Aleykoum Salam
Je pense,personnelement,qu`il faut les laisser dans leur peche et que les attaquer ou les insulterne lesfera en rien revenir dans la droiture.
Chacun a entendu le message,beaucoup n`ont pas voulu le croire,donc chacun fait ce qui lui plait nous payerons tous nos actes et ce n`est pas a nous de juger ou de condamner des personnes sur des actes comme ceux la.
Apres si ca se passait dans un pays musulman peut-etre que ca serait different.
Peut-etre que dans ce que j`ai dit je me trompe et si tel est le cas je serai content que quelqu`un me corrige
slm
Evaluer la situation des homos dans les pays musulmans n'invite pas à la plus franche des rigolades ; le sujet est lourd, et même pesant.
Découlant du Coran, la SHARI'A, de sinistre notoriété, est ainsi la règle dans des pays tels que Bahreïn, le Koweït, le Qatar, le Soudan, le Yémen, l'Arabie Saoudite, la Mauritanie et l'Iran. Et dans chacun de ces pays, l'homosexualité est stigmatisée comme un crime, une « abomination » jugée contraire aux enseignements de la religion, et en conséquence passible de la peine de mort. Sa mise en pratique y est courante et les risques sont de toute façon clairement édictés : en Iran, Amnesty International a dénombré depuis 1980 plus de 4000 exécutions officielles (laissant augurer du nombre réel ...) avec des rafles régulières comme en 1992 où 100 homos furent capturés au cours d'une soirée privée. Tous furent condamnés à mort et assassinés. De même, l'accusation publique de « déviance sexuelle » est une redoutable arme politique pour éloigner tout rival de l'arène du pouvoir, comme en fit les frais le leader sunnite Ali MOZZAFARIAN. Cinq moyens de mettre à mort un homosexuel sont explicitement recommandés, laissant le choix aux bourreaux de la République Islamique entre la décapitation, la lapidation (surtout pour les femmes), la précipitation dans le vide, de brûler vif ou de couper en deux à l'épée le condamné. Il va sans dire qu'aucune communauté ne peut exister dans tel contexte. Et dans le berceau de la Révolution Islamique, l'homosexualité est assimilée à la décadence occidentale.
Face à une condamnation si ferme, les dispositions pénales de la majorité des Etats musulmans peuvent paraître clémentes. Les législations n'évoquent pas toujours ouvertement l'homosexualité, parlant parfois d'actes sexuels « contre-nature », ou bien de crime de « ZINA » (fornication) ou encore de « lubricité »... Les peines assorties y sont plus ou moins sévères, l'emprisonnement peut ainsi être de très longue durée : perpétuité au Pakistan, 20 ans en Malaisie, 14 aux Emirats Arabes Unis, ou plus bref : Libye, Bangladesh ou Sénégal semblent ainsi plus « modérés ». A noter que l'Europe n'est pas épargnée : la Bosnie-Herzégovine prévoit un an de prison pour ce même « crime ». Mais jusque-là, pas grand-chose d'autre à dire sinon une énumération de droit pénal comparé...Au vu de ces considérations juridiques, pas étonnant qu'aucune revendication, qu'aucun engagement ou même identité homosexuelle ne se démarque...
tout ce que je peux te dire c est que dans les pays musulmans c est punis direct mais au etat unis ou en europe c est presque devenu normal
alors pour ces pays laissons dieu le tout puissant s occuper d eux ici bas et pire dans l eau dela slm