Gaza : Nous sommes témoins

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Libérez le Dr. Abu Safiya !

30 décembre 2024ACTUALITÉS, VIDÉOS
La famille du Dr Hussam Abu Safiya, directeur de l’hôpital Kamal Adwan, a publié une déclaration exigeant la libération immédiate de leur fils, dont le sort reste inconnu depuis qu’il a été enlevé par les forces d’occupation israéliennes. La famille a confirmé que le Dr Hussam est resté à l’hôpital pendant plus de 84 jours, […]

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Gaza: au moins 19 morts dans des frappes israéliennes dans la nuit du Nouvel An, selon la Défense civile​

Au moins 19 personnes ont été tuées, depuis le passage à l'année 2025, par des frappes israéliennes à Gaza, ont annoncé mercredi les secours du territoire palestinien, où le mauvais temps aggrave une situation humanitaire déjà critique après plus d'un an de guerre.​


Au moins 19 personnes ont été tuées, depuis le passage à l'année 2025, par des frappes israéliennes à Gaza, ont annoncé mercredi les secours du territoire palestinien, où le mauvais temps aggrave une situation humanitaire déjà critique après plus d'un an de guerre.

"Alors que le monde célèbre la nouvelle année, nous accueillons 2025 avec le premier massacre israélien dans la bande de Gaza", a déploré auprès de l'AFP le porte-parole de la Défense civile Mahmoud Bassal.

Les douze coups de minuit venaient à peine de sonner lorsqu'une frappe israélienne sur une maison de Jabalia, dans le nord de Gaza, a fait selon lui 15 morts et plus de 20 blessés au sein de trois familles déplacées, les Badra, Abou Warda et Taroush.

"La maison a été complètement détruite par deux missiles tirés par un avion de combat. Plusieurs personnes sont toujours sous les décombres", a déclaré un secouriste, Mohammad, qui n'a pas donné son nom de famille.

"On essaie encore d'extraire des corps et des blessés de sous les décombres. La maison n'est plus qu'un tas de débris", a témoigné Jibril Abou Warda, 35 ans, proche de plusieurs des victimes.............

 

Gaza : deux enfants parmi 16 tombent en martyr dans un raid israélien sur une maison


Gaza, le 2 janvier 2025, WAFA - Ce soir, deux enfants sont tombés en martyr et d'autres ont été blessés dans des raids israéliens ciblant une maison à Al-Nuseirat au centre de la bande de Gaza.
Selon notre correspondant, les avions de l'occupation ont bombardé une maison de la famille Mishmish, faisant deux enfants martyrs et plusieurs blessés.
Selon des sources médicales palestiniennes, le nombre des martyrs s'élève à 76 depuis l'aube, en raison de la poursuite de bombardements et de raids sur différentes régions dans la bande.
NS
 

Des membres de la Knesset exigent que Katz détruise toutes les sources d'eau, de nourriture et d'énergie dans la bande de Gaza​

Tel Aviv, le 2 janvier 2025, Wafa - Huit représentants à la Knesset israélienne ont exigé aujourd'hui jeudi que le ministre de l'armée d'occupation israélienne, Yisrael Katz, détruise toutes les sources d'eau, de nourriture et d' énergie dans la bande de Gaza.

La lettre envoyée à Katz a été signée par des membres de la commission des affaires étrangères et de la sécurité de la Knesset, affirmant que les opérations de l'armée d'occupation « ne permettent pas d'atteindre les objectifs de guerre fixés par l « échelon politique ».

Malgré les crimes continus de l'armée d'occupation dans les partis de la bande de Gaza, en particulier dans le nord, les membres de la Knesset qui ont signé la diverses lettres ont considéré le plan mis en œuvre par l'armée d'occupation visant à déplacer les habitants du nord de la bande de Gaza vers le sud. comme « n'étant pas mis en œuvre de manière appropriée ».

Dans leur lettre, ils ont appelé Katz à reconsidérer les plans de guerre et qu'après avoir assiégé le nord de la bande de Gaza et déplacé ses habitants vers le sud, l'armée doit détruire les sources d'énergie, de nourriture et d'énergie. 'eau dans la région et tuer quiconque, qui se déplace dans cette région et n'en sort pas en brandissant un drapeau blanc.

Ils ont poursuivi : « Cela doit être fait non seulement dans le nord de la bande de Gaza, mais aussi dans toute autre région. »
 
Quiconque connaît le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa, se doutait qu’il devait remuer ciel et terre pour aller, comme chaque année, célébrer Noël auprès de la communauté catholique de Gaza.

En 2023, trois mois après les massacres du 7-octobre perpétrés par le Hamas, et tandis que la ville de Gaza-City, dans le nord de la bande de Gaza, où se trouvent les paroisses chrétiennes, était soumise à d’intenses bombardements, l’entrée du prélat avait été impossible. Il ne réussit à briser l’isolement de la communauté qu’en mai pour la fête de la Pentecôte.

C’est donc la seconde fois que l’évêque de cette petite communauté chrétienne se rend dans une ville de Gaza, ravagée par la guerre et soumise au plus intense et long blocus que la bande côtière n’ait jamais connu.

A 10h10 heure locale (9h10 à Paris) le service de communication du patriarcat latin répandait la nouvelle : « Ville de Gaza, 22 décembre 2024. Le cardinal Pizzaballa est entré dans la bande de Gaza ce matin et a atteint le complexe de la Sainte-Famille pour une visite de solidarité et la célébration de la Nativité du Seigneur. »
 
Un soldat #sraélien de la brigade Givati, « Rotem Baish », aurait été tué en Thaïlande dans un soi-disant accident de moto.

Le soldat avait participé à la guerre genocidaire à Gaza pendant un an et aurait été en vacances en Thaïlande.

Le ministère des Affaires étrangères israélien a annoncé vendredi dernier avoir retrouvé le corps de l’Israélien après plusieurs jours de perte de contact, sans fournir d’autres détails, évidemment.
 
Les criminels sionistes exhortent les pamperisés à quitter rapidement les pays ou ils passent leurs vacances avant qu’ils ne soient arrêtés et de ne pas quitter Israthel

Sources sionistes :

La municipalité de Ma’alot Tarshiha annonce la liquidation du lieutenant Yair Shoshan par la resistance palestinienne à Gaza.
 
La guerre est finie : Gaza récolte les fruits du 7 octobre.

Après le long génocide israélien à Gaza, le cessez-le-feu offre une victoire dévastatrice à la résistance palestinienne et une défaite totale aux Israéliens, qui ont été contraints de faire des concessions sans précédent, laissant le Hamas intact et la bande de Gaza inoccupée.

Après 15 mois d’un génocide brutal et impitoyable qui a coûté la vie à plus de 50 000 Palestiniens, un cessez-le-feu a finalement été conclu à Gaza. L’accord de trêve marque une victoire dévastatrice pour la résistance palestinienne, obtenue au prix d’un coût humain stupéfiant, et une perte politique humiliante pour le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et l’État d’occupation.

À moins que Netanyahu ne fasse un geste inattendu, ce qui semble improbable pour diverses raisons – la plupart liées aux exigences de la nouvelle administration du président américain élu Donald Trump – il est clair pour tous les acteurs impliqués à Doha, au Caire, à Istanbul et à Washington que l’accord visant à mettre fin au génocide de Gaza a été finalisé et est désormais en cours.

Des sources proches des négociations révèlent à The Cradle que le retard de l’annonce du 14 janvier est dû à une « dernière tentative » israélienne de manipuler les cartes de retrait. Tel Aviv a cherché à insérer le terme « retrait des zones peuplées », ce qui impliquait le maintien de ses forces dans des « zones ouvertes » à proximité de zones civiles.

Cet effort a été contrecarré par « une pression américaine décisive ». Le 15 janvier, un nouveau retard est survenu en raison de désaccords sur qui annoncerait l’accord : les Qataris, les Américains, les Égyptiens ou une conférence conjointe. « Tout le monde veut choisir l’image de la réussite, mais la balance penche en faveur des Qataris », explique l’une des sources. Au final, le Qatar a annoncé le cessez-le-feu en raison de sa position centrale dans la médiation de l’accord. Quelques heures plus tard, le président américain Joe Biden a également annoncé le cessez-le-feu.

Deux mois plus tôt, le Qatar s’était temporairement retiré de la médiation pour obtenir un mandat américain de la nouvelle administration. Washington, reconnaissant la « relation distinguée » du Qatar avec le Hamas, a mis de côté Le Caire et a repris les négociations à Doha.

Le cessez-le-feu entrera en vigueur dimanche 19 janvier, juste un jour avant l’investiture de Donald Trump. Ce timing est en partie attribué aux efforts américains pour façonner l’image et en partie pour permettre les préparatifs logistiques de l’armée israélienne dans la bande de Gaza.
 
SUITE

La guerre est finie : Gaza récolte les fruits du 7 octobre. [2/4]

Les principaux détails de l’accord

Le Hamas et Israël ont convenu d’une approche progressive, équilibrant leurs objectifs immédiats et à long terme. L’accord comprend la libération de 1.000 détenus palestiniens, dont 250 prisonniers condamnés à la réclusion à perpétuité, des femmes et des mineurs de moins de 19 ans. Israël a également accepté de se retirer des zones clés de la bande de Gaza, notamment les axes Netzarim et Philadelphie, facilitant le retour des Gazaouis déplacés vers le nord sans conditions préalables.

Un élément important de l’accord a été la libération par le Hamas de 33 ou 34 prisonniers israéliens encore détenus à Gaza, sur un total de 98, représentant un tiers des captifs restants.

Notamment, cela a été réalisé sans fournir à Tel-Aviv une divulgation préalable de l’état des otages, qu’ils soient vivants ou décédés.

Pour la première fois, Israël a révélé publiquement le nombre de prisonniers gazaouis : 3 436, dont 529 privés d’assistance juridique – un mélange de combattants et de civils, démystifiant le récit israélien tout au long de la guerre selon lequel des milliers de combattants ont été capturés.

Malgré les tentatives israéliennes de donner la priorité à certains agents du Shin Bet et de l’Unité 8200 dans les premiers échanges de prisonniers, le processus convenu garantit la transparence.

Les protocoles de libération des prisonniers, y compris les engagements et la documentation, ont commencé quelques jours avant, informent les sources de The Cradle.

Le retrait respecte les frontières d’avant le 7 octobre 2023, évitant les tentatives israéliennes d’établir des zones tampons et de réaliser un empiètement territorial – une victoire significative pour la résistance palestinienne.

Le Hamas a également obtenu des engagements pour la reconstruction, y compris la réhabilitation des hôpitaux, des équipes médicales sur le terrain et une aide humanitaire sans restriction.

Cela comprend la réouverture du passage détruit de Rafah avec l’Égypte, bien que des sources égyptiennes indiquent à The Cradle qu’il sera probablement ouvert en mars, tandis que des travaux sont déjà en cours pour réparer le côté égyptien.

Le Qatar parrainera 600 camions d’aide quotidiens, 200 000 tentes et 60 000 caravanes. De plus, Israël doit limiter les opérations aériennes au-dessus de Gaza à 8 à 10 heures par jour afin de faciliter les efforts de recherche et de sauvetage des Palestiniens.

Au cours des six semaines de mise en œuvre, le Hamas va progressivement libérer les prisonniers israéliens – trois à quatre prisonniers par semaine – soit une moyenne de 19 au cours des cinq premières semaines – et les 14 restants environ à la fin de la première phase, en conservant 65 individus comme levier pour les phases suivantes.

Les détails de ces phases seront négociés ultérieurement, à condition que les Américains tiennent leur promesse d’empêcher le retour de la guerre.

La première phase de retrait des troupes, qui permettra aux Palestiniens déplacés de retourner au nord, de la rue Al-Rashid al-Bahari à l’ouest, débutera le septième jour du cessez-le-feu.

Le 22e jour, Israël se retirera complètement, rétablissant la liberté de mouvement pour tous les Palestiniens.
 
La guerre est finie : Gaza récolte les fruits du 7 octobre. [3/4]

La pilule amère de Netanyahu

Pendant plus de 15 mois de guerre totale, Netanyahou a dû faire face à de nombreux obstacles internes et externes pour parvenir à cet accord. Entre-temps, le récit israélien de la « victoire absolue » s’est effondré.

Les gains promis à maintes reprises, comme le maintien des corridors stratégiques de Netzarim et Philadelphie, ont été abandonnés, laissant Netanyahu et sa coalition gouvernementale extrémiste aux prises avec une crise de relations publiques.

La libération des prisonniers palestiniens et le renversement des ambitions territoriales évoquent les souvenirs de l’échange de 2011 qui a libéré 1.027 Palestiniens contre Gilad Shalit – un rappel douloureux pour les Israéliens.

Les réactions des médias israéliens reflètent cette amertume. « La pression que Trump exerce en ce moment n’est pas celle qu’Israël attendait de lui », a déploré lundi le commentateur de droite Jacob Bardugo sur Channel 14.

Le journaliste de la chaîne Ariel Segal, proche de Netanyahu, a fait remarquer : « Il se pourrait que nous (Israël) soyons les premiers à payer le prix de l’élection de Trump.»

De son côté, un journaliste allié du ministre de la Sécurité extrémiste Itamar Ben-Gvir concède que « Trump a accru la pression sur le Hamas au point qu’Israël a craqué. »

Pour compenser cette défaite intérieure, on rapporte qu’un « programme de compensation américain » offre à Netanyahou une couverture politique. Il comprend la levée des sanctions contre les colons extrémistes, la protection des dirigeants israéliens contre les actions judiciaires internationales et l’autorisation d’expansions majeures des colonies en Cisjordanie.

Pourtant, comparées aux ambitions initiales de grande envergure de Tel-Aviv, comme l’annexion de la Cisjordanie ou l’attaque de l’Iran, ces concessions semblent diluées.

Le défunt et martyr leader du Hamas Yahya Sinwar, qui a dirigé l’opération Al-Aqsa Flood de la résistance, apparaît comme une figure clé dans le contexte d’un échange de prisons. Selon des sources du Hamas, la résistance a négocié le cessez-le-feu selon les conditions strictes de Sinwar, et dans sa mort, il a atteint ses objectifs.

Cela glorifiera encore davantage l’homme dont le combat jusqu’au bout a été immortalisé par des images émouvantes lors de sa confrontation directe et provocatrice avec les forces d’occupation.

Ses soldats, qui n’ont pas su son identité avant son martyre, le considéraient comme un symbole de résistance. Aujourd’hui, Israël est confronté à la perspective de libérer des centaines de prisonniers condamnés à la réclusion à perpétuité et évaluera amèrement la probabilité de voir de futurs «Sinwar» parmi eux.

Pour Israël, les prisonniers condamnés à la réclusion à perpétuité sont considérés comme ayant « du sang sur les mains », ce qui signifie qu’ils sont perçus comme une menace et une résilience en tant que formidables figures palestiniennes.
 
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Une victoire fragile

Malgré des souffrances sans précédent – plus de 200 000 victimes, des déplacements massifs et la dévastation quasi totale de Gaza – les Palestiniens trouvent du réconfort dans l’arrêt de la guerre et l’obtention de concessions clés.

La détermination de la résistance et la diplomatie habile du Qatar ont remodelé un accord qui, bien qu’imparfait, prévient de nouvelles effusions de sang et remplace les ambitions israéliennes d’occupation à long terme.

Cependant, la cessation reste précaire, ne dépendant que des garanties américaines et du respect mutuel des conditions. Pour la population de Gaza, marquée par la guerre mais rebelle, l’accord symbolise non seulement la survie, mais aussi une étape vers la reconquête de sa dignité au milieu d’une lutte continue.

Si l’on considère les éléments clés de cet accord et si l’on les juxtapose aux objectifs d’Israël – le déplacement des Gazaouis, l’exil des dirigeants de la résistance et la détention forcée des prisonniers – ce résultat constitue une « réussite » notable.

Cela est particulièrement évident après plus d’un an de guerre acharnée, au cours de laquelle l’État occupant semblait déterminé à perpétuer indéfiniment sa présence à Gaza. Ce qui complique le récit, c’est la perception selon laquelle la cessation des hostilités a été en grande partie motivée par une décision « quasi personnelle » de Donald Trump, qui a indirectement attaqué Netanyahou au cours du processus.

Pourtant, ce résultat n’aurait pas été possible sans la détermination inébranlable de la résistance palestinienne à Gaza.

L’intensification récente de ses opérations, en particulier sur les lignes de front près de Beit Hanoun, qui ont fait de nombreuses victimes parmi les forces israéliennes, a joué un rôle crucial en plus des fronts régionaux ouverts par les alliés du Hamas dans l’Axe de la Résistance.

Néanmoins, ces efforts à eux seuls n’ont pas directement provoqué la fin de la guerre. Les habitants de Gaza ont enduré des horreurs qu’ils comparent à des « scènes apocalyptiques ». Le bilan comprend 17 000 orphelins et d’innombrables familles effacées du registre civil.

Le 16 janvier, un jour après l’annonce, Netanyahu a tenté de retarder l’approbation de l’accord de cessez-le-feu, accusant le Hamas d’avoir « fait marche arrière ». Cependant, le responsable du Hamas, Izzat al-Rishq, a déclaré que le groupe restait « engagé » à respecter le cessez-le-feu annoncé mercredi. Les médias israéliens ont attribué le retard aux menaces du ministre des Finances Bezalel Smotrich de quitter le gouvernement en signe de protestation.

Les habitants de Gaza choisissent de célébrer l’accord et ses implications. Leur joie et leur soulagement sont visibles non seulement dans la diaspora et en Cisjordanie, mais aussi dans les rues de Gaza et parmi les tentes de fortune qu’ils considèrent désormais comme leur foyer, avant même la déclaration officielle de l’accord.

Source ici (https://thecradle.co/articles/the-war-is-over-gaza-reaps-the-fruits-of-7-october)
 
Le journaliste américain Max Blumenthal affronte le secrétaire d’État américain Blinken lors de son discours d’adieu et réduit en miettes sa duplicité et sa soif de sang…

Blinken est devenu gêné, tendu et est resté silencieux. Bien que les questions étaient claires :

« Pourquoi n’êtes-vous pas à La Haye ?

Pourquoi avez-vous permis que l’Holocauste de notre époque se produise ?

Quel effet cela fait-il d’avoir comme héritage un génocide ? »

 
On a du mal à croire que ces 2 photos représentent la même personne à 1 an d’interval !!!! quels sévices elle a dû subir ! quels atrocités elle a dû voir !


Les photos parlent d’elles mêmes ! quand on a vu les israéliennes libérées, il n’y avait pas photo, elles étaient en bonne santé même s’il y avait un bandage de main sur l’une d’elle qu’on ne manquait pas de montrer… par contre on ne nous a pas montré les otages palestiniens libérés car la souffrance physique n’était pas dans le bon camp !
 
Citation d’un journaliste israélien
« NOUS AVONS DÉPASSÉ LES CRIMES DE GUERRE, NOUS SOMMES FACE A UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ À GAZA. »
« JE REFUSE LA SYMÉTRIE ENTRE LES DEUX PARTIES. IL Y A UN OCCUPANT ET UN OCCUPÉ. »
« ON NE PEUT PAS METTRE DEUX MILLIONS DE PERSONNES DANS UNE COCOTTE-MINUTE À GAZA ET NE PAS COMPRENDRE QUE ÇA VA
EXPLOSER TOT OU TARD. »
MICHEL WARSCHAWSKI
ÉCRIVAIN ET JOURNALISTE ISRAÉLIEN
 
Toute censure est un aveu. On ne bâillonne que la bouche qui dit vrai.
Pierre Gripari

La Knesset israélienne a approuvé un projet de loi criminalisant la négation de la version israélienne des événements du 7 octobre. Ceux qui enfreignent cette loi risquent 5 ans de prison.

▪️Quelle est la version israélienne des événements ? La milice d’un camp de concentration à ciel ouvert, avec seulement des armes légères, aurait provoqué ce niveau de destruction le 7 octobre.

▪️Grâce aux reportages courageux des médias indépendants occidentaux et de certains journalistes israéliens, nous savons qu’Israël a mis en œuvre la directive Hannibal, selon laquelle les hélicoptères de combat israéliens déchargeaient leurs balles et leurs roquettes sur tout ce qui bougeait, dans le cadre d’une application massive de la directive pour empêcher les Israéliens d’être pris en otage par le Hamas, qui serait ensuite utilisé dans des négociations sur les otages pour libérer les milliers de prisonniers palestiniens.

▪️Les accusations de viols de masse, désormais démenties, sont désormais inscrites dans la loi, ce qui signifie que remettre en question ces accusations démenties, ou même dire qu’elles ont été démenties, pourrait vous conduire en prison en Israël.

Imposer une lecture d’un fait par la loi et la répression est une atteinte à la liberté d’opinion et d’expression et a un nom :
TYRRANIE !
La justice est sommée de constater si « votre version est conforme à la loi », pas en cherchant, comme dans l’État de Droit, la VÉRITÉ !
Azb

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU discute de la situation des enfants dans la bande de Gaza​

New York, le 23 janvier 2025, WAFA- Le Conseil de sécurité de l'ONU a tenu jeudi soir, sous la présidence tournante de l'Algérie, une session sur la situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne, en mettant l'accent sur les conditions des enfants dans le La bande de Gaza après 15 mois de guerre d'extermination israélienne.

Lors d'une conférence de presse vidéo, le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d'urgence de l'ONU, Tom Fletcher, a évoqué ce dont les enfants de Gaza ont été témoins au cours des 15 derniers mois. Il a déclaré : « Des enfants ont été tués, affamés et morts de froid. Ils ont été mutilés, orphelins et séparés de leurs familles. On estime que plus de 17 000 enfants ont été séparés de leurs familles à Gaza. Certains d'entre eux sont morts avant d'avoir rendu leur premier souffle, mourant avec leur mère pendant l'accouchement.

Il a ajouté que les enfants ont perdu leur éducation et leur école, et que les personnes atteintes de maladies chroniques ont du mal à accéder aux soins dont elles ont besoin et que beaucoup n’en ont pas la possibilité.

Selon l'UNICEF, Tom Fletcher a déclaré qu'un million d'enfants à Gaza ont besoin de soins de santé mentale et d'un soutien psychosocial pour traiter la dépression et l'anxiété. Il a dit qu’il était choqué.

Dans le contexte de « cette horreur », Fletcher a déclaré que les Nations Unies et leurs partenaires saisissaient chaque opportunité offerte par le cessez-le-feu pour étendre la réponse à toute la bande de Gaza.

Il a déclaré que l’accès humanitaire sûr et sans entrave au cours des derniers jours a considérablement amélioré la capacité des agences de secours à opérer.

Le responsable de l'ONU a parlé d'augmenter le flux de fournitures et d'améliorer les services de sauvetage, et a déclaré que les organisations et agences de secours sont unies dans leur travail pour atteindre les objectifs humanitaires, "et au cœur de ces efforts - comme toujours - se trouve l'UNRWA".

Mais il a ajouté que les agences humanitaires ne pouvaient pas faire ce travail seules et que l’augmentation de l’aide à Gaza nécessitait un effort collectif.

Il a souligné que l'ensemble de la bande de Gaza - plus de deux millions de citoyens - dépend de l'aide humanitaire.

Il a souligné l’importance de réapprovisionner régulièrement les stocks, notamment par les États membres, et de mener à bien rapidement les efforts d’assistance du secteur privé.

Le chef de l'aide humanitaire de l'ONU a ensuite évoqué la Cisjordanie, qui, selon lui, connaît depuis octobre 2023 « des niveaux sans précédent de victimes, de déplacements et de restrictions à l'accès humanitaire ». Il a déclaré que la situation s'est intensifiée depuis l'annonce du cessez-le-feu (dans la bande de Gaza).

« Les colons israéliens attaquent les villages palestiniens et incendient les maisons et les biens. Les restrictions de plus en plus nombreuses imposées par Israël aux déplacements entravent l’accès des Palestiniens aux services de base et aux moyens de subsistance. Des arrestations massives ont lieu dans toute la Cisjordanie », a déclaré M. Fletcher.

Le responsable de l'ONU s'est dit particulièrement préoccupé par la situation à Jénine, où l'agression israélienne « utilisant des hélicoptères de combat, des bombardements aériens et des forces terrestres » a entraîné des pertes en vies humaines, la destruction d'infrastructures et des déplacements.

Fletcher a formulé trois demandes au Conseil de sécurité : premièrement, assurer le maintien du cessez-le-feu, deuxièmement, assurer le respect du droit international dans tout le territoire palestinien occupé à Gaza et en Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est.

Il a souligné la nécessité de protéger les civils et de répondre à leurs besoins fondamentaux, de libérer tous les otages et de libérer les Palestiniens détenus arbitrairement. La troisième demande concerne la nécessité pour les États membres d’assurer un bon financement des opérations humanitaires. Il a souligné que l'appel humanitaire pour 2025 demande 4,07 milliards de dollars pour répondre aux besoins de 3 millions de personnes à Gaza et en Cisjordanie.

Il a déclaré que cet appel était essentiel pour répondre aux besoins massifs et maintenir le cessez-le-feu.

Le responsable de l’ONU a conclu son discours en déclarant : « Les enfants de Gaza ne sont pas des victimes accidentelles. Comme les enfants du monde entier, ils méritent la sécurité, l’éducation et l’espoir. Ils nous disent que le monde n’était pas avec eux pendant cette guerre. Nous devons être avec eux. » eux maintenant...............

 
AFFAIRE DÉPOSÉE : MANDAT
D’ARRESTATION DEMANDE PAR LA CPI
CONTRE LE RABBI AVRAHAM ZARBIV
Le #HindRajabFoundation a déposé une plainte demandant l’arrestation du rabbin Avraham Zarbiv pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité à Gaza. Zarbiv a ouvertement admis avoir détruit des maisons, ciblé des civils et détruit des quartiers entiers comme Jabalia et Rafah.

« J’ai détruit en moyenne 50 maisons par semaine. », dit-il fièrement et le public applaudit.

Le rabbin talmudique Avraham Zarbiv se vante des destructions qu’il a causées à Gaza et c’est accueilli par de nombreux applaudissements.

 
Il parle de relocalisation au lieu de déportation . Ses origines sont ou ? Pologne ?
Les Palestiniens n'ont pas bougé contrairement à lui qui vient d'arriver dans cette base militaire qui vit
sous perfusion depuis 1948 voire avant .
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Donald Trump a proposé de déplacer les Gazaouis vers l’Égypte et la Jordanie de façon «temporaire ou à long terme».


Un refus net. «Notre rejet du déplacement des Palestiniens est ferme et ne changera pas. La Jordanie est pour les Jordaniens et la Palestine est pour les Palestiniens», a déclaré Ayman Safadi, ministre jordanien des Affaires étrangères. De son côté, le ministère égyptien des Affaires étrangères a réaffirmé dans un communiqué «le soutien constant de l’Égypte à la résilience du peuple palestinien sur sa terre», rejetant «toute atteinte à ces droits inaliénables, qu’il s’agisse de colonisation, d’annexion de terres, de dépeuplement de ces terres par déplacement, d’encouragement au transfert ou de déracinement des Palestiniens de leur territoire, que ce soit de manière temporaire ou permanente».
figaro
 

Pièces jointes



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