La fouine insulte carla bruni-sarkozy

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00mimi00 a dit:
j'aime pas, il est vulgaire j'y peux quoi moi :eek:
c'est toujours pareil, vulgarité sur vulgarité
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c'est vrai que certaines de ses chansons sont vulgaires mais d'autre non.

Ecoute son dernier album tu verras.

Perso je n'aime pas beaucoup ses chanson mais le personnage est loin des cliché du rappeur façon booba....
 
Espiegle69 a dit:
Non, il y a une différence, Booba est une ***** d'éléphant, Soprano est juste une petite crotte de chien.....

C'est pas Kerry James non plus.....
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La fouine a un style plutot bizarre (avec sa barbichette ), il essaye de ressembler à Snoop ...du moins il essaie ( et vla l'exemple).

Certaine de ses chansons sont bien.

Booba était bien quand il était dans Lunatic, avec Ali ils formaient à l'epoque l'un des meileur groupe de rap et on sorti un album mémorable: Mauvais Oeil.

Les insultes envers les élus sont courante, Chirac s'est fait insulté d'escroc dans un nombre incalculable de chansons.

Quand à Sarkozy, choisir une ancienne chanteuse qui a fait des photos quasi nue ...faut dire qu'il le cherche un peu .
 
c'est pas nouveau les rappeurs qui insulte ds leurs morçeaux apres c vrai que la fouine est souvent grossier(un peu pour rien desfois) mais bon le kehba bruni etait bien trouvé

a part ca il est fort en chant et son style va bien avec son long corps

il serai venu avec un style classique je pense pas que le public aurait accroché
 
manager93 a dit:
sinon la comparaison avec booba c'est juste pour le style vestimentaire car booba est plus fort au niveau des methaphores
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J'entends des bruits sur mon téléphone sans fil
Sous coke comme Tnoy M., tes balles je me les enfile
Parti de que dalle, j'ai jamais voulu taffer
J'ai grandi avec la daronne, enfermé, libéré sur parole
Pour me refaire j'ai fait c'qu'il fallait : du bien, du mal
J'ai commencé l'rap à 17 balais
Depuis mes débuts, gagner j'ai l'habitude
Ma ****** d'attitude, j'arrête pas d'prendre de l'altitude
Alors je suis mes négros et mes négros me suivent
Rafale de balles dans les amygdales, les faux négros me fuient
Reflet de mon époque, moi et mon glock et mes potes
Aucune confiance en leur justice et si le proc m'insulte
Comme une vulgaire ****** de film de uc
Obligé d'tirer sur ce fils de ****
J'veux une cellule individuelle, avant qu'on s'entretue
La vie d'rue a fait de nous de dangereux individus
Dis bonjour au mauvais garçon, regarde les flammes dans mon iris
Que la nation brule sous mes lyrics
Ma cour de récréation fait son gen-ar dans n'importe quelle voie
Renoi passe moi la zeb et la son-boi

Waouhh, ça c'est de la métaphore.....:rolleyes:
 
manager93 a dit:
bein ecoute quand meme des ecrivains reconnaissent son style au niveau des methaphores c'est que ce booba a quand meme un ptti talent mais je ne suis pas sur que tu piges toutes ses methaphores
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soit tu habite le pont de sèvre soit tu es fan de skyrock.

Dans Lunatic, Booba avait le flow et Ali les textes : CQFD.
 
Espiegle69 a dit:
J'entends des bruits sur mon téléphone sans fil
Sous coke comme Tnoy M., tes balles je me les enfile
Parti de que dalle, j'ai jamais voulu taffer
J'ai grandi avec la daronne, enfermé, libéré sur parole
Pour me refaire j'ai fait c'qu'il fallait : du bien, du mal
J'ai commencé l'rap à 17 balais
Depuis mes débuts, gagner j'ai l'habitude
Ma ****** d'attitude, j'arrête pas d'prendre de l'altitude
Alors je suis mes négros et mes négros me suivent
Rafale de balles dans les amygdales, les faux négros me fuient
Reflet de mon époque, moi et mon glock et mes potes
Aucune confiance en leur justice et si le proc m'insulte
Comme une vulgaire ****** de film de uc
Obligé d'tirer sur ce fils de ****
J'veux une cellule individuelle, avant qu'on s'entretue
La vie d'rue a fait de nous de dangereux individus
Dis bonjour au mauvais garçon, regarde les flammes dans mon iris
Que la nation brule sous mes lyrics
Ma cour de récréation fait son gen-ar dans n'importe quelle voie
Renoi passe moi la zeb et la son-boi

Waouhh, ça c'est de la métaphore.....:rolleyes:
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lol bon

Tu Sera Rebeu Ou Black Qu'avec Un oeil Au Beur Noir

délinquant, on rentre à l’heure où les oiseaux chantent

J'suis dégoûté comme quand j'ai ché-cra

"J'ai la nuque du rap sous mon aisselle".

"mort a celui qui les sauve leur deniere vision sera un gun et un chauve"

Dans le numéro 567 de « La Nouvelle Revue française », Thomas A. Ravier décortiquait ainsi les métaphores de Booba, le comparant à Céline et Genet...

: un son lourd et percutant qui rappelle les tubes de 50 Cent, mais aussi une reprise de la mélodie de « Mistral gagnant », de Renaud. Côté texte, un indubitable talent pour forger des métaphores sans comparaison dans le rap français servi par un « flow » énergique et saccadé, depuis « J'ai roté mon poulet rôti et recraché deux îlotiers » à « Moi je rêve et j'accomplis même si je crève incompris » . Beaucoup d'humour aussi, comme le devenu légendaire : « Quand je traîne en bas de chez toi je fais chuter le prix de l'immobilier. » La très germanopratine NRF ne s'y est pas trompée, qui a consacré au « Bitume avec une plume », l'autre surnom de Booba, un article de 20 page



apres au niveau des rimes il est l'un des plus fort il fait des assonances de fou

J'perds mon temps, jusqu'à c'que j'perde mon teint
J'perds mon temps, sans métier, tête baissée à regarder mes pieds, (celle la est tres forte)
A rêver qu'j'pèse et à regretter
J'nique mon temps dans l'vice, j'veux pas finir dans l'feu,
Mais j'ai du mal, c'est c'que j't'explique dans l'disque
J'perds mon temps à acheter à vendre, à emprunter à rendre,
A rien apprendre sauf que les porcs sont à pendre
Le monde fait flipper, mec tu sais plus rien m'atteind
Et plus j'connais les hommes plus j'aime mon chien
J'perds mon temps, attendant que le monde s'ouvre
Et j'nique tout car tout le monde souffre
 
manager93 a dit:
lol bon

Tu Sera Rebeu Ou Black Qu'avec Un oeil Au Beur Noir

délinquant, on rentre à l’heure où les oiseaux chantent

J'suis dégoûté comme quand j'ai ché-cra

"J'ai la nuque du rap sous mon aisselle".

"mort a celui qui les sauve leur deniere vision sera un gun et un chauve"

Dans le numéro 567 de « La Nouvelle Revue française », Thomas A. Ravier décortiquait ainsi les métaphores de Booba, le comparant à Céline et Genet...

: un son lourd et percutant qui rappelle les tubes de 50 Cent, mais aussi une reprise de la mélodie de « Mistral gagnant », de Renaud. Côté texte, un indubitable talent pour forger des métaphores sans comparaison dans le rap français servi par un « flow » énergique et saccadé, depuis « J'ai roté mon poulet rôti et recraché deux îlotiers » à « Moi je rêve et j'accomplis même si je crève incompris » . Beaucoup d'humour aussi, comme le devenu légendaire : « Quand je traîne en bas de chez toi je fais chuter le prix de l'immobilier. » La très germanopratine NRF ne s'y est pas trompée, qui a consacré au « Bitume avec une plume », l'autre surnom de Booba, un article de 20 page



apres au niveau des rimes il est l'un des plus fort il fait des assonances de fou

J'perds mon temps, jusqu'à c'que j'perde mon teint
J'perds mon temps, sans métier, tête baissée à regarder mes pieds, (celle la est tres forte)
A rêver qu'j'pèse et à regretter
J'nique mon temps dans l'vice, j'veux pas finir dans l'feu,
Mais j'ai du mal, c'est c'que j't'explique dans l'disque
J'perds mon temps à acheter à vendre, à emprunter à rendre,
A rien apprendre sauf que les porcs sont à pendre
Le monde fait flipper, mec tu sais plus rien m'atteind
Et plus j'connais les hommes plus j'aime mon chien
J'perds mon temps, attendant que le monde s'ouvre
Et j'nique tout car tout le monde souffre
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LA notoriété de Skyrock sa aide.

Pourquoi ne rédige -ton pas un album de 20 sur FABE (le comparer à booba c'est l'insulter)

pour ce qui de de j'perd mon temps, je ne suis pas sur mais c'est de Lunatic ? pas de Booba....
 
tarrast a dit:
LA notoriété de Skyrock sa aide.

Pourquoi ne rédige -ton pas un album de 20 sur FABE (le comparer à booba c'est l'insulter)

pour ce qui de de j'perd mon temps, je ne suis pas sur mais c'est de Lunatic ? pas de Booba....
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je t'ai citer le texte de booba ds lunatic

fabe aussi avait de bon texte avec de bonnes rime mais moins imagé que booba
 
C'est un extrait tirée de " Nouvelle revue Française " qui parle de Booba!
elle le compare a un demon des images car a chaque rime de booba une image nous apparait en tete!Bon j ai pas mit le passage ou il donne des exemple de cela mais un autre passage qui montre que Booba ne dit pas n importe quel mot au hasard!

La Nouvelle Revue Française
On connaît le coup, ai-je envie de dire; stabiliser, fixer l'écrivain quel qu'il soit dans une langue présupposée. Le choix est vaste, le but avoué: séparer les corps, les isoler et préserver du même coup la division des langages dans
la société.
Ainsi du rappeur, préposé à l'inoffensif et quasi parodique « nique la police ». Il faut une intensité définitive pour, sans changer de sujet (par exemple MC Solaar),faire librement, à tête reposée, le choix de sa langue, ou, pour reprendre la belle expression proustienne, se faire une langue:
« Chaque écrivain est obligé de se faire sa langue comme chaque violoniste son "son".»
Ici, pas de « nique la police» mais par exemple «j'ai roté mon poulet rôti et recraché deux îlotiers».
Octobre 61 ? « J'ai bu la seine et tous ces cadavres.»
Sur le haschich et sa fonction neutralisatrice d'une jeunesse énervée:« Si j'hésite c'est qu'une boulette bloque l'automatique. »
l'échec scolaire: «J'suis l'MC scolarisé, j'change mon instruction en polar. »
l'illicite: «j'fais des sous bêtement, parce que j'veux voir c'pays en sous-vêtement. »
Sarkosy:« Casquette baissée dans mon auto, parc' qu'y contrôlent, accusent à tort mon logo, les joueurs d'polo les alligators.»
La politique? Sur le motif, catégorique: « C'est
qu'une partouze de chiens errants. »
Rien de ce qui a été perçu par le sujet ne lui a été dicté par une soi-disant réalité .objective ; tout a été passé au crible de sa perception, déréglé, halluciné, métamorphosé.

(ce que l ecrivain veut dire c est que Booba imagie (rend en image {metaphore} chaque faits)

Dès lors, contrairement au commun des rappeurs,la difficulté d'être du ghetto trouve immédiatement son énoncé singulier:
« Né dans une cible on a coupé mon cordon avec une
scie, neuf mois dans un bunker, le majeur debout l'daron
a craché dans un chargeur 1Mon sachet d'beu degrainé
pour mieux dégainer les ***** chez l'kiné les man en
Guinée. »


On peut parier que si la vision retranscrite par Booba demeure si individualisée, même si inscrite dans le collectif (le genre veut ça, et Booba se veut aussi le représentant des Hauts-de-Seine, voire du peuple africain, lui qui n'a «pas envie d'crever sur les Champs (1voir ) »), c'est en quelque sorte que son rap est en dernier lieu le produit d'un autre moi que le moi social ou sa personnalité du ghetto, ce qui est rarement le cas dans le Rap où différents affects communautaires vont interférer sur l'écriture.
Expérience intérieure en amont, vie secrète. D'où l'écrivain, qui seul pourra devenir ce qu'il est «< moi j'veux devenir c'que j'aurais dû être»).

Texte écrit par l'écrivain Thomas A. Ravier
 
Espiegle69 a dit:
J'entends des bruits sur mon téléphone sans fil
Sous coke comme Tnoy M., tes balles je me les enfile
Parti de que dalle, j'ai jamais voulu taffer
J'ai grandi avec la daronne, enfermé, libéré sur parole
Pour me refaire j'ai fait c'qu'il fallait : du bien, du mal
J'ai commencé l'rap à 17 balais
Depuis mes débuts, gagner j'ai l'habitude
Ma ****** d'attitude, j'arrête pas d'prendre de l'altitude
Alors je suis mes négros et mes négros me suivent
Rafale de balles dans les amygdales, les faux négros me fuient
Reflet de mon époque, moi et mon glock et mes potes
Aucune confiance en leur justice et si le proc m'insulte
Comme une vulgaire ****** de film de uc
Obligé d'tirer sur ce fils de ****
J'veux une cellule individuelle, avant qu'on s'entretue
La vie d'rue a fait de nous de dangereux individus
Dis bonjour au mauvais garçon, regarde les flammes dans mon iris
Que la nation brule sous mes lyrics
Ma cour de récréation fait son gen-ar dans n'importe quelle voie
Renoi passe moi la zeb et la son-boi

Waouhh, ça c'est de la métaphore.....:rolleyes:
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je confirme....c'est nul....

d'habitude je dis j'aime pas parce que les gouts et les couleurs comme on dit....mais là, autant de vulgarité au cm3.....désolant :rolleyes:
 
manager93 a dit:
je t'ai citer le texte de booba ds lunatic

fabe aussi avait de bon texte avec de bonnes rime mais moins imagé que booba
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je te dis pas qu'i l n'a aucun talent, il y a des rime qui sont bien "je suis tombé si bas que pour en parler faudrait queje me fasse mal au dos"

mais il n'est pas extraordinaire.

C'est du rap commercial. Ecoute la Scred Connexion.

manager93 a dit:
C'est un extrait tirée de " Nouvelle revue Française " qui parle de Booba!
elle le compare a un demon des images car a chaque rime de booba une image nous apparait en tete!Bon j ai pas mit le passage ou il donne des exemple de cela mais un autre passage qui montre que Booba ne dit pas n importe quel mot au hasard!

La Nouvelle Revue Française
On connaît le coup, ai-je envie de dire; stabiliser, fixer l'écrivain quel qu'il soit dans une langue présupposée. Le choix est vaste, le but avoué: séparer les corps, les isoler et préserver du même coup la division des langages dans
la société.
Ainsi du rappeur, préposé à l'inoffensif et quasi parodique « nique la police ». Il faut une intensité définitive pour, sans changer de sujet (par exemple MC Solaar),faire librement, à tête reposée, le choix de sa langue, ou, pour reprendre la belle expression proustienne, se faire une langue:
« Chaque écrivain est obligé de se faire sa langue comme chaque violoniste son "son".»
Ici, pas de « nique la police» mais par exemple «j'ai roté mon poulet rôti et recraché deux îlotiers».
Octobre 61 ? « J'ai bu la seine et tous ces cadavres.»
Sur le haschich et sa fonction neutralisatrice d'une jeunesse énervée:« Si j'hésite c'est qu'une boulette bloque l'automatique. »
l'échec scolaire: «J'suis l'MC scolarisé, j'change mon instruction en polar. »
l'illicite: «j'fais des sous bêtement, parce que j'veux voir c'pays en sous-vêtement. »
Sarkosy:« Casquette baissée dans mon auto, parc' qu'y contrôlent, accusent à tort mon logo, les joueurs d'polo les alligators.»
La politique? Sur le motif, catégorique: « C'est
qu'une partouze de chiens errants. »
Rien de ce qui a été perçu par le sujet ne lui a été dicté par une soi-disant réalité .objective ; tout a été passé au crible de sa perception, déréglé, halluciné, métamorphosé.

(ce que l ecrivain veut dire c est que Booba imagie (rend en image {metaphore} chaque faits)

Dès lors, contrairement au commun des rappeurs,la difficulté d'être du ghetto trouve immédiatement son énoncé singulier:
« Né dans une cible on a coupé mon cordon avec une
scie, neuf mois dans un bunker, le majeur debout l'daron
a craché dans un chargeur 1Mon sachet d'beu degrainé
pour mieux dégainer les ***** chez l'kiné les man en
Guinée. »


On peut parier que si la vision retranscrite par Booba demeure si individualisée, même si inscrite dans le collectif (le genre veut ça, et Booba se veut aussi le représentant des Hauts-de-Seine, voire du peuple africain, lui qui n'a «pas envie d'crever sur les Champs (1voir ) »), c'est en quelque sorte que son rap est en dernier lieu le produit d'un autre moi que le moi social ou sa personnalité du ghetto, ce qui est rarement le cas dans le Rap où différents affects communautaires vont interférer sur l'écriture.
Expérience intérieure en amont, vie secrète. D'où l'écrivain, qui seul pourra devenir ce qu'il est «< moi j'veux devenir c'que j'aurais dû être»).

Texte écrit par l'écrivain Thomas A. Ravier
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S'il a du temps àperdre il devraient analyser des vrais rappeurs.
 
nwidiya a dit:
http://fr.news.yahoo.com/45/20090824/ten-carla-bruni-insultee-dans-une-chanso-a4307fe.html



Discussion: Carla Bruni
C'est une info de l'hebdo "Marianne". Carla Bruni, la première dame de France, vient d'être insultée par le rappeur La Fouine dans sa chanson "Hamdoullah", de son dernier album. Il la traite de "Qahba Bruni". "Qahba" signifiant "P***"...
On ne connait pas encore la réaction de Carla Bruni, ni celle de l'Elysée...

Le couple présidentiel est revenu hier soir dans la capitale. Pour eux aussi, c'est la rentrée !

Il y quelques jours, le magazine l'Express avait révélé que la fondation Carla Bruni-Sarkozy qui a notamment pour but de favoriser l'accès aux grandes écoles pour les jeunes issus des quartiers difficiles a bien l'intention de donner sa chance aux jeunes du "9-3". Selon l'hebdo, Carla Burni voudrait faire de la Seine-Saint-Denis "son laboratoire et son fief".

A suivre...
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ca me choque quand je lis ce genre de message
pourquoi favoriser???
il y a pleins de maghrebins dans les grandes ecoles et l'entrée se fait via des concours nationaux ouverts a tout le monde!!!
je ne vois pas comment cette fondation elle peut elle favoriser l'entrée dans ces ecoles a des gens qui doivent passer par un concours quoi qu'il arrive
 
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