La lapidation, "preuve extrême de la logique de violence de l'islam"

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Lalink
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c'est pourquoi il est important de ne pas tout prendre à la lettre concernant la Sunna, ce qui était valable au temps du Prophéte ne l'est plus actuellement ( aucun homme aujourd'hui ne peut s'identifier au jugemnt du prophéte saws ), il y a d'autre moyens de condamner des adultérins, et de mettre la loi de Dieu au dessus de la Sunna

Ce n'est pas un problème de temporalité. L'Islam et ses lois sont valable likoulli zaman wa makan, les coups de fouets pour les fornicateurs et les faux-témoins, la peine pour le voleur ou les parts d'héritages sont bien Coraniques, et on trouvera toujours certains pour dire que "ce n'est pas valable aujourd'hui", alors qu'Allah a dit "J'ai achevé pour vous aujourd'hui votre religion, j'ai parachevé sur vous mon bienfait et j'ai agréé pour vous l'Islam comme religion"...

La question est politique. L'Arabie Saoudite pratique aussi la lapidation, une princesse saoudienne a même du fuire le pays pour ne pas être condamné tellement le scandale était grand. Et pourtant aucune condamnation internationale.

Si l'Iran était à genoux et dans les rangs, tu n'entendrais pas parler de cette histoire.
 
Ce n'est pas un problème de temporalité. L'Islam et ses lois sont valable likoulli zaman wa makan, les coups de fouets pour les fornicateurs et les faux-témoins, la peine pour le voleur ou les parts d'héritages sont bien Coraniques, et on trouvera toujours certains pour dire que "ce n'est pas valable aujourd'hui", alors qu'Allah a dit "J'ai achevé pour vous aujourd'hui votre religion, j'ai parachevé sur vous mon bienfait et j'ai agréé pour vous l'Islam comme religion"...

La question est politique. L'Arabie Saoudite pratique aussi la lapidation, une princesse saoudienne a même du fuire le pays pour ne pas être condamné tellement le scandale était grand. Et pourtant aucune condamnation internationale.

Si l'Iran était à genoux et dans les rangs, tu n'entendrais pas parler de cette histoire.

alors qu'Allah a dit "J'ai achevé pour vous aujourd'hui votre religion, j'ai parachevé sur vous mon bienfait et j'ai agréé pour vous l'Islam comme religion

on est d'accord, mais si la lapidation avait été une obligation, Dieu nous l'aurait mentionné sur son livre.

je me fous du politique, mais je suis contre le détournement des écritures pour satisfaire certains gouvernement dans le bu de tenir en laisse leur peuple. Dieu nous recommande de suivre son Prophéte, aujourd'hui il n'est plus là et les écrits qui nous restent sur sa vie et ses pratiques veulent diviser encore plus notre communauté et servir l'égo de certains.
 
Cherchent-ils autre chose que la religion d’ALLAH, alors que tout ce qui est dans les cieux et la Terre Lui est soumis, bon gré ou mal gré, et à Lui ils seront retournés? (3:83)

Ceci (le Coran) est Mon chemin qui est droit. Vous devrez le suivre, et ne pas suivre d’autres chemins, de peur qu’ils ne vous dévient de Son chemin. Ce sont Ses commandements que vous puissiez être sauvés(6:153).

Or le Coran comme tous les Livres divins qui le précèdent ne préconisent aucunement la lapidation ni quoi que ce soit d'injuste.

Et quant ils commettent une abomination, ils disent, «Nous avons vu nos parents faire ceci, et ALLAH nous a commandés de le faire». Dis, «ALLAH ne préconise jamais le mal. Etes-vous en train de dire à propos d’ALLAH ce que vous ne savez pas?»(7:28).
Dis, «Mon Seigneur préconise la justice, et d’être consacré à Lui seul à chaque lieu de culte. Vous devrez consacrer votre adoration absolument à Lui seul. Juste comme Il vous a initiés*, vous devrez revenir à Lui»(7:29).

Le diable vous réserve la pauvreté et vous commande de faire le mal, tandis qu’ALLAH vous réserve Son pardon et la grâce. ALLAH est Généreux, Connaisseur(2:268).
 
La monstrueuse condamnation d'une femme à la lapidation par la République islamique d'Iran donne encore une fois de l'islam une image catastrophique, celle d'une religion archaïque, violente et totalitaire. N'essayons pas en effet de dédouaner la religion islamique du meurtre programmé de Sakineh Mohammadi-Ashtiani en soutenant qu'il s'agit d'une décision politique. Le pouvoir de Mahmoud Ahmadinejad se fonde sur une idéologie reconnue comme celle d'un islam fondamentaliste.


En tant qu'intellectuel musulman, je dois prendre la responsabilité de dire cela haut et fort, en m'insurgeant contre cette sentence de lapidation au nom de la dignité de la personne humaine. Mais je ne saurais m'en tenir à cette indignation. Si en effet la pulsion totalitaire de la religion islamique trouve là l'une de ses expressions les plus inhumaines, il faut y voir simplement l'une des formes les plus radicales d'une logique générale qui a pris, au fil des siècles, le contrôle de la vie spirituelle des musulmans du monde. Hélas !, la religion islamique entière se nourrit de violence.

Prenons l'exemple le plus actuel, celui du mois de ramadan qui s'est ouvert le 11 août. Evidemment, nous paraissons ici au plus loin de l'affaire de la lapidation, et aujourd'hui en France l'on n'entend guère de critiques sur cette pratique du jeûne. Au contraire, s'est installée sur la question une sorte de consensus angélique. Nous aurions là un événement "entré dans la vie et ancré dans le calendrier de la nation" et nos médias semblent incapables de faire autre chose que de célébrer la convivialité, la solidarité, le caractère festif de cette période.

Soit, mais qui soulignera en contrepartie le caractère violent de ce jeûne total exigé de la part de tout pratiquant pubère du matin au soir pendant un mois entier ? De nombreux musulmans éludent la question en prétendant que, pour l'individu qui a la foi et qui est entouré d'autres musulmans solidaires dans leur jeûne, celui-ci est facile.

Comment peut-on avoir l'inconscience de prétendre cela ? Jeûner toute la journée, sans avoir même le droit de boire un peu d'eau, et ce pendant un douzième de l'année, constitue un exercice de privation radical et relève d'un ascétisme religieux de haut niveau que rien ne justifie d'ordonner à l'ensemble d'une communauté. La tradition n'exempte de cet effort supérieur que les malades, les femmes enceintes ou en période de menstruation et les voyageurs.



Abdennour Bidar, professeur de philosophie en classes préparatoires à Sophia-Antipolis

http://www.lemonde.fr/idees/article...ique-de-violence-de-l-islam_1404384_3232.html

Après tout ce qu'il a dit faut quelqu'un pour lui dire qu'il ne l'est plus...
 
Réaction à son article provocateur :

Jerôme
30.08.10 | 22h00
Ce texte est superbe et percutant. On pourrait mentionner aussi le halal, qui situe le sacré dans la souffrance animale. Il faudrait que les musulmans français se posent enfin de telles questions.

Bodléienne
30.08.10 | 21h57
Steven75, je doute qu'on condamne à la peine de mort pour adultère aux USA, et enfin, comment n'avez-vous pas remarqué que les pays qui appliquent encore la peine de mort sont fort mal vus et qu'il y a bien de la mobilisation contre ça ? Quant aux comparaisons avec la Bible de certains, elles ne sont pas pertinentes, puisque plus aucun pays ne s'en réclame pour tuer.

svp59
30.08.10 | 21h49
Félicitations à Mr Bidar pour son courage et son ouverture d'esprit , je suis pourtant inquiet pour lui ... Il a complètement raison sur le totalitarisme de cette religion et sur son enfermement le plus entêté . Le communautarisme musulman est tout simplement effrayant ......

Doud
30.08.10 | 21h45
Merci A.Bidar de secouer la bien pensance et le politiquement correct qui étouffent toute réflexion critique sur l'Islam! Mais comme l'ont fait remarquer d'autres lecteurs, cette prise de position serait-elle possible pour un intellectuel non musulman? En tout cas vos propos sont salutaires et votre attitude ne manque pas de courage.Vous allez être cloué au pilori par nombre de musulmans, pourtant vous représentez l'espoir par votre conception républicaine de la religion au sein de la société.

Sebastien C.
30.08.10 | 21h42
Punaise. Pas peur le gars. Des Musulmans comme lui, on en redemande.

stephane CALVO
30.08.10 | 21h23
Et oui ... n en deplaise aux islamodolatres ...

jean-noel tourvieille
30.08.10 | 21h18
Ce qui est inquiétant, c´est que ce M.Bidar est philosophe et prof. pour les élites du système éducatifs. Je rejoins bon nombre de commentaires sur les excès rencontrés dans toutes les religions. Pour CHAMPIGNAC: on ne vous force à rien et par ces propos, vous méprisez la foi des autres. N´est ce pas une forme de haine?

Jean-Pierre Villeléger
30.08.10 | 21h16
Prise de position courageuse. Il faut noter que la lapidation, châtiment barbare, vient des Hébreux: elle figure dans la Bible (Nb, Dt), mais n'est pas mentionnée dans les anciens codes, comme celui d'Hammourabi. Elle est abolie par Jésus (Jean,8/1-12)et n'est pas mentionnée dans le Coran, semble-t-il. Aujourd'hui peu de pays l'appliquent encore: Iran, Arabie Saoudite, Pakistan, Nigéria et Somalie;l'Afghanistan l'appliquait sous les Talibans.

Dés qu'une bande de koufar applaudit un "islamologue" je met un trait dessus.
 
la lapidation et les coups de fouets c'est mentionné dans le Coran, ça na rien d'archaïque !
tien je me demande dans quel verset elle est mentionné,
sois vous dites que vous êtes contre cette punition ( comme moi ) sois vous dites que vous êtes pour !
pour être comtre quelque chose il faut pour cela quel soit bien mentionné comme tu la dit de plus être contre un lois de dieu c'est faire comme le diable et pense être plus juste que le créateur
la question du moratoire signifie d'une manière tacite qu'on est pour cette ignoble punition !
 
Il n'y a vraiment pas de quoi fouetter un chat : il dit simplement que la religion ne doit être qu'un choix personnel et non celui d'une société.
 
tien je me demande dans quel verset elle est mentionné,

Tu ne le trouveras pas dans le Coran. Selon la tradition il s'agit d'un verset descendu et abrogé ensuite (il n'a pas été retenu dans la compilation finale du Coran) mais certains considèrent que la sentence est restée valable. Le Coran parlait de flagellation de l'adultère, les hadiths mentionnent la lapidation, les ulémas ont choisi de conserver la plu!s dure des deux sanctions.

Il existe aussi des références à la lapidation dans la Sunnah, comme pratique ayant eu cours à l'époque de la Révélation. Même si le Prophète essayait tant que faire se peut de repousser l'application de cette sanction comme le démontre l'épisode de la femme adultère qui s'auto-accusait.

La question est ailleurs, et rejoint un peu celle du jugement sur toutes formes de châtiments corporels et, plus largement, sur la forme de la partie normative du Coran et de la Sunnah.

Soit on se place dans un rapport apologétique au texte, auquel cas on considère que tout ce que contient le Coran ou les hadiths en matière de normativité n'est pas marqué par la temporalité, qu'il convient de l'appliquer dans l'état à toutes époques;

Soit on se place dans une perspective critique par rapport aux textes, et dans ce cas on s'attachera plutôt à comprendre les châtiments corporels comme partie prenante du référentiel culturel des arabes d'époque, et l'on cherchera plutôt à comprendre le sens que revêtait la lapidation pour la société d'alors et la symbolique que ce châtiment (qui par ailleurs existait avant l'Islam) revêtait dans la mentalité des arabes de l'époque. Dans la société musulmane naissante, l'adultère faisait peser un risque très lourd à la communauté. Aussi, la menace de la peine se devait d'être aussi grande que la menace que l’adultère représentait pour la société à l’époque. Ce châtiment comporte une symbolique forte dont la valeur est avant tout dissuasive et sert à faire comprendre le haut degré d'interdiction de l'adultère qu'il châtie, en utilisant les références normatives (peines corporelles) qui avaient cours dans le contexte d'époque.

Dans cette seconde perspective, l'adultère et les autres crimes que punissent les châtiments corporels demeurent punissables à travers époques et contextes, mais d'une manière non-figée et prenant en compte la nécessaire évolution des mentalités et des mœurs dans la manière d'appliquer un principe de droit.

(...)
 
(...)


Bien entendu ce genre d'approche suscite inévitablement les critiques - qu'on peut lire ici par ailleurs - de ceux qui s'inscrivent clairement dans le premier type d'approche et réfutent tout type de lecture autre que littéraliste et apologétique.

On peut citer pour conclure l'avis de Mahmoud Azab sur la question:
Je suis personnellement opposé à l’application aujourd’hui des peines corporelles, du fouet à la lapidation en passant par l’ablation des membres, etc. Le châtiment corporel, en Islam comme dans le christianisme ou le judaïsme à une histoire, c’est à dire un début, des raisons et une fin. Il faut replacer les choses dans leur contexte. Lorsque la communauté musulmane était balbutiante, comme un jeune enfant, le propos qui lui était tenu était celui de la punition et de la récompense. Un jeune enfant fait plus facilement ses devoirs parce que ses parents lui promettent une récompense matérielle. Lorsqu’il devient plus grand, il fait le choix de travailler parce qu’il sait qu’il construit ainsi sa liberté et son indépendance. Je ne veux pas dire par cela qu’on peut laisser tomber les devoirs et obligations des musulmans. Il faut d’abord bien éduquer les sociétés sur les principes de la vertu et de la morale.
 
Le Coran ne punit la fornication que par cent coups symboliques de fouet, qui n'ont pour but que l'humiliation étant donné que ce commandement met l'accent sur la nécessité de la présence d'un groupe de croyants lors de la punition:

Les femmes adultères et les hommes adultères, vous devrez fouetter chacun d’eux de cent coups de fouets. Ne soyez pas influencés par la pitié en exécutant les lois d’ALLAH, si vous croyez vraiment en ALLAH et au Jour Dernier. Et laissez un groupe de croyants être témoins de leur peine(24:2).*

Puissions nous tous juger sur la base exclusive des commandements du Coran à l'instar du modèle d'antan ci-dessous, afin d'être considérés par Dieu comme de vrais soumis à Lui-Seul et non aux soit-disants abrogations ou ajouts, car il serait illogique de penser que Notre Créateur qui est omniscient et connaissant le futur, change d'avis sur ses jugements qui existent depuis la révélation de l'islam sur Abraham (saws):

Et luttez pour ALLAH avec tout l’effort qu’Il mérite. C’est Lui qui vous a élus; et Il ne vous a imposé aucune gêne dans votre religion, celle de votre père Abraham, lequel vous a déjà nommés "Soumis" en premier lieu et dans ce (Livre), afin que le Messager soit témoin contre vous, et que vous soyez vous-mêmes témoins contre les gens. Accomplissez donc les Prières de Contact (Salât), acquittez la Charité Obligatoire (Zakât) et attachez-vous fortement à ALLAH. C’est Lui votre Maître. Quel Excellent Maître! Et quel Excellent Soutien(22:78)!

*22:78 Bien que tous les messagers aient prêché un seul et même message, «Adorer Dieu seul,» Abraham a été le premier messager à inventer les termes «Soumission» (Islam) et «Soumis» (Muslim) (2:18). Quelle a été la contribution d’Abraham à la Soumission? Nous apprenons de 16:123 que toutes les obligations religieuses dans la Soumission ont été révélées par Abraham.


Nous avons descendu la Thora,* contenant la guidance et la lumière, avec laquelle les prophètes, les rabbins et les prêtres jugent par ce qu’ils ont sauvegardé du Livre d’ALLAH, et comme ils en ont été témoins. Donc, ne révérez pas les êtres humains, et révérez-Moi. Et n’échangez pas Mes révélations avec un prix de peu de valeur. Et ceux qui ne jugent pas en accord avec les révélations d’ALLAH sont les mécréants(5:44).

et pour que le peuple de l’Evangile puisse juger conformément à ce qu’ALLAH y a révélé. Quant à ceux qui ne jugent pas conformément à ce qu’ALLAH a révélé ce sont ceux-là les méchants(5:47).

Ce sont ceux qu’ALLAH a guidés, tu devras être guidé dans leurs pas. Dis, «Je ne vous en demande pas de salaire. Ceci n’est qu’un rappel pour tous les gens»(6:90).

Puis nous t’avons inspiré (O Mohammed) à suivre la religion d’Abraham,* le monothéiste, il n’a jamais érigé d’idoles à côté d’ALLAH(16:123).

Qui abandonnerait la religion d’Abraham? excepté celui qui dupe sa propre âme! Nous l’avons choisi dans ce monde, et dans l’Au-delà il sera parmi les bienfaisants(2:130).
 
de ce fait je suis contre la lapidation et pour la flagellation ( qui éxigent certaines conditions , le but n'est pas de faire le plus mal possible , comme pour les enfants , l'autorité est indispensable mais ce n'est pas dans le but de faire mal physiquement , c'est surtout pour faire prendre conscience du méfait de la fornication .

ben oui la flagellation ça fait pas mal c'est connu.
 
En tant qu'intellectuel musulman, je dois prendre la responsabilité de dire cela haut et fort, en m'insurgeant contre cette sentence de lapidation au nom de la dignité de la personne humaine. Mais je ne saurais m'en tenir à cette indignation. Si en effet la pulsion totalitaire de la religion islamique trouve là l'une de ses expressions les plus inhumaines, il faut y voir simplement l'une des formes les plus radicales d'une logique générale qui a pris, au fil des siècles, le contrôle de la vie spirituelle des musulmans du monde. Hélas !, la religion islamique entière se nourrit de violence.
(...)
Abdennour Bidar, professeur de philosophie en classes préparatoires à Sophia-Antipolis

http://www.lemonde.fr/idees/article...ique-de-violence-de-l-islam_1404384_3232.html

Mr Bidar s'exclut de facto d'une religion par cette crotte d'article dans lequel il fait de curieux et dangereux amalgames qui visent à essentialiser l'Islam.
De la pratique limitée, rare et majoritairement désuète aujourd'hui de la lapidation -à partir d'un fait divers en Iran chiite- il en vient à son propos principal qui consiste à dénoncer une prétendue violence intrinsèque à l'Islam en attaquant de manière virulente certains piliers de la foi musulmane qu'il décrit comme violents comme le jeûne (violence physique du corps), le pèlerinage ( violence symbolique de la prétendue tutelle wahhabite saoudienne ) et la prière (violence morale de la ponctualité exigée des prières).

Mr Bidar aurait été complet en nous trouvant, en bon spécialiste de la ratatouille intellectuelle, une violence aux deux piliers restant à savoir l'attestation de la foi (violence faite aux cordes vocales ou à l'index de la main droite?) et la zakat (violence faite au porte-monnaie?).

Mr Bidar n'est pas un philosophe, c'est un banal professeur de philosophie de classe prépa reconverti en objet médiatique visant à passer des messages islamophobes. Fier de la reconnaissance que l'Empire des médias lui procure, ce bouffon se voit déjà en Voltaire de l'Islam et intensifie progressivement la violence de ses propos. Il espère cette-fois une reconnaissance politique, en se voyant confier par l'intelligentsia une mission d'ordre publique ou être désigné comme conseiller ou que sais-je encore. Courage Bidar, bientôt la reconnaissance! Encore quelques articles à base d'acrobaties intellectuelles, raccourcis mensongers et idiots, et vous serez récompensés!

On croit et on obéit à une religion telle que Dieu l'a révélée, et non telle qu'on aimerait qu'elle soit!

Je suppose que le Ramadan a beaucoup fatigué Mr Bidar -si jamais il le fait- et ça le gène de ne plus pouvoir faire de pause café dans le lycée où il enseigne. D'où cette volonté de modifier cette religion à sa guise! L'Islam n'est pas à la carte Mr Bidar!
 
salam
heu desole c'est pas si dur le ramadan avec la santé, oui je suis fatigué et j'ai faim mais je le fait pour allah saw donc ca me parait pas si dur
 
Mr Bidar s'exclut de facto d'une religion par cette crotte d'article dans lequel il fait de curieux et dangereux amalgames qui visent à essentialiser l'Islam.
De la pratique limitée, rare et majoritairement désuète aujourd'hui de la lapidation -à partir d'un fait divers en Iran chiite- il en vient à son propos principal qui consiste à dénoncer une prétendue violence intrinsèque à l'Islam en attaquant de manière virulente certains piliers de la foi musulmane qu'il décrit comme violents comme le jeûne (violence physique du corps), le pèlerinage ( violence symbolique de la prétendue tutelle wahhabite saoudienne ) et la prière (violence morale de la ponctualité exigée des prières).

Mr Bidar aurait été complet en nous trouvant, en bon spécialiste de la ratatouille intellectuelle, une violence aux deux piliers restant à savoir l'attestation de la foi (violence faite aux cordes vocales ou à l'index de la main droite?) et la zakat (violence faite au porte-monnaie?).

Mr Bidar n'est pas un philosophe, c'est un banal professeur de philosophie de classe prépa reconverti en objet médiatique visant à passer des messages islamophobes. Fier de la reconnaissance que l'Empire des médias lui procure, ce bouffon se voit déjà en Voltaire de l'Islam et intensifie progressivement la violence de ses propos. Il espère cette-fois une reconnaissance politique, en se voyant confier par l'intelligentsia une mission d'ordre publique ou être désigné comme conseiller ou que sais-je encore. Courage Bidar, bientôt la reconnaissance! Encore quelques articles à base d'acrobaties intellectuelles, raccourcis mensongers et idiots, et vous serez récompensés!

On croit et on obéit à une religion telle que Dieu l'a révélée, et non telle qu'on aimerait qu'elle soit!

Je suppose que le Ramadan a beaucoup fatigué Mr Bidar -si jamais il le fait- et ça le gène de ne plus pouvoir faire de pause café dans le lycée où il enseigne. D'où cette volonté de modifier cette religion à sa guise! L'Islam n'est pas à la carte Mr Bidar!

Il n'a jamais fait d'étude Islamique , ce n'est qu'un simple professeur de Philosophie son texte et du même accablie que l' autre Philosophe Redeker.

Ne t'inquiète pas pour lui, il ne fait pas le Ramadan et les 5 Piliers de l'Islam ils s'en fou, Il a aucune reconnaissance à part avec les Islamophobes.

Il a aucune crédibilité son texte n'est que provocateur tout simplement.
 
C'est assez comique de voir toute cette agitation et cette virulence aprés un type qui ne fait que dire que la religion ne devrait être qu'un choix personnel de l'individu et non celui d'une société.

C'est assez pitoyable de voir des personnes hurler au scandale parce sa collegue de bureau fume en cachette dans les chiottes, parce que son frère a bu un verre d'eau ou parce qu'un autre a sucé un bonbon.
 
Je suis partagé sur cette question du lien violence-sacré. Parce qu'il n'est pas facile de démêler ce qui dans l'Histoire est producteur du dogme de ce qui dans le discours mythologique et son interprétation façonne les sociétés humaines; On touche là à la fois au psychologique et au politique, les ressorts du sacré étant multiples et eux-mêmes féconds, comment dire ce qui fonde, ce qui motive?

Bidar tranche ici nettement une question complexe: pour lui, il existe des sources théologiques et dogmatiques spécifiques à l'Islam, productrices de violence. L'articulation de son argument réside dans l'idée que la légitimation d'une conception synchronique du dogme par les autorités religieuses et la perpétuation communautaire séculaire induiraient cette violence islamique moderne. La position subalterne de l'individu en Islam expliquerait son incapacité à intérioriser et au demeurant à adapter le dogme à l'échelle de sa personnalité. Chez Bidar un écueil est récurrent: Comme sur la question du voile, il refuse d'emblée d'élargir son champ d'investigation pour appréhender l'émergence, la persistance, la disparition ou encore la resignification d'une pratique religieuse. Où est la réverbe familière au philosophe historien, son approche pluridisciplinaire du fait religieux? Dans ce cours texte, il n'est jamais fait mention (sauf négativement, c'est-à-dire rejetés a priori sans examen critique) du cadre politique et du rôle de la cristallisation identitaire dans le procéssus de violence intégriste. Les explications culturelles sont privilégiées, mais toujours dans ou à partir de la religion. Comme si le politique, le social et l'économie ne comptaient que peu face à une culture religieuse motrice.
 
C'est assez comique de voir toute cette agitation et cette virulence aprés un type qui ne fait que dire que la religion ne devrait être qu'un choix personnel de l'individu et non celui d'une société.

C'est assez pitoyable de voir des personnes hurler au scandale parce sa collegue de bureau fume en cachette dans les chiottes, parce que son frère a bu un verre d'eau ou parce qu'un autre a sucé un bonbon.

Il ne dis pas ça , tu sais pas lire.

C'est toi qui est comique, il met clairement en cause les Piliers de l'Islam en le comparant à la Lapidation, arrête de faire semblant de rien mais bon vu tes postes on attend rien de toi.
 
C'est oublier que les pratiques et les courants religieux se fixent sur des épistémè, dont les frontières sont perméables; La société religieuse est une abstraction, elle est autant et en même temps communauté sociale, communauté économique, communauté politique, traversée de forces contradictoires. Une vision plus dialectique de ce mouvement permettrait à Bidar de considérer le fait religieux sous un prisme plus riche en herméneutique, plus pertinent et plus utile sur le plan épistémologique. Mais ça n'est qu'un avis, il vaut ce qu'il vaut. Merci pour ce texte intéressant dans tous les cas.
 
Il faudrait sans doutes déjà avoir accès aux sources authentiques de l'Islam pour y voir plus clair sur cette question, ce à quoi une infime minorité d'intellectuels peuvent prétendre. C'est un problème majeur, dont les deux autres cultures monothéistes ont longtemps souffert.
 
Il ne dis pas ça , tu sais pas lire.

C'est toi qui est comique, il met clairement en cause les Piliers de l'Islam en le comparant à la Lapidation, arrête de faire semblant de rien mais bon vu tes postes on attend rien de toi.
Encore les méfaits d'une lecture trop rapide chez la génération zapping.
 
alors qu'Allah a dit "J'ai achevé pour vous aujourd'hui votre religion, j'ai parachevé sur vous mon bienfait et j'ai agréé pour vous l'Islam comme religion

on est d'accord, mais si la lapidation avait été une obligation, Dieu nous l'aurait mentionné sur son livre.

je me fous du politique, mais je suis contre le détournement des écritures pour satisfaire certains gouvernement dans le bu de tenir en laisse leur peuple. Dieu nous recommande de suivre son Prophéte, aujourd'hui il n'est plus là et les écrits qui nous restent sur sa vie et ses pratiques veulent diviser encore plus notre communauté et servir l'égo de certains.

on vient de m'apprend que le verset etait dans le Coran apparement et Dieu a abroger le verset , mais en gardant la sentence ;

source : http://www.bladi.info/7428943-post178.html

:eek:
 
C'est assez comique de voir toute cette agitation et cette virulence aprés un type qui ne fait que dire que la religion ne devrait être qu'un choix personnel de l'individu et non celui d'une société.
.

Bonjour,

Pas aussi comique que vos conclusions.

En quoi des affirmations comme celle de ce "philosophe" parle de choix personnel ? Nous ne lisons pas le même texte, sinon, nous n'avons pas appris la même langue...

"violence morale", "violence physique", "violence symbolique"....voilà ce que ce Sieur ergote dans son ramassis ...Le reste n'est que décoratif.
 
Rien à attendre d'une personne qui s'èléve contre l'ordre établi de Dieu, je comprends pourquoi les Musulmans voient en mal les philosophes comme des athées et érudit surtout venant d'un non pratiquant comme Bidar ce genre de texte me surprend guère , il qu'à lire son livre l'Islam sans Soumission la frontière avec l'athéisme est quasi inexistante et je ne parle pas de son intervention sur Beur FM ou il remet en cause les 5 Piliers de l'Islam, bref ce texte n'est que la conclusion de sa pensée.

Il est toujours malvenu je crois en Islam de préjuger de la foi d'autrui. La spiritualié de Bidar lui appartient.
 
Bonjour,

Pas aussi comique que vos conclusions.

En quoi des affirmations comme celle de ce "philosophe" parle de choix personnel ? Nous ne lisons pas le même texte, sinon, nous n'avons pas appris la même langue...

"violence morale", "violence physique", "violence symbolique"....voilà ce que ce Sieur ergote dans son ramassis ...Le reste n'est que décoratif.

Bonjour Madame,

Article 222 du code pénal marocain :

Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l'emprisonnement d'un à six mois et d'une amende de 12 à 120 dirhams
 
à Lalik: "Il a plus une approche Déiste que Musulmane, ce n'est que mon avis."

Je ne sais pas, au sens dogmatique du terme tu as sans doute raison mais s'il ne ressent pas de besoin d'appartenance communautaire, sa position est cohérente.
 
J'annule un post en double, désolé. Et j'en profite pour dire que je rejoins une critique précédente sur la posture d'intellectuel médiatique que tend à prendre Abdennour Bidar.
 
Bonjour Madame,

Article 222 du code pénal marocain :

Celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du ramadan, sans motif admis par cette religion, est puni de l'emprisonnement d'un à six mois et d'une amende de 12 à 120 dirhams

Et ?

Sieur Bidar ne parle ni du Maroc ni du Yémen... Il dit clairement que la religion musulmane est une religion nourrit de violence. Venir pondre ce genre de commentaires sans argumentation aucune me parait un peu culotté...

Certains courants dans l'islam sont clairement inspiré par une violence dans la religion, motivée par celle ci.... Mais un philosophe doit avoir l'esprit pour ne point amalgamer "courant" et "religion".

Le reste encore une fois n'est même pas du décoratif, mais simplement du creux....Son discours sous entendu sur le jugement que porte le reste du monde sur l'islam est une preuve de plus qu'il nage dans l'amalgame...A moins qu'il soit d'une subtilité particulière, ce que je doute fort.

Qu'est ce que "Violence symbolique" ?

Qu'est ce que " Violence morale" ?
 
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