faisons un champ de moisson,
comme si, la veille, elle n'avait pas été florissante. » (Coran : 10, 24)
« De jour ou de nuit » confirme cette succession dans la temps qui ne peut s'expliquer que si une moitié de la terre, en vertu de la rotondité de celle-ci, est plongée dans les ténèbres, ne recevant pas la lumière du soleil, alors que l'autre moitié est exposée au soleil et illuminée. Si la terre était plate, elle n'aurait qu'une seule face et il ne serait plus exact de dire que « la nuit ne peut devancer le jour ».
La multiplication des Orients et des Occidents dont parle le Coran est également riche de sens. Dieu est décrit comme « le Seigneur des Orients et des Occidents » (Coran : 70, 40 ), comme « le Seigneur des deux Orients et le Seigneur des deux Couchants». (Coran : 55, 17). Or, si la terre était une surface plate, il n'y aurait ni Orient, ni Occident. La plus grande distance sur cette terre ne serait pas celle séparant deux Orients, comme l'indiquent les paroles de l'homme à son démon le Jour de la Résurrection :
« Hélas ! Si seulement il y avait entre moi et toi la distance qui sépare les deux Orients ! » (Coran : 43, 38)
Dans la description qu'en donne le Coran, les cieux sont dits « traversés de raies » ( 51, 7) : ils possèdent des sentiers, des voies, des espaces. Il est dit aussi qu'ils « font revenir ». (86, 11) Les cieux rendent en effet à la terre tout ce qui s'élève vers eux : la vapeur d'eau sous forme de pluie ; les corps, grâce à l'attraction terrestre ; les ondes radio renvoyées par l'ionosphère ; les rayons infrarouges qui réchauffent la terre durant la nuit.
De même qu'ils renvoient tout ce qui est projeté vers eux à partir de la terre, les cieux absorbent, renvoient et dispersent tout ce qui leur provient de l'univers extra-terrestre, protégeant ainsi la terre des rayons mortels qui la bombardent (rayons cosmiques, rayons ultraviolets). Ils servent de couverture :
« Nous avons fait du firmament une voûte protectrice. » (Coran : 21, 32)
« Et le ciel ? Nous l'avons solidement construit
et lui avons donné de vastes proportions. » (Coran : 51, 47)
C'est ce phénomène auquel on donne aujourd'hui le nom d'expansion continue de l'univers.
Au temps où le Coran fut révélé, le poids de l'atome était connu comme le plus petit possible. L'atome était décrit comme une particule élémentaire indivisible. Puis le Coran est apparu, parlant de poids plus petits encore. Ce fut le premier livre à mentionner l'existence de quelque chose de plus petit que l'atome:
« Le poids d'un atome ne Lui échappe ni dans les cieux, ni sur la terre ;
il n'existe rien de plus petit ou de plus grand que cela
qui ne soit inscrit dans un Livre explicite. » (Coran : 34, 3)
En termes très clairs, tous ces aperçus sont révélateurs de vérités étonnantes (rotondité de la terre, nature des cieux, nature de l'homme...), si l'on tient compte du fait que jadis, à l'époque de la Révélation coranique, de telles vérités ne pouvaient venir à l'esprit d'aucun homme, sensé ou fou.
Sur la création de l'homme, le Coran fait à nouveau preuve d'une scrupuleuse exactitude. Il parle de la goutte de sperme qui, à elle seule, détermine le sexe de l'enfant à naître :
« Dieu a créé le couple, mâle et femelle, d'une goutte de sperme,
après qu'elle a été semée. » (Coran : 53, 45)
C'est seulement depuis peu que nous sommes parvenus à la connaissance de cette vérité biologique : la tête du spermatozoïde, et elle seule, contient les facteurs déterminant le sexe.
Sur le mode d'un défi lancé à propos de la résurrection des corps, Dieu rappelle qu'Il est capable de restituer à chaque homme ses phalanges, et même ses empreintes digitales :
« L'homme pense-t-il que Nous ne rassemblerons pas ses ossements ?
Oui ! Nous avons le pouvoir de remettre en place ses phalanges. » (Coran : 75, 3-4)
Le Coran sous-entend ici une réalité que tout un chacun peut constater : il n'y a pas deux empreintes digitales qui se ressemblent.
L'astronomie moderne, la physique nucléaire, la biologie et l'anatomie n'existaient pas à l'époque où, il y a plus de 1 300 ans de cela, furent révélés les versets coraniques relatifs au cosmos. Et pourtant, lorsqu'il y est question des cieux, de la terre, des étoiles, des planètes, de la création de l'embryon et de la formation de l'homme, ces versets sont en accord avec les sciences les plus récentes.
Venu, en tout premier lieu, transmettre un dogme, une éthique et une loi, le Coran n'a pas traité de ces sujets dans tous leurs détails et avec toute la clarté d'un ouvrage scientifique spécialisé. Sinon, il aurait heurté les Arabes qui n'entendaient rien à ce genre de propos. Il a donc eu recours à un style allusif, sous forme d'aperçus rapides que les sciences et les découvertes à venir se chargeraient d'expliciter, plusieurs centaines d'années plus tard. Ainsi, de génération en génération, les humains y verraient des signes miraculeux prouvant que le Coran a réellement été révélé par le Dieu de Vérité.
« Nous leur manifesterons bientôt nos Signes,
dans l'univers et en eux-mêmes,
jusqu'à ce qu'ils voient clairement
que ceci est la Vérité.
Ne te suffit-il pas que ton Seigneur
soit témoin de toute chose ? » (Coran : 41, 53)
Il n'a donc pas suffi aux infidèles que Dieu fût témoin de la véracité de son Livre. Il a dû, comme Il le déclare Lui-même, leur montrer d'autres signes révélateurs.
De jour en jour et toujours plus, le Coran continue de nous dévoiler ces signes.
Il affirme très clairement que la terre est ronde, utilisant entre autres le mot "enrouler" pour décrire la nuit et le jour comme deux demi-sphères glissant autour du globe :
« Il enroule la nuit sur le jour
et Il enroule le jour sur la nuit. » (Coran : 39, 5)
Le Coran décrit plus précisément la terre comme étant de forme ovale :
« Il a ensuite étendu [dahâ] la Terre. » (Coran : 79, 30)
Le verbe dahâ est le seul mot du dictionnaire signifiant qu'une chose est à la fois plate et arrondie. Or l'on sait très bien que la terre est apparemment plate, mais qu'elle est ronde en réalité. Elle a plus exactement la forme d'un œuf.
Nous lisons ensuite une claire allusion au fait que les montagnes flottent dans les airs et donc qu'il en est de même pour la terre, celle-ci ne formant qu'un tout avec ses montagnes :
« Tu verras les montagnes,
que tu croyais immobiles,
passer comme des nuages.
C'est une œuvre de Dieu :
Il a bien fait toute chose. » (Coran : 27, 88)
Les montagnes paraissent fixes et immobiles. En fait, elles flottent dans les airs comme les nuages. Cette comparaison fait d'ailleurs allusion à une autre réalité : de même que les nuages se composent de gouttelettes, la matière est constituée de minuscules parcelles, à savoir les atomes.
Le Coran parle en outre de la succession dans le temps du jour et de la nuit, du début à la fin de la Création :
« Le soleil ne peut rattraper la lune,
ni la lune devancer le jour. » (Coran : 36, 40)
La rotondité de la terre est à nouveau indiquée ici, puisque le jour et la nuit ont commencé ensemble, comme deux demi-sphères, dès l'instant où Dieu créa l'univers.
Lorsque surviendra le Dernier Jour, la terre sera plongée dans le jour et la nuit confondus, comme au commencement des temps :
« Quand la terre revêt sa parure et s'embellit,
ses habitants s'imaginent posséder un pouvoir sur elle.
Notre Ordre vient alors, de nuit ou de jour ;
Nous en faisons un champ de moisson,
comme si, la veille, elle n'avait pas été florissante. » (Coran : 10, 24)
« De jour ou de nuit » confirme cette succession dans la temps qui ne peut s'expliquer que si une moitié de la terre, en vertu de la rotondité de celle-ci, est plongée dans les ténèbres, ne recevant pas la lumière du soleil, alors que l'autre moitié est exposée au soleil et illuminée. Si la terre était plate, elle n'aurait qu'une seule face et il ne serait plus exact de dire que « la nuit ne peut devancer le jour ».
La multiplication des Orients et des Occidents dont parle le Coran est également riche de sens. Dieu est décrit comme « le Seigneur des Orients et des Occidents » (Coran : 70, 40 ), comme « le Seigneur des deux Orients et le Seigneur des deux Couchants». (Coran : 55, 17). Or, si la terre était une surface plate, il n'y aurait ni Orient, ni Occident. La plus grande distance sur cette terre ne serait pas celle séparant deux Orients, comme l'indiquent les paroles de l'homme à son démon le Jour de la Résurrection :
« Hélas ! Si seulement il y avait entre moi et toi la distance qui sépare les deux Orients ! » (Coran : 43, 38)
Dans la description qu'en donne le Coran, les cieux sont dits « traversés de raies » ( 51, 7) : ils possèdent des sentiers, des voies, des espaces. Il est dit aussi qu'ils « font revenir ». (86, 11) Les cieux rendent en effet à la terre tout ce qui s'élève vers eux : la vapeur d'eau sous forme de pluie ; les corps, grâce à l'attraction terrestre ; les ondes radio renvoyées par l'ionosphère ; les rayons infrarouges qui réchauffent la terre durant la nuit.
De même qu'ils renvoient tout ce qui est projeté vers eux à partir de la terre, les cieux absorbent, renvoient et dispersent tout ce qui leur provient de l'univers extra-terrestre, protégeant ainsi la terre des rayons mortels qui la bombardent (rayons cosmiques, rayons ultraviolets). Ils servent de couverture :
« Nous avons fait du firmament une voûte protectrice. » (Coran : 21, 32)
« Et le ciel ? Nous l'avons solidement construit
et lui avons donné de vastes proportions. » (Coran : 51, 47)
C'est ce phénomène auquel on donne aujourd'hui le nom d'expansion continue de l'univers.
Au temps où le Coran fut révélé, le poids de l'atome était connu comme le plus petit possible. L'atome était décrit comme une particule élémentaire indivisible. Puis le Coran est apparu, parlant de poids plus petits encore. Ce fut le premier livre à mentionner l'existence de quelque chose de plus petit que l'atome:
« Le poids d'un atome ne Lui échappe ni dans les cieux, ni sur la terre ;
il n'existe rien de plus petit ou de plus grand que cela
qui ne soit inscrit dans un Livre explicite. » (Coran : 34, 3)
En termes très clairs, tous ces aperçus sont révélateurs de vérités étonnantes (rotondité de la terre, nature des cieux, nature de l'homme...), si l'on tient compte du fait que jadis, à l'époque de la Révélation coranique, de telles vérités ne pouvaient venir à l'esprit d'aucun homme, sensé ou fou.
Sur la création de l'homme, le Coran fait à nouveau preuve d'une scrupuleuse exactitude. Il parle de la goutte de sperme qui, à elle seule, détermine le sexe de l'enfant à naître :
« Dieu a créé le couple, mâle et femelle, d'une goutte de sperme,
après qu'elle a été semée. » (Coran : 53, 45)
C'est seulement depuis peu que nous sommes parvenus à la connaissance de cette vérité biologique : la tête du spermatozoïde, et elle seule, contient les facteurs déterminant le sexe.
Sur le mode d'un défi lancé à propos de la résurrection des corps, Dieu rappelle qu'Il est capable de restituer à chaque homme ses phalanges, et même ses empreintes digitales :
« L'homme pense-t-il que Nous ne rassemblerons pas ses ossements ?
Oui ! Nous avons le pouvoir de remettre en place ses phalanges. » (Coran : 75, 3-4)
Le Coran sous-entend ici une réalité que tout un chacun peut constater : il n'y a pas deux empreintes digitales qui se ressemblent.