Marcus Cubitus
VIB
L'orthographe ne peut pas être pauvre, il est correct ou non.Tant que le discours reste intelligible cela ne pose pas de problème majeur vu qu'on est dans des discussions pas spécialement formalisés.
Le problème c'est que ce discours n'est pas vraiment intelligible
On peut être compréhensif pour une personne n'ayant pas fait de longues études, mais quand on annonce un Bac+3, on s'attend à autre chose.
Sur le fond y'a clairement de l'islamophobie en France, il faudrait être aveugle pour le nier.
Les politicards on installé un climat qui pousse une certaine partie de la population a la crainte de l'islam, l'islamophobie n'est qu'une conséquence du fait qu'on nous ait transformé en bouc-émissaire, c'est plus facile de créer un rejet d'une certaine frange de la population pour dissimuler les vrais problèmes de ce pays ...
Je ne partage pas ton avis et, au contraire, les politiques font tout pour éviter cela : par exemple, les statistiques sur l'origine ethnique et religieuse des délinquants sont interdites en France.
L'islamophobie en France tire ses sources de la vie de tous les jours : les revendications sur le voile, sur les cantines, les prières de rues, la polygamie, et j'en passe.
Mon propre neveu de 8 ans c'est fait taper dessus parce qu'il avait mangé du jambon à la cantine et n’arrêtait pas de se faire brimer par ses camarades de classe, Musulmans, à cause de ça. Il a fallu le changer d'école car il avait de plus en plus peur.
Ceci n'est pas un cas isolé, malheureusement et je connais d'autres parents qui ont eu le même problème avec leurs enfants qui se faisaient traiter de sales blancs.
Ma fille s'est faite traiter de ****** plusieurs fois par de jeunes maghrébins parce qu'elle portait une jupe. Les derniers temps, j'étais obligé d'aller la chercher en sortie d'école car elle avait peur de rentrer seule.
Si tu veux d'autres exemples, j'en ai à la pelle. Ce ne sont pas des déclarations politiques mais bien de la vie de tous les jours. Donc si tu veux une explication à l'islamophobie, voilà la cause première.