Gaza : Nous sommes témoins

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Il tient effectivement un discours vrai qui manque cruellement et qu'il ne lui apportera que des problèmes des soumis lâches qui ne pensent qu'à leur gamelle d'une manière pathétique.

Malheureusement c le discours de l'entité impérialiste sauvage qui est le seul admis

Imaginons une seule seconde que ce soit le discours russe seul qui soit diffusé 24/24 sans qu'un seul pro ukrainien ne soit invité au milieu d'un groupe de russes et de journalistes français pro russes et prétendraient diffuser de l'info équilibrée.

C pourtant ce qui se passe.

Hypocrisie et làcheté politique et journalistique.

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Le bureau de Médecins du Monde dans le centre de Gaza a été "délibérément détruit cette semaine", annonce son vice-président
10/02/2024

Le vice-président de l'ONG, Jean-François Corty, estime, sur franceinfo samedi 10 février, que les capacités d'intervention des soignants sont désormais "quasi nulles".

 

UN TRIBUNAL NÉERLANDAIS ORDONNE L’ARRÊT DE LIVRAISON D’ARMES À ISRAËL

12 février 2024


Une cour d’appel néerlandaise a ordonné lundi à son gouvernement de suspendre immédiatement la livraison de pièces détachées servant aux chasseurs-bombardiers F-35 de l’aviation israélienne, qui sèment la mort et la désolation en Palestine occupée, annonce l’agence Reuters. Les Pays-Bas et Israël sont tous les deux équipés de cet avion dit « de dernière génération », fabriqué […]


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Les 🇺🇸 annoncent un package de 95 milliards de dollars d’aide militaire pour Israël, l’Ukraine et Taiwan.

Lors de l’audition, un membre du congrès a indiqué « it’s time to finish the job ». Pendant ce temps Sleepy Joe qui dévisse totalement a exhorté Bibi à la retenue dans l’offensive prévue par Tsahal à Rafah.

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Salut. Sais-tu dire la zone C fait bien partie de la Cisjordanie ? L'expression "sous contrôle" n'est pas très claire.

Oui cela fait partie de la Cisjordanie annexée par l’état sioniste.

Quel premier ministre israélien se risquera à dégager les colons allumés et installés tout autour des villages palestiniens ?

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PROPAGANDE MENSONGÈRE À TOUS LES NIVEAUX

31 janvier 2024


L’article sur l’implication de certains employés de l’UNRWA dans l’attaque du 7 octobre par le Hamas, et publié dans le Wall Street Journal, a été écrit par une ancienne soldate de l’armée génocidaire, amie proche du porte-parole militaire israélien, révèlent des activistes sur les médias sociaux. Cette correspondante israélienne nommée Carrie Keller-Lynn entretenait des liens […]


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Le mensonge c'est un des pilliers de leur idéologie fachiste suprématiste.
 
Chutzpah un jour, chutzpah toujours. Ces hasbaristes franco israéliens continuent de vouloir museler la liberté d'expression face à la barbarie sioniste qu'ils défendent avec la véhémence d'un apprenti journalope zélée.



Le bien surnommé Micron n'a pas hésité encore une fois à prouver lui aussi sa soumission à l'entité sioniste avec toute l'impulsivité irréfléchie et la démesure qui caractérisent les sionistes et leurs larbins en suspendant les aides à l'Unrwa à cause d'accusations non prouvées sur certains membres de cette organisation internationale de terrorisme par cette même entité sioniste et terroriste la plus malveillante et meurtrière au monde. D'autres pays oXidentaux (gouvernements) ont fait de même. Des soit disant pays démocratiques. Plus c'est gros...

Le France c'est en train de devenir une vrai farce. De qui se moque t'on... Ils sont ceux qui cassent la tete à la planète entière avec leur "droits de l'hommes, liberté d'expression" et se sont parmi les pires dans ce domaine" Se sont des usurpateurs, qui n'ont pas les c***** d'assumer leur positions crapuleuses.
Les nazis et d'autres mouvements suprématistes avaient au moins ce panache d'assumer leur idées.
 
Raphaël Pitti a séjourné à Gaza du 22 janvier au 6 février, notamment à Rafah. Il raconte, la voix émue, « l’enfer », des hôpitaux pris d’assaut qui manquent de tout, une foule qui vivote dans la misère, la boue, les immondices, dans les rues où il n’y a « plus un seul espace de libre ». « Je n’ai connu cela qu’en Yougoslavie au début de la guerre. On est dans un chaos total. »

Il décrit Rafah comme une « cour des miracles » : « Dans les hôpitaux, des milliers de personnes survivent dans les couloirs. La population est affamée. Elle cherche en permanence de l’eau, de la nourriture qui coûte deux à trois fois plus cher. Les gens n’ont pas d’argent, pas accès à leur compte bancaire s’ils en ont encore, ils n’ont plus de moyens pour se nourrir, se laver, se vêtir. Pour gagner un peu d’argent, on voit des métiers apparaître sur les trottoirs, un couturier, un cordonnier pour réparer des chaussures, des vêtements. D’autres rechargent les téléphones, les briquets. »

« Il y a énormément d’enfants, poursuit Raphaël Pitti. Le seul endroit de distraction pour eux, c’est l’intérieur des hôpitaux. Ils les connaissent parfaitement, assistent aux opérations à même le sol, vont chercher des gants et des seringues usagées pour les remplir d’eau stagnante et jouer à se faire la guerre en s’éclaboussant. Ils sont sales, dénutris. Grâce à l’hôpital, il y a de la nourriture mais pas de nourriture équilibrée, ils ne mangent que des céréales et du sucre. Les légumes et les œufs sont beaucoup trop chers. »

Vous vous tournez vers les malades que vous pouvez sauver. Quant aux autres, vous les laissez mourir.



Rachida El Azzouzi
 

ILS ONT EU LE COURAGE DE SE DÉPLACER À RAFAH

5 février 2024


Une délégation de députés français ( PCF, LFI, écologistes) est actuellement devant le poste frontière de Gaza côté égyptien pour exiger le cessez-le-feu immédiat et l’entrée des camions chargés d’aide humanitaire. On espère que Sissi va les laisser passer du côté palestinien ! CAPJPO-Europalestine

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Les colons qui bloquent les ravitaillements et anesthésies pour les enfants amputés, devraient être écrasé sous les roues.
 
Raphaël Pitti, médecin de retour de Rafah

Accompagné de six autres médecins français en coordination avec l’association des médecins palestiniens PalMed Europe, Raphaël Pitti a sillonné le sud de l’enclave afin d’évaluer la faisabilité d’un projet pour lequel il recherche des financements, notamment auprès du ministère des affaires étrangères français, à l’heure d’un effondrement de la santé publique : la mise en place d’une dizaine de centres de soins primaires pour les déplacé·es. Il a pour cela visité plusieurs hôpitaux, rencontré le maire de Rafah, le ministre de la santé de l’enclave, mais aussi l’équipe de Médecins du monde ou encore celle de Médecins sans frontières, et Caritas.

Aux victimes de la guerre qu’il faut sauver dans des conditions d’hygiène et d’exercice médical déplorables, aggravées par la surpopulation, des opérations et des amputations à même le sol, sans matériel anesthésique, ni possibilité de nettoyer les patient·es, s’ajoutent les malades chroniques qui, faute de traitement et de prise en charge, sont nombreux à décéder.

Raphaël Pitti reste marqué par l’histoire d’une jeune diabétique enceinte de sept mois, morte faute d’insuline ainsi que son bébé. Ou encore par celle de cet enfant de trois ans amputé d’un bras et de deux jambes. « Si nous pouvions l’envoyer dans un centre en Europe, il pourrait recevoir des prothèses bioniques pour lui redonner une vie normale. Mais s’il reste dans cet enfer, la victoire sera de lui éviter l’infection. Autrement, s’il est infecté, ce sera le saucisson, c’est-à-dire qu’il faudra le couper un peu plus pour éviter la gangrène. »

À l’hôpital européen de Gaza, débordé par l’afflux, où l’équipe internationale exerçait et était logée, Raphaël Pitti et ses collègues ont assisté, impuissants, à l’hécatombe : « Comme vous ne pouvez pas évacuer vos malades et que vous en recevez des nouveaux, vous devez les trier. Vous vous tournez vers les malades que vous pouvez sauver. Quant aux autres, vous les laissez mourir sans sédation, sans morphine, sans pouvoir les soulager. Tous les blessés du crâne sont condamnés à mort. »

Son collègue Chems-Eddine Bouchakour, médecin anesthésiste dans deux cliniques de Dunkerque, dans le nord de la France, est resté vissé au bloc opératoire durant le séjour. Il n’avait « jamais vu ça ». Il témoigne, sous le choc, avoir soigné majoritairement des civils, des jeunes, des femmes, des enfants : « Cet endroit le plus concentré sur terre en termes de population est en train de devenir l’endroit le plus concentré de handicapés, d’amputés, s’ils s’en sortent car les conditions d’hygiène sont tellement catastrophiques que les risques d’infection du moignon sont très élevés. Une amputation de la jambe va se transformer en amputation de la cuisse au bout de deux semaines si vous ne pouvez pas refaire les pansements régulièrement. »

Chems-Eddine Bouchakour a participé à des amputations à la chaîne, assisté à des désarticulations de la hanche, « c’est-à-dire qu’il ne reste que le bassin, c’est une amputation au delà de la mi-cuisse, c’est une vie de handicap très lourd ». Il est marqué lui aussi par chacun·e de ses patiente·s, telle cette mère qu’il a fallu amputer de deux jambes et d’un bras et qui a perdu ses enfants tués par un missile israélien.



Rachida El Azzouzi
 

Le besoin de témoigner

Il est frappé par le nombre de blessures par balles qui touchent l’abdomen, le thorax et la tête et non les membres inférieurs : « Cela veut dire qu’il y a une volonté délibérée d’attaquer ces endroits-là. » Ainsi que par les brûlures causées par les bombardements incessants : « Nous avons soigné une petite fille âgée de 7 ans, brûlée au phosphore blanc au visage et aux membres inférieurs. Sa peau était tellement sous pression que les muscles ne respiraient pas. Il a fallu ouvrir la peau en profondeur pour laisser le sang circuler pendant qu’elle hurlait de douleur en réclamant ses parents morts comme beaucoup d’enfants. »


L’équipe est venue avec des valises remplies de matériel mais « il faudrait des camions entiers tant la demande est colossale » : « Nous manquons de tout, de saturomètres, de brassards à tension, de médicaments. C’est le système D. En réa, on est obligé de réutiliser le matériel alors que les produits sont à usage unique, ce qui est en dehors des clous. Faute d’antalgiques suffisants, nous sommes obligés de donner de la kétamine, ce qui crée une addiction avec effet hallucinogène. Cela marche pour la médecine de guerre, les pansements, mais au bout de cinq, six fois, cela crée une dépendance. »

Comme Raphaël Pitti, Chems-Eddine Bouchakour éprouve le besoin de témoigner auprès des médias : « Il faut que ça sorte, non pas pour moi, mais pour les Palestiniens qui se sentent totalement abandonnés. C’est notre responsabilité. Lorsqu’ils nous ont vus arriver, ils ont couru de joie derrière notre minibus. Des enfants nous ont demandé si on allait arrêter la guerre puisque les Israéliens nous avaient laissés entrer dans Gaza. » La plupart des patients qu’il a soignés « préfèrent mourir plutôt que vivre tant ils sont touchés dans leur dignité, réduits à des êtres qui ne seraient pas humains ».

Chems-Eddine Bouchakour, Raphaël Pitti et cinq autres collègues français n’ont pu mener à bien leur mission que grâce au collectif international d’ONG qui s’est récemment créé, les Israéliens empêchant toutes les organisations non gouvernementales ou les reporters d’entrer : « Nous sommes passés par l’association des médecins palestiniens, PalMed, qui elle-même s’était rapprochée de l’association humanitaire koweïtienne Rahma regroupant une vingtaine de médecins, américains, anglais, suédois, palestiniens, jordaniens et nous. »

De retour en France, de cette « mission périlleuse », il pense à ses collègues palestiniens qui travaillent sans s’arrêter depuis quatre mois. Comme Nidal, qui n’est pas rentré chez lui depuis 120 jours : « Il vit à l’intérieur du bloc opératoire avec son père et ses deux enfants qui se rendent utiles en nettoyant le local. Notre venue lui a permis de souffler un peu. » Combien de temps Nidal et ses collègues vont-ils tenir sous le feu de l’artillerie et de l’aviation israéliennes ? Pour Chems-Eddine Bouchakour, « un génocide est en cours : il faut l’arrêter ».

Il a rencontré un journaliste palestinien qui avait trouvé une chambre à louer pour s’y réfugier avec femme et enfants près de Rafah, leur maison ayant été bombardée. Il n’a pu y passer qu’une seule nuit. Lorsque le propriétaire a su qu’il était journaliste, il lui a demandé de partir car, par son métier, il mettait en danger tous les réfugiés de la maison. « Nous sommes, en tant que personnel médical, comme les journalistes, une cible potentielle. Israël souhaite agir à huis clos. Frapper Rafah, où la majorité de la population palestinienne est aujourd’hui réfugiée, serait un carnage. »

Rachida El Azzouzi

source médiapart : https://www.mediapart.fr/journal/in...u-d-une-nouvelle-offensive-craint-un-carnage?
 

Un tribunal ordonne aux Pays-Bas de cesser la vente de pièces de rechange d’avions de combat à Israël​

13 FÉVRIER 2024


Le gouvernement néerlandais dispose de sept jours pour cesser de livrer à Israël des pièces de rechange pour ses avions de combat F-35, de fabrication américaine, a décidé un tribunal national à La Haye.

Des activistes de la solidarité à l’extérieur du Palais de Justice de La Haye, juste avant qu’à l’intérieur, un tribunal ne sorte une injonction ordonnant au gouvernement néerlandais de cesser la vente à Israël de pièces de rechange pour ses avions de combat F-35.

Des activistes de la solidarité à l’extérieur du Palais de Justice de La Haye, juste avant qu’à l’intérieur, un tribunal ne sorte une injonction ordonnant au gouvernement néerlandais de cesser la vente à Israël de pièces de rechange pour ses avions de combat F-35. (Photo : Lex van Lieshout / ANP)

Ali Abunimah, 12 février 2024
Entre-temps, dans un autre signal d’alarme internationale, une deuxième importante société japonaise a rompu ses liens avec les principales fabriques d’armes israéliennes, au moment où Tel-Aviv s’apprête à intensifier son génocide dans la ville de Rafah, à l’extrême sud de la bande de Gaza.
« Cette décision de justice positive est une très bonne nouvelle, surtout pour les civils de Gaza. C’est un pas important en vue de forcer le gouvernement néerlandais à adhérer aux lois internationales, que les Pays-Bas ont soutenues avec acharnement par le passé »,
a déclaré Michiel Servaes, directeur exécutif d’Oxfam Novib, l’une des trois organisations de défense des droits qui avaient porté l’affaire devant les tribunaux.............

 
Israël c’est l’état colonial par excellence et complètement barré dans leur délire religieux.

La Palestine et ses avocats se présentent devant la CPI pour dénoncer l’attitude de l’état sioniste mais c’est un peu peine perdue. Il n’y a que les plus dévots qui croient qu’Israel paiera de notre vivant ce que Lula, le courageux président brésilien, désigne comme un « génocide » du peuple palestinien. Que Bibi et ses sbires aillent au diable !



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Actualités

Décès du prisonnier paralysé Khaled Al-Shawish dans la prison sioniste de Nafha​

mercredi 21-février-2024

Jénine – CPI

Le prisonnier paralysé Khaled Al-Shawish est mort, aujourd’hui mercredi, à la prison de Nafha, après avoir été transféré, hier, dans un état grave à l’hôpital «Assaf Harofeh».

La Commission des Affaires des Prisonniers et ex-détenus et le Club des Prisonniers Palestiniens ont confirmé la mort du prisonnier paralysé Khaled Al-Shawish, âgé de 53 ans, originaire du camp d’Al-Fara’a/Tubas, à la prison de Nafha.

Les deux institutions ont indiqué que le défunt est l’un des malades chroniques des prisons d’occupation. Il est détenu depuis 2007 et a été condamné à 11 reprises à la prison à vie.

Le Bureau d’information des prisonniers a confirmé que le prisonnier Al-Shawish, a été transféré hier dans un état grave à l’hôpital Assaf Harofeh.

Le prisonnier Al-Shawish est né le 14 janvier 1971. Il a étudié dans les écoles de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés (UNRWA) dans le camp. Il est marié et père de quatre enfants, dont son fils Qutaiba, qui a passé 5 ans et demi dans les prisons d’occupation.

Le prisonnier Al-Shawish a été grièvement blessé par les balles de l’occupation en 2001, ce qui l’a conduit à la paralysie. Six ans après sa blessure, les forces d’occupation l’ont arrêté le 28 mai 2007 et l’ont condamné 11 fois à la prison à vie.

Depuis son arrestation jusqu’à aujourd’hui, le prisonnier Khaled Al-Shawish souffre de problèmes de santé chroniques et graves, principalement dus aux balles qu’il a reçues.

Le prisonnier Al-Shawish a un frère martyr, Musa Al-Shawish, qui était mort en 1992. Le dernier prisonnier est Nasser Al-Shawish, qui a été condamné à la prison à vie à cinq reprises, et un autre frère libéré, Muhammad, qui a passé 11 ans dans les prisons d’occupation nazie sioniste.

C’est le 3e prisonnier décédé dans les prisons d’occupation depuis le début de l’année, alors qu’au moins 7 martyrs sont morts, l’année dernière, dans les prisons d’occupation terroriste criminelle.

L’augmentation du nombre de martyrs emprisonnés est le résultat des crimes de torture brutaux et des exécutions perpétrés contre eux par les forces d’occupation, qui ont pris une tendance croissante depuis le 7 octobre dernier.
 
Après on se demande pourquoi ils sont haït et chassé depuis des millénaires partout, voilà pouquoi, pour se protéger des monstruosités dont ils sont capables et qu'ils infligent aux palestiniens. Sale race.
 

LIVRAISONS D’ARMES À ISRAËL : DES AVOCATS INTERPELLENT MACRON

24 février 2024


L’association Avocats Pour la Justice au Proche-Orient (AJPO) interpelle dans une lettre ouverte le Président de la République, soulignant que la France a jusqu’à présent bafoué tous les textes qu’elle est pourtant tenue de respecter et faire respecter en matière de livraison d’armes à l’État d’Israël qui massacre le peuple palestinien. À lire, ci-dessous : […]


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HONNEUR À LA RÉALISATRICE KAOUTHER BEN HANIA, QUI DÉNONCE LE MASSACRE, EN DIRECT SUR CANAL+ (VIDÉO)

24 février 2024


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Honneur à la réalisatrice et scénariste tunisienne Kaouther Ben Hania, qui a appelé vendredi soir à l’arrêt du massacre à Gaza, en direct sur la chaîne Canal+ à l’occasion de la remise des César 2024. Kaouther Ben Hania la femme que vous êtes 🤍 #Cesar2024 pic.twitter.com/ViUnFxHLDv — ☹️ (helenice's version) (@candiiicefanacc) February 23, 2024 « Il […]


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Tout en mangeant une glace accompagné d'un célèbre animateur télé, Biden, a annoncé qu'il espérait un geste des Israéliens et une pause à la fin de cette semaine, pour lundi au plus tard. Les Musulmans eux espèrent que le Ramadan sera plus pieux ... le Ciel les entendra il lui qui laisse des bombes tuer des milliers d'enfants avec un bilan qui approche doucement mais sûrement les 30.000 morts !!

Bibi, tjrs aussi sûr de lui, alors que les négociations se poursuivent avec le Qatar et les Égyptiens, a indiqué que cela ne ferait que retarder "quelque peu" l'offensive de Tsahal à Rafah où sont "massés" plus d'un million de pauvres Palestiniens à qui l'ordre d'évacuer a été donné avec des corridors fallacieux.

En //, les enfants et qq familles seraient évacuées, selon le journal français Le Monde, vers Abu Dhabi pour y être soignés.

Ce jour et demain, l'émir du Qatar Cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani, pays qui héberge les représentants du Hamas avec l'assentiment des EUA, se déplace en France. La France qui rappelle militer pour la solution à deux états (hypocrisie). Les spécialistes indiquent que seul Biden saura faire plier l'état sioniste. Les EUA, en plus des plus de 3 mds de $ d'aide militaire systématique, ont étendu l'aide à plus de 14 milliards de $ sans que le Congrès US ni le Sénat, tous les deux acquis à la cause sioniste, ne s'y opposent comme depuis très longtemps.

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