Avant de mourir, un père de famille très riche fit cette demande à son fils :
« Ô mon fils, lorsque je serai mort, une fois mon corps lavé, enfile sur mes pieds une vieille paire de chaussures juste avant qu’on ne m’enterre ».
Lors du décès du père, le fils mentionna ce souhait aux savants locaux qui étaient présents. Ceux-ci déclarèrent :
« Ceci n’est pas possible, ça ne fait pas partie de la Sunnah, il n’est pas possible de mettre des vieilles chaussures aux pieds du défunt ».
Le fils insista car c’était un souhait du père sur lequel il avait beaucoup insisté. Les savants locaux consultèrent alors d’autres savants de la région pour discuter de cette affaire et pendant ce temps là les gens attendaient pour la prière mortuaire (salat al-Janaza). Alors qu’ils continuaient à discuter, un vieil ami du père arriva tenant une feuille à la main.
Il déclara :
« Voici une déclaration du défunt, il souhaitait que je la remette à son fils au moment où les savants argumenteraient sur cette affaire, afin qu’il la lise devant tout le monde ».
Voici ce que disait la lettre :
« Ô mon fils, tu sais à quel point je fus un homme riche et j’ai laissé derrière moi des millions et des millions, mais maintenant tu dois savoir et tu l’as expérimenté, que là où je vais, je ne peux même pas emmener avec moi ne serait-ce qu’une vieille paire de chaussures. Donc fais attention à la façon dont tu dépenseras cet argent, afin qu’il te soit bénéfique dans l’au-delà. Ne le gaspille pas inutilement et ne le dépense pas dans ce qui constitue des péchés. Saches que seules les actions suivent le croyant dans sa tombe ».
Qu’Allâh nous guide et nous facilite le chemin.
« Ô mon fils, lorsque je serai mort, une fois mon corps lavé, enfile sur mes pieds une vieille paire de chaussures juste avant qu’on ne m’enterre ».
Lors du décès du père, le fils mentionna ce souhait aux savants locaux qui étaient présents. Ceux-ci déclarèrent :
« Ceci n’est pas possible, ça ne fait pas partie de la Sunnah, il n’est pas possible de mettre des vieilles chaussures aux pieds du défunt ».
Le fils insista car c’était un souhait du père sur lequel il avait beaucoup insisté. Les savants locaux consultèrent alors d’autres savants de la région pour discuter de cette affaire et pendant ce temps là les gens attendaient pour la prière mortuaire (salat al-Janaza). Alors qu’ils continuaient à discuter, un vieil ami du père arriva tenant une feuille à la main.
Il déclara :
« Voici une déclaration du défunt, il souhaitait que je la remette à son fils au moment où les savants argumenteraient sur cette affaire, afin qu’il la lise devant tout le monde ».
Voici ce que disait la lettre :
« Ô mon fils, tu sais à quel point je fus un homme riche et j’ai laissé derrière moi des millions et des millions, mais maintenant tu dois savoir et tu l’as expérimenté, que là où je vais, je ne peux même pas emmener avec moi ne serait-ce qu’une vieille paire de chaussures. Donc fais attention à la façon dont tu dépenseras cet argent, afin qu’il te soit bénéfique dans l’au-delà. Ne le gaspille pas inutilement et ne le dépense pas dans ce qui constitue des péchés. Saches que seules les actions suivent le croyant dans sa tombe ».
Qu’Allâh nous guide et nous facilite le chemin.