Egypte: affrontements continus

un blindé de la police, attaqué, au Caire.
Des individus armés s’en sont pris à un véhicule de la police, dans le sud du Caire, la capitale égyptienne.
L’attaque a eu lieu, dimanche, dans un des villages du Sud de la capitale, au moment où les policiers accomplissaient leur mission de protection du véhicule transportant l’argent de la banque du village d’al-Attamanah, à 400 km du Caire. Les assaillants, en tirant sur eux, ont tué un policier et en ont blessé un autre. L’Égypte vit au rythme de violences, depuis la mise à l’écart du Président destitué, Mohamed Morsi. Sans compter les morts et blessés, laissés dans le sillage de la répression des manifestants, les groupes armés s’en prennent, de temps à autre, aussi bien, aux civils qu’aux militaires, les assassinant ou les molestant.
Source islamic-awakening.
 
La police disperse un rassemblement pro-Morsi au Caire
Les forces de l'ordre égyptiennes ont dispersé lundi à l'aide de gaz lacrymogène des centaines d'étudiants favorables à l'ancien président islamiste Mohamed Morsi qui s'étaient rassemblés au Caire pour protester contre l'actuel gouvernement, formé sous l'égide de l'armée.

Le procès pour incitation au meurtre de Mohamed Morsi, destitué le 3 juillet par le général Abdel Fattah al Sissi, chef d'état-major de l'armée, doit s'ouvrir dans une semaine.

"À bas le régime militaire", scandaient les manifestants, rassemblés à l'université al Azhar, un haut lieu du sunnisme.

Le rassemblement a eu lieu près de la mosquée Rabaa al Adaouiya, où les forces égyptiennes ont dispersé le 14 août un camp de partisans de Morsi et des Frères musulmans, dont est issu l'ancien chef de l'Etat. La répression a fait des centaines de morts.

Cité par l'agence de presse officielle Mena, le président par intérim, Adli Mansour, a dit au général Sissi et à Mohammed Ibrahim, le ministre de l'Intérieur, que "le maintien de la sécurité était la principale priorité" en Egypte.
Source maghrebemergent.info
 
Le général Al-Sissi appelle à manifester vendredi contre le terrorisme
l’armée veut une caution populaire. (ATTENTION propagande Sissiene)
Devant la dégradation de la situation sécuritaire du fait des actes de terrorisme perpétrés par les radicaux islamistes soutenus par les Frères musulmans, l’armée égyptienne veut se donner une légitimité populaire pour agir. La manifestation de demain à laquelle a appelé le général Al-Sissi sera un test. Si le peuple sort dans la rue, les Frères musulmans seront confrontés à deux choix : abdiquer ou prendre les armes.

Malgré la caution des 17 millions d’Égyptiens qui se sont mobilisés pour demander le départ de l’ancien président Morsi qui a été pourtant élu démocratiquement, le chef de l’armée, le général Abdel Fattah Al-Sissi, veut plus de légitimité populaire afin de mettre en œuvre la politique du salut national surtout que les Frères musulmans sont en train de multiplier les provocations allant jusqu’à constituer une menace si ce n’est déjà fait pour la stabilité et sécurité de l’Égypte. C’est ainsi que le chef de l'armée égyptienne, le général Abdel Fattah Al-Sissi, a appelé hier la population à manifester pour lui “donner mandat de mettre fin à la violence et le terrorisme”.
“J'appelle tous les Égyptiens honnêtes à descendre dans la rue vendredi pour me donner mandat pour en finir avec la violence et le terrorisme”, a déclaré le général Al-Sissi lors d'une cérémonie militaire, alors que les Frères musulmans, partisans du président Mohamed Morsi destitué par le peuple le 3 juillet dernier, continuent de mobiliser pour réclamer son retour.
Il a appelé “les Égyptiens à descendre dans la rue pour montrer au monde leur volonté comme avant le 30 juin”, lors des manifestations de masse pour exiger le départ de M. Morsi, déposé le 3 juillet. “Je vois que certains veulent entraîner le pays dans un tunnel sombre”, a-t-il dit, dans ce discours retransmis à la télévision, en allusion aux troubles politiques souvent meurtriers qui secouent le pays depuis près d'un mois.
Le général Al-Sissi a affirmé que des conseillers de M. Morsi avaient tenté de le dissuader de le déposer en “disant qu'il y aurait beaucoup de violence à cause des groupes armés”. Il a réaffirmé que l'armée n'avait fait qu'accomplir la volonté du peuple en destituant M. Morsi, dont il n'a pas prononcé le nom, le désignant uniquement comme “l'ancien président”. Fidèles à leur doctrine terroriste, les Frères musulmans, désormais honnis par le peuple égyptien qui a découvert qu’en quelques mois de règne que leurs élus de “confiance” ne sont pas différents des prédécesseurs, rejettent l’appel du chef de l’armée et demandent à leur partisans de résister et de rester mobilisés jusqu’au retour de Morsi.
“Vos menaces n'empêcheront pas des millions de personnes de continuer à manifester” pour le retour du président Mohamed Morsi, a déclaré sur facebook Essam Al-Erian, un des dirigeants de la confrérie. Pendant ce temps, les actes de terrorisme se multiplient. Un soldat a été tué par des hommes armés dans le Sinaï, une région frontalière d'Israël et de la bande de Gaza. Le soldat a été touché à la poitrine à un barrage à Al-Arich, chef- lieu du gouvernorat du nord du Sinaï, où plusieurs attaques meurtrières contre des policiers et des militaires ont déjà eu lieu ces dernières semaines. Il faut savoir qu’une trentaine de soldats, policiers et civils, ont été tués dans cette région depuis plus d’un mois. L'armée, qui a intensifié sa présence et ses opérations dans le Sinaï, a fait état la semaine dernière d'une dizaine de djihadistes tués.
Les troubles dans le Sinaï s'ajoutent aux tensions politiques qui ont fait environ 170 morts dans le reste du pays depuis la fin du mois de juin. La région du Sinaï est majoritairement peuplée de bédouins qui entretiennent depuis longtemps des relations difficiles avec le pouvoir central. Elle connaît également un regain d'activité de groupes radicaux islamistes qui s'en servent comme base arrière pour des opérations terroristes contre le peuple égyptien.
Edit: Source liberte-algerie.com
 
Les ennemis de la nation veulent déchirer son unité
Le vice-président de la Dawa al-Salafiyya, Dr. Yasser Borhami, a adressé un message aux Égyptiens, à son retour de l’Arabie Saoudite où il a accompli les rites du grand pèlerinage, les appelant à unifier les rangs.

Il a souligné l’importance de voir les Égyptiens s’attacher à leur unité pour ne pas permettre aux ennemis de la nation de la déchirer.
 

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Comment le printemps arabe se transforme en hiver militaire à grand pas.

l'humoriste qui dérange.
La justice égyptienne a ouvert lundi une enquête après une plainte contre l'humoriste Bassem Youssef, après un sketch se moquant du général Sissi, nouvel homme fort du pays.

Bassem Youssef, déjà célèbre pour ses critiques acerbes des Frères Musulmans, s’est cette fois mis à dos le nouveau pouvoir militaire.

Pour la reprise de son émission Al-Bernameg vendredi 25 octobre, le satiriste s'en est pris à Abdelfattah Al-Sissi, ministre de la Défense et véritable homme fort de l’Égypte depuis le renversement de l’ancien président Mohamed Morsi le 3 juillet.

La plainte retenue par le procureur pour lancer cette enquête concerne un sketch en particulier durant lequel un comédien joue une femme - qui symbolise l’Égypte - se plaignant de son mariage malheureux, une allusion à l'année de présidence Morsi, avant d'être sauvée par son cousin, militaire.

Bassem Youssef se moque de la "Sissi-mania" qui a gagné certains Égyptiens, allant jusqu'à créer des chocolats à l'effigie du chef de l’armée, qui nourrit des ambitions présidentielles.

Plusieurs plaintes ont été déposées depuis la diffusion vendredi soir de cette émission très suivie en Égypte.

La plainte retenue accuserait M. Youssef d'incitation au chaos, de menace à la sécurité nationale, ainsi que d'insulte à l'a rmée.

Bassem Youssef avait déjà fait l'objet d'une enquête pour "insulte" contre M. Morsi et "menace à l'ordre public" lorsque celui-ci était au pouvoir.
 

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le président destitué Morsi rejette l'autorité de ses juges.
Le président égyptien Mohamed Morsi, destitué et arrêté par l'armée le 3 juillet, ne reconnaît pas l'autorité du tribunal qui doit le juger pour "incitation au meurtre" à partir du 4 novembre.

"Aucun avocat --égyptien ou étranger-- ne défendra le président élu Mohamed Morsi, car le président ne reconnaît pas ce procès ni aucune action ou processus issu du coup d’État", annonce dans un communiqué l'Alliance pour la démocratie et contre le coup d’État, une coalition des partisans du seul chef de l’État élu démocratiquement en Égypte.
 
Le tribunal chargé de juger le guide guide suprême des frères musulmans se récuse.
Deux procès très attendus ont été reportés, mardi, au Caire. Celui de quatre officiers de police jugés pour la mort, en août, de trente-sept prisonniers islamistes asphyxiés par du gaz lacrymogène, aura finalement lieu 12 novembre. Dans le même temps, le tribunal égyptien chargé de juger le Guide suprême des Frères musulmans et ses partisans s'est récusé.


Le tribunal égyptien chargé de juger le Guide suprême des Frères musulmans et ses adjoints pour "incitation au meurtre" s'est récusé, mardi 29 octobre. Les juges ont évoqué un "cas de conscience" sans toutefois le préciser. "La Cour a décidé (...) de se décharger de l'affaire en raison de sa gêne", a déclaré l'un des trois juges, remettant l'affaire à une autre juridiction.


Le Guide Mohamed Badie et ses adjoints, Khairat al-Chater et Rachad Bayoumi, actuellement incarcérés, encourent la peine de mort pour "incitation" et "complicité" dans le meurtre de neuf manifestants anti-Morsi, le 30 juin. Trois autres membres de leur confrérie sont accusés de ces "meurtres" et 29 islamistes doivent comparaître avec eux pour avoir participé, selon l'accusation, aux violences mortelles.


Cette fois-ci, comme lors de la précédente audience fin août, aucun d'eux n'a été conduit au tribunal, situé dans le centre-ville, une zone trop difficile à sécuriser pour permettre à leur convoi de se déplacer sans incident, ont expliqué des responsables des services de sécurité.

"Aucune preuve"

"Il n'y a aucune preuve dans ces affaires", a déclaré à l'AFP Mohamed Damati, avocat de la défense, évoquant "un procès politique". De leur côté, des proches de victimes ont brandi les photos des manifestants tués. "Je veux voir Badie et Chater pendus", a lancé à BIP Setohy Abdel Rahmane qui a perdu son fils de 15 ans.


Un autre procès hautement symbolique, celui de quatre officiers de police jugés pour la mort en août de trente-sept prisonniers islamistes asphyxiés par du gaz lacrymogène, devait avoir lieu, mardi. L'audience a été reportée au 12 novembre.


Les quatre policiers, dont le numéro deux du commissariat d'où le convoi de détenus était parti, sont accusés d'homicide. Les 37 détenus se trouvaient dans un convoi transportant plus de 600 prisonniers islamistes vers la prison d'Abou Zaabal, proche du Caire, le 18 août. La police avait évoqué une tentative d'évasion qui avait mal fini, tandis que le camp Morsi dénonçait un "assassinat".


Le ministère de l'Intérieur avait accusé les détenus d'avoir pris un policier en otage à l'intérieur du fourgon, un acte qui, selon le ministère, avait poussé ses collègues à tirer des grenades lacrymogènes.


Ces morts, quatre jours après la dispersion dans un bain de sang de rassemblements de milliers de pro-Morsi au Caire, avaient suscité une vague de condamnations internationales et l'inquiétude des militants des droits de l'Homme. (Source interdite)

 
Il y a un égyptien médaillé de wu shu qui a été suspendu pour le port d'un tee shirt avec le symbole de la place Rabaa....les k*ons...

en 36 à Berlin combien de pays ont accepté le salut des nazis sur le podium?
 
Drianke a dit:
Il y a un égyptien médaillé de wu shu qui a été suspendu pour le port d'un tee shirt avec le symbole de la place Rabaa....les k*ons...

en 36 à Berlin combien de pays ont accepté le salut des nazis sur le podium?
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Salam
Peux tu nous citer la source?
Le rapport avec les nazis?
 
Le chef des Frères musulmans en Egypte a été arrêté au Caire
Les autorités égyptiennes ont procédé à l'arrestation d'Essam Al-Arian mercredi, nouvel épisode de la répression menée par le gouvernement contre les islamistes.
 
Des "chiots bombes" sauvés avant d'être utilisés comme armes en Égypte
ÉGYPTE - Trois chiots ont été secourus en Égypte quelques instants avant d'être plongés dans l'essence et enflammés. Une association de défense des animaux basée aux États-Unis a lancé un appel pour leur trouver une famille d'adoption et écrit:
Cleo, Cairo et Égypte ont été secourus en Égypte, les Frères Musulmans étaient sur le point de mettre le feu à ces trois chiots sur la place Tahrir aujourd'hui lors des combats qui les opposent à l'armée égyptienne.... Dix cruels hommes barbus ont rassemblé plus de 20 chiots et commencé à verser de l'essence sur eux pour les jeter sur l'armée. Ces boules de feu volantes étaient des chiots utilisés comme armes. Nous n'avons pu sauver que ces trois pauvres bébés. Ils sont tous âgés de 12 semaines. Ils pèsent le poids exorbitant 3,5 kgs et adorent la vie aux États-Unis. Ils aiment aussi la nourriture délicieuse, un lit chaud, et adorent les bisous.

Robyn Urman, qui travaille avec Pet ResQ Inc., a été contacté par Mervat Said, bénévole travaillant à la sauvegarde des animaux en Égypte, et a rapatrié les chiots dans le New Jersey.

Selon des rapports récemment publiés, des animaux seraient utilisés comme "bombes" par les Frères Musulmans lors des manifestations.

La Peta, association de défense des animaux, a réagi vigoureusement à ces communiqués, déclarant que "toute personne pourvue d'un minimum d'empathie ou de compréhension de la douleur ne mettrait le feu à un chien pour le jeter sur un ennemi." "Nous devons tous nous sentir concernés par ces agissements durs et sans pitié", a déclaré la Peta au Huffington Post anglais.

"Toute personne capable d'actes de violence aussi extrême fait état d'un esprit dérangé et devrait être vue comme une menace pour l'humanité. Les animaux ne sont pas des instruments de guerre, ni des ceintures de munitions. "Les animaux ne se battent pour aucune nation et ne représentent de danger pour aucun des camps impliqués dans un conflit. Pour les animaux, il n'y a pas d'accords de Genève ou de traité de paix— rien que notre pitié."



Les révélations sur les procédés cruels des frères Musulmans ont été mises en lumière il y a deux semaines pendant les manifestations.
 

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mouais....sont vraiment trop kruels ces michants barbus surtout s'ils sont musulmans...

Que dire des animaux à 2 pattes qui composent l'armée de Sissi alors?


UNIVERSAL a dit:
Des "chiots bombes" sauvés avant d'être utilisés comme armes en Égypte



Les révélations sur les procédés cruels des frères Musulmans ont été mises en lumière il y a deux semaines pendant les manifestations.
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UNIVERSAL a dit:
Comment le printemps arabe se transforme en hiver militaire à grand pas.

l'humoriste qui dérange.
La justice égyptienne a ouvert lundi une enquête après une plainte contre l'humoriste Bassem Youssef, après un sketch se moquant du général Sissi, nouvel homme fort du pays.

Bassem Youssef, déjà célèbre pour ses critiques acerbes des Frères Musulmans, s’est cette fois mis à dos le nouveau pouvoir militaire.

Pour la reprise de son émission Al-Bernameg vendredi 25 octobre, le satiriste s'en est pris à Abdelfattah Al-Sissi, ministre de la Défense et véritable homme fort de l’Égypte depuis le renversement de l’ancien président Mohamed Morsi le 3 juillet.

La plainte retenue par le procureur pour lancer cette enquête concerne un sketch en particulier durant lequel un comédien joue une femme - qui symbolise l’Égypte - se plaignant de son mariage malheureux, une allusion à l'année de présidence Morsi, avant d'être sauvée par son cousin, militaire.

Bassem Youssef se moque de la "Sissi-mania" qui a gagné certains Égyptiens, allant jusqu'à créer des chocolats à l'effigie du chef de l’armée, qui nourrit des ambitions présidentielles.

Plusieurs plaintes ont été déposées depuis la diffusion vendredi soir de cette émission très suivie en Égypte.

La plainte retenue accuserait M. Youssef d'incitation au chaos, de menace à la sécurité nationale, ainsi que d'insulte à l'a rmée.

Bassem Youssef avait déjà fait l'objet d'une enquête pour "insulte" contre M. Morsi et "menace à l'ordre public" lorsque celui-ci était au pouvoir.
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Les gens des régimes à tendances fascistes n'ont pas le sens d'humour
 
Allah yehdihoumes
la situation est catastrophique dont le tourisme fait vivre la moitié de la population
pourquoi faire couler le sang et emprisonner des pères de famille
c'est trop c'est là ou il faut manifester pour que ça cesse ce massacre
 
Courir a dit:
Allah yehdihoumes
la situation est catastrophique dont le tourisme fait vivre la moitié de la population
pourquoi faire couler le sang et emprisonner des pères de famille
c'est trop c'est là ou il faut manifester pour que ça cesse ce massacre
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oui, cela pourrait paraitre inconvenant de parler d'économie, mais c'est vrai que indirectement, beaucoup de gens vont en souffrir énormément
C'est pour cela que autrefois, quand je discutais de l’accès a la démocratie avec des marocains ou des tunisiens, des connaissances profondément démocrates avaient peur de se passage (risque de période chaotique)
le danger islamiste, le danger putschiste et période chaotique qui dégrade l'économie
(là, il y a les 3 à la fois)
 
_coucou a dit:
oui, cela pourrait paraitre inconvenant de parler d'économie, mais c'est vrai que indirectement, beaucoup de gens vont en souffrir énormément
C'est pour cela que autrefois, quand je discutais de l’accès a la démocratie avec des marocains ou des tunisiens, des connaissances profondément démocrates avaient peur de se passage (risque de période chaotique)
le danger islamiste, le danger putschiste et période chaotique qui dégrade l'économie
(là, il y a les 3 à la fois)
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Un passage obligé, aujourd'hui ou demain il faudra en passé par là.
C'est cette mentalité qui a tenu en léthargie nos sociétés et nos peuples.
Vive la révolution des peuples.
 
Les Chinois ne perdent pas le temps, des carcasses portables spécial "soutien à rabia" :D
 

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UNIVERSAL a dit:
Un passage obligé, aujourd'hui ou demain il faudra en passé par là.
C'est cette mentalité qui a tenu en léthargie nos sociétés et nos peuples.
Vive la révolution des peuples.
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Oui tu as raison évidemment, mais en même temps je ne peux pas juger vraiment vu la quiétude et l'abondance dans laquelle je vis
 
Ancien-Membre a dit:
C'est un nouveau complot contre une Egypte encore fragile, qu'Allah soit avec les pauvres induits en erreurs par les régimes tyrans du golf et par les anglo saxons
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Allah n'a jamais été pour le pauvre, on le saurait depuis longtemps, même la religion avec les milliards qu'ils empochent c’est pour les armes.
S’il n’y avait pas des riches ont seraient tous pauvres, c’est cela que tu veux ? Essaie de faire des prières raisonnables.
 
Ancien-Membre a dit:
C'est un nouveau complot contre une Egypte encore fragile, qu'Allah soit avec les pauvres induits en erreurs par les régimes tyrans du golf et par les anglo saxons
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bah les égyptiens sont assez grands pour faire leur propre malheur, comme bien d'autres peuples
bien sur ce n'est ni la faute des militaire ni des religieux bah non
une épidémie, un coup d'état, on enferme les intellectuels => ce sont les américain bien sur !!!!
 
Première visite de John Kerry en Egypte depuis la destitution de Mohamed Morsi
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry est arrivé dimanche 3 novembre au Caire pour rencontrer des responsables des nouvelles autorités, sa première visite en Egypte depuis la destitution le 3 juillet du président islamiste Mohamed Morsi. Il a affirmé que les Etats-Unis étaient déterminés à "continuer à travailler" avec le gouvernement par intérim en Egypte, appelant à des élections "libres et justes et qui incluent tout le monde".
Source: http://www.lemonde.fr/afrique/artic...estitution-de-mohamed-morsi_3507325_3212.html
 
Ouverture du procès de Mohamed Morsi quatre mois après sa destitution.
Quatre mois après sa destitution par l'armée, Mohamed Morsi, seul chef d'Etat démocratiquement élu en Egypte, va être jugé pour "incitation au meurtre". Détenu au secret depuis son renversement le 3 juillet, il doit comparaître aux côtés de 14 autres dirigeants des Frères musulmans. Ils devraient être jugés dans une école de police proche de la prison de Torah, l'établissement pénitentiaire le plus connu du pays, où a été emprisonné l'ancien président Hosni Moubarak après sa chute en février 2011. Tous risquent la peine de mort ou la réclusion à perpétuité.
Suite: http://www.lemonde.fr/afrique/artic...46_3212.html#ens_id=1538049&xtor=RSS-3208
 
Une stratégie d’élimination des Frères musulmans.
Depuis la chute du président Hosni Moubarak, les Frères musulmans et l’armée ont été quelquefois alliés, mais le plus souvent en opposition. Soutenus par la plupart des partis d’opposition et par des millions d’Égyptiens, les militaires semblent avoir décidé depuis le 30 juin d’en finir avec leurs rivaux.
<« Nous somes quatre-vingt-dix millions d’Égyptiens et il n’y a que trois millions de Frères musulmans. Il nous faut six mois pour les liquider ou les emprisonner tous. Ce n’est pas un problème, nous l’avons déjà fait dans les années 1990. ».

Le 1er juillet dernier, l’armée, qui avait engagé un bras de fer avec le premier président civil démocratiquement élu dès sa victoire le 24 juin 2012, lui a lancé un ultimatum, rejeté par le chef de l’État qui brandissait sa légitimité en étendard. Les militaires ont alors repris le pouvoir, soutenus par des millions d’Égyptiens, prêts à tout pour se débarrasser de Mohamed Morsi et des Frères2. L’armée s’est présentée comme la voix de la raison et a affiché des objectifs clairs : répondre aux attentes de la population, rétablir la sécurité et combattre le terrorisme – terme désignant non seulement les groupes djihadistes, mais aussi les Frères et leurs affiliés modérés comme le parti Al-Wasat.

Suite: http://orientxxi.info/magazine/egypte-une-strategie-d-elimination,0362
 
Museler toute opposition
Pour l’heure, au moins deux mille membres et cadres du bureau de la guidance des Frères musulmans ont été arrêtés. Leurs avoirs, gelés. Les activités de la confrérie sont interdites : la confrérie a été dissoute, mais le gouvernement a suspendu la décision de justice qui pourrait se répercuter sur le Parti de la justice et de la liberté, vitrine politique du mouvement. Et sur le terrain, où il est très actif auprès des populations les plus pauvres. Au moins huit hôpitaux et dix écoles ont été perquisitionnés. Leurs équipements confisqués, leurs dirigeants, des professeurs et des employés de ménage, arrêtés, tandis que des campagnes de boycott de commerces ou marques présentées comme appartenant à des Frères sont en cours8.

Lors de son dernier discours, Mohamed Morsi avait insisté sur sa légitimité. Il ne voulait pas quitter le pouvoir, conscient de ce que cela impliquait pour lui et les partisans de la confrérie, dans le passé persécutée, instrumentalisée ou tolérée. Ceux qui dénoncent la violence et les représailles, comme Mohamed El-Baradei, sont accusés d’être « traîtres à la Nation », ou d’appartenir à la cinquième colonne. Et alors que les Frères sont passés à nouveau dans la clandestinité, une pétition réclame que le général Al-Sissi se présente à la prochaine présidentielle. La division de la société semble être à son comble et une radicalisation d’une partie des islamistes n’est pas à exclure.
Source: Warda Mohammed.
 
Petite pense à nos frères égyptiens, le couvre feu (état d'urgence)à pris fin aujourd'hui, le gouvernement attend une confirmation écrite de la cour.


Des manifestations dégénèrent près de l'université.

Une dizaine d'interpellations pour actes contraires à la morale.
 
Football : un joueur égyptien pro-Morsi suspendu par son club

Il avait osé faire un geste de soutien aux Frères Musulmans, lors de la finale de la Ligue des champions d’Afrique. Un geste qui vaut à Ahmed Abdel Zaher, attaquant du club d’Al Ahli, d‘être suspendu pour le Mondial des clubs, et peut-être même plus. Ainsi en a décidé la Fédération égyptienne de football.

Après son but, le joueur avait tendu les quatre doigts de la main, un signe qui fait référence au rassemblement des Frères Musulmans sur la place Rabaa (quatrième en arabe) du Caire.

Avant lui, un athlète de Kung-fu avait également été suspendu par sa fédération pour avoir porté un tee-shirt frappé du symbole des pro-Morsi.

http://fr.euronews.com/2013/11/12/un-joueur-egyptien-suspendu-apres-un-geste-pro-morsi/
 
Drianke a dit:
Football : un joueur égyptien pro-Morsi suspendu par son club

Il avait osé faire un geste de soutien aux Frères Musulmans, lors de la finale de la Ligue des champions d’Afrique. Un geste qui vaut à Ahmed Abdel Zaher, attaquant du club d’Al Ahli, d‘être suspendu pour le Mondial des clubs, et peut-être même plus. Ainsi en a décidé la Fédération égyptienne de football.

Après son but, le joueur avait tendu les quatre doigts de la main, un signe qui fait référence au rassemblement des Frères Musulmans sur la place Rabaa (quatrième en arabe) du Caire.

Avant lui, un athlète de Kung-fu avait également été suspendu par sa fédération pour avoir porté un tee-shirt frappé du symbole des pro-Morsi.

http://fr.euronews.com/2013/11/12/un-joueur-egyptien-suspendu-apres-un-geste-pro-morsi/
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Un sportif représente son pays et pas un parti politique
Il existe certainement un règlement au comité sportif en Égypte que les joueurs de foot ou autres disciplines signent et ont l obligation de suivre


Billet de "très mauvaise humeur"
Auteur Gilbert Sinoué


http://bonjouregypte.com/ArticleDetails.aspx?ArticleID=53234



Et ici

La démocratie expression de la souveraineté d un peuple
Auteur Wagdi Sabete

Maître de conférence de droit constitutionnel
HDR

Faculté de droit et sciences politiques

Université de La Rochelle

http://bonjouregypte.com/ArticleDetails.aspx?ArticleID=53447
 
Dernière modification par un modérateur:
Violents affrontements entre pro et anti-armée au Caire

Des heurts meurtriers ont éclaté mardi soir sur la place Tahrir au Caire entre manifestants pro et anti-armée. Des blindés de la police anti-émeute ont dû intervenir. Une personne est morte et 16 autres ont été blessées.

France24
 
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