Lors de notre vie commune, je sais, d'après ces propres dires, qu'il était à la recherche d'une personne volontaire, voulant établir un mariage blanc avec son frère , qui réside, actuellement, au Maroc.
A notre récent voyage au Maroc, j'avais invité mon amie et MONSIEUR avait proposé à son frère de la séduire en vue d'un mariage, puisqu'elle vit en France.
Quand à son permis de conduire marocain, le service de permis de conduire de la Préfecture ne lui a toujours pas délivré de permis français. Cela fait plus d'un an que sa demande a été déposé à la Préfecture et il circule toujours, actuellement avec un certain récépissé. Il a d'ailleurs, durant cette année, accumulé les accidents, les Procès-Verbaux, les suppressions de points, les suspensions de permis, mais continu de circuler pendant ces suspensions.
Il m'a fait énormément de mal moralement. Je me suis marié avec lui, le 18 avril 2007, par amour. J'ai tous franchi pour le faire venir vivre auprès de moi. J'ai passé les étapes difficiles imposé par le consulat de France de Casablanca, parce que je souhaitais réellement faire ma vie avec lui. J'ai cru à toutes ces paroles et je me rend compte que j'ai fais tous cela pour rien. Je sais que le consulat m'avait prévenu de ces dangers des personnes venant de l'étranger prêts à tous pour venir en Europe, mais j'avais vraiment cru à notre relation pour surmonter tous çà. Et je me rend compte, avec un peu de recul, que je suis une nouvelle victime des « mariages gris »
Durant les derniers jours passés dans le domicile conjugal, je lui ai fait comprendre que je ne me sentais plus à l'aise avec lui, qu'il fallait qu'on trouve une solution pour arranger notre relation mais il me retournait à chaque fois la situation en me disant que tout était de ma faute, que c'était moi qui avait choisi cette vie. J'ai fait appel à sa famille qui ne m'est pas venu à l'aide. Ils m'ont même fait comprendre que s'il me frappait s'était pour mon bien, pour me corriger, qu'il changera un jour, mais que je devais me taire et subir. Ils me disaient même qu'il changerais si je faisais des enfants avec lui.
Jusqu'au jour où j'ai craqué et j'ai quitté le domicile conjugal pour trouver du réconfort auprès de ma famille.
Il m'a fait pleins d'autres choses méchantes, mais je pourrais en écrire un livre.
Maintenant cela fait 3 mois que je l'ai quitté, j'ai rendez-vous pour la conciliation au mois de mars, ncha'allah, mais durant ces 3 mois il n'a pas arrêter de me harcelé pour que je revienne à lui. Il pleure, devant tous les membres de ma famille, devant mes collègues de travail... Il dit regretter, mais j'ai l'impression que si je retourne avec lui, c'est plus par pitié, et par peur de ne pas trouver quelqu'un plutard.
Il a essayer toutes les tentatives pour que je reviennes, me harceler au travail, sonner chez mes parents. Au début mes parents l'ont écouté, mais, mon père et ma mère, lui ont dit les 4 vérités, et ce qu'ils pensaient de lui, énervé; il é parti en claquant la porte. Une deuxième fois, il s'est énervé et a claqué la porte mais cette fois avec une insulte à mon père (in3al din rrab din mok!!!). Bref une autre tentative de pleurer devant moi de me dire qu'il va se suicider, la tentative de m'offrir des cadeaux, la tentative de me faire peur c'est à dir, que je regretterai le jour où il refera sa vie, le jour où je ne trouverai personne. L'autre tentative de sortir avec une fille et de passer devant mes proches pour que je sois au courant et la tentative qu'il essai maintenant c'est celle de dire qu'il vas quitter la france et retourné au Maroc. Car c'est une personne du maroc, qui est arrivé ici en France grace à notre mariage.
Je sais très bien qu'il regrette énormément ces gestes mais je n'arrive pas à oublier tous ce que j'ai endurer avec lui.
Je remercie mes parents sans qui jamais je n'aurais pu tenir le coup, car ils m'ont soutenu même si c'est moi qui l'avais choisi malgré qu'il n'étais pas d'accord avec ce mariage.
De vivre dans une 37m², où je ne pouvais rien toucher en son absences, car la moidre modifcation voulait dire ke jvoulais cacher quelques choses.
De demander de l'aide à sa famille, qui m'a dit que je me plaignais tous le temps...
De devoir justifier tout mes faits et gestes.
Je vous laisse penser à tous ce que j'ai subi et attend de vous la réponses à cette question:
QU'EST-CE QUE VOUS AURIEZ FAIT A MA PLACE? EST-CE QUE MON CHOIX A ETE LE BON?